Disclaimer : Les personnages appartiennent à J. K. Rowling et à Warner Bros Inc. même l'idée de départ (le fond de l'histoire) ne m'appartient pas.

Genre : angoisse suspense

Rating : Nc-17(dès le premier chapitre)

Résumé initial : Le sujet : Le monde selon Voldemort Le Seigneur des Ténèbres règne en maître sur le monde. Un nouvel ordre a été établit. Ses fidèles Mangemorts gouvernent sous sa tutelle, les Sangs-purs acquièrent dès la naissance des titres de noblesse qui leur donne tous les droits, notamment le droit de propriété et le droit de vie et de mort sur tout être vivant considéré comme inférieur par le gouvernement en place. Les Sang-mêlés sont méprisés, mais vivent toutefois dans une paix relative, bien qu'ils n'aient pas le droit à l'éducation, ni à un niveau de vie décent. Les Sangs-de-bourbe sont réduits en esclavage et vendus comme du bétail. Enfin, les Moldus ont été regroupé dans des réserves de chasse, où les Sangs-purs viennent se distraire lorsque l'ennui les prend.

Ceci est en réponse avec le défi : Le monde selon Voldemort. Il va contenir du Slash et présence de viol et d'élément violent.

L'ombre de ses pêchers

The shadow of his Sins)

Chapitre I

Deux ans de Désespoir

Je déteste la noirceur des cahots. Auparavant, j'adorais me retrouver dans le froid de ceux-ci. Je m'installait, un ver de wiski à la main, sur mon fauteuil de cuir, et je faisais joué de la musique jazz pour créer un légère ambiance à mon cachot. Cependant, il faut que j'oublie le passé. Jamais plus tout sera comme avant, il faut oublier le confort et la sécurité, il faut faire place à la peur et à la mort.

Il faut dire que je n'avais jamais craint la mort, ni la solitude. Il faut dire que je n'avait pas à craindre en quoi de ce soit la mort car j'étais, il faut le dire, dans l'endroit le plus sécurité et protéger d'Angleterre. Aussi, même si j'étais seul dans ma vie, d'un point de vue sentimental, je n'ai jamais été plus seul que je le suis maintenant. Avant, je voyais des centaines de personnes par jours, même si je détestais la plupart d'entre eux, j'avais de la « compagnie », si on peut l'appeler ainsi. Les gens me parlaient, même si il me détestait. J'avais un semblant de vie social. Mais ici, c'est noir, humide et sans vie. Il n'y a que la mienne. Je suis enfermé dans une cellule, condamné à vivre jusqu'à l'éternité, dans ses cachots sinistres.

Presque tout le monde est mort depuis…

Je me rappelle de la guerre. Surtout de la bataille finale. Tous le monde était mort, ou presque. Le sol était recouvert de sang et de corps…

J'étais debout, au milieu de la colline, le front recouvert de sueur et de sang. J'avais été blaisé. Dumbledore ne se tenait non loin. Je n'avais jamais vu le sage homme aussi fatigué et épuisé de toute ma vie. Il cherchait du regard quelqu'un, les yeux plissés, les sourcils froncés. La plupart des mangemorts étaient encore en vie et tuaient le plus de gens possible. J'ai vu, de mes propres yeux, mes élèves se faire tuer, mes collègues, se faire décapiter, alors que moi, qui méritait bien plus la mort que ces pauvres gens, je me tenait encore debout sur mes jambes. Alors que je regardais ses innocents, mort, gisant dans leur sang, j'entendis un bruit plus que terrifiant. Lorsque je me retournai, Dumbledore fut frappé par un éclair vert, qui lui transperça la poitrine et ensuite, ce fut le silence. Tous avaient cessez tout mouvement.

Des larmes me brouillaient la vue, mais je puis le voir, lui. Voir sa silhouette familière, gracieuse. Il était à genou, pleurant des larmes de tristesse, de rage et de désespoir, pour la perte de Dumbledore, son mentor. Il me vit, quelques instant, il croisa mon regard. Il se leva d'une raideur et se dirigea vers le Seigneur des Ténèbres. Les rages et la colère se lisaient sur ses yeux couleur émeraude. Il était près à tuer. Il le fallait, si non, Voldemort allait régner sur la terre, communiste et sans pitié. Malheureusement, Harry Potter fut frappé par un Stupéfix.

L'avenir était à présent détruit. Voldemort envoya des mangemorts à ma trousse et m'enferma dans un cachot.

Ce qui est arrivé à Harry Potter, ne m'est malheureusement pas venu à l'oreille. Je n'ai entendu que des semblants de rumeur, comme quoi qu'il était encore en vie, mais cela j'en doute. Voldemort, sadique comme il est, aurait déjà décapité Potter à l'heure qu'il est. C'est malheureux… Il me manque un peu se gosse, comme tout le monde.

De voir tous ces gens morts, tous les gens que je connaissais, ou presque, même si je les détestais, ça me rend furieux. J'ai le goût de tous détruire dans cette cellule de fer! J'ai le goût de tous les tuer, tuer tous ces mangemorts, tous ces traîtres! Non c'est moi le traître, c'est moi qui mérite mourir! Mais dans un sens je ne veux pas. Je veux sortir de cette prison, savoir ce qui c'est vraiment passé au monde, ce qu'il est devenu! Je ne sais rien d'ici, la seule chose que je sais, c'est que Voldemort gouverne et ceci me rend malade. Comment un fou et pauvre psychopathe peut ainsi diriger la terre?

Severus Snape, ex mangemort, fier serviteur de Dumbledore (malheureusement mort), avait été capturé, lorsque Voldemort avait prit le pouvoir, pour traîtrise, et avait été jeté dans un sombre cachot, seul, coupé de toute civilisation. Les seules visites qu'il recevait étaient celle de trolls, qui lui apportait, si il était chanceux, de la nourriture une fois par jours. Severus passait ses journées à rêvasser, à broyée du noir et à se morfondre sur son stupide sort. Cela faisait deux ans qu'il était dans ce donjon. Deux ans de désespoir…

Il ne savait aucunement que le Seigneur des Ténèbres avait établis un gouvernement tyrannique, et purement dictatorial. Seuls les mangemorts avaient le droit de gouverner. Les Sangs purs acquirent, dès la naissance des droits de noblesse et de pouvoir. Ils ont le droit de vie ou de mort sur n'importe quel individu qui est considéré inférieurs au Sangs purs. Ils ont aussi le droit de propriété, c'est-à-dire, qu'ils peuvent acquérir n'importe quelle terre qui n'appartient pas déjà à un autre Sangs purs. Les Sangs Purs ne travaillent pas. Tous les travaux sont donnés aux Sang-de-Bourbes, qui sont vendus comme esclaves aux riches Sang purs. Les Sangs Mêlés sont détestés par tous. Ils sont rendus inférieurs, sales, impurs. Ils n'ont pas le droit à l'éducation et à tous privilèges et droits que peuvent avoir les Sang Purs. Cependant, ils vivent en retraits, dans les campagnes d'écosse et d'Irlande. Les Sangs Purs les laissent tranquille car ils ne leurs causes pas de problèmes au seins des villes importantes du monde.

Londres, Paris, New York, Amsterdam et Milan sont des villes très influentes au sein du gouvernement. Le Seigneur des Ténèbres a envoyé des mangemorts un peu par tout dans le monde pour diriger la terre. Les moldus sont dirigé vers des camps de concentrations et dans des réserves ou les Sang Purs vont les chasser et les tuer, comme les animaux, pour occuper leurs temps morts, qui arrivent bien trop souvent aux yeux des pauvres et misérables moldus. La terreur et la peur est établis sur la terre et seuls les riche peuvent avoir la vie facile.

Seul, Severus ne savait rien de cela.

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Harry Potter, contrairement à ce que Severus croyait, était toujours en vie. Mais ce n'était pas ce qu'on appelait une vie. Harry Potter était l'Esclave personnel de sa majesté en Personne, Voldemort. Chaque jours, Harry devait se lever à cinq heure du matin, il devait préparer les vêtements de Voldemort, le réveiller à 7 heures, exécuté tous ses petits caprices, le faire mangé pour le dîner, prendre des rendez-vous, etc. La partie que Harry détestait le plus était le soir. Lorsque le Seigneur des Ténèbres se rendait dans sa chambre, il appelait Harry et ce dernier devait accomplir tous les désirs sexuels de son maître. Pas une journée, Harry était laissé de côté, mais il ne pouvait rien faire. Il n'avait aucun droit, le seul droit était d'exécuter les ordres de son maître, manger et dormir. Harry détestait sa vie.

Deux ans de pure haine qu'il avait passé. Harry avait à présent 21 ans, et voulait déjà mettre fin à sa vie. Il se méprisait.

Tout est de ma faute. Si je n'avais pas été aussi faible lors de la bataille finale, rien de tout cela ne serait passé. Je vivrais une vie paisible, avec quelqu'un que j'aimerais, loin de tout cet enfer, loin de cette misère.

Harry croyait que tous étaient morts, ou vivaient dans la misère. Mais seul le destin c'est ce qu'il réserve dans le futur….

Une cloche sonna. La cloche qui signifiait bien des choses aux yeux des Sang-de-bourbes. Soit qu'elle signifiait le réveil de leur maître, ou leur pause, mais il faut bien s'entendre, il n'avait presque jamais de pause. Pour Hermione Granger, cette cloche signifiait la mort, les ténèbres. Depuis deux ans qu'à chaque matin, elle entendait cette cloche et à chaque fois, elle voulait mourir. Toutes les nuits, elle priait une divinité quelconque, priant pour une mort proche et certain, qui serait la délivrance de cette vie médiocre. Elle se sentait sale. Son maître n'était nul qu'un mangemort ingrat et sans pitié et il prenait plaisir à maltraité son esclave.

Comme a chaque matin, Hermione se leva avec l'espoir que cette journée allait être sa dernière mais comme à chaque matin rien n'arriva et Hermione était toujours en vie.

Hermione détestait les matins.

Il était huit heures du matin et Hermione devait aller habiller son maître. Elle frappa trois fois à la porte de sa chambre et ouvrit la porte. Elle trouva son maître, étendu sur le ventre, dans son lit, complètement nu.

-Entre ma petit Hermione, viens me voir.

Hermione terrorisé par le rictus afficher sur la figure de son maître s'avança rapidement pour ne pas recevoir quelconque punition.

Son maître se retourna un tant soit peu et se mit à caresser les cheveux bouclés d'Hermione. Hermione devait resté debout et ne point bougé, tant qu'il ne lui dirait pas un ordre. Il se mit à caresser ses joues et sa bouche de ses doigts fins. Il se mit a détacher le premier bouton de la chemise noire d'Hermione et introduit sa main à l'intérieur.

-Déshabille toi. Ordonna t-il.

Et comme à chaque matin, Hermione se déshabilla et une larme s'échappa de ses yeux. Hermione détestait les matins.

Lorsque qu'elle fut complètement nue, son maître lui prit la main et l'entraîna dans son lit. Il passa les mains sur sa poitrine mais ne s'y attarda pas. Il se mit à genou. Son érection devant le visage d'Hermione. D'un regard il indiqua à Hermione se qu'elle devait faire. Lentement, et surtout apeuré, comme à chaque matin, Hermione approcha son visage et ouvrit un peu sa bouche pour laisser sortir sa langue. Elle commença par licher le gland puis elle fit le tour de la virilité de son maître. Elle entendait les gémissements de son maître et ça la dégoûtait. Mais elle devait continuer, si non elle allait être punit. Elle mit le pénis dans sa bouche et commença à faire de lent mouvement de va et viens. Les gémissements devenaient de plus en plus fort donc Hermione accéléra la cadence. Elle sentit raidir son maître et il se libera dans sa bouche. Hermione envala malgré le haut-le-cœur qui la menaçait. Son maître se coucha près d'Hermione et elle sentit sa main la frôler, puis les mains caressaient ses seins et se ventre. Puis il lui ordonna qu'elle embarque sur lui. Il la pénétra et peu à peu, même si elle ne le désirait aucunement pas, une vague de plaisir l'envahit. Elle détestait ces moments la. Elle détestait le fait qu'elle aime ce moment à vrai dire car elle ne pouvait pas s'empêcher de remuer, et de s'adonner au plaisir. C'était la seule chose que son maître pouvait lui donner, c'était le plaisir. Elle oubliait avec qui elle le faisait, elle se concentrait seulement sur le plaisir et c'était juste ça qui importait. Elle mit les mains sur sa poitrine et elle se caressait les seins, et elle s'avait que son maître aimait quand elle faisait ça. La bouche entrouverte, les gémissements sortaient de sa bouche. Elle faisait des mouvements lent de va-et-vient mais lorsqu'elle sentait le besoins d'aller plus loin et déposa les paumes sur la poitrine de son maître pour s'appuyer et fit des mouvements plus vite et sec. Elle accéléra et ce n'était plus des gémissements qui sortaient de sa bouche mais bien des cris. Son maître mis ses mains sur les fesses d'Hermione et la poussa plus vers lui, pour accentuer son plaisir. Lui aussi appréciait ce moment. Peu de temps après, il se raidit et éjacula en l'intérieur d'Hermione, mais elle n'avait pas finit, elle en voulait plus, encore plus. Mais son maître la décolla, et tous étaient gâchés. Il ne la laissait rarement arrivé à

L'orgasme. Il se leva et alla dans la salle de bain, la laissant, couver de sueur, seule.

Hermione détestait les matins.

Lorsque Draco Malfoy sortit de la salle de bains, le lit était fait, ses vêtements étaient sortis et Hermione avait apporté son petit déjeuné. Malefoy n'aurait pas trouvé mieux en tant qu'esclave, mais elle n'avait-elle pas trouvé mieux en tant que maître?

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Severus dormait, enroulé en boule dans un coin de sa cellule froide. Il rêvait encore. Pendant deux ans il n'avait pas cessé de rêver. Il rêvait que mystérieuse personne puisse lui rendre visite, venir le voir.

Severus croyait tout simplement, sans espoir, il savait bien que personne ne viendrait, mais contrairement à ce que sa conscience lui disait, son rêve allait peut-être se réaliser…

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Un jeune homme, à la carrure svelte, arriva à toute à allure dans la salle de repos. Harry était assis, sur une chaise, dans le coin de la salle, pendant que le Seigneur des ténèbres prenait le té. Il avait déjà vu ce jeune homme. Il était le messager personnel de Voldemort, un mangemort plein de potentiel comme le disait si bien son maître. Lorsqu'il arriva proche du serpent, il se pencha pour faire une certaine révérence et embrassa la bague que portait Voldemort à son auriculaire gauche, tout en récitant une « prière ». Harry aussi devait le faire souvent. Il se releva et adressa la parole.

-Monseigneur, j'ai été informé que le seigneur Bullstrode veut vous rencontrez d'urgence, en Italie, ou il tient siège. Il y a problème avec la sécurité et il y a quelques problèmes à régler et demande votre présence.

-Bien, Potter, aller préparer mes affaires. Je dois y être quand?

-Le seigneur Bullstrode m'a informé que votre arrivé devrait être le plus tôt possible, il y a urgence.

-Bien, je vais rester le plus longtemps là-bas. J'ai bien l'intention d'y rester une semaines ou deux, pour prendre de « petites vacances ».

-D'accord Monseigneur, je vais prévenir le Messager du Seigneur que vous allez rester là bas plus de temps que prévu.

Le Messager fit une brève révérence avant de partir. Voldemort partit vers ses appartements royaux où se trouvait déjà Harry. Deux valises étaient déjà préparées et reposaient à côté de la porte. Voldemort chercha Harry du regard et le trouva dans la chambre. Il était en train de déposer la cape du Seigneur des ténèbres sur le lit.

-Tu restes au château, tu ne viens pas avec moi Potter. Dit froidement Voldemort.

-Bien. Harry était soulagé.

-Tu vas aller nourrir les prisonniers pendant ce temps, le troll qui le faisait est mort alors tu le remplaceras.

-Oui Maître.

-Je partirai pendant deux semaines, alors je ne veux aucunement que j'entende dire que tu as été désobligeant. Est-ce bien clair.

-Oui.

-Combien de fois je t'a dit que tu devais m'appeler « Maître » Potter? Sale petit insolant!

Voldemort frappa Harry dans la figure, ce qui fit tomber par terre Harry.

-Tu ne mérites même pas le titre d'esclave. Même pas capable de résister aux coups. Mauviette!

Voldemort donna un violent coup de pied dans le ventre d'Harry. Il sortit sa baguette de ses poches et la pointa vers Harry.

-DOLORIS

Harry fut frapper un éclair rouge qui le transperçait de douleur. Il avait de la difficulté à respirer, ses os, étaient comme broyé et sa peau le brûlait comme si on lui l'avait enduit d'azote pur.

-Bien chanceux que je n'ai pas utilisé l'Avada Kadavra. Tu mérites juste d'être traité de putin.

Voldemort, à l'aide d'un sort, déshabilla Harry et le pénétra violemment. Les muscles d'Harry se contractèrent car ils n'étaient pas préparés pour cette pénétration. Alors Voldemort cria et frappa Harry. Il le viola et se rhabilla proprement, laissant Harry blessé et sale sur le plancher et il quitta la pièce avec ses valises et partit transplané pour Milan.

Harry ne pu s'empêcher de sourire malgré le mal qui lui transperçait ses muscles. Il toucha son intimité il découvrit qu'il saignait. Mais Harry souriait encore.

Il souriait car pour la première fois dans deux ans, il ne serait plus aux côtés de son ennemi détesté…

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Il était six heure et demie du soir lorsque Harry se rendit aux derniers cachots. Plus tôt, il avait demander aux autres esclaves le plan des donjon ou étaient enfermé les prisonniers. La plupart étaient à Azkaban, alors il ne devait pas aller se rendre là bas, mais Voldemort gardait des prisonniers sous son toit, car soit qu'il l'est trouvait trop dangereux ou trop intelligent pour trouver une façon de s'évader. Alors Voldemort avait aménagé dans les cachots des châteaux, dans son quartier général, les prisonniers qu'il trouvait nuisible, et il en avait que très peu. Cinq au grand maximum. Harry avait nourrit quatre d'entre eux et il en restait un dernier. Il avait été placé à l'écart des autres dans une autre bâtisse, isoler des autres. Harry craignait un peu d'aller là bas, mais il devait le faire si non il allait être punit, comme il l'avait été le matin même et ceci n'était rien à ce qui l'attendait.

Harry entra donc dans le bâtiment et se dirigea vers une porte barrée par de multiples sorts complexes et durs à maîtriser. Il n'y avait personne sur l'étage alors Harry débarra la porte et s'engouffra dans les ténèbres.

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Severus était encore assit dans le coin de sa cellule lorsqu'il entendit le bruit, au loin, de la porte qui se débarrait. Il entendait ce bruit une fois par jour. Son ventre espérait toujours entendre ce bruit qui signifiait « manger ». Il avait très faim, et il n'avait pas mangé depuis quelques jours. Il n'en savait pas la raison mais on avait oublié de le nourrir. Contrairement aux autres jours, Severus n'entendit pas de lourds pas d'un troll. Il entendit seulement le pas légèrement traînant d'un être humain. Cela faisait deux ans qu'il n'avait point vu d'autres personnes et une joie s'empara de lui, mais lorsqu'il vit la grande silhouette mince vêtu d'une cape, capuchon sur la tête, la joie ce transforma en appréhension et en crainte.

Severus devina que c'était un homme. Il n'avait aucunement la carrure d'une femme. Cet homme chuchota un Lumos, mais al lumière était trop vive pour distinguer le visage du visiteur.

Le visiteur non plus n'avait pas reconnue le visage du prisonnier mais ne tarderai pas à le découvrir.

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Harry murmura un Lumos, et parvint à voir un peu devant lui. Il faisait vraiment sombre et il se demandait comment une personne lucide aurait pu passer deux ans de sa vie dans un noir absolu. Harry se rappela Sirius et ce dit que c'était possible. Lorsqu'il était près de la cellule, il vit, à travers les barreaux de fer une silhouette maigre, assis sur le sol. Ses vêtements étaient en lambeaux et très sale. Ses cheveux étaient noirs, long et gras et une barbe avait poussé sur son visage trop maigre. Ce visage lui rappelait quelque chose.

Il murmura un sortilège qui fit apporter de la nourriture sur un plateau et Harry ouvra la petite grille à l'aide d'un sort et glissa le plateau de l'autre côté.

-Voila, murmura Harry.

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Severus était abasourdit lorsqu'il vit le visage du visiteur mais il avait un doute. Harry Potter était mort! Voldemort l'avait tué! Sa voix par exemple n'était qu'un murmure fatigué et il se dit que ce n'était pas la voix de Potter, mais quelque chose lui disait de demander… Il n'avait rien à perdre à prêt tout, et ci ce n'était pas Potter, alors cet étrange visiteur le prendrait pour un fou enfermé dans une cellule de pierre depuis trop longtemps. C'était un peu vrai mais…

-Potter? dit Severus de sa voix la plus glacial qui le pouvait.

Le dit Potter laissa tomber sa baguette par terre. Il avait les yeux grands ouverts.

Non… ne me dites pas que c'est lui! Il est vivant, et moi qui le croyait mort! Comme tout le monde…Merlin ayez grâce…se dit Harry.

Une larme s'échappa de son œil et coula sur sa joue.

-Snape? Je vous croyais mort!

-Et vous croyez Potter, que moi je vous croyais vivant?

Harry n'en revenait tout simplement pas. Il avait devant lui son professeur des potions alors qu'il le croyait mort. Lorsqu'il avait été frappé par un Stupéfix, lors de la bataille finale, il avait croisé les yeux de Severus, pour la dernière fois et il se l'avait rappelé. Il avait vu quelque chose de différent dans se regard noir. Auparavant, il était toujours vide et pleins de colère mais ce jour là, il avait vu… quelque chose qui ne pouvait être nommé, car Harry ne savait c'était quoi exactement, et maintenant, il voyait la même chose dans le regard de Severus Snape.

Harry secoua la tête et se rapprocha davantage de la cellule.

-Vous êtes devenu quoi exactement Potter, depuis la guerre? Demanda Severus.

-L'esclave personnel de Monseigneur Voldemort en personne.

Severus lui envoya un regard de compassion suivit d'une regard noir. Il ne devait pas montrer à Potter, qu'il avait changé, qu'il était encore le même Snape, cynique et distant.

-Pourquoi vous êtes ici Potter?

-Voldemort est en Italie pour deux semaines, et ma seule tache est de nourrir les prisonniers qui sont détenues ici… vous n'êtes que quatre. Les autres, je ne l'ai connaissait pas.

Severus écoutait Harry tout en mangeant. Il avait terriblement faim.

-Je vais vous apporter d'autres vêtements demain… dit Harry en se levant.

Harry se leva et tourna les talons.

-Je vais y aller, si non on va croire que j'ai essayer de m'évader. Au revoir Professeur.

Harry s'apprêtait à quitter les cachots lorsqu'il entendit le murmure de Severus.

-Merci…

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Hermione regardait par la fenêtre. Son maître avait prit congé et elle avait accomplit toute les tâches qu'elle avait du accomplir.

Hermione aimait les soirées.

Elle avait généralement la paix dans cette partie de la journée. Alors elle regardait dehors, du haut de sa chambre, dans le bâtiment qui servait de logement au employer et aux esclavage. Seuls quelques Maîtres voulaient à tous prit garder leurs esclaves près d'eux.

Hermione regardait toujours dehors et elle vit un jeune homme marcher seuls. Curieuse de voir cet homme ainsi, Hermione ouvrit la fenêtre et sortit la tête.

Elle ne s'attendait pas voir Harry Potter, sortir du bâtiment face à celui ou elle résidait, celui du palais de justice.

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Severus avait terminé de manger.

Il est vivant! Cela fait deux ans que je le croyais mort et il est vivant. Harry… vient me voir, j'ai si besoin de toi… Deux ans que je croyais t'avoir perdu à jamais…

Deux ans à rêver, pour que enfin son rêve puisse de réaliser…

C'est ce que croyait Severus…