Moi : Bonjour tout le monde !

Envy /bas/ C'est ça, et mauvais jour à toi.

Moi : Aujourd'hui, le conte à la noix que j'écrirai sera spécial !

Envy : Il sera bon ?

Moi : Non, cherche encore.

Envy /cherche cherche/ Ce sera un crossover avec toutes les séries sur lesquelles tu fais des contes à la noix ?

Moi : Oh, tu me donnes des idées ! Mais non, ce n'est pas ça. Ce sera un conte exclusivement féminin !

Envy : Comment ça ?

Moi : Autrement dit, où tous les personnages sont des filles. Aussi, Envy, je te blorpste.

Envy : Argh /couic/

Winry : Blorpster, tu disais ? Ca n'a pas l'air agréable.

Moi : Salut Winry ! Justement je te cherchais.

Winry /rougissante/ Je fais l'héroïne du conte ?

Moi : Hum hum. En fait, non, tu fais la demoiselle en détresse.

Winry /coup de clé anglaise/

Moi : Ouilleuh ! Les attaques physiques des personnages ne sont pas censées pouvoir toucher le narrateur !

Winry /grands yeux brillants/ C'est une clé anglaise transcendentale inter-dimensionnelle que j'ai bricolée pendant un après-midi de libre.

Moi : Aïe, je vois ça. C'est moi qui n'ai pas su présenter les choses, on dirait. Tu n'es pas l'héroïne, mais tu joues une belle princesse, génie de la mécanique, ça te va ?

Winry : Tope là !

Moi : Puisque j'ai été contrainte de présenter les personnages complètement dans le désordre...

Winry : Hey, c'est toi qui as commencé !

Moi : Je ne sais plus dans quel ordre m'y prendre. /consulte ses notes/ Le conte que j'adapte aujourd'hui est "Les quatre frères habiles", sauf que, à la suite d'une pénurie de personnel qualifié et de ma décision de laisser une place aux femmes, il devrait plutôt s'appeler ici "Les trois soeurs habiles".

Winry : T'inquiète pas, on n'est pas à ça près.

Moi : Les trois soeurs en question seront Liza, Paninya et Scieszka ! Avant que vous ne vous mettiez à vous plaindre, je vous rappelle que "habile" est un compliment.

Liza, Paninya : Ca me va.

Scieszka : Mais je ne sais rien faire à part lire des livres...

Moi : Ne t'inquiètera, on t'arrangera quelque chose. Les parents des trois soeurs seront...

Envy /en fille/ Tu ne sens pas un problème ?

Moi : Tu es revenu ?

Envy : Complètement. je suis en fille, maintenant, j'ai le droit.

Moi : Je n'ai pas prévu de rôle pour toi, cette fois.

Envy : Quel bonheur ! Je pourrai consacrer tout mon temps à faire remarquer ce qui ne va pas ! Exemple typique : tu vas prendre deux filles, pour faire les parents ?

Moi : Ouais ! J'en suis pas à ça près, j'ai déjà pris Barry et Tucker dans un autre conte ! Les parents des trois soeurs seront Izumi et Sloth.

Izumi, Sloth : QUOI ?

Moi : C'est quoi le problème ?

Izumi, Sloth : Qu'est-ce que j'ai à voir avec elle ? Je ne la connais même pas !

Moi : Ben vous êtes les parents de Wrath, non ?

Izumi : Il me semble que mon mari a quand même un rôle dans l'affaire.

Moi : Queud. Il n'a pratiquement pas de passages émouvants avec lui, au niveau relation parentale, alors que vous deux, oui. Vous êtes les parents de Wrath, point, et c'est pour ça que j'ai envie de vous voir ensemble. /grand sourire bête/

Sloth : Et tu nous colles d'autres enfants.

Moi : Voui, tu comprends vite. Une fois que j'ai admis le principe, je veux vous voir ensemble, c'est tout. /grands yeux pleins d'étoiles/ Que ce soit en mode choupi, angst, débile, ou avec des tentacules, merci Laylah. /range les yeux pleins d'étoiles qui semblent soudain étrangement déplacés/

Izumi, Sloth : On n'est pas sorties de l'auberge.

Moi : Bwehehe. Sinon, les maîtres des trois soeurs habiles (c'est vrai, on n'est pas habile comme ça, de naissance) seront Maria, Psiren et Dante.

Maria, Psiren : Tiens, un rôle !

Dante : C'est des maîtres psychopathes qui veulent tuer leurs élèves et/ou leur voler leur corps /coeur/

Moi : Non, ce sont des bons maîtres, qui leur enseignent leur discipline, et au pire les exploitent un peu.

Dante : Ca veut dire que je suis une gentille ? O.O

Moi : Si tu veux, je te mets un bonus dans la catégorie "les exploitent un peu".

Dante : Ca me va. Qui sera mon élève /rictus sadique/

Moi : Surprise ! La reine-mère et grand-mère de Winry sera jouée par Pinako.

Pinako /fataliste/ Du travail en persective, pas vrai ?

Moi : Un peu d'enthousiasme ! N'importe qui serait content à l'idée de faire la reine !

Pinako /renifle dédaigneusement/ OK, c'est bien payé, mais c'est quand même un boulot difficile et ingrat, avec des clients (dits sujets) jamais contents.

Moi : En vrai, oui, mais là vous êtes dans un conte de fées, ça devrait aller. Il ne reste plus qu'à désigner un méchant, pour avoir un peu d'action.

Dante : Et ce n'est pas moi ! Le suspense est insoutenable !

Envy : Ce n'est pas moi non plus !

Moi : La méchante, qui est normalement un méchant dragon, sera joué par Martel !

Martel : Je suis encore un serpent ? Tu te renouvelles peu.

Moi : Ouais, mais cette fois, tu es un serpent géant, et tu voles !

Martel : Et je perds à la fin, c'est ça ?

Moi : Oops...

Martel : Je marche, si tu mets en projet un conte sur moi et Greed.

Moi : Tope là !

Martel : Sans serpents !

Moi : Euh, OK.

Martel : Deal.

Moi : Eh bien c'est bon, j'ai tout mon casting, nous pouvons commencer !


Moi : Il était une fois un couple. L'une des deux était maître en arts martiaux, l'autre était secrétaire. Elles avaient trois filles, et elles se lamentaient que ces dernières ne veuillent pas prendre leur suite.

Izumi, Sloth : Hélas ! Hélas !

Moi : Mais les filles étaient catégoriques. Un jour, elles les réunirent pour leur déclarer.

Izumi : Il faut absolument que vous appreniez un métier. Je comprends que vous ne vouliez pas reprendre les nôtres...

Sloth : Quoique difficilement. Secrétaire, c'est quand même un méier peinard, quand on le fait de la façon traditionnelle, c'est-à-dire pas du tout.

Moi /bas/ J'ai connu des secrétaires qui travaillaient comme trois, avec une efficacité redoutable, et je ne suis absolument pas responsable de tels propos !

Envy : T'es méga-crédible, parfois, tu sais ?

Izumi /à Sloth, négligeant bravement la conversation entre Envy et l'auteur/ Ne leur donne pas de mauvaises idées !

Sloth : On est l'incarnation de la paresse ou on ne l'est pas...

Izumi /à ses filles/ Mais il vous faudra de quoi gagner votre vie ! Aussi, dès la semaine prochaine, vous partirez sur les routes pour chercher un maître et apprendre un métier.

Liza, Paninya, Scieszka : D'accord, mère !

Sloth : Mais ne vous tuez pas à la tâche.

Liza, Paninya, Scieszka : D'accord, autre mère !

Moi : Les trois jeunes filles partirent sur les routes, et arrivèrent à une bifurcation d'où partaient trois chemins.

Liza : Séparons-nous ici, et donnons-nous rendez-vous au même endroit dans exactement deux ans.

Paninya, Scieszka : D'accord !

Moi : L'aînée des soeurs partit par le chemin de gauche, et en vertu du droit d'aînesse, de la structure du conte d'origine, et de mes attachements politiques, c'est son cas que nous traiterons en premier...

Liza : Abrège !

Moi : Euh, oui. Liza n'était pas sortie de la forêt qu'elle rencontra un chasseur.

Maria : Bonjour ! Où vas-tu ?

Liza : Je veux apprendre un métier !

Maria : Si tu restes avec moi, je t'apprendrai le métier de chasseur.

Liza : Et de quoi es-tu capable ?

Maria /montre un vol d'oies sauvages qui passe en triangle, très haut dans le ciel/ Je vais tirer la troisième sur la gauche, elle nous servira de dîner.

Moi : L'oie tomba, frappée en plein coeur, et Liza devin l'élève de Maria.

Maria /bas/ C'est quoi ce délire comme quoi je tire mieux que Liza ? j'ai honte !

Liza /bas/ Les obligations du rôle, sergent Ross... Ne vous en faites pas.

Pendant ce temps, la seconde soeur, qui était partie sur le chemin du milieu, rencontra une jeune femme.

Psiren : Bonjour ! Où vas-tu ?

Paninya : Je veux apprendre un métier.

Psiren : Je suis voleuse ; si tu restes avec moi, je te prendrai comme apprentie.

Paninya : Ce n'est pas un bon métier...

Psiren /légèrement offensée/ Comment ça, "pas un bon métier" ?

Paninya : On lèse les pauvres gens, et on finit en prison !

Psiren : Je ne suis pas ce genre de voleuse ! Je ne vole qu'aux riches, qui ont plus à offrir de toute façon, et si tu apprends tout ce que je sais, personne ne pourra jamais t'attraper !

Paninya : Ca a l'air cool ! Je viens voir au moins une fois, s tu réussis si bien que tu le dis.

Psiren : Tu vas voir ce dont je suis capable !

Moi : Il ne nous reste plus qu'à suivre la destinée de la troisième fille, qui était partie, comme on peut le deviner par élimination, sur le chemin de droite. Mais, contrairement aux autres, elle ne parvint pas à trouver un maître qui voulut d'elle. Un jour, elle arriva devant une grande maison.

Scieszka /frappe à la porte/

Dante /ouvre/ Que cherches-tu ?

Scieszka /embarrassée/ Madame, je voudrais apprendre un métier.

Dante : Et pourquoi viens-tu me demander à moi ?

Scieszka : Je ne sais où chercher, madame.

Dante : Il y a une église non loin de la. N'ont-ils pas besoin d'officiants ?

Scieszka : J'y ai été, mais je passais trop de temps à lire la Bible et je faisais tomber des choses, alors la gentille dame aux cheveux roses ne m'a pas gardée.

Dante : Au coeur de la forêt, il y a un repaire de brigands.

Scieszka : J'y suis allée, mais la jolie dame aux cheveux noirs n'a pas voulu de moi parce que je prenais les livres des gens au lieu de leurs objets précieux, et elle m'a chassée à coups d'ongles.

Dante : Tu aimes vraiment les livres, n'est-ce pas ?

Scieszka : Oh oui, madame !

Dante : Si tu viens chez moi, tu liras ma bibliothèque et tu en tiendras une liste ; et quand j'aurai besoin d'un livre sur un sujet précis, tu trouveras où il est, et tu me l'apporteras.

Scieszka : Oh, merci madame !

Moi : Ce plan était un peu une arnaque, parce que Scieszka n'apprenait pas de métier du tout. mais elle était très heureuse au milieu des livres complexes de la femme, et elle n'en demandait pas plus. De plus, elle était efficace et n'avait même pas besoin de dresser des livres pour en savoir le contenu. Enfin, elle dormait peu et se nourrissait de peu.

Dante : J'ai fait une bonne affaire, nyark nyark.

Moi : Mais les deux années passèrent, les trois soeurs quittèrent leurs maîtres, et se retrouvèrent à la croisée des chemins, avant de rentrer chez leur mère et leur mère.

Izumi : Mes chéries ! Quelle bonne surprise ! Qu'avez-vous appris ?

Liza : j'ai appris la chasse et le tir !

Paninya : J'ai appris à dérober n'importe quoi !

Scieszka : Moi, euh, j'ai lu des livres.

Liza, Paninya : Ce n'est pas un métier !

Sloth : Des livres sur quoi ?

Scieszka : Sur tout...

Izumi : C'est beaucoup. Je vais vous mettre à l'épreuve, pour tester vos talents. Regardez cet oiseau qui a bâti sOn nid sur la plus haute branChe du sapin. Sciezska, peux-tu me dire ce que c'est ?

Scieszka : Euh... C'est une mésange charbonnière, de la famille des paridés. On l'appelle aussi einguezinge ou oui-tatô, et elles sont réputées pour mener à l'entrée des trésors, les jours de pluie, pour s'y réfugier. Elles ne nourrissent d'insectes et ont absolument besoin de chenilles...

Sloth : C'est bon, c'est bon. Tu n'as pas perdu ton temps.

Izumi : Et toi, Paninya, pourrais-tu prendre ces oeufs ?

Moi : Paninya monta jusqu'en haut de l'arbre, fit un petit trou sous le lit, et ramena tous les oeufs sans même que la femelle s'en aperçoive.

Izumi : Et toi, Liza, pourrais-tu toucher cet oiseau ?

Envy /ricane/ Dis-moi, tu as une dent contre les oiseaux, c'est toujours eux qui prennent !

Moi : Hum... c'est dans le conte, et c'est aussi dans la tradition FMA. Dans les premiers épisodes, ou dans le 35, les auteurs s'amusent à nous montrer des oiseaux qui explosent en plein vol.

Envy : C'et pas la peine de te justifier, moi je trouve ça plutôt rigolo !

Moi : Ah, c'est comme ça ! He bien tu vas voir !

Liza : Je pourrais, mais c'est trop facile. Il ne bouge même pas. /réfléchit/ Je vais plutôt toucher à la fois cette brindille, et la troisième plume de sa queue, pour montrer ce que je peux faire.

Moi : C'est ce qu'elle fit, et Paninya ramena les oeufs dans le nid avec autant de facilité qu'elle les avait pris, et aucun oiseau de plus ne fut blessé durant l'écriture de ce compte, pour me conformer aux lois internationales et pour emmerder Envy.

Envy /boude/ De toute façon, il ne se passe rien, dans ton conte !

Moi : C'est vrai ! Remédions à ça.

Izumi /sourire/ Vos talents sont impressionnants. Il faudrait les employer à quelque chose d'utile. la petite-fille de la reine a récemment disparu, et il est promis sa main et la moitié du royaume à qui la ramènera.

Liza, Paninya : C'est parti !

Scieszka : Ah oui, je l'ai lu dans les journaux /réfléchit/ Des servantes ont cru voir une énorme créature volante s'envoler de la fenêtre. C'était le même jour qu'il y a eu une tempête sur le château, qui s'est déplacée en direction du nord, et ensuite il y en a encore eu dans les îles qui sont tout au nord-est.

Liza, Paninya : Allons dire cela à la reine !

Moi : ils se rendirent au palais royal, et la reine leur accorda un bateau, pour aller chercher sa petite fille.

Pinako : Il s'appelle Reviens !

Liza, Paninya, Scieszka : Promis, madame !

Pinako /grommelant/ Je crois que je ne le reverrai jamais. /soupir/ Mais j'ai tellement envie de revoir ma petite fille que je continue à me faire arnaquer.

Moi : Les trois soeurs naviguèrent vers les îles du nord-est, en suivant les traces de la tempête que Scieszka avait retenues dans des bulletins météorologiques. Elles finirent par arriver près d'une grande île noire.

Scieszka : Ca pourrait être la bonne ! Elle n'est indiquée sur aucune carte !

Liza : Et surtout, il y a dessus un dragon qui retient prisonnier une princesse.

Moi : Elles regardèrent dans la direction indiquée, et virent en effet une princesse enchaînée qui dormait près d'un serpent géant, je n'ai jamais dit que le dragon l'avait enlevée pour en faire son épouse et je décline toute responsabilité si vous vous mettez à fantasmer des choses sur les serpents et les chaînes...

Liza : Hum hum... /astique son flingue d'un air évocateur/

Moi : Oh pardon. La défense des bonnes moeurs et de l'esprit pur est efficace, ici. Enfin bref, ça semblait être le bon endroit, et Paninya débarqua sur l'île. Elle dut escalader des murs, éviter des pièges, mais finalement, elle réussit à enlever la princesse sans que le dragon s'en aperçoive.

Paninya /bas/ On y va, princesse ! Nous sommes envoyées par votre grand-mère !

Winry :-) :-)

Moi : La princesse ne parvenait pas à articuler quelque chose de cohérent, mais je voudrais bien vous y voir, moi, après avoir été enlevés par un dragon ! En tout cas, elle réussit à ne pas trébucher ni faire de bruits intempestifs, ce qui est déjà plus que ce qu'on attend d'une princesse blonde...

Winry /bas/ He ho, n'en rajoute pas !

Moi : Winry embarqua sur le bateau, qui s'en alla à toute vitesse. Mais, alors que l'île était déjà hors de vue, les filles eurent la très mauvaise surprise de voir le dragon foncer vers elle du bout de l'horizon !

Paninya : On est mal barrées.

Scieszka : J'aurais plutôt exprimé le même sentiment en hurlant "Aaaaaaaaaaaaaaahhhh!"

Moi : Mais Liza ne se laissa pas impressionner. Elle attendit que le dragon fut à portée, et lui tira trois balles, deux dans les yeux, une dans le coeur. Le dragon s'effondra dans la mer.

Winry : Yyeeaaaahhh !

Martel : Comme je déteste n'être là que pour mourir...

Paninya, Scieszka : T'es trop forte, grande soeur !

Moi : Mais n'allez pas croire que le conte finit comme ça, ça serait trop facile !

Liza : Je me disais, aussi...

Moi : Le dragon tombé à l'eau provoqua d'énormes vagues, qui fracassèrent une partie de la coque.

Martel : Bien fait. :-P

Paninya : On est mal barrées.

Scieszka : Et puis "Aaaaaaaaaaaaaaahhhh!", aussi.

Moi : Mais cette fois-ci, c'est la princesse qui ne se laissa pas impressionner par les morceaux de bois flottants et l'eau qui commençait à pénétrer dans la cale. Elle saisit son marteau, des clous, et répara le bateau en moins de temps qu'il n'en faut pour le dire.

Scieszka : c'est bon, cette fois ? On n'est pas mortes ?

Moi : Non, non. les malheurs doivent bien finir un jour... Le bateau regagna donc la terre sans encombre, les jeunes filles cessèrent de vomir leur déjeuner à cause du roulis, et la princesse retourna chez sa grand-mère.

Pinako : Ma chérie ! Tu es saine et sauve /aux trois soeurs/ Racontez-moi laquelle d'entre vous a sauvé ma fille.

Paninya : C'est moi qui l'ai enlevée du dragon qui la tenait prisonnière !

Liza : C'est moi qui ai tué le dragon qui nous a ensuite attaquées !

Scieszka : Moi j'ai juste montré le chemin. Et crié "Aaaaaaah", aussi.

Winry : Moi, j'ai réparé le bateau qui allait sombrer ! Grand-mère, je pense que toutes ont aidé à me délivrer. Pourquoi cet interrogatoire ?

Pinako /hum hum/ Disons que... la moitié du royaume, ça se partage... mais j'ai promis ta main à celui qui te délivrerait, et... comment dire... ça se partage moins.

Envy : Mais si, ça se partage ! Quel manque d'imagination !

Liza /le menace de son pistolet/ déjà que l'auteur nous impose ses fantasmes tordus, tu vas pas t'y mettre aussi.

Envy : Pfff, si on peu plus rigoler...

Winry : C'est quoi ce mauvais trip ? Il faut que j'épouse qui me sauve ? Hey, tu aurais pu me demander mon avis !

Pinako : Techniquement j'aurais pas pu, tu étais pas là, et ça augmentait les motivations. Mais tu comprends maintenant pourquoi il faut désigner celle qui a le plus contribué à te sauver.

Winry : Je vois ça. /hésitation/ Toutes m'ont aidé à parts égales, mais si je dois choisir, je dirais que c'est Sciezska qui a été la plus utile, sans qui ses soeurs n'auraient rien pu faire.

Moi : Cette remarque pouvait s'appliquer à n'importe laquelle des soeurs, mais Winry était une princesse, aussi personne ne pensa à la contrarier, même si certains chuchotèrent qu'elle avait tout simplement choisi celle qui lui plaisait le plus.

Winry /brandit sa clé anglaise/ Et alors ? Ca dérange quelqu'un ?

Moi : Non, non... Scieszka épousa la princesse Winry, et les deux autres soeurs se partagèrent l'autre moitié du royaume. Elles vécurent toutes en bon termes, leurs parents furent très fiers d'elle, et elles vécurent heureuses pour toujours !

Envy : Tu ne te renouvelles pas beaucoup, dans tes fins.

Moi : Et Envy se fit chatouiller jusqu'à ce que mort s'ensuive, et comme cela donna une fin originale au conte, il ne se plaignit plus jamais. /sourire/ Au revoir, et à la prochaine fois !

FIN