Chapitre 5
Hobbitebourg
À cul-de-sac, dans une contrée non loin appelé Hobbitebourg, une grande fête battait son plein. Les hobbites fêtaient le retour de Frodon Saquet parmis eux, après avoir passé vingt ans dans les terres immortelles. Sam, Merry et Pippin étaient plus qu'heureux de retrouver leur ancien ami. Chacun avait vieillit de leur manière. Sam avait toujours sa femme et ses enfants qu'il adorait et chérissait de tout son cœur, Merry était maintenant marié et possédait Hobbitebourg que Frodon lui avait légué ( Sam voulait pas lol) Et Pippin…eh bien c'est pippin. Il ne travaille pas, mais pour nourrir sa famille bien il vole les légumes dans les champs de cultivateurs.
Frodon était assis près d'eux justement lorsque le courrier sur cavalier vint lui porter le lettre d'Elen. Bien sur, il fut bien surprit de recevoir une lettre si tôt, alors qu'il venait de revenir et que personne à l'extérieur de Hobbitebourg n'était au courant de son retour. Au début, Frodon avait cru à une erreur, mais la lettre lui était bien destinée, car sur e dessus de 'enveloppe était inscrit son nom et son adresse. Devant sa curiosité et celle de ses amis, il l'ouvrit et la lut à haute voix. Lorsqu'il eut terminé, les quatre hobbites gardaient silence. Puis ce fut Pippin qui prit la parole.
Aragorn avait une fille? Vous le saviez?
Frodon, Merry et Sam nièrent.
Gandalf souhaite que la communauté se réunisse. Qu'en pensez-vous? Demanda alors Sam. Pour moi, je crois que j'y serai de la pari. Comme dit cette Elen de Fondcombe, nous avons réussit une fois, nous le pouvons une deuxième fois.
Un silence persista.
Je crois que tu as raison Sam. Décida Merry.
Pourquoi pas revivre le bon vieux temps? Dit Pippin.
Les trois têtes se retournèrent vers frodon, attendant sa réponse. Malgré les vingt années passées aux terres immortelles, Frodon avait vieilli. Ses cheveux avaient quelque peu grisonné et son visage, ridé. Bien qu'il avait gardé sa forme d'autrefois sinon plus, un tel voyage ne le tentait aucunement.
- Non. Je n'irai pas…Répondit-il, laissant la lettre à ses amis et en rentrant à sa maison.
