Kikouuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuu !

Réponse aux reviews du chap 2 :

MEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEERCIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIII !

Vous êtes carrément trop gentil, j'vous adore, hihi, troooooooooooop contente !

Caroline : toi je crois que je t'ai loupé et ke t'avais reviewer pour le premier chapitre nn ? oups dsl. En tout cas je suis contentee ke ça te plaise et voilà la suite attendue, merci !

Perruche Cevenole : mdr, Severus en ptite vieille, beurk, lol. Voici le dernier chapitre tu vas enfin voir la détransformation. Attention non fleurs bleus s'abstenir, lol. J'espère que ça va te plaire. Merci d'avoir reviewer et continues à faire des rimes, lol.

ze1telotte : mdr, par terre à rire comme une tordue, lol, elle fait cette effet là ma fic, tant mieux chui contente qu'elle fasse rire, lol. La vieille dame ? Voyons … Qui c'est celle là déjà ? Mici bokou ça motive des lecteurs pareil, lol. :p. Attends jviens de réaliser que tu m'avais laisser deux reviews, lol, incroyable. Hihihihi, trop contente. Moi sadique ? Nn pas du tt, jms, mdr. Bah … remerci, lol, dsl de pas avoir répondu pour celle du premier chapitre, j'ai du envoyé le deuxième presqu'en même temps, mais l'erreur est rattrapée, lol ☺

athalie : Chui d'ac, a bas les pimbèches, les greluches et tt ce qui y ressemble, hihi, et vive arlette, ma tortionnaire en chef ! Chui vraiment contente que ça te plaise et j'espère que la fin ne va pas te décevoir. Mici

Emmaliana : T'aurais pas changé de pseudo ? Moa déjantée ? Tiens g dja entendu ça quelque part, lol. Pov Jamesie ? Nn pas du tt, lol. T'avoueras que je me déchaîne moins sur lui. Jte laisse lire la suite en esperant sincerement qu'elle te décoive pas. Mici mici.

aminteitha : une autre fan de ma ptite vieille, lol. Vive Arlette ! Ravie que ça te plaise. Mici bokou ça fait trop plaisir.

SusyBones : 2 reviewssssss ! mais chui en pleine halu', hihihi trop contente. Pr toute tes questions g une réponse ds ce chapitre, tu vas pouvoir assouvir ta curiosité. Polynectar … hmm, pk pas … quand à la tut c'était jouissif comme moment à écrire, héhéhé, g trop adoré , lol. Et puis d'abord c vrai, james il est a lily, non mais ! Et puis quoi elle est grave sexy ma grand-mère, mdr ! En tt k, mici, mici, mici, mici, mici ;p, chui touché à la ptite larme, lol, naporteuh koi ! PS : j'ai lu ta fic les présages sont ils toujours vrais et j'adore, d'ailleurs faut que je te laisse une review parce que je l'ai pas lu directement sur internet dc bon, à kan la suite ? hihi

joomy : mimi ? oh chui contente, mici bokou et voila la fin. J'espere vraiment qu'elle va te plaire autant que les autres chapitres.

Arie-Evans : Bijour, bah oui moi trankil, comment ca pourrait pas aller avec autant de reviews ? lol. Te mélangé ? hmmmmm, c une bonne chose à prés tt, hihi. Enfin tt s'éclaircit pour notre petite vieille ici. Et je remet une dernière fois ce « beau monde » en scène pour vous conclure cette histoire. Mici bokou d'avoir reviewer.

EMI : troooooop et inlassablement ravie que ma fic plaise, hihi, t'adore arlette, hihi, moa osi, c vrai que ça change des fics habituelles, (la fille ki se prend pas pr de la merde, lol) g trop aimé l'écrire alrs trop contente kl te plaise. Mici pour tes encouragements.

ladydianaaa : kikou, bah oui moi tt va bien. de rien pr la réponse à ta review, jtrouve ke c normal après tt vous prenez le temps de m'écrire alors je fais pareil pour vous remercier chacun. Par contre g pas capté pk tu me parlais de traduction (ca doit kil est tard est ke g du mal à réfléchir, lol), pak cette fic n'est pa une traduction, enfin … Merci bokou pr t encouragements, j'apprécie vraiment.

La folleuh : bien sur si je te dis ke j'aime ton pseudo c ke c vrai, lol. Pr le tact j'avoue t pas fortiche mais je fais pas mieux, tu verras par toi-même à la fin de ce chapitre, hihi. Sinn j'ai été lire deux fics à toi, d'ailleurs j'ai reviewer, hihi. En tt cas merci chère folleuh, lol. Bisous.

Auteur : lilynatou (gniarf gniarf, de retour)

Disclaimer : Bah, comme dab, ça veut dire presque l'integralité à notre chère assassine professionnelle, j'entend par là JKR (ss dec') et le reste a Diana W.J. Et si il en reste encore un peu c'est à moi,mdr.

Note de mi : Vous croyiez vraiment que j'allais vous laisser commencer le chapitre sans vous raconter ma vie ? lol. Alors … heu … bah g rien à vous dire en fait. Ah si ! Je voudrais rappeler que cette fic est classé humour romance. Et pour l'instant je vous ai montré que de l'humour dc … Attention non fleur bleu s'abstenir, lol. J'espère que cette fin ne décevra personne. Encore merci pour vos reviews qui m'ont fait trop plaisir. Bisouxxxxxxxx tt le monde et bonne lecture.

Chapitre 3 : Tes yeux …

Jeudi :

Enfin. Elle l'avait trouvé. Depuis le temps qu'elle le cherchait. Il était rangé dans un beau coffre d'ébène, de la chambre du jeune homme. Elle ouvrit délicatement le coffre et saisit son contenu, fière d'elle. Elle referma le coffre sans le moindre bruit et ressortit de la pièce aussi discrètement qu'elle était entrée. Elle redescendit au salon et commença à balayer, innocemment, attendant la réaction du jeune homme. Qu'est ce qui pouvait être pire pour James que cela ?

…….

James, comme à son habitude, lisait dans son fauteuil. Il ne broncha pas quand Arlette pénétra dans le salon pour balayer. Si ça pouvait lui faire plaisir après tout. Il continua donc sa lecture tranquillement. Au bout d'un petit moment, il eut clairement l'impression que la vieille femme faisait tout pour le déranger. Elle passait et repassait sous ses jambes, lui demandant de les lever, elle tournait ostensiblement autour du fauteuil. Il finit par relever la tête de son livre :

-Ça vous dérangerez de faire un peu moins de bruit et de calmer un peu vos nerfs !

-Ça fait rien et ça se permet de râler, grogna la vieille en guise de réponse.

Le jeune homme secoua la tête avec exaspération, en levant les yeux au ciel. Il se replongea dans son livre. Il releva soudainement la tête quelques instants après. Il avait cru voir …

-Mais ça ne va pas non vous !

-Quoi ! fit-elle exaspérée en s'arrêtant de balayer et en se plantant devant le jeune homme.

-Qu'est ce que vous faites avec ça ! cria-t-il en désignant le balai.

-À ce que je vois, vous devez balayer très souvent étant donné que vous reconnaissez un balai ! ironisa-t-elle, en se remettant à balayer en grognant.

-Donnez- moi ça ! ordonna-t-il en lui arrachant le balai des mains.

-Et pourquoi ?

-Je vous interdis de balayer avec ce balai !

-Pourquoi vous faites la collection ? Ou alors c'est cette inscription « tornade 01 » qui rend ce balai si précieux, mon pauvre garçon vous êtes vraiment pas équilibré.

-Vous êtes entrée dans ma chambre ! Vous avez désobéi !

-Je faisais le ménage et j'ai trouvé cet outil de très bonne qualité.

-Je vous prierai de sortir de chez moi ! C'en est trop, vous vous foutez de moi !

-Vous ne pouvez pas, crâcha-t-elle.

-C'est ce qu'on va voir !

Il monta à l'étage et en redescendit quelques minutes plus tard avec un coffre, un parapluie, et une grosse valise ; ses affaires. AÏE, elle n'avait pas prévu cela, c'était juste pour l'énerver un peu. James mit ses affaires sur le seuil, et lui ouvrit la porte.

-J'en ai plus qu'assez de vous et de tout votre remue-ménage. Je n'ai pas passé une demi-heure tranquille depuis que vous êtes là et je suis en vacances. Sortez !

La vieille femme sortit de la maison, tête haute. James referma la porte derrière elle. Il alla se chercher à manger à la cuisine. Il revint à la fenêtre, près de la porte pour s'assurer qu'il s'était débarrassé d'Arlette. Qu'elle ne fut pas sa surprise lorsqu'il vit la vieille femme assise sur le paillasson. Il respira profondément quelques fois, réfléchissant le plus calmement possible. Mais quelle obstinée, elle ne se démontait jamais cette grand mère pensa-t-il. Tant pis pour elle. Elle finirait par bouger ses fesses de toute manière.

Il monta à sa chambre pour entreprendre de refaire cette potion qu'elle avait détruite. Il y travailla trois heure avant de redescendre. Il était deux heures de l'après-midi. En se rendant à la cuisine, il ne put s'empêcher de jeter un regard à la porte. Il hésita un instant et se rendit près de la fenêtre. Il était de toute évidence impossible qu'elle soit toujours là. Il jeta un regard par la fenêtre, et ne put qu'ouvrir grand ses yeux. Elle était là, dans la même position ; assise droite, sur le paillasson, ses bagages à ses côtés. Mais qu'avait il fait pour mériter cela ? Il ne lui ouvrirait pas. Il ne devait pas se laisser attendrir. Surtout pas.

Il décida donc de retourner à l'étage, histoire de s'occuper et de penser à autre chose. Il ne put néanmoins s'empêcher de redescendre une demi-heure plus tard. Il regarda de nouveau par la fenêtre et constata qu'elle était toujours là, elle n'avait pas bougé. Il ne se laisserait pas attendrir.

Il prit un livre de l'académie des aurors et alla s'entraîner à divers sort dans le salon. Mais le cœur n'y était pas, il n'était pas concentré. Il persista un peu, se forçant à penser à autre chose qu'à cette vieille entêtée mais il n'y parvint pas. Il revint donc à la fenêtre et s'installa devant afin de guetter le moindre mouvement d'impatience encourageant. Mais il n'y avait rien à faire, elle restait imperturbablement immobile, comme une statue. James mit sa tête dans ses mains, elle allait finir par partir de toute manière, la faim, la résignation, la soif, l'impatience, le froid, le sommeil … Quelque chose allait finir par la faire décamper à la fin. Personne ne pouvait être aussi obstinément obstinée. Qu'espérait elle ? Qu'il allait finir par lui rouvrir sa porte ? Elle rêvait : il ne cèderait pas. C'était mal le connaître. Enfin … C'est ce dont il essayait de se convaincre. Les heures passaient et la nuit commençait à tomber, contrairement à la détermination apparente de la vieille femme. James se surprit à la plaindre ; elle devait avoir faim, et sa frêle anatomie ne devait pas vraiment la protéger du froid. Et alors, elle ne pouvait s'en prendre qu'à elle-même.

Ce n'est que deux heure plus tard, que prit d'une soudaine impulsion, James se leva rageusement, maudissant déjà ce qu'il allait faire, et ouvrit la porte à la volée.

-Que faite vous encore ici ?

Elle ne répondit pas.

-J'ai dit, que faites-vous encore ici ?

Elle ne bougea pas, mais répondit :

-Je réfléchis, et j'attends.

-Vous réfléchissez à quoi ?

-À moi.

-Très bonne initiative, ça va vous faire du bien.

Nouveau silence.

-Aller rentrez, vous êtes parti pour dormir sur le paillasson, entêtée comme vous êtes, si je vous laisse là.

Elle se releva d'un coup, un large sourire sur les lèvres. Elle saisit ses affaires avec énergie et entra dans le salon, toute fière d'elle, tandis que James regrettait déjà ses paroles et commençait à croire qu'il s'était fait avoir. Arlette monta ses affaires à l'étage et ne redescendit que pour lui préparer un petit plat, qu'il apprécia d'ailleurs beaucoup, pour une fois. Elle s'était peut-être remis en question. Il ne la vit donc pas de la soirée, après le repas et ne s'en porta pas plus mal.

Vendredi :

Le lendemain matin, James se réveilla tranquillement après une bonne grasse matinée. Il était midi passé. Il se retourna plusieurs fois dans son lit avec la ferme intention de ne pas en bouger de la journée. Non mais. Il se lova contre son oreiller et referma les yeux (en fait ça c'est un peu moi le samedi matin, lol, et ptete mm le dimanche), quand il entendit un cri en bas. Qu'avait elle encore fait celle-la ? Il attrapa son oreiller plus fermement, clairement décidé à ne pas bouger de son lit même si cette vieille folle mettait le feu à la maison avec une casserole. Des pleurs s'élevèrent cette fois de la cuisine, mais qu'avait elle encore ? Il se rendit compte tout à coup avec horreur que ces cris n'étaient nullement ceux de la vieille, il ressemblait à un cri de bébé. Un cri de bébé ! Il se redressa soudainement sur son lit pour tendre l'oreille, il eut bientôt la confirmation que ce n'était pas une hallucination et descendit les escaliers quatre à quatre en caleçon. Il surgit dans la cuisine, et manqua la crise cardiaque de peu. Arlette était de dos et semblait bercée quelque chose. Il pensait quelque chose pour ne pas penser bébé. C'était impossible. Elle se retourna vers lui, un BÉBÉ dans les bras.

-Bonjour jeune homme, très joli pyjama, au rythme où vont les choses, vous viendrez bientôt déjeuner tout nu…

-C'est quoi ça ?

-Mon arrière petit-neveu, sa mère est parti en vacances quelques jours et elle m'a demandé de la garder, j'ai été le chercher ce matin.

-Ne vous emm … Embêter pas, amenez tous vos petits-enfants chez moi, je ne vous dirai rien.

-Vous êtes gentil, mais il n'y aura que lui, répondit elle en faisant mine de ne pas saisir l'ironie de la réplique.

-Ce que je voulais dire c'est que vous auriez pu me demander. Je n'aurais pas été forcement d'accord.

Elle s'avança vers lui et lui mit le nourrisson dans les bras.

-Eh bien allez-y, mettez le sur le paillasson.

James en resta coi. Le petit bébé le regardait avec de grands yeux verts attendrissants. Il adorait les gamins, mais celui-là était plus qu'adorable. Quelque chose d'intense s'établit entre eux au moment même où leurs regards se croisèrent. Il le garda dans les bras un long moment et ne se rendit même pas compte des larmes que la vieille femme dissimulait habilement.

-Bon puisque vous aller l'air de bien vous entendre je vous le laisse, j'ai à faire.

James lui répondit un vague « oui », complètement dans les vapes. Quelque chose le frappa de plein fouet. Il se précipita sur Arlette.

-Mais, il a quel âge ce nourrisson ?

-Six jours, répondit-elle vaguement.

-Six jours, mais qu'est ce qu'il fait loin des bras de sa mère ce pauvre gosse, quel parent peut se séparer de d'un gamin de six jours ?

-Elle avait quelque chose d'important à faire.

-Mais …

-Je suis tout à fait d'accord avec vous si ça peut vous rassurer, mais que voulez-vous ?

James remarqua que depuis la veille elle avait perdu son antipathie, il la trouvait à présent bougonne, triste, rêveuse et parfois heureuse. À ne rien y comprendre. Ou peut-être était-ce depuis que le bébé était là. Il avait toujours le petit dans les bras et remarqua que celui-ci s'était rendormi. Il le contempla un instant et déclara qu'il allait se coucher.

-Et le petit ? Rétorqua Arlette.

-Il va dormir avec moi.

La vieille femme retrouva sa bonne humeur et lui fit un grand sourire, attendrie et ravie.

-Dormez bien tous les deux alors.

Elle s'avança pour laisser un petit baiser sur la joue du bébé. Et dans un geste plus qu'inattendue du jeune homme, elle lui déposa à son tour un bisou sur la joue. Il la regarda, surpris.

-Vous devriez adopter un gamin, leur compagnie vous rend d'une amabilité surprenante, se moqua-t-il gentiment en gagnant les escaliers.

Il ne du qu'au bébé endormie dans ses bras de ne pas se recevoir un balai dans le dos. Et sous les calamités que lui lançait la vieille femme, sans les penser, il monta se coucher avec un grand sourire. Il se coucha dans son lit et garda le petit contre lui, sur l'oreiller. Ils s'endormirent ainsi tous les deux, lovés l'un contre l'autre.

Il se réveilla une heure plus tard. Lorsqu'il ouvrit les yeux, il tomba sur un regard pénétrant et rêveur. Vert. Il sourit au bébé qui se trouvait toujours dans ses bras et qui le regardait intensément. Il le trouvait un peu avancé pour son âge. À six jours, les autres bébés gardaient les yeux constamment fermés. Lui dévorait tout ce qu'il voyait des yeux. Il adorait ce gamin. Il s'assit en tailleur sur le lit, le nourrisson calé entre ses jambes. Il vérifia que la porte était bien fermée et fit apparaître deux trois peluches parlantes. Il commença à jouer avec le bébé, totalement attendri et passionné. Le petit était lui aussi aux anges. Une peluche tomba du lit. Le nourrisson fit une vilaine grimace de mécontentement. James retint un cri lorsqu'il vit la peluche volée au-dessus de la pièce. Il regardait successivement la peluche et le garçon qui fixait son jouet. Alors que James n'avait pas encore réalisé ce qui se passait, la peluche retomba sur le lit, et le petit retrouva son sourire innocent. James le prit à bout de bras en le fixant.

-T'es qui toi ?

L'enfant ne lui répondit bien évidemment pas. Il se contenta de continuer de fixer le jeune homme intensément.

-T'es un sorcier ?

C'était plus une révélation qu'une question.

-T'es un …

À ce moment-là, la porte s'ouvrit délicatement. James ne fit même pas attention au fait qu'il avait verrouillé la porte trois minutes plus tôt.

-Vous êtes réveillés tous les deux, tant mieux, il faut que je nourrisse le petit.

-Vous …

-Oui …

-Non rien, j'arrive, vous n'avez qu'à l'emmener à la cuisine.

-Non il va manger dans ma chambre, je préfère.

-Vous pouvez aller dans la cuisine, il n'y a aucun problème, vous savez.

-Non c'est bon.

-Comme vous voudrez. Au fait, il s'appelle comment ?

Elle réfléchit un instant et finit par dire.

-Le nom que sa mère lui a donné est moche et imprononçable, appelez le comme vous voulez.

James fut interloqué par cette réponse, mais finit par déclarer :

-Harry, je l'appellerais Harry.

Arlette le fixa intensément, mais James n'entendit pas lorsqu'elle lui répondit que ce prénom lui plaisait beaucoup. Il venait de nouveau de tomber sur ses yeux. Ils avaient de nouveau changées, émeraudes … Des yeux pétillant d'émotions en cet instant… De grands yeux merveilleux, les mêmes que le bambin qu'elle tenait tout prés d'elle. Mais lorsqu'elle perçut son regard insistant, elle partit précipitamment, tout comme la première fois.

James ne réagit pas. Il était sous le choc. Il resta un instant dans son lit, sans bouger les yeux dans le vague. Il pensait bien à quelque chose, mais c'était impossible à croire, cela ne se pouvait, et pourtant, cela faisait neuf mois, et ce caractère … Ces yeux … Il se projeta de son lit, et se précipita sur la porte de la chambre de sa femme de ménage, il sortit sa baguette pour la déverrouillé, l'ouvrit à la volée et déboula dans la pièce comme un fou. Il frôla réellement la crise cardiaque lorsqu'il vit le tableau qui s'offrait à lui. Une jolie jeune femme rousse aux yeux verts allaitait un admirable nourrisson au sein. La jeune femme avait voulu se cacher, changer d'apparence, mais elle n'avait pas eut le temps. De toute manière il était tant …

-Tu …

Elle ne répondit pas, elle était figée, craignant la réaction du jeune homme.

-C'était toi ?

Elle acquiesça du regard.

-C'était toi, répéta-t-il en état de choc.

-Je ….

-Tout ce temps, c'était toi.

Elle acquiesça de nouveau, sa détermination et son caractère s'étaient quelque peu envolés, elle était découverte, que lui dire ? La vérité. Mais comment ?

-Pourquoi ? fit James

-Pour toi, répondit elle simplement.

-Mais pourquoi, son cœur battait furieusement.

Elle se contenta de regarder le nourrisson, coupable.

-Pourquoi ? Cria-t-il presque.

-J'ai eu peur …

-Tu m'as quitté y a neuf mois après le moment de rêve qu'on avait passé parce que tu avais peur ! Mais, peur de quoi ? Parle bon sang !

-James, s'il te plait, ne t'énerve pas, ne m'en veux pas, je t'en prie. J'ai pris conscience que je ne m'étais pas protégée, j'ai eu peur, j'ai été faire les tests chez un médicomage, il m'a confirmé à la fois mon bonheur et mes craintes. J'avais peur que …

-Que quoi ? continua-t-il énervé.

-James ne m 'en veux pas, je ne m'y attendais pas, je n'étais pas prête, j'ai eu peur de … J'ai eu peur de ta réaction.

James resta indécis.

-Tu n'as donc jamais compris comment je t'aimais.

-Oh James, ne dis pas ça. J'ai été paniqué sur le moment, je me suis imaginé tout genre de réaction que je ne voulais pas entendre, je regrette tellement, mais j'ai tellement été pris de cours, j'ai eu tellement peur James, que j'ai réagi stupidement, comme je regrette, ne m'en veux pas, je t'en prie.

-Ne te fous pas de moi, ce n'est pas la vrai raison ! NE TE FOUS PAS DE MOI !

-Si James…

-LILY ! DIS MOI LA VERITE ! Tu savais que cela m'aurait empli de bonheur, alors je t'en prie dis moi la vérité !

-Siam …

-Que vient faire ma mère la dedans Lily, s'énerva-t-il de nouveau bien qu'il fut légèrement ébranlé d'entendre le nom de sa mère dans la conversation.

-Je suis allée la voir pour lui confier mes doutes quand je l'ai appris. Je ne savais pas comment te l'annoncer, car je voulais à la base te le dire, et comme nous avons toujours été proche ta mère et moi …

-Et alors ? Pourquoi tu as changés d'avis ?

-Promet moi de ne pas en vouloir à ta mère James, elle a fait ça en pensant à notre bonheur …

-Lily, qu'a fait ma mère !

-Elle … Elle m'as dit que … Elle m'a expliqué que nous prenions tout deux des carrières dangereuses où les sentiments ne pouvaient apporté que des malheurs, elle m'a dit qu'il serait dangereux pour nous deux d'engager cette carrière en pensant prioritairement à sauver l'autre ou le bébé. Elle m'a dit qu'il serait dangereux pour toi, car tu laisserai ta vie pour la sienne comme pour la mienne. Et elle a conclut en me disant que si je t'aimais vraiment je ne devais pas te laisser risquer ta vie pour nous, et que tu ne devais donc pas connaître l'existence du bébé. Que je devais te fuir et t'oublier afin que tu fasses pareil, pour notre bien à tous les trois.

-… Dis moi que ce n'est pas vrai, elle n'a pas pu …

-Elle a fait ça pour nous James, et elle avait raison dans un sens, je lui ai obéit en pleurant toutes les larmes de mon corps pendant des jours, mais au fond de moi je pensais ainsi te sauver, et elle aussi, ne lui en veut pas James, elle croyait nous aider, ta mère a toujours été quelqu'un de génial et elle t'a toujours beaucoup protégé …

- …

James ne réussit pas à articuler un seul mot. Sa tête était … Non là il en revenait pas. Sa propre mère. Pour son bien, non mais c'était une blague ou quoi ? Et pourtant non mais une rage interieure l'envahissait ; tous ces mois à cause d'une mère trop protectrice et d'une femme qui croit bon de l'écouter sans se rendre compte du mal qu'elle va lui faire. Il l'aimait, et la pire des choses à ne pas faire, elle l'avait fait ; elle l'avait abandonné … pour son bien … mais qui pouvait être aussi …Il inspira un grand coup, les lèvres tremblantes, les yeux fermés, afin de se calmer, puis il se tourna vers le bébé :

-C'est …, commença-t-il en regardant le nourrisson.

-Ton fils.

-Pourquoi maintenant ?

-Lorsqu'il est né, j'ai, j'ai pété un câble, je suis devenue folle du fait de t'avoir fui et évité ainsi. Lorsque j'ai vu ton fils, il a fallu que je te retrouve, que je te le montre. J'ai fui St Mangouste avec lui quelques heures après sa naissance, je l'ai confié à une amie, j'ai trouvé un sort, le lundi matin je me présentais à toi, sans lui. Le lendemain, j'ai craqué, et suis allé le chercher pour le cacher dans ma chambre avec un sort de silence autour de la pièce…, Son visage se referma, mais toi tu ne m'as pas cherché durant tout ce temps.

-Comment peux-tu dire une chose pareille ?

-Tu ne m'as pas beaucoup cherché James.

-Ne dis pas cela, tu t'es fait un film, tu t'es fait souffrir toute seule et tu essayes simplement de me rejeter la faute.

-Prouve le.

-Demande à toutes tes amies, à tous tes professeurs de l'Académie, à tous ceux qui te connaissent, si je n'ai pas été jusqu'à chez eux pour te retrouver.

-… C'est vrai ? fit-elle d'une petite voix

-Oui c'est vrai, je t'ai cherché partout, où étais-tu ?fit James à bout de nerf.

-Je suis partie en France. J'ai quitté l'Académie dés que j'ai pu pour raison de grossesse, pour ne pas te voir, pour ne pas affronter ta réaction. Mais j'ai été stupide, je t'ai vu avec lui, au fond de ton cœur tu ne pouvais qu'avoir deviné qui il était dés l'instant où tu as croisé ses yeux ; je l'ai vu dans tes propres yeux. Et c'est là que je me suis rendu compte de la grandeur de mon erreur, quand je vous ai vu tous les deux, quand j'ai vu tes yeux emplis d'amour pour cet enfant.

-Tu ne croyais pas en moi.

-James je t'aimais plus que tout et c'est ça qui m'a fait réagir ainsi.

-Rien ne pouvait m'emplir d'un plus beau bonheur que de te voir enceinte, rien, je t'aimais aussi plus que tout.

-Pardonne- moi, je t'en prie James, je t'aime. Je t'aime plus que tout au monde, je n'ai pas supporté de me cacher plus longtemps quand il est né, je n'ai pas supporté de te fuir, je n'ai pas supporté de le voir loin de son père. Et je ne pouvais pas concevoir le reste de ma vie sans toi.

James autant que Lily pleurait, de rancune, de tristesse, de bonheur, d'émotions trop fortes pour être qualifiées.

-Et pourquoi cette vieille femme grincheuse ? Pourquoi cette fausse identité ?

-J'étais incapable de me présenter à toi devant ta porte ainsi, mais je voulais te le dire, je voulais tout t'avouer, je me le suis répété tant de fois ces derniers jours.

-Mais pourquoi m'avoir mener une vie si dure alors ?

-C'était la dernière erreur de mon aveuglement. Je m'en voulais plus que tout, je m'en voulais de ma réaction et de ma fuite, mais j'ai eu besoin de remettre la faute sur toi. Pour moi, c'était une sorte de vengeance, je me répétai que tu aurais pu me retrouver et que tout cela était de ta faute, même si au plus profond de moi je me sentais entièrement coupable et responsable.

-Te rends-tu comptes des conséquences de ton mauvais jugement et de ta fuite, je n'ai même pas vu la naissance de mon fils.

-Je m'en rends compte, c'est et ça restera la plus grosse erreur de ma vie. James, je ne sais pas si tu es près à me pardonner, mais je te laisse ton fils. Je viendrai le voir le plus souvent possible. Répète lui bien à chaque instant où je ne serais pas là à quel point je l'aime et à quel point je t'aime. Je ne t'enlèverais pas ton fils, aussi cher soit il à mes yeux, je veux que tu vives heureux avec lui pour tout le mal que je t'ai fait.

La jeune femme prit ses valises et sortit de la pièce après un denier au revoir à son fils.

-Lily, l'interpella-t-il au dernier moment,

Elle réapparut à l'embrasure de la porte, les yeux rougis, la gorge serrée, les joues inondées de larmes.

-Tu le sais, je suis qu'un pauvre stupide au grand cœur, et malgré tout ce que tu m'as fait … Je te pardonne … Car je t'aime, et qu'il me sera impossible de vivre plus longtemps sans toi.

La jeune femme ne put que laisser ses bagages tomber au sol pour se jeter dans les bras de James, en rire et en pleurs de joie. Ils s'enlacèrent amoureusement.

-Tu m'en as fait baver ces derniers jours.

-Je n'allais pas laisser ma future maison dans un état pareil, ni celle de mon fils, rit-elle.

-Bah voyons.

-N'empêche t'es vraiment un grand bordélique.

-T'avais remarqué. Je peux t'avouer maintenant que j'ai adoré comment tu m'as débarrassé de l'autre pimbêche collante.

-Tu ne la repoussais pas très fermement, j'ai failli te préparer une tasse de thé bouillante à toi aussi, tellement tu m'as énervé.

-Je ne voulais pas me montrer méchant, mais tu devrais savoir que si j'avais voulu, elle pouvait se retrouver dans mon lit quelques minutes plus tard, vu dans l'état qu'elle était.

-Je le sais, c'est la seule chose qui m'a retenue de t'étriper.

-J'ai trouvé que tu l'avais joliment arrangé, tu sais, je t'aurais presque félicité si je n'étais pas tombé sur tes yeux.

-Petit défaut de mes transformations, lors des moments riches en émotions, je n'arrivais pas à garder mon apparence stable.

-J'adore tes yeux. Ils parlent à ta place.

-Merci, ils m'ont quelque peu trahi, c'est vrai.

-Ils t'ont toujours trahi …C'est quoi le prénom de notre enfant.

-Harry, espèce de sot.

-J'aime bien ce prénom. Mais avant ?

-Tu aimes ce prénom, incroyable, et je te l'ai dit, sa mère l'avait appelé par un nom moche et imprononçable, Harry me convient parfaitement.

-Je t'aime, c'est tellement fort que je n'arrive pas à l'exprimer avec des mots.

-Tes yeux parlent pour toi, je t'aime aussi plus que tout.

-Je le sais, tes yeux ne se trompent jamais

Ils s'embrassèrent et allèrent prendre le bébé dans son berceau, qui les regardait malicieusement, comme s'il avait tout compris. Ils s'enlacèrent tous ensemble dans une étreinte familiale amoureuse. Lily murmura à l'oreille de James :

-J'ai un film moldu de la naissance du bébé.

Elle pu voir dans les yeux du jeune homme l'impact de ses paroles. Ils rayonnaient de joie.

FINIIIIIIIIIIIIIIIIIIII ! Alors, alors ? Qu'en pensez vous ?

Elle n'a pas été classé en romance pour rien cette fic, hein ? Pour ceux qui ne sont pas fleur bleu ça a du être gavant comme fin, moi j'ai adorée l'écrire. Ma sœur à carrément versé une larme en la lisant (je rigole pas), j'espère que ça vous a quand même pas fait cet effet parce qu'elle n'est pas classé dans drame ma fic,snif.

Les différentes réactions du lecteur :

-Les lanceurs de tomates, qui se demande où j'ai été tiré cette fin trop romantique et nul à souhait.(c vrai ke parfois c ce ke jen pense)

-Les indulgents, qui se disent que j'ai un peu abusée quand même mais bon, ensemble satisfaisant.

-Les bon lecteurs, aimant un minimum le romantisme qui félicitent et sont tout de même ravis. (ca j'aime bien)

-Les autres, touché jusqu'à la petite larme (j'abuse je sais) et qui ont court-circuité leur clavier en m'écrivant ( les claviers aiment pas trop les larmes), je vous en prie ne vous électrocutez pas,lol, faut que j'arrête moi, tout le monde est déjà assez inquiet de ma folie autour de moi, si je me met les lecteurs de sur le dos, c'est la fin.

Pas la peine de vous dire ce que je préfère (je ne veux pas être responsable de morts quand même ni me prendre des tomates dans la tronche, lol) mais les autres seront les bienvenu, critiques comprises, comme je le dis toujours ça fait progresser.

PS : De tte façon on se retrouve bientôt pour une autre fic à moa avec james et lily en profs à poudlard (qui va surement s'appeler prof ou un truc sur le destin, bref j'en sais rien, lol, je sais on ferme sa gueule quand on en sait aussi peu), à moins que vous soyez dégouté de Lilynatou, ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiin :D (fo ke je pense à rouvrir un compte avec un autre pseudo moa, lol). Sinon en attendant cette prochaine fic g déjà posté deux ones-shot l'année dernière, pour ceux que ça interesse, lol, ki a dit que je faisais de la pub ? (alrs le tact miss folleuh? T'en pense koi ? nul à chier hein ?lol)

Énormes Zibouxxxxxxx pour tous ceux qui en veulent, NON REVENEZ, JE DISAIS ÇA POUR RIRE, snif, ils sont tous partis.

La déjantée et fière de l'être Lilynatou toujours et éternellement pour vous servir (des fics)