Disclaimer les personnages ne m'appartiennent pas etc…
Genre : OOC, UA, aventure, romance, fantastique
Couples : l'auteur va se planquer avant de se faire lyncher
Un chapitre plus petit cette fois-ci mais je voulais absolument le finir à ce moment précis de l'histoire… Comment dire… c'est la fin d'une époque :-p
S'il vous plaît… ne pas assassiner l'auteur après votre lecture.
Réponses aux reviews en fin de chapitre.
Bonne lecture !
Les Chevaliers Dragons : Livre II
Chapitre XXII : Quitte-moi
Une porte qui claque, des pas qui résonnent avec force sur le marbre d'un hall.
Mais ils ne peuvent fuir très loin avant que la porte ne claque à nouveau et qu'une ombre se mette à leur poursuite.
Cinq mètres.
Quatre mètres.
Trois mètres.
Deux mètres.
Un mètre.
Le poursuivant rattrape sa proie et lui saisit le bras.
« On a pas fini ! », gronda Heero en obligeant son vis-à-vis à lui faire place.
« Il n'y a plus rien à rajouter ! », s'exclama la voix inhabituellement froide de Duo.
« Arrête de te voiler la face ! Les pouvoirs de Shinigami font partis de toi à présent. Tu ne peux pas décider de ne plus les utiliser d'un claquement de doigts. »
« C'est pourtant ce que j'ai l'intention de faire. Ca ne doit pas être impossible puisque toi-même tu as pu te passer de Wing durant plusieurs années. »
« Ne compare pas nos deux situations. J'ai eu largement le temps d'endiguer l'énergie du dragon, ce qui n'est pas ton cas ! »
« C'est ce que nous verrons ! », s'exclama le seigneur du sud en essayant de se dégager de la poigne de son amant. Mais ce dernier ne desserra à aucun moment sa prise.
« Je ne veux pas te voir mort Duo. Je ne supporterai pas de me réveiller un matin en constatant que ton sang recouvrant mes mains n'était pas un cauchemar de ma part, mais bel et bien la réalité.»
« Tu ne me tueras pas Heero. »
« Wing le fera et cette fois, je ne pourrai pas l'en empêcher. »
Les deux chevaliers se jaugèrent, cherchant toujours un moyen de convaincre l'autre.
Duo était bien conscient que la réaction de son compagnon était due à l'angoisse de le voir blessé ou pire. Mais il était hors de question qu'il attende sagement, caché au fond d'un sanctuaire, que ses frères d'armes aillent combattre Lady Une et ses hommes. Il n'était pas un lâche.
Le seigneur du sud dégagea son bras d'un mouvement brusque. L'air toujours aussi impassible, il s'avança vers son amant pour ne se tenir qu'à quelques centimètres de lui. C'est d'une voix basse et en détachant chaque syllabe que Duo donna une réponse qui ne souffrait aucun appel.
« Ne me sous-estime pas Heero. »
Suite à cela, l'élu de Shinigami se détourna et s'en alla sans un regard en arrière. Son compagnon, aussi immobile qu'une statue, l'observa disparaître dans l'obscurité du couloir. S'il s'était écouté, il l'aurait assommé et ligoté dans une des nombreuses oubliettes du château.
Depuis leur arrivée à Thalya, les deux hommes n'avaient pas cessé de se disputer et malgré la profondeur de leur attachement, un mur invisible se dressait chaque jour un peu plus entre eux. La peur de voir disparaître à nouveau Duo obnubilait complètement Heero. C'était plus fort que lui, il avait la certitude qu'une catastrophe imminente allait s'abattre sur Sanc et il craignait plus que tout que son ami en soit à nouveau la victime.
Heero soupira avant de s'avancer vers une fenêtre qui donnait sur les jardins.
Le jour venait à peine de se lever et une épaisse brume habillait la forêt environnante d'un voile vaporeux. Le jeune homme laissa son regard vagabonder sur l'extérieur jusqu'à ce que ses yeux se fixent sur un point bien précis.
A la lisière du parc, Heero aperçut une masse sombre contraster avec le tapis de neige. Se concentrant au maximum, il finit par reconnaître la silhouette de Trowa. Intrigué par la sortie des plus matinale de son ami, il se décida à le rejoindre.
Ce fut d'un pas rapide qu'il atteignit l'extérieur et se dirigea vers les jardins. Lorsqu'il aperçut le chevalier de l'est, il fut surpris de constater que ce dernier semblait avoir de la compagnie.
Agenouillé à même le sol, le jeune homme caressait doucement la toison grise d'un loup. Heero le reconnut immédiatement. C'était le chef de meute qui leurs avait permis de localiser Lady Une et de sauver Zechs.
L'élu de Wing ne sut pas si le départ du prédateur était dû à son apparition ou si Trowa lui en avait donné l'ordre mais avant même qu'il ne puisse s'approcher d'eux, le seigneur de l'est se retrouvait seul.
« Heero. », le salua Trowa sans se retourner. « Tu es bien matinal. »
« J'avais une petite chose à régler. »
Son ami lui fit face, un léger sourire moqueur sur le visage.
« Et est-ce que « la chose » a fini par se laisser convaincre ? »
« Non, il est plus têtu qu'une mule. »
Trowa perdit son sourire pour prendre une expression plus sérieuse.
« Tu devrais lui faire confiance. »
« J'ai entièrement confiance en lui, c'est de Shinigami que je me méfie. », répondit Heero avec vigueur. « Il est fort, très fort. Wing a réussi à le battre sans trop de difficultés parce que Duo et Shinigami ne sont pas en symbiose. Mais si le dragon prend le dessus, il pourra se passer de l'aide de son chevalier pour survivre. »
« Tu crains la colère des autres dragons face au retour du dieu de la Mort ? »
« Ils le tueront sans hésitation. »
Trowa acquiesça avant de poursuivre.
« Mais tu ne peux pas l'empêcher de se battre à nos côtés. »
« Je le sais bien mais… »
« Tu sais Heero, il y a une chose que j'ai apprise aux côtés de Quatre, c'est qu'à un certain moment, il faut savoir croire en ceux qui nous entourent même si le futur est incertain, même si l'inquiétude est grande. Nous ne pouvons pas tout maîtriser. »
« Je ne veux pas le voir disparaître à nouveau. »
« Je le sais. »
Heero inspira profondément, laissant l'air hivernal envahir son être et calmer quelque peu sa colère. Une fois apaisé, il se décida à changer de conversation.
« Pourquoi ton ami est-il venu te voir ? », interrogea-t-il en parlant du loup.
« Il a trouvé quelque chose qui pourrait nous être utile. », répondit mystérieusement Trowa.
Heero haussa un sourcil d'un air intéressé.
Assis derrière un imposant bureau, Quatre prenait connaissance des dernières missives reçues de ses terres. Son haut ministre lui confirmait l'arrivée de Zechs et des prisonniers à la capitale escortés par quelques hommes de la garde personnelle de Trowa. Convaincre le jeune commandant de repartir sans eux avait été une tâche difficile mais vu son état, cela avait été la meilleure chose à faire.
Quant aux prisonniers…
Heero et lui les avaient interrogés pendant plusieurs jours. De toute évidence aucun d'eux ne savaient où Lady Une s'était enfuie. Ce qui n'étonna pas Quatre outre mesure, puisque tous les captifs étaient des mercenaires de basse catégorie.
Wufei avait proposé d'utiliser ses pouvoirs sur eux afin de les faire parler plus… rapidement. Mais l'élu de Sandrock avait refusé. Dans d'autres circonstances, il aurait sauté sur l'occasion mais sachant les liens qui unissaient son ami à Zechs, il n'était pas convaincu que le chevalier aurait pu maîtriser son degré de torture sur les prisonniers.
Mieux valait ne pas tenter le diable.
Le jeune monarque passa en revue encore plusieurs liasses de feuilles avant de s'arrêter sur l'une des dernières missives arrivées la journée précédente.
Tout d'abord surpris, Quatre sentit par la suite un sentiment d'exaspération l'envahir. Son haut ministre avait passé outre ses ordres, en poursuivant un projet qu'il avait expressément demandé de mettre en attente. Prenant tout de même le temps de lire le document, il ne put que constater que tout avait été fait dans les règles. Il ne manquait plus que sa signature.
C'est à ce moment-là que des coups se firent entendre à la porte de ses appartements. Priant la personne d'entrer, il vit apparaître Trowa qui, après avoir refermé derrière lui, vint prendre place en face de son amant.
« De bonnes nouvelles j'espère ? », dit le seigneur de l'est en avisant les feuillets soigneusement rangés sur le bureau.
« Pour la plupart, rien d'inquiétant à signaler. », répondit Quatre avant de tendre la missive qui, quelques instants plus tôt retenait encore toute son attention. « J'ai reçu ceci, je souhaiterais avoir ton avis sur le sujet. »
Trowa prit le document et le parcourut avec attention. Au fur et à mesure de sa lecture, son corps se crispa comme s'il venait d'apprendre que Lady Une avait envahi la totalité du Royaume de Sanc.
« Tu ne l'as pas signé. », constata-t-il en rendant le parchemin à Quatre.
« Pas encore. », précisa le jeune homme. « J'avais ordonné de ne rien entreprendre dans ce sens avant mon retour, mais apparemment, mes instructions n'ont pas été suivies. »
« Cela signifie-t-il que tu ne vas pas parapher cette demande ? »
« Je n'ai pas dit cela. »
Les deux hommes se jaugèrent en silence.
Quatre essayait d'analyser l'attitude de son compagnon comme un chasseur aurait évalué la dangerosité d'un prédateur. Chose très difficile lorsqu'il s'agissait du chevalier de l'est car il était passé maître dans l'art de camoufler ses émotions… en particulier lorsqu'elles avaient un lien avec lui… surtout lorsqu'elles avaient un lien avec lui.
Mais les derniers évènements auxquels ils avaient dû faire face ces derniers jours, la perte de leurs hommes et le réveil de Sandrock, avaient ouvert les yeux à Quatre et avaient dissipé ses dernières illusions. Le jeune souverain ne pouvait pas se permettre de réitérer les erreurs du passé. Ses priorités devaient changer, pour le bien de tous.
C'est pour cela qu'il préféra jouer cartes sur table.
« Que dois-je faire Trowa ? »
« Que veux-tu que je te dise Quatre ? Qu'attends-tu de moi ? », répondit sèchement le seigneur de l'est. « Une bénédiction peut-être ? »
« La dernière fois que nous avons eu ce genre de discussion, tu m'as dit que tu souhaitais rester à mes côtés, quelques soient mes obligations, quelques soient mes décisions. Ce que je veux savoir c'est si tu aspires toujours à poursuivre dans cette voix ? »
« Douterais-tu de ma parole ? »
« Pas un seul instant. Mais je sais ce que l'on ressent lorsque l'on voit la personne la plus importante de sa vie dans les bras d'une autre. J'ai connu les affres de la jalousie et je ne le souhaite à personne. C'est un poison des plus vicieux qui t'envahit peu à peu et te détruit. »
Quatre fit une pause avant de reprendre.
« Il y a une chose sur laquelle tu avais entièrement raison. Nous nous appartenons l'un à l'autre. Ni les évènements, ni le temps, ni nos obligations ne changeront cela. »
Trowa acquiesça silencieusement.
« Mais malgré ce lien, je vais devoir signer ce document. Toi et moi le savons.», continua Quatre. « Et j'aimerais que tu reviennes sur ta décision. »
« Pourquoi ? », s'exclama le chevalier de l'est qui perdait peu à peu son légendaire stoïcisme. « Je te l'ai déjà dit, je veux être à tes côtés. »
« Mais le supporteras-tu ? Resteras-tu de marbre en me voyant faire la cour à une jeune femme ? Garderas-tu ton calme lorsque je l'enlacerai ? Arriveras-tu à accepter le fait que tu ne seras plus le seul à partager la chaleur de mes draps ? »
« Arrête ! », gronda le jeune guerrier.
Quatre inspira calmement avant de se lever. Il fit le tour du bureau et s'avança jusque vers son amant. Lorsqu'il lui fit face, il posa un genou à terre et leva son visage afin de plonger son regard dans deux émeraudes aux reflets orageux.
« Trowa, mon but n'est pas de te blesser, bien au contraire. Mais je veux t'ouvrir les yeux. », poursuivit calmement l'élu de Sandrock. « Si un simple baiser a pu me faire perdre la maîtrise de mes pouvoirs, je n'ose imaginer à quel point mon union pourrait te briser. »
« Je saurai faire face. »
« Ca te tuera à petit feu… et tu me haïras. »
« Ne dis pas de bêtises. »
Quatre émit un rire discret mais triste.
« Tu n'es pas objectif. Nous cacher derrière nos rêves ne nous aidera pas à faire face à la réalité. »
Trowa toujours assis, s'avança un peu et se pencha en avant pour se rapprocher de son compagnon.
« Je t'ai déjà fait changé d'avis par le passé. »
« Cette fois-ci c'est différent. Je veux que ce soit toi qui mettes fin à notre liaison. »
« Jamais je ne le ferai. Je ne veux pas te quitter. »
« Moi non plus. Mais nous ne pouvons pas rester ensemble sans nous faire du mal. Alors je t'en prie aide-moi. Aide-moi à faire mon devoir parce que seul je n'y arriverai pas, je ne pourrai pas me battre aussi contre toi. »
A ces mots le seigneur de l'est détourna le regard, il paraissait soudainement si perdu que Quatre se sentit encore plus ébranlé.
« Je ne peux pas faire cela, je ne peux pas renoncer à toi. »
« Tu y seras contraint de toute façon. »
« Je ne peux pas. », répéta le seigneur de l'est avant de se lever et de faire les cents pas dans la pièce. « C'est au-dessus de mes forces. »
« S'il te plaît Trowa. », demanda Quatre en se relevant à son tour.
Blessé et quelque peu exaspéré par l'éternel calme du jeune souverain, l'héritier des Barton perdit son sang froid et laissa cours à sa colère.
« Comment peux-tu accepter cette situation ? », s'exclama-t-il. « Suis-je donc le seul à vouloir que nous soyons ensemble ? »
« C'est donc ce que tu penses de moi. Après tout ce que nous avons partagé, après tout ce que nous avons enduré, c'est ainsi que tu me vois. », répondit amèrement Quatre blessé par les mots de son amant.
Mais très rapidement, le jeune roi reprit la maîtrise de ses émotions. Il ne voulait pas se laisser aller encore une fois à la colère. Trowa devait comprendre coûte que coûte.
« Peut-être est-ce mieux ainsi. Si tu te mets à me détester les choses en seront facilitées. »
Quatre avança vers le chevalier afin de se rapprocher au maximum de lui. Lorsqu'il lui fit enfin face, il plongea son regard dans celui de son compagnon. Les iris émeraudes n'étaient qu'agressivité. Mais le jeune roi ne sourcilla pas. Il resta impassible. Peu à peu, la hargne du chevalier s'éteignit pour ne laisser la place qu'à une grande douleur.
« Quitte-moi. », implora Quatre.
« Ne me demande pas ça. », murmura son amant.
« Quitte-moi. », répéta le blond.
Les deux hommes restèrent silencieux s'observant sans retenue. Sur leurs deux visages pouvaient se lire toutes les émotions qui tournoyaient dans leurs âmes. Il n'y avait plus de faux-semblant, plus d'échappatoires, il ne restait que la froide vérité.
Trowa le savait. Il pouvait voir la détermination de son amant dans son regard. Par le passé, les doutes du jeune souverain l'avaient convaincu que tout n'était peut-être pas fini entre eux, qu'il pourrait le convaincre de lui conserver une place dans sa vie. Mais devant la détermination dont Quatre faisait preuve à présent, il savait au plus profond de lui-même que lutter serait vain et que son insistance ne ferait que blesser celui qu'il chérissait.
Prenant le silence de son compagnon comme un consentement, Quatre finit par se détourner de lui et se dirigea vers le bureau. L'élu de Sandrock prit une plume et d'un geste sûr, il apposa sa signature sur le parchemin. Il fit ensuite chauffer un bâton de cire dont les gouttes d'un rouge sang vinrent entacher le blanc virginal de la missive et avant que la matière ne se solidifie, il ôta sa chevalière, qui portait les armoiries de la famille royale, et y apposa son sceau.
Quatre fixa la feuille de papier qu'il venait de ratifier pendant quelques instants, la scrutant comme si cela fut la chose la plus surréaliste qu'il ait jamais vu. Puis, il finit par lever les yeux sur celui qui à partir de cette minute était devenu un simple frère d'armes.
Ce dernier paraissait perdu, un peu comme si toute son énergie s'était envolée. Il avait l'impression d'être une coquille vide.
« Trowa. », appela Quatre inquiet de son air hagard.
« Je… j'étais venu te prévenir. », commença le seigneur de l'est qui de toute évidence souhaitait mettre fin à toute discussion relative à leur liaison. « Les loups ont retrouvé la trace de Lady Une. »
Le jeune roi scruta le visage soudain fermé de Trowa et dut se résoudre à ne plus aborder ce sujet.
« On en est sûr ? »
« Oui, c'est pour cela qu'ils n'ont pas répondu à mon appel lors de notre dernière attaque. »
« Ils savent où elle se cache ? »
Trowa acquiesça avant de poursuivre.
« J'ai demandé à Wufei, Duo et Heero de nous rejoindre dans la salle des pourparlers. Ils doivent déjà nous y attendre. »
« Tu as bien fait. Cette fois-ci, elle ne nous échappera pas. »
Les deux guerriers quittèrent la pièce pour rejoindre leurs amis, laissant derrière eux leurs sentiments personnels.
Toujours posé sur le bureau, le parchemin demeurait la seule preuve de leur discussion. Sur le papier diaphane, on pouvait y lire l'accord passé entre le représentant du Royaume de Sanc et le souverain d'une puissante contrée nordique, ratifiant les fiançailles de leur princesse Dorothy Catalonia avec Quatre Raberba Winner.
A suivre…
Réponses aux reviews
Bubulalors ça mon petit poulpe des mers du sud… c'est de la review. Elle est presque aussi longue que mon chapitre… mdr. Merci pour ton soutien inébranlable et tes précieux conseils.
Syt th Evil Angel : désolée de te décevoir mais voici encore un chapitre où il ne se passe rien (comme tu aimes si bien me le rappeler… lol… mddr). GW Delirium ? Non, je connais pas mais j'irai jeter un œil.
Hayko Maxwell : c'est vrai qu'un Wuwu qui s'épanche c'est mignon (Wufei furieux) Ne me qualifie pas de mignon, Onna ! (Kitty qui l'ignore) Quant à l'état de Zechs… malheureusement… seul l'avenir nous le dira… mdr.
Flo ShadowSpirit : c'est cool, maintenant je sais que je peux continuer à martyriser les bishos en toute tranquillité… (Kitty aux anges)… mdr. Merci pour ta review :-)
Kida Saille : petit escargot noir a trouvé une paire de roller… maintenant elle avance beaucoup plus vite… lol
Kira-Samaje suis contente que ce petit couple te plaise. J'espère que mes nouveaux couples te plairont tout autant (Kitty va se planquer).
Kalas1209 : tiens une ch'tit nouvelle… mdr. Je suis contente que l'histoire te plaise et j'espère que tu auras tout autant de plaisir à lire la suite. Merci d'avoir pris le temps de laisser un review.
Mimi Yuy : un petit peu de tendresse dans le couple WxZ pour mieux casser les autres… je sens que je vais me faire lyncher… non ? Mdr. Merci pour le compliment (Kitty rouge comme une pivoine) Je suis ravie que l'histoire te plaise toujours après tous ces chapitres… va d'ailleurs falloir que je me décide à y mettre une fin :-p
Caramelonc'est vrai… ces temps-ci je suis aussi rapide que Bip Bip… mdr. Mais ne t'y habitue pas trop, ça va très vite changer :-( … lol. Quant à la torture physique (et psychique) des bishos, c'est un filon qui date d'avant nos fics et qui, j'en suis sûr, perdura encore bien après nous… mdr. C'est pas notre faute si ils ont une bouille à ce faire martyriser… non ?
Guizmoje suis à la fois ravie que ma fic t'aie plus et désolée de t'avoir empêché de dormir… mdr. J'espère que cette suite te plaira tout autant bien que, j'en suis sûr, ton aversion pour les ministres ne fera que se renforcer. Merci pour la review.
Florinoirta façon de positiver l'handicape de Zechs me plaît beaucoup… va falloir que j'y réfléchisse sérieusement… mdr. Pour ce qui est de ne pas perdre le nord en toute circonstance que dire sinon… qu'il faut bien un peu de tendresse dans ce monde de brute.