Chapitre 3 en ligne ! N'hésitez pas à poster des Reviews ça fait toujours plaisir.
Réponse aux Reviews :
- latitemery : Je dédis ce chapitre à ma première et seconde Revieweuse. Pour Ginny/Harry, il faudra patienter un petit peu, j'ai l'intention de faire une fic plutôt longue. Sinon pour Hermione/Ron, on les verra un petit peu mais il ne s'agit en aucun cas des personnages centraux. Qui sont en l'occurrence : Ginny, Harry et la Fille. Justement à propos de la fille, le mystère est complet, pour mes lecteurs en tout cas parce que moi je sais qui c'est ! comme c'est étonnant :) Mais promis ce n'est pas n'importe qui, d'ailleurs si vous avez des idées sur son identité n'hésitez pas à me le dire Et puis sinon vous le découvrirez à un moment dans l'histoire. Bon, j'arrête parce que la réponse aux reviews commence à devenir un mini-roman. Bonne lecture !
- darkness : Contente que cela te plaise. Pour le titre je n'en dirais pas plus chacun l'interprète à sa manière.
- Virg05 : Waou ça fait plaisir d'avoir des lecteurs aussi enthousiasme. Et bien voilà la suite :)
Fausse Piste :
- Harry ?
- Hum ?
Hermione s'assit à côté de lui.
- Tu m'as l'air bien pensif.
- Pourquoi est-ce qu'elle m'obsède autant ?
- Qui ? La fille de l'autre soir ? ou… Ginny ?
Harry releva la tête :
- Qui ? Quoi ?
- Je crois que tu as pensé un peu trop fort tout à l'heure, ça devient une manie. Mais qui t'obsède ?
Le jeune homme rougit fortement :
- La fille de l'autre soir évidemment !
- Je n'en suis pas si sûre. Bon, je te laisse à tes pensées, mais s'il te plaît, ne reste pas assis ici toute la journée.
- Où vas-tu ? C'est dimanche aujourd'hui !
- Justement.
- Ah ?
- Heu… jevaisaucinémaavecRon
- Pardon ?
- Je vais au cinéma avec Ron
- Pour qu'il se documente sur la culture moldu évidemment.
- Évidemment.
- Hermione tu ferais mieux d'avouer tes sentiments, depuis le temps que vous vous tournez autour.
- Tu peux parler ! Et la jeune fille se leva d'un bond. À plus tard !
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- Harry ?
- Oui ?
- Qu'est-ce que tu fabriques ?
- Je me prépare à sortir. Et Harry lui fit un magnifique sourire.
- J'avais remarqué mais où vas-tu ?
- Au ministère. Répondit l'intéressé en bafouillant.
- Pourquoi ? Non seulement tu es en vacances mais en plus… aujourd'hui c'est dimanche ! Ne me dis pas qu'ils t'ont encore confié une mission.
- Non, non, j'y vais pour chercher des renseignements
- Sur la fille ?
- Heu… ouais.
- Je peux venir avec toi ?
- Mais… bon OK. Et Ginny lui planta une grosse bise sur la joue.
Le ministère était plein à craquer, de nombreuses personnes passaient dans les couloirs, une feuille à la main, Harry et Ginny se regardèrent :
- Mais qu'est-ce qui se passe ?
- Je n'en sais rien.
- Ginny ! Harry ! Les deux intéressés se retournèrent.
- Papa, qu'est-ce que tu fais ici ?
- Monsieur Weasley, comment allez-vous ?
- Très bien, très bien, bon je retourne au boulot.
- Bon sang de bon soir ! Mais qu'est-ce qui se passe ici ? s'écria une Ginny furieuse.
- Une nouvelle attaque et le père Weasley s'éclipsa.
Harry et Ginny se fixèrent et blêmirent.
- Une nouvelle attaque ? demanda Ginny faiblement.
- C'est ce que j'ai cru comprendre, grimaça Harry. Bon, je vais essayer d'avoir plus d'information dans le bureau des aurors. Tu m'attends ici ?
- D'accord…
- Bonjour Tonks. Une jeune femme, avec une épaisse chevelure acajou, se tourna vers lui.
- Hello Harry. Comment vas-tu ?
- Bien.
Tonks était depuis peu mariée avec Lupin, Harry l'avait rencontrée au début de sa cinquième année. Nymphadora Tonks était la cousine de Sirius et pouvait modifier son visage à volonté. C'était la personne la plus maladroite qu'il avait eu l'occasion de rencontrer. D'ailleurs au moment où Tonks se tourna vers lui, une pile de dossier s'écrasa sur le sol.
- Tu viens pour avoir des renseignements sur l'attaque n'est-ce pas ? grimaça Tonks.
- Heu… oui, dit Harry un peu déstabilisé
- Une famille de moldu a été attaquée en plein cœur de Londres. Et le pire… le pire, c'est que la marque des ténèbres flottait au-dessus de leur maison. Et Tonks s'effondra la tête dans les bras sur son bureau.
- On sait qui a fait ça ?
- Non, mais une lettre était posée, près, près des cadavres dit Tonks difficilement.
- Et ?
- Je ne sais pas, elle t'est adressée.
- C'est Elle ! Je peux voir la lettre ?
- Je pense. Tiens.
Les mots suivants avaient été tracés à l'encre verte, et l'écriture était fine et penchée :
Cher Harry,
J'espère quand lisant ces mots, ton sang bouillonne, que la colère prend possession de ton corps. Je me suis bien amusée mais décidément les Moldus sont bien trop faciles à éliminer. Tu n'es pas sans savoir que ma cible finale… c'est toi. Fais de beaux rêves.
Rowena.
- Rowena ?
- Alors ? demanda Tonks, partagée entre l'inquiétude et la curiosité.
- Une lettre de menace. Cette fille est décidément répugnante. Pourtant je ne peux pas m'empêcher d'avoir pitié d'elle, elle a du bien souffrir pour en arriver là. Et Harry rangea la lettre dans sa poche.
Ginny l'attendait derrière la porte :
- Alors lui demanda-t-elle ?
Et Harry lui raconta ce qui s'était passé, en oubliant de mentionner la lettre, il ne voulait pas qu'elle s'inquiète encore plus. Pourquoi est-ce que je ne veux pas qu'elle s'inquiète ? Parce que c'est mon amie, je ne veux pas non plus que Ron et Hermione s'inquiètent ! Tu as souvent envie d'embrasser Hermione ? ou Ron ? Non, mais ! Mais quoi ? Avoue tes sentiments mon vieux, sinon elle ira voir ailleurs.
- On rentre, demanda Ginny ?
- Oui je crois qu'il vaut mieux.
Harry et Ginny étaient de retour dans le grand appartement, Ron et Hermione n'étaient toujours pas là.
- Ca te dérange si je mets de la musique ?
- Non, encore de la musique moldu ?
- Heu… oui.
J'ai rendu mon âme au temps
là où cette fontaine s'écoule
a poussé une rose
elle est née de ton corps
qui un jour s'y noya
tu as bercé les mille pleurs
ô la Jeannette et tes fagots
pesants d'histoires
dans ta chaleur épaisse
pour répartir au galop
il a couru par-dessus tout
sans se dire rien juste ça
la terre se noie
les enfants s'entassent
mais le blé sent bon
Nous on veut toucher l'azur
plus haut encore des yeux
la rose nous suit
sa tige s'allonge
nos corps ne tiendront pas
Vous allez rire de dépression
dans l'air sénile ça souffle
vos râles désirs
tranchent les nuages
et déferlent du pain sec
Ils ont repris leur âme à Dieu
là où cette fontaine s'écoule
le sang noir d'une rose
un joli miroir
on ne reparla plus jamais d'eux
C'est l'histoire
qui raconte à l'histoire
montrez moi votre chapeau
et la belle la fougasse
lui répond merci bravo ()
- Ginny, je… je. Ca ne devrait pas être permis d'avoir des yeux comme ça. J'ai rendu mon âme au temps là où cette fontaine s'écoule a poussé une rose elle est née de ton corps qui un jour s'y noya. Harry se pencha sur elle et l'embrassa. Le blé sent bon.
- Harry ?
- Oui ?
- Moi aussi… Ses yeux pétillèrent de joie et la jeune fille se blottit contre son torse.
A ce moment-là, la porte s'ouvrit sur Hermione et Ron.
- Je vois que vous n'avez pas perdu votre temps, s'exclama une Hermione joyeuse.
- Tu aurais pu me prévenir que tu en pinçais pour ma sœur ! Ron les regardaient bouche bée.
- Il n'y a que toi pour ne pas t'en être rendu compte. Gémit Hermione.
Ron fusilla Hermione du regard.
- Je ne passe pas mon temps à observer les autres, MOI !
- Ca c'est sûr tu passes ton temps à observer la nourriture.
Harry et Ginny éclatèrent de rire. Ils étaient vraiment insupportables.
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Flash-back : (Hermione et Ron)
- Je vais au cinéma avec Ron. Désolé de te mentir Harry mais c'est pour ton bien !
- Pour qu'il se documente sur la culture moldu évidemment.
- Évidemment.
- Hermione tu ferais mieux d'avouer tes sentiments, depuis le temps que vous vous tournez autour.
- Tu peux parler ! Et la jeune fille se leva d'un bond. À plus tard !
La jeune fille et Ron déambulaient dans les rues de Londres.
- Où est-ce que tu m'emmènes Her-mignonne ?
- Au ministère, il faut absolument que l'on trouve des renseignements sur cette fille. Je me fais du souci pour Harry.
- Et tu comptes t'y prendre comment pour trouver tes fameux renseignements ?
- Depuis le temps que je travaille au ministère j'ai eu le temps de repérer les lieux, au deuxième étage il y a une grande salle réservée aux archives, avec une section : Mangemort. Les familles des mangemorts emprisonnés doivent bien être mentionnées.
- Et comment comptes-tu entrer dans cette fameuse salle ?
- C'est là que tu entres en piste.
- Quoi ? En plus on ne connaît même pas son nom. On a uniquement la description d'Harry, misère de misère.
- Il faudra consulter tous les dossiers concernant les mangemorts qu'Harry a fait emprisonner.
- Misère de misère (je crois que tout le monde aura remarqué à quel point j'aime cette expression)
- Harry est notre ami, on peut bien faire ça pour lui !
Hermione et Ron arrivèrent dans le ministère et comme l'avait prévu Hermione, grâce à Ron, ils n'eurent aucun mal à entrer dans la salle des archives.
- Hop au boulot, s'exclama Hermione.
Après une heure à farfouiller dans les dossiers.
- Je crois que je tiens quelque chose ! s'exclama Ron
- Montre !
- Il s'agit de la fille de Mr et Mrs Link, tous les deux à Azkaban. Harry y est pour beaucoup.
Après avoir lu la description, Hermione soupira :
- Je ne crois pas que cela soit elle.
- Pourquoi ?
- Parcequ'elle est morte, il y a maintenant quelques années.
- Ah oui tu as raison.
Et quelques heures plus tard :
- Bon, je résume. Deux possibilités : ou bien cette fille s'appelle Helen Avery, ou bien Julia Rosier.
Fin du Flash Back
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Quand Harry leur raconta ce qui s'était passé l'après-midi même, Ron et Hermione soupirèrent, ils avaient tout faux, la jeune fille ne s'appelle ni Helen, ni Julia, mais Rowena.
- Peut-être que c'est un faux nom, glissa discrètement Ron à Hermione.
Hermione secoua la tête :
- Je ne pense pas. À mon avis cette fille n'est mentionnée nulle part dans les archives du ministère, je commence à douter, peut-être que finalement il ne s'agit pas de la fille d'un mangemort capturé.
- Qui cela pourrait bien être alors ?
- Je n'en sais rien, avoua la jeune fille.
- Qu'est-ce que vous complotez encore tous les deux ? Ginny avait surgi derrière eux.
- Rien du tout, bafouilla Ron.
- Waou tu es superbe Gin' ! Le bleu te va décidément très bien.
- Merci. Mais ne change pas de sujet Hermione.
- Tu crois qu'on peut lui dire, glissa prudemment Ron.
- Il n'y a pas grand-chose à dire. Nous n'avons rien découvert du tout, et c'est bien ça le problème.
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Elle était tout près maintenant, trop près. Harry pouvait voir la haine briller dans ses yeux, ses yeux verts, verts comme…
Harry se réveilla en sursaut, de la sueur coulait dans son dos :
- Ses yeux verts comme… maman ! Non ce n'est pas possible, maman n'a jamais eu d'autres sœurs que Pétunia, je dois me tromper, cette fille ne peut pas faire partie de ma famille. Elle a juste les yeux verts ! Juste ? Harry s'était levé, et s'était mis à faire les cent pas autour de son lit. Non pas juste, elle a aussi les cheveux noirs, et ce visage qui me semble si familier, il est comme, comme mien. Harry s'était arrêté devant un miroir. Je deviens fou, je n'ai jamais eu de sœur. Quelqu'un me l'aurait dit. Ce n'est pas possible ! Je crois que je ferais mieux d'aller faire un tour dehors.
Harry enfila un manteau et s'enfonça dans la nuit.
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J'admets ce chapitre n'est pas très long et je n'en suis pas vraiment satisfaite. Enfin bon, et promis au prochain chapitre vous en saurez beaucoup plus sur Rowena. Quand à Harry et Ginny, ils sont enfin ensembles mais il faut que je développe un peu plus. Si je poste ce chapitre maintenant, c'est que le prochain chapitre ne sera plus du même point de vue. OK j'avoue j'ai hâte de m'y mettre mais n'hésitez pas à m'envoyer des Reviews.
() Les Têtes raides