Disclaimer : personnages de JK Rowling, histoire de Wolf Moonshadow (sur ashwinder). Mais c'est moi qui ai traduit !
Titre original : I awoke one morning.
Traduction benebu novembre 2005
Je me réveille un matin
Je me réveille un matin, à cause de l'impression de froid qui me fait frissonner. Ensommeillé, je tends le bras pour trouver sa chaleur, mais rien. Où est-elle ? Puis, je me souviens… la dispute, les mots trop durs prononcés par colère… et sa menace. Je lui ai dit qu'elle était libre de partir. Elle a répondu que c'était ce qu'elle comptait faire. J'ai pensé qu'elle serait revenue le matin, où vers midi, en tous cas avant le soir. Elle n'est toujours pas là. Même son foutu chat est parti. Le lit est bien trop froid et solitaire sans elle.
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Je me réveille un matin, la tête sur un oreiller trop dur, et une drôle d'odeur dans l'air. Où suis-je ? Puis je me souviens de la dispute. Je sais qu'il est fier et têtu, mais c'était ridicule. Il faut que je marque le coup, parce que si je renonce maintenant, je perds son respect. Il doit comprendre que mes demandes sont aussi importantes que les siennes. Pourtant quand je regarde cette chambre solitaire, louée au dessus des Trois Balais, même Pattenrond, pelotonné contre moi, ne me remonte pas le moral. J'enverrai peut-être un hibou à ce butor plus tard.
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Je me réveille un matin, un hibou impatient à ma fenêtre. Que veut-il ? Je sors de mon lit, priant pour qu'il n'annonce pas une nouvelle catastrophe. Mes pieds sont glacés sur le sol de pierre. C'est une note d'Hermione ; elle a toujours été une de mes élèves préférées. Elle demande mon aide, parce que lui ne répond pas à ses lettres. C'est une relation bizarre, qui nous a tous pris par surprise. Ils sont si différents, le Serpentard et la Gryffondor. Pourtant, en les voyant ensemble, on comprend qu'ils sont faits l'un pour l'autre. Je parlerai à Severus.
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Je me réveille un matin, reconnaissant les coups secs frappés à ma porte. Que peut me vouloir mon Professeur de Potions si tôt ? Il est hagard, il a passé la nuit à réfléchir devant le feu. Les mots de Minerva ont dû le toucher plus qu'elle ne le pensait. Il a besoin qu'on lui confirme qu'il a droit au bonheur, qu'il peut rendre quelqu'un heureux. Nous discutons amour et compromis en buvant notre Earl Grey, par cette belle matinée. Il y a bien longtemps que nous aurions dû avoir cette conversation. Il semble toujours perplexe. Je parlerai à Hermione.
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Je me réveille un matin, au creux d'un lit bien chaud. Que demander de plus ? Je m'étire, je bâille, et je décide de me rendormir. J'entends un autre bâillement, et il y a du mouvement derrière moi. Des soupirs, puis des rires partagés. Un pied dans mon dos, et quelqu'un me pousse hors du lit en ralant. Une voix plus douce me murmure une excuse. Bientôt, j'entends un autre genre de soupirs et de gémissements. Tout est revenu à la normale. Les humains sont de parfaits idiots. Je me roule en boule dans mon coin en attendant le petit-déjeuner.
ndt : plusieurs personnes m'ont posé la question. Dans l'ordre, les paragraphes donnent les points de vue de Severus, Hermione, Minerva, Albus, et Pattenrond.