KIKOU !

Réponses aux reviews du chapitre 1 :

TROOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOP COOOOOOOOOOOOOOOOOOOOONTEEEEEEEEEEEENTEEEEEEEEEEEEUUUUUUUUUUUUHHHH ! est un parfait résumé de ce que je ressens, franchement merci, je pensais pas que ma fic plairait autant, j'esperai une ou deux reviews histoire de dire qu'elle était pas nulle à chier et là …. Hihi, lol. Bon alors :

Lou-la-Vénusienne : mici c sympa. Pr les fautes d'ortho et tt et tt j'y porte une attention assez particulière en général (sauf ds le hors texte comme tu peux le voir, lol) parce que je trouve qu'une fic mal écrite ne peut pas vraiment être une bonne fic. Pr ta question, bah … tu veux vraiment que je réponde ? lol, c t pas compliké un ? mais je me tais pour laisser le peu de suspens qu'il reste en tout cas merci pour tout.

La folleuh : Contente que ça te fasse rire, c'était un peu le but, hihi. J'peux pas te répondre jvais gacher tt le truc sinn même si javoue c pa compliké a deviné, lol, mai chuut fo pas le dire. J'adore ton pseudo (c par ce nom que mes amis me qualifie, lol). Merci, ton enthousiasme donne envie d'écrire, lol.

Devine,devine : Je t reconnue lory, keske tu croi ? lol. Je V texpliké kelke truc util best friend : tu ne dois pas te servir des reviews pour m'inviter chez toi et encore moins pour me faire tes déclarations d'amour enflammée, dacord ? lol, naporteuh koi. Sinn merci pour les commentaires sur la fic, hihi. Bisounours. Jtaimeuuuuuuuh !

Angel of the moon : Trop contente kel te plaise (pa répétitif la fille,lol), mais si je me répète c'est que c'est vrai, alalala. Mici :D, et pour la suite, voili voilou, hihi. J'espère qu'elle va te plaire, et pour James, j'avoue que je me suis bien amusé, mdr.

ladydjanaaa : attention … 1…2… 3 … troo contente ke ca te plaise (mais nn je me répète pa), je me suis vraiment eclaté a écrire cette fic alors c sur ca me fai tro plaisir kel vous plaise osi, hihi. Oui internet, javoue c génial, enfin après tant d'année la technologie est arrivée chez moi, lol. Encore merci.

ali : pour ce pseudo o moins g pa vérifié 15 fois si j'avais pas fai une faute, lol (à ne surtt pas prendre mal,hihi). Moi je m'en fiche de tte manière que tu m'écrives pas des lignes et des lignes, l'essentiel et que t'as pris la peine de donné ton avi et que ca m'a fait drolement plaisir. Mici bokou, vla le deuxième et avan dernier chapitre.

Lisia : une lectrice du château de hurle ! chui d'accord il est trop bien ce boukin, franchement l ma fait trop rire Sophie, et c d'elle ké né Arlette et la catastrophe naturelle, lol, ça m'a tt de suite inspiré. Contente que ça t plu et merci.

Athalie : du délire carément ! ouaouh chui trop contente moa, hihi, dc heu… je croi comprendre que ca ta plu, lol … alors pour la suite … bah la voila, toute prête tte corrigée, hihi, j'espère que ce chapitre te plaira autant. Merci bokou.

Joomy : toi aussi j'en conclu que ça ta plu, lol, kan tu dis ca change c pour l'histoire en général ? La petite grand-mère ? C vrai que je crois pas ke ça soit très commun, hihi, comment je me suis éclaté à l'écrire. Pour la suite, la voila ! en esperant que ce deuxième et avant dernier chapitre te plaise autant. Merci de m'avoir donné ton avis.

SusyBones : Tt te plait ! mais c génial (en tr1 de sauter partout comme une folle), trop gentil, avec une review pareil on est obligé de sauter sur son ordi pour continuer à écrire (bon à corriger et fignoler parce qu'elle est finie mais bon …). Vraiment vraiment merci pr tout, c trop gentil, sui trooooooooo contenteuuuuh !

Je redis franchement un grand merci à tt le monde. Gros bisoux et BONNE LECTURE !

Auteur : Lilynatou (sans dec')

Disclamer : Tout à cette chère assassine qui met tout son cœur à supprimer tout les personnages que j'adore dans Harry Potter(je crois qu'on se comprend …), et un pti chouille à cette chère Diana Wynne Jones (le château de hurle , un super livre) pour l'idée de la grand-mère ravageuse … en gros y a pas grand-chose à moi, lol.

Note de mi : Voili voilou, le deuxième chapitre promis, encore un grand merci à tt mes reviewers, ça m'a fait trop plaisir. Dc vous pouvez remercier le site ffnetmodedemploi.fr (ou com jsai plus) parce que je sui tombé dessus alors que j'étais en train de me demander comment faire pour poster un autre chapitre à une histoire éxistante, alors franchement bravo aux deux filles qui ont fait ce site, recommander au futur écrivain de ffnet. Moi j'avais déjà posté deux one shot mais j'avais jms fait d'histoire plus longue, alors voili voilou. Bon je vous ai encore bien raconter ma vie (pauvre de vous,lol). Dsl de ne pas vous lavoir mis plus tôt mais les profs, quand le conseil de classe arrive ils se déchaînent tous ensemble pour les contrôles dc g u un boulo de ouf, encore dsl. Maintenant bonne lectureuuuuuuhhhhh !

Chapitre 2 : Du balai, les pimbèches

Cela faisait maintenant deux jours qu'elle était là, et James se demandait s'il n'allait pas devenir dingue. Elle était arrivé Lundi midi, on était mercredi midi. Et il avait véritablement eut du mal à garder son calme jusque-là. Bien qu'il ne l'avait pas franchement toujours gardé, mais bon … Il se retourna plusieurs fois pour voir si la petite fouineuse n'était pas dans le coin. Il monta à l'étage et l'entendit ronfler dans sa chambre. Très bien, elle dormait, il était tranquille. Il redescendit et se posa devant la cheminée. Il prit la poudre de cheminette, mit sa tête dans la cheminée, et lança la poudre dedans en criant :

-Chaudron baveur.

Il eut le tournis. Il s'efforça de fermer les yeux et d'attendre que tout cela s'arrête enfin. Lorsque le calme se réinstalla, il ouvrit les yeux et découvrit une grande pièce pas très bien éclairée. Plusieurs tables étaient disposées, autour desquelles, nombre de sorciers ou créatures magiques étaient attablés, une chope de bierreabeure (sait plus si ça s'écrit comme ça) à la main. Une grosse dame se dirigea vers lui, ou plutôt vers le feu dans lequel sa tête venait d'apparaître. Lorsqu'elle le reconnut, elle arbora un large sourire.

-James ! Comment vas-tu ?

-Bien Rose. Et toi ?

-Ça va. Mais pourquoi ne viens-tu pas nous rendre visite en chair et en os mon grand ?

-Impossible, je dois surveiller quelqu'un, d'ailleurs elle ne doit pas me voir utiliser la magie, je voulais juste faire une petite commande cheminette, tes bons plats me manquent.

-Que veux-tu manger ?

-Je te laisse choisir, tu n'as qu'à me donner le plat du jour et deux trois bierrabeurre (j'crois pas que ça s'écrit comme ça,oups) s'il te plait.

-Très bien.

-Ça fait combien ma belle ?

-Oh laisse, je t'invite.

-Le chaudron baveur va finir par partir en ruine avec ta générosité, mais merci.

-Il n'y a pas de quoi. C'est quoi déjà ton adresse ?

-Le 8 Canty street dans …

-Ha oui je me rappelle, c'est bon. Je t'envoie ça d'ici quelques minutes d'accord.

-Ok, merci, à bientôt.

-Y a intérêt, salut.

Il quitta la cheminée et se retrouva dans son salon quelques secondes plus tard. Il n'eut pas à attendre longtemps qu'un plateau apparût bientôt dans sa cheminée, avec la voie de Rosmerta derrière qui lui souhaitait bon appétit. Il la remercia et s'attaqua à son plateau. Le service cheminette du chaudron baveur était génial, et il en profitait largement. Il mangea tranquillement et débarrassa histoire de ne pas entendre sa vieille pie râler. Il attrapa un livre sur le quidditch après avoir vérifié qu'elle n'était pas dans le coin.

Il le connaissait bien évidemment, par cœur mais les livres traitant de ce sujet qu'il n'avait pas lu se faisaient de plus en plus rares, et pour cause, il en avait toute une bibliothèque.

C'est ainsi qu'il était tranquillement plongé dans son livre lorsque des pas claudiquant se firent entendre dans l'escalier. Vive les cannes. Il eut donc le temps de dissimuler son livre et fit mine de dormir. La vieille passa dans le couloir pour aller dans la cuisine et il l'entendit bougonner quelque chose contre la paresse de la jeunesse.

Il attendit un instant et décida de la rejoindre dans la cuisine pour vérifier ce qu'elle traficotait. Lorsqu'il ouvrit la porte, il la trouva tranquillement attablée devant un livre de recette un grand saladier et divers ingrédients. Parfait, un gâteau. Elle ne pouvait pas l'empoisonner, surtout en suivant une recette, si elle pouvait encore les lire et les suivre correctement. Soulagé, il ressortit en l'encourageant. Ce à quoi elle répondit par un grognement sans lever la tête. Quelle lunatique.

Il se replongea dans son livre tranquillement, tout en surveillant la porte. Très bonne initiative car Arlette ressortit quelques minutes plus tard et se dirigea dans le salon, vers lui. Et voilà, la pauvre ne savait même pas faire un gâteau. Il n'était pas pressé de vieillir. Elle s'arrêta devant lui en lui tendant un bout de papier.

-Je ne connais pas ces ingrédients, pourriez-vous aller me les chercher je vous prie ?

-Ça ne serait pas vous la femme de ménage par hasard ?

-Oui mais je ne connais pas ces choses-là. Qu'est ce qu'une langue de crapaud mariné dans de la bave acide de dragon ? Ou encore …

Il ne l'écoutait plus. Il jeta un regard horrifié à la liste qu'elle lui avait faite.

BIERREABEURRE EXPOSIVE

Ingrédients :

-Une langue de crapaud à mariné dans de la bave de dragon acide

-Un poil de licorne bouillit dans de l'essence de jacinthe

-Une poignée de boyaux de veracrasse …

Cette fouineuse était tombée sur le livre de recette de Farce et Attrapes qu'il avait acheté dernièrement. Il plia la liste et improvisa. Il éclata de rire.

-Vous êtes tombé sur le faux livre de recette de mon petit cousin de cinq ans qui prétend être un grand sorcier, fit-il en se forçant à rire.

-De votre petit cousin ?

-Exactement, et vous, vous prenez cela pour une vraie recette, non mais je vous jure, à votre âge, on a plus toute sa tête !

-Et les livres des forces du mal et de celle du bien, ils étaient à lui aussi ?

La garce, elle avait de la mémoire.

-Oui.

-Pourquoi ne pas me l'avoir dit tout de suite alors.

-J'en sais rien. Cela ne vous regardait pas par exemple, ironisa-t-il dans l'espoir de s'en débarrasser, elle et ses questions.

-Où puis-je trouver un vrai livre de recette alors ?

-Dans le placard à droite de la porte madame.

-Très bien, en espérant que je ne tombe pas de nouveau sur une des affaires de votre petit cousin.

Il espérait aussi. Mais se dit qu'il aurait été très louche de la suivre et se contenta d'espérer que rien d'autre ne traînait. Ces deux derniers jours (on est mercredi), il avait planqué un maximum de choses, mais il se pouvait toujours qu'elle découvre quelque chose en fourrant son long nez, on ne sait où, comme elle avait l'habitude de le faire depuis qu'elle était là.

Dans l'espoir de pouvoir rester tranquille pendant un petit moment, il se remit à sa lecture. Néanmoins on l'appela de nouveau.

-Quoi encore … Mais il s'arrêta quand il se rendit compte qu'on l'avait appelé Cornedrue et que cette voix était loin d'appartenir à Arlette.

Il tourna frénétiquement la tête pour que celle-ci s'arrête sur la cheminée.

-Patmol ?

-Qui veux-tu que cela soit andouille ? Je voulais juste savoir si c'était d'accord pour tout à l'he …

-Quel est ce bruit ? fit une voix qu'il aurait préféré ne pas entendre en cet instant.

-C'est … C'est …

-Qui c'est Cornedrue ?

Le jeune homme s'était jeté devant le feu pour cacher la tête de Sirius qui n'avait bien évidemment rien à faire dans le feu aux yeux d'une moldue.

-C'est un magnétophone Mrs De Compaigne.

-Quoi ? fit Sirius ébahi.

-Un magnétophone que je vais d'ailleurs éteindre ! cria pratiquement le jeune homme pour couvrir la voix de Sirius.

La grand mère poussa James et se retrouva devant la cheminée. Elle la scruta un instant, perplexe. James avait failli la projeter plus loin avant de se rendre compte que son ami avait compris le message et avait rompu la liaison. Il ne put retenir un soupir de soulagement. La vieille, elle, le dévisageait à présent, très très soupçonneuse.

-Où est-il ce magnétophone ?

-Euh … Euh …

Vite James, dit quelque chose sinon t 'es mort, improvise mon vieux improvise… Une idée folle lui traversa l'esprit. Il tira doucement sa baguette et la mit dans son dos. Et tandis que la De Compaigne continuait de le fixer impatiemment il murmura le plus bas possible.

-Illusionis.

Il se retourna, prit une vieille boîte sur la cheminée et la lui montra, espérant de tout son fort que le sort marchait. Il appuya le tout en ajoutant.

-Et bien il était posé sur la cheminée. Vous voyez. Et qu'est ce que c'est que ces questions ridicules ?

Elle ne disait rien et continuait de le fixer. Elle finit par partir à la cuisine en lui bougonnant qu'il se comportait parfois bizarrement. Lorsqu'elle se fut de nouveau enfermé dans la cuisine, il coinça la porte d'un sort et se précipita vers la cheminée, il y enfouit sa tête et jeta la poudre de cheminette dedans en murmurant une adresse incompréhensible. Tout comme quelque temps auparavant, lors de sa visite au chaudron baveur, il attendit que tout se stabilise et ouvrît les yeux. Il se trouvait dans une cuisine et en face de lui Sirius attendait sur une chaise.

-Ah te voilà. Qui c'est celle-là ?

-Une moldue mais je te raconterai ça plus tard, qu'est ce que tu voulais me dire.

-Ben, je devais passer dans l'après-midi chez toi, c'était pour savoir si c'était toujours d'ac. Di donc je savais que tu cherchais des femmes mûres mais celle-là … Tes goûts laisse à désirer ou c'est tout ce que tu as réussi à te trouver ? se moqua le jeune brun

-J'avais complètement zappé. Écoute Sirius avec cette folle, qui n'est pas vraiment ma compagne, pauvre abruti, vaut mieux pas …

-T'en fais pas de toute manière, je viens avec deux amies moldues, il n'y aura pas de gaffe. D'ailleurs il y en a une qu'il faut que je te présente, tu vas beaucoup l'aimé à mon avis, à moins que tu préfères ta vieille.

-Bon Ok, passe, se résigna-t-il, mais tes filles ont intérêt à pas être soulantes, j'ai ma dose là.

-Mais …

-Faut que je te laisse ; il y a l'autre qui est enfermé dans la cuisine et qui commence à s'impatienter, à tout à l'heure.

James n'entendit pas l'interprétation de Sirius sur le mot impatienter, et ce n'était pas plus mal étant donné les idées bizarres de ce dernier. Il courut à la cuisine, déverrouilla la porte et l'ouvrit.

-Bah alors ma bonne-dame ? On ne sait plus ouvrir une porte ? se moqua-t-il.

-Vous m'aviez enfermé.

-Je n'aurai pas osé ! rétorqua-t-il en retenant un fou rire.

Elle lui jeta un regard noir et déclara qu'elle désirait continuer de cuisiner en paix. Il ne se le fit pas dire deux fois et prit congé d'elle.

Il avait eu de la chance tout à l'heure que son sort d'illusion est correctement fonctionné. Sans ça elle n'aurait vu qu'une vulgaire boîte dans les mains du jeune homme et non un magnétophone. De toute évidence avec la vue qu'elle devait avoir, il se surpris à penser qu'il aurait pu lui présenter un rouleau de papier toilette qu'elle n'aurait rien vu. Mais rien n'était sûr et mieux valait jouer la carte de la prudence. Il se promit de l'interroger sur son âge et entreprit de remettre un peu d'ordre dans le salon puisqu'il l'en tenait la plus éloignée possible.

Une petite demi-heure plus tard on frappa à la porte et ce fut Arlette qui le devança pour aller ouvrir, à la grande surprise du visiteur, et des visiteuses qui, elles s'attendaient à voir un beau jeune homme brun et fort. Bref chacun se montra sceptique à la vue de cette vieille femme qui se montra d'ailleurs peu cordiale :

-Vous êtes qui vous ? grogna t-elle en reluquant froidement les deux jeunes femmes. Et en jetant un bref regard au jeune homme qui en tenait une par la taille.

James arriva quelques instants plus tard et ouvrit grand la porte que la vieille inhospitalière n'avait qu'entrouvert, laissant dépassé son long nez.

-Sirius ! Comment vas-tu mon vieux ? Bonjour mesdemoiselles, fit-il plus charmeur, Sirius tu me présentes …

-Julie, ma petite amie, il avait prononcé ces derniers mots comme un avertissement à l'égard de son ami, du style, « c'est la mienne », et voici sa meilleure amie Ange. Les filles, continua-t-il en se tournant vers elles, je vous présente mon meilleur ami James Potter. Tu comptes nous laisser à la porte Jamesie.

-Bien sûr que non, excuse-moi, entrez, ne vous gênez pas, fit-il tandis qu'Arlette bougonnait un « ils sont très bien où ils sont ».

Le jeune homme lui lança un regard surpris et la mis au défi de refaire une telle remarque. Elle se dirigea vers la cuisine tandis que les autres allaient vers le salon.

Non mais c'était qui ces deux pimbêches que James faisait entrer chez lui. Des filles fausses, superficielles, stupides et sûrement pas très innocentes. D'un regard, elle les avait identifiés et elle ne les aimait pas du tout. Elle n'aimait pas les yeux que cette soit disant « Ange » avait fait à James. Non mais pour qui se prenait-elle celle-là ?

Elle prépara du thé et en versa dans trois tasses. Elle remit la casserole sur le feu et attendit que le thé bout pour le verser dans la dernière tasse. Aucune fille de ce genre n'était la bienvenue ici. Et quitte à risquer la colère du jeune homme, elle ne laisserait pas cette pimbêche s'en tirer à si bon compte, et surtout pas avec James. Non mais.

Elle sortit de la cuisine avec son plateau, et pénétra dans la pièce. Elle constata que la petite garce n'avait pas perdu de temps car elle était e ce moment même installée contre James. Elle garda néanmoins toute sa dignité et s'approcha de la table. Sirius lui dit.

-Alors ma p'tite dame, comme ça vous êtes la femme de ménage de James. J'avoue que je trouve ça plutôt comique. Et vous vous êtes imposé en plus nous a raconté James. Vous ne deviez pas savoir à qui vous aviez à faire ma pauvre.

La pimbêche gloussa, et James se rapprocha d'elle en lui mettant un bras autour des épaules. Arlette ne perdit pas de temps et distribua ses tasses de thé. Elle renversa volontairement sa dernière tasse sur la jeune femme à côté de James. Celle-ci hurla de douleur.

-Oh je suis désolé madame, que je suis maladroite. Allez vous nettoyer à la salle de bain, j'arrive, j'ai un produit détachant formidable, fit elle faussement désolée et perturbée par une telle faute.

Elle ignora le regard soupçonneux que James lui lançait et retint un grand sourire en voyant la jeune femme s'éloigner du salon en gémissant de douleur et de tristesse pour son chemisier tout neuf.

Sirius but une gorgée de son thé et déclara :

-Il n'est pas spécialement chaud ce thé …

-C'est bien ce qui me semblait, fit Arlette d'une voix innocente en sautant sur l'occasion, si je puis me permettre cette jeune femme fait du cinéma ou alors elle fait tout ce cirque pour son pauvre chemisier.

-Vous vous permettez un peu trop de choses Arlette, je trouve, rétorqua James.

-Laisse, elle a raison … Julie tu devrais aller voir comment elle va d'ailleurs.

La jeune femme partit et Sirius continua.

-Mais elle est mignonne, tu ne trouves pas.

James faillit répondre que ce n'était pas son genre mais capta un instant le regard noir que sa vieille pie lançait à son ami. Il en déduisit donc qu'elle ne supportait pas cette fille et se fit un plaisir de répondre :

-Tu as raison Sirius, elle semble plutôt stupide, mais je la soupçonne d'avoir des talents cachés, si tu vois ce que je veux dire…

-Décidément nous n'avons plus grand chose à attendre de la jeunesse, s'enquit aussitôt Arlette, vous ne voyez que par les choses superficielles. Pauvres garçons, j'aimerais que vous rencontriez l'amour une fois dans votre vie pour apprendre un peu à voir d'autres choses que vos centres d'intérêt actuels.

-Et qu'est ce qui vous dit que nous n'avons pas connu l'amour ? Madame-je-me-mèle-de-ce-qui-ne-me-regarde-pas.

-Oui, notre cher James ici présent a autrefois été un grand coureur mais c'est en fait un gros romantique qui n'a pas oublié son premier amour, ajouta Sirius, c'est d'ailleurs pour cela que je me mêle un peu de ses relations. Histoire qui ne continue pas de moisir tout seul ici, jusque là j'ai foiré en beauté, il rejete tout ce qi ressemble de prés ou de loin à une fille, s'en est découraeant.

-Je t'en prie Patmol, fit James énervé, racontes lui tout, vas y ne te gêne pas.

-Ne te fâche pas vieux, j'essaye de t'ouvrir les yeux c'est tout, mais à chaque fois tu le prends mal.

-Vous avez donc connu l'amour ? Et qui était cette jeune femme ? Si je puis me permettre ?

-C'était …

-Non vous ne pouvez pas, l'interrompit James en lui jetant un regard noir.

-Très bien Cornedrue, je me tais, mais que veux-tu que cette vieille femme fasse de ces informations de toutes manières ?

-Sirius, mOsieur le coureur de jupon ambulant, tu veux que je lui raconte tes petites aventures.

-C'est bon… Dites donc madame, ne devriez vous pas être en train vous occuper d'Ange ?

-Je ne sais pas s'il ne vaut mieux pas qu'elle retourne à sa cuisine, marmonna James en lui jetant un regard lourd de sens.

-Je vais m'occuper d'elle, je reviens, déclara t-elle la plus détachée possible en faisant mine de ne pas l'avoir entendu et en tentant de ne pas trop réfléchir à tout ce qu'elle venait d'entendre. De toute manière elle ne savait comment l'interpréter. Elle chassa tout cela de son esprit et alla rejoindre les deux greluches dans la salle de bain. Elle entendit un morceau de conversation au moment où elle allait ouvrir la porte :

-Tu as raison Julie, il est super mignon, mais dis donc faut que je le décoince un peu, qu'est ce qu'il est froid.

-Sirius m'as prévenu qu'il était très réticent au début, mais que par la suite c'était un amour, sois patiente ma puce, tu l'auras.

Sous le coup de la colère, elle ouvrit la porte violement, et à sa grande joie, elle percuta ce qui devait être une tête car elle entendit une plainte assez significative et aurait juré entendre quelque chose sonné creux. Elle entra néanmoins avec une mine confuse.

-Je suis vraiment désolé miss, mon vieil âge me fait faire des bêtises, je ne vous ai pas trop fait mal j'espère, elle regardait la jeune femme d'une mine la plus désolée qu'elle pouvait arborer en cet instant où elle se retenait d'éclater de rire.

-C'est pas grave, c'est pas grave, répondit celle-ci sur un ton pressant, en regardant avec horreur la bosse qui s'établissait sur son front et la tâche brunâtre sur son chemisier.

-Ne vous en faites pas, je vais maquiller votre bosse et nettoyer cette fameuse tâche. Donnez-moi cela.

La jeune femme s'exécuta.

-Julie, ne vous en faites pas, je m'occupe d'elle vous pouvez rejoindre vos amis.

Celle-ci ne se le fit pas dire deux fois et laissa, selon elle, sa meilleure amie en de bonnes mains. Ange retira son chemisier et le tendit à Arlette qui le mit dans une bassine et y versa de l'eau chaude, et divers soi-disant détachants. Elle vérifia qu'Ange ne la regardait pas pour ajouter sa petite touche personnelle qu'elle sortit de dessous sa robe. Elle se plaça ensuite en face de la jeune femme et commença à prendre en main son visage. Elle barbouilla quelques colorants magiques puissants en lui prétendant que c'était des fonds de teint et prit soin de bien grossir la tache sur le visage de la jeune femme. Elle poussa tout à coups un petit cri surpris et désolé.

-Je vous prie de m'excuser, mais je n'arrive pas à enlever cette petite tache que vous avez sur le front, mais ne vous en fait pas on ne voit plus le bleu et la bosse.

La jeune femme hurla quand elle vit sa tête dans la glace. Des couleurs allant du vert au noir en passant par diverses autres teintes coloraient tout son front.

-Qu'est ce que vous m'avez fait espèce de folle ! tempêta elle en se frottant le visage comme une hystérique, qu'est ce que vous m'avez fait !

-Voyons ne vous mettez pas dans un état pareil, on ne voit plus la bosse, c'est l'essentiel, fit-elle d'une voix sadiquement calme et innocente.

-Mon haut ! Rendez-moi mon chemisier ! Vite ! hurla presque Ange au bord de la crise d'hystérie.

Arlette se tourna vers la douche où elle avait déposé la bassine et se retourna quelques instants plus tard avec une mine soucieuse en tenant une espèce de guenille déchirée dans les mains.

-Je ne comprends pas, fit elle le plus innocemment possible, je croyais pourtant que ça marcherait. Tenez, mais je crois que vous ne pourrez plus le porter, mais ne vous en faites pas je peux vous prêter un de mes vêtements.

La jeune femme regardait son chemisier, ou du moins ce qu'il en restait, sans pouvoir articuler un mot. Mais lorsqu'elle reprit la parole Arlette regretta de ne pas être sourde, bien que la colère de cette greluche était plus que jouissive.

-Mais vous êtes véritablement atteinte, pauvre vieille sénile, quand on perd ses bas comme vous, on ne touche à rien ! Vous venez de ruiner mon apparence, j'espère que vous avez de quoi y remédier !

-Oui oui, attendez là, je reviens, répondit elle calmement en sortant de la pièce.

Elle alla chercher un long pull-over large, d'une laine piquante et de couleur verdâtre. Sans oublier quelques petits trous par-ci par-là. Elle ramena son trophée à la jeune femme et crut qu'elle allait s'évanouir.

-Enfilez ça ma petite, c'est le seul vêtement que j'ai trouvé de présentable, il vous ira comme un gant.

-Il est hors de question que j'enfile ce truc.

-Vous préférez rester ici ? fit elle agacée.

-… Donnez-moi ça, rétorqua t-elle en lui arrachant des mains.

Elle l'enfila et après que Arlette lui est donné quantité d'arguments, elle se décida enfin à sortir sous son état lamentable. Elle débarqua ainsi dans le salon. Sirius se frottait les lèvres d'une mine pensive pour cacher son sourire qui pouvait rapidement se transformer en fou rire. Julie retint de ses mains un cri de stupeur et se précipita dans les bras de son amie pour la réconforter. Elle lâcha :

-Qu'est ce que vous lui avez fait vieille folle ?

-Rien, oh excusez-moi je n'avais pas vu les boutons, désolé ma petite, vous devez faire une allergie aux produits que je vous ai mis, répondit elle tandis que « Ange » s'effondrait en pleurs dans les bras de son amie.

-Je vois ce que tu voulais dire par catastrophe naturelle, rit Sirius.

James, quant à lui, scrutait plus suspicieusement que jamais sa femme de ménage. Elle l'avait fait exprès, il en était sûr, apparemment elle avait les mêmes goûts que lui en matière de filles. Il ne voulait pas s'avouer que par ses simples actes il la trouvait tout à coup merveilleuse et ne pu s'empêcher de penser à la dernière fois qu'il avait rencontrer une personne aussi maligne et obstinée… et d'aussi mauvais caractère. Sa réflexion fut néanmoins interrompue car, à cet instant, il rencontra les yeux de la vieille femme et en resta bouche bée. Ses yeux avaient changé. Ces yeux … Ces grands yeux vert émeraude pétillant de malice. Il secoua la tête pour tenter de se remettre les idées en place, mais quand il reposa son regard à l'endroit où Arlette se tenait quelques instants plus tôt, elle s'était retirée précipitamment à l'étage.

TAAAAAAAAAADAAAAAAAM ! Là chui sur ya personne qui c, ki é Arlette, lol, tro dur. Bon en espérant que ça vous ai plu mm si James ne souffre pas le martyre dans ce chapitre … dsl petit(e)s sadiques, je m'en sui pris a ce qui tournait autour. Bon bah vous savez ce que vous pouvez faire pour me donner votre avis, lol, non, non, je n'insinue rien du tt, je ne forcerai jamais mes lecteurs à … g rien di. Le dernier chapitre sera posté dans quelque jours (kan mn père me laissera acceder à internet en gro, pak g mn ordi mai c le sien qui est tjr branché à internet, 24/24h, lol, mai bentot wifi, hihi).

Voili voilou … Bon là je crois que je vais vous laissé tranquil, hein ?

Zibouxxxxxx

La déjantée et fière de l'être Lilynatou, héhéhéhé gniar gniark.