Titre : La reproduction des serpents
Auteur : lunny
Disclamer : Les personnages ne m'appartiennent pas, ils appartiennent à Masashi Kishimoto. ( Kabuto : c'est déjà une bonne nouvelle)
Résumé : Kabuto se pose des questions sur Orochimaru, est ce qu'il pourrait être un vrai serpent ?
Genre : yaoi, lemon
Avertissement : Ceci est un yaoi, donc les gens que ça gênent peuvent faire demi-tour vite fait. Il y a du lemon donc âmes sensibles demi-tour !
On voit l'auteur danser la salsa en solo une bouteille de champagne à trois quart vide à la main, l'auteur hurlant :
-On m'a envoyé des reviews ! On m'a envoyé des reviews !
Kabuto qui regarde la scène d'œil inquiet et murmure sur le point de pleurer :
-L'est complètement bourré et va faire un lemon, pauvre de moi !
L'auteur très heureux :
-Merci pour vos reviews !J'ai eu du retard à cause d'un gros bug... mais c'est fini!Merci à bee orchid (merci pour le truc des reviews!) Shihodo (j'espère que tu vas mieux, pour te faire monter la température, je sais pas si c'est réussi) NalaHalliwell et CordonsBleu (pardon de t''avoir fait pleurer, pas ma faute! ouais c ma première fic! et j'ai raté le lemon!)neko74(je suis rassuré, je serai pas seul à l'asile!) Nozomi (ouais! je serai pas tout seul, mais on va faire quoi dans une pièce fermé à 3? Regarder de yaois!) Koneko44 ( Et voila la suite! avec un lemon raté!)
L'auteur fait un grand sourire pervers et regarde Kabuto :
-Kabuto, on dirait que ton couple avec Orochi-chan a du succès !
Kabuto regarde l'aliéné mental d'auteur avec une pointe d'agacement :
-A ta place, je ne dirais pas ça, le dernier qui a éraflé son prénom a eu son village à moitié détruit et est mort face à mon maître, en emportant avec lui ses bras, mais il est comme même mort. D'ailleurs, comment ça se fait que Orochimaru a encore ses bras dans ta fic ?
L'auteur a la bouche ouverte et regarde Kabuto, puis finit par murmurer :
-Sarutobi, tué parce que il a mal prononcé le nom d'Orochimaru ?
Kabuto avec l'air de quelqu'un qui annonce une nouvelle que le monde, non l'univers connaît déjà :
-Tout le monde le sait ! Tu as cru ce qu'il disait dans le manga ? Tu es vraiment naïf.
L'auteur vexé murmure avec un sourire sadique :
-Tu vas voir qui est naïf dans ce chapitre…
Puis continue plus fort pour que Kabuto l'entende avec un air louche :
-Si il a encore ses bras, c'est parce que ça serait moins bien si il pouvait pas les utiliser… Tu vois ce que je veux dire Kabuto ?
Kabuto murmure très gêné :
-Ouais, Bon on passe au chapitre ?
L'auteur grand sourire :
-Mais, c'est qu'il est pressé de se faire dépuceler notre Kabuto !
Kabuto vexé :
-Je suis pas puceau !
L'auteur pas très convaincu :
-M'ouais, m'ouais… N'empêche que t'es pressé…
Bonne lecture !
La reproduction des serpents ( ou quand Orochimaru passe à l'action)
Kabuto n'osait pas remuer d'un doigt, Orochimaru le regardait surpris, ils se regardaient les yeux dans les yeux,
« Très belle expression n'est-ce pas ? » pensa Kabuto.
Ça lui faisait penser à une histoire, telles qu'il les avait vu à la télé, qui aurait pu se nommer Amour, Fric et Beauté, avec des jeunes filles douces et délicates qui cherchent désespérément leur âme sœur, un mec bien foutu généralement avec un salaire dépassant les un milliard par an et amoureux d'elles, c'est préférable. Qu'elles finissaient toujours par rencontrer alors qu'elles se faisaient agresser par des mecs mal peignés et essayant de lui soutirer des coquineries dont elles ne comprenaient pas le sens, ben oui, il fallait que l'héroïne soit naïve pour l'histoire car il n'y avait aucune scène de cul dans l'histoire. Bien revenons à la jeune fille qui se faisait agresser par des mecs mal peignés et dont le sauveur et accessoirement prince charmant se ramenait généralement au moment où la jeune fille allait se faire frapper et la sauvant des malotrus par sa seule présence, empêchant de voir le visage de la charmante et jeune fille, refait à la chirurgie esthétique, et couvert de deux trois couches de maquillage qui coûtait la peau des fesses, déformé par des gros bleus et autres sortes de coups, et là, il se regardait droit dans les yeux, on passait une musique de fond soi-disant romantique qui donnait plus envie de dormir qu'autre chose, et là commençait l'histoire. Et après des crises de jalousies faîtes par la femme pour un appel d'une autre ou autre chose du style où on présentait la jolie jeune fille pleurant dans son lit comme la victime et le mec buvant dans un bistrot comme le grand méchant de l'histoire, on finissait par un Happy End où la jeune fille et le prince charmant finissaient leurs jours heureux et avaient quelques gosses dont on ne précisait pas la provenance, les scènes de cul étant inexistantes, et tout ce petit monde vivait heureux jusqu'à la fin des temps. Un conte version adulte en somme, tout y finissait bien.
Une légère pression sur son poignet le fit sortir de ses pensées, combien temps cela faisait-il qu'il rêvait ? Il l'ignorait et fut surpris de se rendre compte qu'il n'avait pas quitté son maître du regard, légèrement dans la lune ou une planète éloigné, il se demanda si il avait une chance quelconque que la suite se passe comme dans une histoire à la télé, cette chance était sans doute inexistante, il ne voyait pas son maître le regarder avec tendresse, ça ne correspondait pas au profil d'Orochimaru, il était plutôt à regarder le sang s'écouler de vous avec tendresse, que de vous regarder tout court avec tendresse. Pourtant, il calcula encore ses chances quand Orochimaru ouvrit la bouche pour parler, disons qu'il y avait une chance sur des millions. Orochimaru demanda encore une fois :
-Kabuto, qu'est-ce que tu fais là ?
Le dit Kabuto baissa la tête très rapidement en rougissant, cette question l'avait fait tomber de son petit nuage en très peu de temps, il se maudit intérieurement, quelle idée de rentrer dans la chambre d'Orochimaru en pleine nuit. Et de se faire prendre en plus, si son maître ne l'avait pas reconnu il serait en train de décorer le mur avec les restes de son corps. Pour faire quoi déjà ? La vision de son maître en train de dormir avait du cramer ce qu'il avait réussit à sauver de cerveau en fréquentant ce psychopathe qui occupait le lit car il ne s'en rappela que après une intense concentration, mais il devait lui rester quelques neurones car il ne dit pas la raison de sa présence à son mentor. Oui, ça lui ferais très mal de lui demander combien il avait d'organes de reproduction, ça lui ferais mal car il doutait que le mur derrière lui puisse lui servir d'amortisseur valable quand son maître lui envoierais son poing dans sa figure. Alors, il resta la tête baissé les joues brûlantes et dans l'incapacité de s'enfuir en courant car son maître tenait toujours son poignet. C'est Orochimaru qui brisa ce silence assez gênant pour Kabuto en demandant doucement comme si il parlait à un enfant qui pleurerais, rectification, comme quelqu'un de normal parlerait à un enfant en train de pleurer, Orochimaru se serrait contenté dans les meilleurs cas, de l'ignorer, dans le pire des cas, de l'ajouter à la liste de ses victimes. Bref, il demanda avec douceur :
-Tu me le diras pas ?
Kabuto hocha doucement la tête, dans une autre circonstance, il aurait éclaté de rire si son maître lui avait parlé sur ce ton, on aurait dit un père parlant à son enfant qui avait fait une grosse bêtise essayant de le raisonner, mais aucun des deux ne savait vraiment ce que c'était être un enfant, être ninja était plus facile à définir. En d'autres circonstances, il aurait ri, mais il savait que ce n'était pas les bonnes circonstances, il était entré dans la chambre de son maître, il n'en avait pas le droit, que croyait Orochimaru maintenant, Qu'il l'avait trahi ? ça semblait être le cas. Il ne lui accorderais plus sa confiance, il sera sûrement renvoyé, peut-être tué, il ne pourra jamais marcher derrière lui, il ne pourra pas surveiller ses arrières, il ne pourra plus se battre à ses côtés, et surtout il ne pourra plus manger avec lui. Kabuto avait l'impression que l'on lui avait ouvert le cœur et qu'on s'amusait lui enlever tout ses plaisirs un par un, et il avait conscience que si il les perdaient, il ne les goûterait plus jamais, il aurait voulu s'excuser, mais, il n'y arrivait pas, les mots restaient bloqués quelques part dans sa gorge. Alors, il abandonna le fait de parler et resta là comme un enfant qui attendait sa punition, les épaules basses attendant les coups qu'ils allaient venir, à genoux, il était entièrement soumit à la rage que ressentait sûrement son maître à son égard.
Pourtant, les coups ne vinrent pas, à la place Kabuto senti la main que Orochimaru n'utilisait pas pour le retenir se promener le long des doigts de la main qui était emprisonné. Des frôlements à peine, pourtant, il se sentait fondre sous cette caresse. Les doigts d'Orochimaru étaient chauds, ou peut-être que ceux de Kabuto étaient froids. Les légers frôlements s'arrêtèrent, Kabuto se ressaisit immédiatement, il entendit alors la voix d'Orochimaru douce et presque rêveuse :
-Tu as les mains douces Kabuto.
Kabuto rougit à cette remarque, il portait toujours des gants habituellement, mais, ce soir, en venant ici, il ne s'était pas senti obligé de les ramener. Orochimaru continua toujours la voix douce :
-Mais, elles sont froides…
Kabuto ne cilla pas, sa main était toujours prisonnière de celle d'Orochimaru et il ne voulait toujours pas le regarder. Il sentit son poignet libéré de son étreinte, mais il ne pensa pas à s'enfuir, peut-être parce qu'il doutait du fait qu'il puisse atteindre la porte ou peut-être était-ce simplement le fait que Orochimaru avait enlacé sa main avec une douceur qu'il ne lui connaissait pas. Il sentit sa main entraîné par la main chaude de son maître suivant un chemin qu'il lui était inconnu. Il sentait la main chaude et légèrement rugueuse sur sa paume. Il sentit quelque chose de doux sur sa main, lui donnant encore pus de chaleur, il ne connaissait pas la douceur de cette chose, mais elle était chaude. Il leva alors les yeux pour rencontrer ceux de son maître, il le regardait intensément comme si il attendait quelque chose, Kabuto contempla les superbes yeux de son maître, si envoûtants tels des serpents, et doucement, il se rendit compte que la chose sur laquelle était sa main, n'était rien d'autres que le visage de son maître. Sa main guidé par celle d'Orochimaru faisait des légers ronds sur la joues d'Orochimaru.
Orochimaru ne quittait pas Kabuto des yeux, ce dernier semblait fasciner par les cercles que dessinaient sa main sur la joues de son maître. Alors très doucement, le maître conduisit la main de son subordonné vers ses lèvres. Le subordonné semblait en pleine transe, ne quittant pas une seconde sa main du regard. Les lèvres d'Orochimaru se posèrent doucement sur celle de l'homme à genoux devant lui. Et il l'éloigna d'elle doucement et fit écarter, au pantin qu'était devenu Kabuto, ses doigts, puis il les rapprocha de nouveau de sa bouche mais cette fois, il ne les embrassa pas, il sortit sa langue et commença à lécher avec application les contours des doigts qui lui était offert.
Kabuto regardait avec fascination la langue passant entre l'interstice des doigts remontant au sommet d'un d'eux puis redescendant , et tout ça avec lenteur. Il sentait la salive de son maître se déposer sur ses doigts répandant la chaleur de sa bouche. Kabuto regardait cette langue rouge aller et venir entre ses doigts, il se sentait incapable de réfléchir et se lever semblait au-dessus de ses forces. Cette langue qui se glissait insidieusement entre ses doigts le rendait complètement mou. Orochimaru, agacé par le manque de réaction de l'homme lui faisant face, enfourna l'index entier de ce dernier dans sa bouche et doucement il la faisait aller et venir de sa bouche vers l'extérieur. Kabuto regardait son doigt entrer et sortir de la bouche d'Orochimaru, il revient sur terre et une chaleur peu commune se dégagea dans son corps, plus précisément dans son bas-ventre. Il se sentit rougir quand il s'imagina que ce doigt aurait pu être remplacé par tout autre chose. Il leva les yeux vers Orochimaru qui le regardait toujours aussi intensément, il était complètement perdu, que voulait cet homme qui le dominait, il l'ignorait ou cela lui semblait bien trop irréel. Orochimaru avait cessé de faire aller et venir dans sa bouche le doigt de Kabuto. Orochimaru voyant que Kabuto semblait comprendre mais qu'il n'arrivait pas en s'en persuader lui fit un grand sourire, le sourire que l'on fait à une dinde quand on se l'imagine à Noël , bien grasse et à la chair bien tendre, le sourire de quelqu'un qui déguste quelque chose du regard, en l'occurrence, Orochimaru dégustait Kabuto du regard. Kabuto rougit encore plus quand il vit le regard d'Orochimaru. Il comprit qu'il ne sortirait pas de cette chambre avant le lever du jour.
Orochimaru tira un coup sec sur la main de Kabuto qu'il tenait toujours, ce qui amena un Kabuto surpris à se retrouver au-dessus d'un Orochimaru lui aussi étonné. Il avait simplement tiré sur la main de son subordonné et ce dernier se trouvait au-dessus de lui ( C'est ça la magie des fanfics ( sniff)) Kabuto sentait malgré ses vêtements la chaleur du corps d'Orochimaru contre le sien, ses jambes emmêlées au siennes, et le fait qu'il était nu, même si il y avait un drap le gêna encore plus. Il se releva aussi bien qu'il le pu. Il se retrouva donc les genoux de chaque côté des jambes de l'homme près de son bassin, les mains de part et d'autres de la tête de son maître, et la tête en face de la sienne. Il observa son maître sous lui. Ses cheveux noirs dénoués autour de sa tête, son regard fixé sur lui, ses lèvres rouges formant un sourire amusé. Kabuto rougit en voyant de nouveau le regard prédateur qu'arborait son maître. Orochimaru le fixa quelques secondes et finit par faire basculer Kabuto sous lui, ils se retrouvèrent tout deux recouvert du drap, Kabuto lui lança un regard intrigué, l'homme se pencha vers son oreille en profita pour la lécher doucement puis murmura sensuellement :
- Je préfère être au dessus.
Kabuto piqua un fard à l'explication de son maître, il pensa se reconvertir en phare pour les bateaux perdus si il continuait à rougir autant de fois par jours, mais il y renonça quand Orochimaru murmura toujours, amusé :
-Tu sais que tu es mignon quand tu rougis ?
Non, finalement, c'était plus intéressant d'être au chaud avec votre maître dans le même lit à attendre qu'il passe à l'étape supérieur que de grelotter de froid dans un phare au beau milieu de nul part à attendre des bateaux qui ne viendront jamais, et tout ça sans Orochimaru pour vous consoler. Orochimaru qui ignorait les pensées de Kabuto était occupé à déposer des baisers dans le cou de ce dernier. Légers d'abord, plus ponctués après, il embrassait tout ce que sa bouche avide de découverte avait à sa porté, ses mains étaient occupés à détacher le bandeau retenant ses cheveux, il n'y arriva pas et finit par déchirer le bandeau et le balancer à travers la pièce, le bandeau se cogna contre l'armoire formant un joli Bang. Aucunement dérangé Orochimaru reprit ses activité, Kabuto gémit quand Orochimaru arriva une nouvelle fois à son oreille et qu'il s'amusa à titiller le point sensible juste derrière avec sa langue. Il mordit légèrement le lobe puis s'attaqua au visage de Kabuto, les joues d'abord avec des baisers innocents, puis le coin des lèvres l'effleurant à peine laissant juste à Kabuto d'en sentir la douceur. Orochimaru se mit à quelques centimètres du visage de Kabuto et l'observa tout en caressant du bouts des doigts le visage de l'homme sous lui. Il avait les joues rouges, la bouche à demi-ouverte appelant à la luxure, le souffle rapide comme si il avait couru, les cheveux blonds éparpillés formant un halo de lumière autour de lui, ses yeux à demi clos embué par le désir, il était tout simplement beau comme ça. Mais, Orochimaru arrêta ses caresses, il saisit doucement les lunettes de l'homme et les balança sans plus de cérémonie à travers la pièce, les laissant suivre le même chemin que le bandeau de tout à l'heure, Orochimaru ne tenait pas à ce que quelque chose d'aussi futile le gêne pendant ses occupations. Kabuto qui n'était pas de cet avis cria presque :
-Mes lunet…
Kabuto ne pu finir sa phrase car Orochimaru avait décidé de l'embrasser, d'ailleurs sa langue cherchait avidement son homologue qui ne tarda pas à se présenter. Les lunettes frappèrent l'armoire en produisant un joli Bing, mais personne dans la pièce ne s'en souciait.
Les mains de Kabuto se placèrent instinctivement derrière le cou de l'autre, jouant avec les cheveux noirs d'Orochimaru, descendant et remontant le long du dos donnant des caresses inconsciemment. Caresses dont Orochimaru était friand, ses mains étaient occupés à descendre le long du ventre de Kabuto, lui donnant des caresses à travers ses vêtements, sa bouche, elle, était occupé avec celle de son homologue. Ils se séparent à regrets, à bout de souffle, ils se fixèrent, une des mains de Kabuto descendant et remontant toujours dans le dos d'Orochimaru, l'autre jouant avec ses cheveux, mais Kabuto était trop occupé à identifier les choses lui faisant des caresses à travers son T-shirt pour s'en rendre compte. Orochimaru, lui, avait parfaitement conscience de ce que faisait ses mains et celles de Kabuto. Orochimaru atteignit enfin l'endroit qui l'intéressait pour le moment, c'est à dire le bas du T-shirt de l'homme dans son lit. Il glissa ses mains sous le tissu et refit le chemin en sens inverse, prodiguant des caresses de plus en plus marqué à Kabuto et soulevant le T-shirt à l'occasion. En attendant que le T-shirt se barre, il en profita pour déposer un long baiser à la basse du cou de Kabuto qui gémissait sous les caresses d'Orochimaru. Les mains s'arrêtèrent quelques instants au niveau de ses tétons et commencèrent à les malmener lui faisant pousser des gémissements plus marqués. Orochimaru s'éloigna du cou de l'homme à regret et envoya valser le T-shirt à travers la chambre et qui suivit le même chemin que le bandeau et les lunettes, et qui lui se cogna avec un joli Bong, sûrement du au fait que Kabuto y rangeait son portable nouvelle génération. Mais il était bien trop occupé pour y penser.
Kabuto en avait profité pour reprendre les lèvres de Orochimaru et explorait la bouche de l'homme avec avidité. Bouche qu'il du quitter par manque d'oxygène et bouche qui s'échappa pour partir à la découverte de son torse. Elle malmena un des tétons dés qu'ils fut à sa porté et une main s'occupa de l'autre, les pauvres tétons durcirent vite sous cette vague de caresse. Kabuto n'avait plus trop conscience d'où il était, tout ce qu'il savait c'est que une bouche et une main lui donnait du plaisir et qu'il en voulait plus, la bouche du entendre sa prière car elle descendit le long de son torse avec lenteur déposant des baisers ardents sur la peau. Suivant le torse pâle et légèrement musclé pour arriver à un pantalon. Orochimaru détacha sa bouche de la douce peau qu'il dévorait depuis tout à l'heure, pour enlever le vêtement qu'il le gênait, enfin plutôt les deux vêtements qui le gênait puisqu'il embarqua le caleçon du blond avec. Les deux vêtements qu'il balança comme tout les autres objets à travers la pièce, vêtements comme tout les autres objets percuta l'armoire, et cela produisit un joli Plaf, mais il fit couvert par les gémissement d'un certain blond propriétaire du pantalon et du caleçon. Orochimaru léchait l'intérieur des cuisses de Kabuto qui ne cessait de gémir. Il remontait lentement tel le serpent qu'il était et arriva bientôt à l'endroit le plus intéressant, il observa en se léchant les lèvres le sexe dressé de plaisir n'attendant que lui. Il le caressa du bout des doigts envoyant des ondes de plaisirs à l'homme allongé. Il en dessina les contours savourant les gémissements de sa victime. Puis il approcha sa bouche et le lécha de tout son long, l'homme allongé n'en menait pas large, tremblant d'excitation, il poussa un cri de plaisir en sentant la langue parcourir son sexe. Il en poussa un de nouveau quand il sentit son sexe se faisant englober par une bouche gourmande, il haletait sa respiration devenant de plus en plus rapide à mesure que la bouche allait et venait doucement d'abord puis de plus en plus vite. Il sentait le plaisir augmenter à chaque allé et venu et tout ce qu'il pouvait murmurer était :
-Encore
Il se laissait complètement faire par son maître qui savourait la litanie de l'homme allongé entièrement à sa merci. Il faisait aller et venir sa bouche de plus en plus vite, envoyant des ondes de plaisirs de plus en plus forte. Kabuto respirait bruyamment, il se sentait empli de plaisir et n'y tenant plus se déversa dans la bouche de son maître en hurlant son nom.
Le maître goûta la semence avec délectation et l'avala, il lécha ce qu'il restait avec la même délectation et remonta pour échanger un baiser avec Kabuto. Son érection se frotta sur la cuisse de Kabuto qui rougit. Orochimaru eu un nouveau sourire amusé et murmura près de son oreille :
-Je te veux.
Kabuto comprit très bien où il voulait en venir, mais, il n'était pas sûr d'être vraiment prêt. Orochimaru du le remarquer car il murmura une nouvelle fois :
-Fais moi confiance.
Kabuto hocha la tête légèrement anxieux, Orochimaru lui tendit deux de ses doigts, il les lécha avec attention, se préparant mentalement à ce qu'il allait venir. Orochimaru en profita pour l'embrasser un peu partout goûtant à sa peau, et essayant de le rassurer. Quand Kabuto eu terminé, Orochimaru amena ses doigts près de l'intimité de Kabuto et la caressa doucement, il embrassa Kabuto dans le cou tout en introduisant un doigt dans son intimité, Kabuto retint un cri de douleur sentant le doigt pénétrer en lui, Orochimaru fit de son mieux pour lui faire oublier en le mordant, embrassant, caressant, quand Kabuto fut habitué à la présence du doigt Orochimaru lui fit faire des allers et venus, Kabuto gémit de plaisir. Orochimaru introduisit un deuxième doigt, une fois encore Kabuto retint un cri de douleur et une fois encore Orochimaru fit de son mieux pour lui faire oublier, le laissant s'habituer à cette présence incongrue. Et doucement, sous les caresses, Kabuto s'y habitua. Il refit faire des allers et venus faisant pousser des cris à Kabuto. Il introduisit son troisième doigt à la suite du deuxième, cette fois, il lui fallut plus de temps à pour s'y habituer, puis Orochimaru fit des allées et venu faisant crier Kabuto de plaisir. Orochimaru retira ses doigts, Kabuto poussa un cri d'indignation qui fit vite remplacer par un cri de douleur mêlé de surprise sentant qu'on le pénétrait. Orochimaru resta immobile laissant le temps à Kabuto à s'habituer à sa présence en lui, essayant de lui faire oublier en promenant ses mains sur son corps le caressant. Puis doucement, quand Kabuto hocha la tête sous sa question muette, il pénétra doucement plus en profondeur, attentif au moindre signe de souffrance de la part de l'homme dans lequel il était. Kabuto avait les yeux fermés, essayant de se concentrer sur autre chose que le fait qu'il était en train de se faire pénétrer, comme sur cette main qui caressait doucement sa cuisse, pourtant, il se sentait brûler de l'intérieur, ou peut-être sur cette bouche qui lui suçait le cou, ou peut-être le fait qu'il était assis alors qu'il y a quelques minutes il était allongé. Soudain, il sentit une vague de plaisir l'emplir et il poussa un cri de pur plaisir.
Orochimaru eu un sourire finalement, il avait réussi, il aurait fait la danse de la victoire si cela n'aurait pas détruit tout ses efforts. Il avait finalement atteint le but, c'est à dire faire hurler de plaisir Kabuto, et il n'allait pas s'arrêter en si bon chemin. Il fit doucement aller et venir son sexe, Kabuto serrant d'abord les dents et criant quand il atteignait le but recherché, puis il cessa de serrer les dents, s'habituant à cette présence à l'intérieur de lui. Et bientôt la chambre ne fut empli que de gémissements et cris de plaisir. Orochimaru saisit le sexe de Kabuto et fit des allers venus en imprimant le même rythme que ses va et viens à l'intérieur de Kabuto. Il ne fallut pas longtemps à Kabuto pour jouir provoquant la même réaction chez son maître. Et à ce moment là, Orochimaru emprisonna les lèvres de Kabuto, lui évitant de hurler son nom. Et tout deux épuisé tombèrent sur le lit. Kabuto ne mit pas longtemps à s'endormir dans les bras de son maître, maître qui en profita pour le mater sans vergogne.
Le lendemain matin, Kabuto fut réveillé par le cri mélodieux des oiseaux ressemblant à un concert de rock. Il avait du mal à reconnaître sa chambre ce matin. Il chercha ses lunettes à tâtons pour s'éclaircir la vue et les idées en passant. Seulement, il eu un problème, on avait kidnappé sa table de nuit pendant son sommeil, vu qu'il avait beau chercher, il ne trouvait pas. Il jura contre ses voleurs de commode quand il se rendit compte qu'un bras l'entourait pourtant aux dernières nouvelles, il était seul dans sa chambre… Un voleur de commode qui s'endort dans la chambre des gens qu'il vole ? Qui sait… minute, pourquoi quelqu'un irait voler une commode ? De toutes façons, c'est leur problème, non ? Il tourna la tête pour voir le voleur de commode. Il tomba nez à nez avec Orochimaru le regardant l'air amusé, il lui demanda :
-Tu as bien dormi ?
La seule réponse con que pu sortir Kabuto fut :
-Très bien et vous ?
Orochimaru étendit son sourire et murmura sensuellement :
-Très bien après cette nuit.
Alors ce fut comme l'illumination dans la tête de Kabuto, qui était vraiment pas réveillé le matin, il se souvint de moindre détails de la nuit précédente et afficha une figure rouge de pomme bien mûre. Orochimaru déposa un baiser sur les lèvres de Kabuto ce qui finit de lui confirmer que ce n'était pas un rêve. Orochimaru s'étira en baillant. Kabuto sortit de son lit et se mit à la recherche de ses lunettes, si il se souvenait bien, elle était tombé près de l'armoire avec le reste de ses affaires, Orochimaru qui s'était assis sur le bord de regardait Kabuto chercher ses affaires sans l'aider. Car, si il le faisait, il ne pourrait plus admirer le spectacle que lui offrait son subordonné. Kabuto trouva enfin ses affaires au grand mécontentement d'Orochimaru qui ne pouvait plus admirer la vue, vu que l'objet de ses désirs était en train de s'habiller. Il remarqua d'ailleurs que l'objet de ses désirs avait du mal à marcher, un souvenir de la nuit précédente, ne pu-t-il s'empêcher de penser.
Kabuto vérifiait que ses affaires étaient en bonne état, enfin le reste de ses affaires, c'est à dire un bandeau déchiré, des verres de lunettes rayés et un portable en pièces détachés, d'ailleurs, il n'y avait que ses vêtements qui est survécu, mais il lui semblait qu'il lui manquait quelque chose, il chercha désespérément partout autour de lui. Non, il n'y en avait aucune trace, il se retourna et sa plus grande peur se confirma. Orochimaru dans ses mains tenait le livre : « Tout sur les serpents » et lisant la page qu'il avait marqué, vous savez sur la reproduction des serpents. Orochimaru avait sans doute finit de lire, il regardait Kabuto amusé, Kabuto était conscient qu'il allait se faire humilier. Orochimaru se leva. Toujours aussi nu, s'approcha de Kabuto lui lécha l'oreille et demanda :
-C'est pourquoi tu es venu hier ?
Kabuto hocha la tête conscient qu'il ne pourrait mentir. Et attendit, il ne savait pas quoi, mais il attendit, la voix d'Orochimaru s'éleva et dit moqueuse :
-Et la réponse te convient ?
Kabuto rougit et se contenta d'hocher la tête. Orochimaru sourit, il déposa ses lèvres sur celles de Kabuto et murmura :
-Ne rentres pas trop tard.
Kabuto le regarda surpris. Comment savait-il qu'il allait sortir ? Orochimaru répondit à sa question muette :
-Kabuto, je te connais tellement bien que je pourrais prévoir toutes tes réactions un mois à l'avance.
Le jeune homme sourit, vola un baiser au plus âgé et sortit en lançant :
-Je serai rentré pour ce soir.
Il n'entendit pas Orochimaru dire une lueur louche dans les yeux :
-J'y compte bien.
Kisame sortit à l'air libre pour son entraînement quotidien au sabre. Mais quand il sortit de la maison bleu avec des petits nuages, à l'image de toutes les maisons de l'Akatsuki ( à votre avis pourquoi Orochimaru a quitté l'Akatsuki ? Ça lui allait pas au teint !) Il tomba sur un petit paquet sur le pas de sa porte et accessoirement la porte de Uchiwa, mais ça on s'en fout. Il le prit dans ses mains. Pas très grand, recouvert d'un papier cadeau avec des lapins roses. Il prit la carte qu'on y avait collé et l'ouvrit. Il y était écrit :
Kisame,
Il n'y a pas longtemps lors de notre dernière rencontre, je t'ai emprunté un livre. Etant dans l'incapacité de te le rendre. Je t'en ai acheté un autre qui t'aidera j'en suis sûr. Avec mes sincères excuses.
Kabuto
P.S : Orochimaru n'en a qu'une, mais je te rassure, elle marche très bien.
Kisame regarda la lettre en souriant de toutes ses dents, un sourire qui le faisait ressembler encore plus à un requin. Il observa le paquet avec attention. Il ne semblait pas piégé. Il l'ouvrit. Un petit livre semblable à celui qu'il avait « donné » sauf que le titre était : « La drague pour Dracula », Kisame regarda le livre et s'en retourna vers sa maison, s'arrêta juste le temps de dire :
-J'ai déjà cet exemplaire chez moi, mais merci comme même
Et la porte se referma, et derrière un arbre on pouvait voir Kabuto la bouche grande ouverte comprenant le sous-entendu.
Fin
L'auteur (une bouteille vide à la main) :
-J'ai enfin fini ! Le plus dur ça a été le lemon, et en plus, il est horrible… Je suis pas faîtes pour ça !
Kabuto (vexé) :
-T'avais qu'à réfléchir avant de publier cette fic.
L'auteur (étonné) :
-Pourquoi t'es de mauvaise humeur ?
Kabuto ( très vexé) :
-Je suis en dessous, pourquoi ?
L'auteur (grand sourire d'aliéné le retour !) :
-Parce que Orochimaru c'est ton patron, qu'il est plus âgé, qu'il est plus fort qu'il…
Kabuto ( résigné)
-J'ai compris, mais pourquoi je fous rien ?
L'auteur ( très sérieux) :
-Parce que je suis nul pour les lemons ?
Kabuto ( très sérieux) :
-Sûrement… Je crois que tout le monde va être déçu.
L'auteur ( défaitiste) :
-De toutes façons, je merde tout ces temps ci. Ça peut pas être pire.
Kabuto ( compatissant) :
-Envoyez-lui une review, sinon, l'auteur va nous faire une déprime, et laissez votre adresse email si vous voulez qu'il réponde.
L'auteur (reprend espoir) :
-Je sais je vais faire une fic qui aura pour thème combien de queues a Naruto ! Ben oui ! Le renard à neuf plus un mec qui en a une ça fait on…
Kabuto ( désespéré) :
-Je préfère quand il déprime.
Kabuto assomme l'auteur et se barre dans une chambre avec les armoiries de serpents formant un x
L'auteur (se réveillant) :
-C'est louche. Mais bon, laissez des reviews.
Suit le même chemin que Kabuto avec une caméra.
