Disclaimer : les personnages ne m'appartiennent pas etc…
Genre : OOC, UA, aventure, romance, fantastique
Couples : faut lire ;-p
Ce chapitre ne devait être mis en ligne qu'en fin de semaine mais… au vue de la rentrée qui approche à grand pas j'ai préféré vous la mettre aujourd'hui.
Merci à Syt the Evil Angel, Naïa, Phenixia, Aishanu Soma, Caramelon, Bubul, Kira-Sama et Kida Saille pour vos reviews et votre soutien. Gros bisous !
Bonne lecture !
Les Chevaliers Dragons : Livre II
Chapitre XVI : Envies
« Je ne te laisserai plus fuir. », gronda le chevalier de l'est en emprisonnant les poignets de Quatre contre la porte. « Tu m'appartiens ! »
Et ce fut avec violence qu'il captura les lèvres du jeune souverain.
Trop surpris par la réaction de son compagnon, Quatre se laissa tout d'abord dominer sans réagir. Mais très vite, son instinct de combattant fit bouillonner son sang. Il se débattit avec vigueur afin de se libérer de l'emprise de Trowa mais ce dernier ne desserra à aucun moment l'étau de ses doigts, bien au contraire. Afin d'obliger le jeune souverain à se tenir tranquille, il le plaqua de tout son poids, le collant encore plus contre la porte en chêne.
Quatre émit une plainte totalement étouffée par les lèvres du seigneur de l'est qui en profita pour glisser sa langue dans sa bouche et ainsi intensifier encore plus son baiser.
Il avait faim de Quatre…
Faim de son corps…
Faim de son âme…
Il le voulait…
Maintenant !
Trowa appuya son bassin contre celui de sa proie. Il sentaitnettement leurs désirs se frotter à travers l'étoffe de leurs vêtements. Son compagnon pouvait peut-être tenter de le tromper par ses paroles mais son corps lui ne mentait pas.
Quatre lutta encore pour échapper aux assauts de son ancien amant mais plus il sentait Trowa s'enflammer plus sa passion se réveillait aussi. Après de vaines tentatives, il finit par déposer les armes. Son attirance pour son ami n'avait jamais disparu. Il l'avait juste occultée, étouffée en espérant que sa raison serait plus forte que ses envies.
Mais ça n'était plus le cas.
Plus depuis qu'il avait vu Trowa flirter avec Réléna, plus depuis qu'il avait éprouvé cette vague de jalousie balayer sa raison, plus depuis que son compagnon avait risqué sa vie pour le ramener.
Quatre se sentait littéralement fondre sous les attentions de Trowa et c'est avec empressement qu'il finit par répondre à ses baisers.
Au diable ses responsabilités, au diable son devoir !
Lorsque Trowa sentit son compagnon devenir plus réceptif à ses assauts, il changea peu à peu son agressivité en passion. Il finit par libérer les poignets de Quatre avant de remonter doucement ses mains jusqu'aux siennes et d'entrelacer leurs doigts.
Leur échange se fit de plus en plus incendiaire et toutes les barrières qu'ils avaient difficilement érigées entre eux ces derniers mois s'écroulèrent une à une sous l'intensité de leur désir.
Plus leur étreinte s'intensifiait, plus Trowa se sentait comme animé par une envie presque bestiale de s'approprier le jeune roi. Rien n'existait mise à par l'odeur de son compagnon qui enivrait ses sens ainsi que sa bouche qu'il assaillait comme l'aurait fait un général de guerre face à une ville assiégée.
Mais Trowa finit par abandonner les lèvres gonflées de Quatre pour plonger son visage dans son cou d'albâtre. Avec application, il se mit à apposer sa marque sur la peau blanche de son compagnon. Ses mains délaissèrent les siennes et vinrent se perdre sur ses hanches afin de réduire l'espace quasi-inexistant entre leurs deux corps.
Quatre émit une plainte sourde lorsque la fougue du brun à le marquer se fit trop douloureuse. Pour se faire pardonner, Trowa passa doucement sa langue sur la meurtrissure le faisant cette fois-ci soupirer de plaisir. Puis il remonta son visage vers celui de Quatre et effleura de ses lèvres la bouche entrouverte du jeune homme pour un nouveau baiser.
« Trowa. », appela le souverain entre deux échanges mais il se fit très vit bâillonner à nouveau.
Le seigneur de l'est ne voulait plus de mots, plus de disputes ni même de refus. Il ne souhaitait qu'une chose, conserver et intensifier la sensation de chaleur que faisait naître le corps de Quatre contre le sien.
L'une de ses main se glissa habilement sous la chemise du jeune roi afin de caresser les abdominaux sculptés par les nombreuses heures d'entraînement tandis que l'autre se tendit vers la poigné de la porte afin de la verrouiller et ainsi écarter le risque d'être dérangé.
Au bruit caractéristique de la clé, Quatre ne put empêcher une expression d'incertitude se peindre sur son visage. Mais avant qu'il ne puisse s'exprimer, il se fit purement et simplement soulever de terre par son compagnon. Le blond accrocha par réflexe ses jambes autour de la taille de Trowa tandis que ses lèvres se firent à nouveau ravir pour un autre baiser emprunt d'impatience.
Le chevalier de l'est le transporta près de la cheminée avant de s'agenouiller lentement à terre et d'allonger son amant sur le grand tapis berbère. Quatre put apprécier sous son dos la texture moelleuse et douce de cette couche improvisée tandis que Trowa s'installait de tout son long sur son corps.
Le brun déboutonna rapidement le chemise de son amant afin de sentir à nouveau la douceur de sa peau sous ses doigts. Ses caresses firent naître de délicieux frissons chez Quatre qui emmenèrent son esprit loin… très loin de ses réticences habituelles. Seule l'intensité de certaines sensations demeuraient profondément encrées en lui :
Les mains de Trowa sur son corps…
Les lèvres de Trowa sur sa gorge…
Le souffle de Trowa contre sa peau…
Le gouffre de plaisir dans lequel était en train de l'attirer le seigneur de l'est lui firent occulter tout ce qui n'était pas son compagnon.
La bouche du brun quitta le cou de Quatre pour parcourir peu à peu sur le torse de son amant, laissant après son passage de véritables traînées de feu.
Plus le chevalier descendait plus le jeune souverain s'agitait face à ses attentions. La chaleur qui l'envahissait était la plus douce des tortures. Cela faisait si longtemps que Quatre n'avait éprouvé un tel désir le dévorer. Il n'y avait que Trowa qui arrivait à le mettre dans un tel état.
Le monarque agrippa la tunique de son amant et la fit lentement remonter le long de son corps. Trowa cessa ses douces attentions, le temps de se débarrasser de son vêtement avant de reprendre avec passion les lèvres de Quatre. Le seigneur de l'est se pressa avec volupté contre son compagnon lui soutirant un soupir de satisfaction.
Les gémissements de son ami rendirent Trowa encore plus empressé. Ses mains se faufilèrent vers le pantalon de Quatre et le déboutonna avec agilité. Il caressa encore un peu ses hanches avant de séparer ses lèvres des siennes.
Trowa regarda l'homme allongé sous lui quelques secondes, noyant son regard dans les iris turquoises de son vis-à-vis obscurcies par le désir. Puis il se mit en devoir de le dévêtir totalement en commençant par lui ôter ses bottes devenues inutiles. Le seigneur de l'est se recula et les enleva une à une avant de faire de même avec les siennes. Débarrassés de cet accessoire des plus encombrant, il remonta jusqu'au bassin du jeune seigneur afin de redéposer ses mains sur ses hanches. Dans un mouvement lent, il commença à faire descendre le vêtement mais les doigts de Quatre vinrent se placer sur les siens pour l'en empêcher.
Trowa releva son visage vers lui et vit une lueur de doute briller dans son regard. Loin de se laisser démonter par l'apparent retour de la conscience de son ami, Trowa s'empressa de capturer ses lèvres afin de faire disparaître les dernières réminiscences de sa lucidité.
A force d'attention, Quatre retrouva toute sa fougue et bientôt, le seigneur de l'est n'eut plus aucun scrupule à lui ôter ses derniers vêtements. Doucement, il fit glisser l'étoffe le long des jambes de Quatre tout en laissant ses lèvres s'égarer sur son torse et enfin courtiser l'intérieur de ses cuisses.
Le jeune roi eût quelques gémissements de plaisir avant d'enfouir ses mains dans l'abondante chevelure de Trowa. Ce dernier remonta doucement, caressant le ventre contracté de son amant tout en sillonnant de sa langue le contour de son nombril.
Ses mains descendirent peu à peu sur la virilité de Quatre et lentement, langoureusement, il concentra ses attentions sur son membre dressé. Les gémissements du jeune souverain se firent plus prononcés tandis que son souffle lui devenait de plus en plus court.
Satisfait par l'excitation du monarque, Trowa le retourna sur le ventre avant qu'il ne puisse réagir.
« Mais qu'est-ce que… », commença à demander Quatre avant de sentir le bras de son compagnon passer sous lui pour soulever l'arrière de son corps. La fin de sa phrase mourut au bord de ses lèvres lorsque la main de son amant revint appliquer des mouvement réguliers sur son membre.
Au fur et à mesure que les caresses se firent plus insistantes, les bras de Quatre se mirent à trembler légèrement sous l'intensité du désir qu'il sentait pulser dans son bas-ventre. Le blond émit une plainte presque inaudible lorsque Trowa commença à le préparer avec attention.
Bercé par les murmures de son compagnon, le chevalier de l'est déposa des baisers papillons le long de la colonne vertébrale, frottant son bassin contre la croupe musclée du blond. Dès qu'il le sentit prêt à le recevoir, Trowa déboutonna son pantalon.
Le jeune souverain put sentir la boucle de la ceinture de son amant battre contre sa cuisse. Il eut soudain un peu peur que Trowa ne mette la même violence à le faire sien qu'il n'en avait mis dans ses premiers baisers.
Mais il n'en fut rien.
Le chevalier entra en lui avec le plus de douceur possible afin de ne pas le blesser.
Quatre ressentit un tel plaisir qu'il n'eut même pas besoin d'avoir recourt à ses pouvoirs. Seuls deux longs gémissements emplirent la pièce, très vite suivis par des souffles saccadés. Après cette première poussée, Trowa resta quelques instants immobile, son torse collé contre le dos de son amant, avant de se mettre en mouvement.
Leurs corps bougèrent d'abord lentement dans une même danse mais plus le plaisir grandissait plus le rythme se fit empressé. Des perles de sueurs se mirent à apparaître sur leur peau, les enfermant dans un cocon de moiteur et de luxure.
Quatre pouvait sentir son cœur frapper violemment dans sa poitrine au fur et à mesure que les vas et viens s'accéléraient. Ses bras faiblirent dangereusement et il due s'abaisser pour ne pas littéralement s'effondrer sur sol. La vague de plaisir qu'il sentait monter en lui était d'une force qu'il n'avait jamais connu jusqu'à présent.
C'était bon…
C'était impétueux…
C'était … mmpf… presque sauvage.
Les mouvements de Trowa s'accélérèrent à l'instar de leurs gémissements qui, au sommet de leur plaisir, finirent par mourir dans des plaintes langoureuses. Quatre s'affaissa totalement sur le sol et fut très vite rejoint par son compagnon. Les amants restèrent quelques instants l'un contre l'autre, essayant d'apaiser leur respiration. Le calme revint peu à peu dans leur corps et ils finirent par s'allonger sur le flanc, Quatre toujours le dos étroitement collé contre le torse de son compagnon.
Trowa laissa sa main caresser la hanche nue de son ami avant de glisser ses doigts sur son ventre. Il poursuivit ses mouvements réguliers et apaisants sur les abdominaux du blond tout en embrassant doucement l'une de ses épaules.
Au bout de quelques minutes, le jeune monarque finit par apposer sa main sur celle du seigneur de l'est. Trowa craignit pendant un moment que son amant ne le repousse mais contre toute attente, Quatre entrelaça ses doigts aux siens. Le chevalier laissa un léger sourire apparaître sur ses lèvres avant de resserrer son étreinte.
Les deux hommes s'endormirent rapidement, étroitement enlacés l'un contre l'autre.
Lorsque Trowa s'éveilla, Quatre n'était plus auprès de lui.
Il se releva légèrement et fouilla la bibliothèque du regard. Au vue de la luminosité ambiante, il devait être à peine deux heures du matin. Les flammes de la cheminée qui auparavant crépitaient avec force dans l'âtre, n'éclairaient à présent que faiblement la pièce. Après quelques secondes de recherche, l'attention du seigneur de l'est se porta sur l'une des grandes fenêtres.
Son ami était assis sur la large banquette et observait le paysage nocturne d'un air rêveur. Il avait remis ses vêtements sans toutefois prendre le temps de reboutonner sa chemise. Trowa se leva, réajusta le pantalon qu'il portait toujours et s'avança vers lui.
Quatre ne tourna pas son regard mais les deux hommes se firent face via leurs reflets.
« Et maintenant que faisons-nous ? », demanda le jeune souverain d'une voix calme et posée.
Trowa vint s'asseoir au bord de la banquette et fixa le profil de son amant.
« Nous allons partir pour l'est afin de récupérer Zechs et tes hommes. »
Quatre tourna son visage vers son compagnon et le fixa de ses iris turquoises.
« Je ne parlais pas de ça. »
« Je le sais. », répondit Trowa en relevant une mèche blonde. « Je parlerai à Réléna à notre retour. »
« Tu veux rompre vos fiançailles ? »
« Oui. »
« Pour quelle raison ? »
« Parce que j'ai bien l'intention de rester à tes côtés. »
Quatre voulut détourner le regard mais il en fut empêché par Trowa qui avec douceur posa sa main sur sa joue et l'obligea à lui faire face.
« Par le passé, j'ai douté de la force de tes sentiments à mon égard. J'ai cru que la profondeur de mon attachement n'était pas réciproque. Mais maintenant, je ne doute plus. », répondit-il avant de fixer son amant avec intensité. « Et je ne douterais plus jamais. Je resterai auprès de toi. »
« Te rends-tu compte de tout ce que tu vas sacrifier ? »
« Décidément, tu ne comprends pas. C'est en restant avec toi que ne sacrifie rien. »
Trowa se pencha vers Quatre et l'embrassa doucement et avec application, il fit passer toute la force de ses sentiments dans ce simple échange.
« A l'avenir, si tu souhaites te détacher de moi, tu seras obligé de me bannir. Fais-toi une raison, à partir de maintenant je ne te lâche plus. »
« Tu es fou. », répondit le jeune souverain en posant son front contre celui de son amant.
« Oui, complètement. », termina Trowa avant de sceller leurs lèvres.
Wufei avança lentement sous l'avant-toit de la maison familiale.
C'était une douce journée de printemps, le soleil lui caressait agréablement le visage tandis qu'une faible brise apportait un brin de fraîcheur. Un silence apaisant régnait sur le grand jardin et seules quelques chants d'oiseaux venaient en briser la tranquillité.
Le seigneur de l'ouest marchait pieds nus sur le parquet en bois. L'étoffe fine et légère de sa tunique blanche épousait parfaitement les courbes de son corps, mettant en valeur sa musculature fine et bien dessinée.
Le jeune chevalier arborait un léger sourire. Il paraissait calme et insouciant, des sentiments qu'il n'avait que rarement ressenti dans sa vie. Mais son bien être disparut brusquement lorsqu'il arriva au coin de la bâtisse et son apparente décontraction fit place à la stupeur.
Appuyé contre un arbre se tenait le commandant en chef des armées de Sanc.
Après les premiers moments de surprise passés, Wufei n'hésita pas un seul instant à s'avancer vers lui. D'un pas rapide, il foula l'herbe encore emprunte de la rosée matinale et franchit les quelques mètres qui les séparaient.
« Zechs ? », appela l'héritier du clan Chang.
L'interpellé tourna son visage vers lui et lui offrit un superbe sourire.
« Bonjour Wu. », répondit-il d'une voix calme.
« Que fais-tu ici ? », demanda le jeune homme complètement perdu par la présence de son amant dans la demeure familiale.
« Je t'attendais. »
Ils se firent face quelques instants avant que le soldat ne remonte son bras pour passer ses doigts dans les longs cheveux détachés de Wufei.
« Je suis content de te revoir. Tu m'as manqué. », souffla l'homme de guerre.
Zechs portait des vêtements blancs identiques à ceux de son amant et ses cheveux blonds cascadaient librement autour de son visage lui octroyant une aura lumineuse de paix. Wufei posa sa main le torse de son ami comme pour s'assurer qu'il était bien devant lui.
« Tu es vraiment là ? », murmura le chevalier.
« Oui. », répondit-t-il comme amusé par la question.
Wufei hésita encore un peu avant de passer ses bras autour de la taille du soldat et de coller son corps au sien.
« Tu m'as manqué aussi. », poursuivit le seigneur de l'ouest sur le ton de la confidence.
Les deux hommes restèrent ainsi enlacés avant que Wufei ne brise ce moment d'apaisement.
« Tu restes avec moi ? »
« Je ne peux pas. », répondit Zechs en se séparant de son compagnon.
« Pourquoi ? », s'inquiéta le chevalier.
« Je dois m'en aller. J'avais juste envie de te voir. »
« Mais où vas-tu ? »
« Ne t'inquiète pas pour moi Wu, tout se passera bien. », répondit Zechs en caressant la joue de son compagnon.
Puis il détacha les bras du chevalier qui étaient toujours posés sur ses hanches avant de s'éloigner. Le soldat lui fit un salut de la main avant de se détourner définitivement de lui.
« Zechs ! Attends ! », s'exclama le jeune homme en tentant de le rattraper. Mais ce fut en vain car plus il essayait de s'en rapprocher, plus son compagnon disparaissait de son champ de vision.
« Zechs ! », hurla-t-il « ZECHS ! »
Ce fut en sursaut et trempé de sueur que Wufei s'éveilla.
Sa chambre était plongée dans le noir et il fallut plusieurs secondes au seigneur de l'ouest pour reprendre ses marques et se rendre compte qu'il venait de faire un rêve… ou était-ce un cauchemar ?
Le jeune homme passa l'une des ses mains dans ses cheveux humides avant de sentir des sueurs froides parcourir son corps.
Pourquoi avait-il rêvé de Zechs ?
Est-ce que cela avait une signification particulière ou n'était-ce que la traduction de ses inquiétudes?
Wufei préféra adopter la deuxième solution et occulter la possibilité que cette vision serait due à ses pouvoirs. Il ne voulait pas envisager que les paroles de son amant pouvaient avoir un autre sens.
Agacé par la tournure de ses pensées, Wufei se leva et décida de préparer ses affaires pour leur voyage sur les terres de Trowa. Quitte à ne pas trouver le sommeil autant s'occuper l'esprit.
A suivre…
