Harry Potter et le presse-papier lubrique.
Part2 : Putain de cauchemar de merde!
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Disclamer : Tous les personnages de cette fiction n'appartiennent à personne d'autre qu'à la grande JK Rowling, cependant l'intrigue est purement issue du fruit de mon imagination. Aucun argent n'est perçu pour la publication de cette oeuvre.
Warning : Cette fiction est basée sur une relation homosexuelle entre deux hommes. Si cette idée vous déplait, libre à vous de passer votre chemin...
NDA : Je suis extrêmement flattée de l'accueil que recoit mon permier OS et je voudrais remercier chalheureusement tous les lecteurs qui m'ont laissé des reviews, mais aussi ceux qui lisent dans l'ombre et qui je l'espère apprécient également ce divertissement. Un grand merci aussi à toutes mes amies pour leur soutien et la source d'inspiration qui me vient grâce à elles. Je ne vous retiens pas plus longtemps... ENJOY !
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Harry se retrouva plongé dans une chambre à coucher.
Il sentait la présence de Malefoy à côté de lui mais ne le distinguait pas. En fait, contrairement au fonctionnement d'une pensine, leurs corps n'étaient pas matérialisés. Ils étaient plutôt comme deux esprits invisibles qui assistaient de haut à la scène.
Un réveil tonitruant retentit et un grognement étouffé s'échappa de sous une épaisse couette blanche et moelleuse. Quelqu'un la repoussa sans ménagement et il vit Malefoy en émerger. Enfin, c'était Malefoy mais pas le vrai.
Celui-là était plus vieux.
Le blondinet tenta de s'extirper des draps mais un bras possessif lui captura la taille et le ramena près de lui.
La conscience d'Harry fit un bond.
Pourvu que ce ne soit pas…moi, pensa-t-il de toutes ses forces.
"Harry, faut que j'aille travailler…dit Malefoy en essayant d'avoir l'air agacé mais pourtant il ne pouvait s'empêcher de sourire largement."
"Mmm, protesta Harry en sortant la tête de sous les draps et en affichant une adorable moue qui fit s'accélérer la respiration du blond. Tu ne vas pas me laisser tout seul ici ?"
Draco fit semblant de réfléchir en se grattant le menton puis balança un 'si' claironnant qui vexa le beau brun aux cheveux plus emmêlés que jamais. Potter lui pinça l'épaule.
"Aïe ! s'indigna le blond avant de céder au rire communicatif du Gryffondor."
"Tu ne m'aurais même pas dit au revoir, espèce de vil Serpentard ! souffla Harry contre la bouche de Malefoy en grimpant sur lui."
Ils échangèrent un long baiser puis Potter ajouta :
"Ni même bonjour d'ailleurs."
"Eh bien bonjour Harry Potter, répondit l'autre les yeux brillants et le souffle court."
Le brun sourit et embrassa doucement les lèvres de Draco avec pudeur. Ils se regardèrent longuement dans les yeux, pensifs et rayonnants.
"J'ai passé une soirée fantastique hier soir, dit Harry en nichant sa tête dans le cou du Serpentard."
"Moi, aussi, répondit Malefoy sur le même ton, un brin triste."
C'était comme un déchirement de devoir se séparer, ne serait-ce que quelques heures…
Ils ne pouvaient plus se passer l'un de l'autre.
La poitrine nue de Potter se pressa un peu plus fortement sur celle de Draco quand celui-ci poussa un soupir résigné.
"Tu vas vraiment être en retard, Dray, lui souffla-t-il à l'oreille."
"Je sais…J'y vais, répondit-il en s'arrachant à regret des bras d'Harry."
Le brun l'interpella encore une fois au moment où il allait se lever du lit.
"Draco, je voulais te dire…"
"Quoi ? fit-il en se retournant, le cœur cognant fort dans la poitrine."
Harry déglutit.
"Je voulais…je...euh…non, rien."
"Vas-y dis-moi ! Ne fais pas le timide, on est que tous les deux…Qui veux-tu qui nous regarde ? répliqua Malefoy avec un sourire impatient."
Potter se redressa à sa hauteur et posa sa main sur la sienne, doucement.
"Je…"
"Quoi ? souffla le blond, le cœur au bord des lèvres."
"Je t'aime."
Le blondinet resta un temps sans voix puis se pencha vers Harry pour lui donner un baiser qu'il n'était pas près d'oublier.
Difficile de dire avec exactitude lequel des deux rougissait le plus.
"Je t'aime aussi, Harry, lui souffla-t-il à l'oreille."
"Vraiment ?"
"Nan en fait je plaisante…"
"Oh."
Malefoy explosa de rire et ébouriffa les cheveux de Potter avec un large sourire.
"Bien sûr que je suis fou de toi, Harry ! Tu es mon top one ! Entre toutes les choses que j'aime, c'est toi le premier ! Devant mes cheveux même…"
Harry arqua un sourcil et éclata de rire. Il gratifia quand même Draco d'abruti au passage pour lui avoir fait une belle frayeur.
"Je vais prendre ma douche, déclara le Serpentard en se levant."
"Ok…"
Malefoy lui lança un regard qui était plus parlant que n'importe quel discours.
"Qu'est-ce que t'attends Potter ?"
"J'arrive, répondit celui-ci avec empressement."
Le décor de la pièce devint flou et l'image de cette vie antérieure s'estompa, cédant la place aux dizaines d'autres qui attendaient d'être visionnées au grand damne des deux spectateurs infortunés.
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Harry était complètement retourné et heureusement qu'il ne voyait pas le vrai Malefoy parce qu'il aurait été incapable de croiser son regard. Il se demandait combien de scènes semblables ils allaient devoir mater et ça le paniquait totalement.
Cette fois-ci, ils étaient toujours dans une chambre mais la pièce était différente.
C'était une autre alternative de la réalité.
Un autre Malefoy était en train d'ajuster sa cravate devant un magnifique miroir en pied et avait l'air plutôt réjoui. Il était sapé comme ci il allait à la messe ou quelque chose dans le genre.
Un costard gris, une chemise blanche comme la neige, le même visage toujours aussi parfait…
Dieu qu'il était attirant !
Le Harry de cette vie antérieure débarqua tout d'un coup et prit la place de l'autre devant le miroir en le virant d'un grand coup de coude.
"Hé ! Ca va pas ? s'indigna Malefoy."
Potter était mort de rire.
"Oh arrête Draco ! Tu es parfait, alors cesse de te plaindre ! Qu'est-ce que je devrais dire, moi ? souffla-t-il en tentant désespérément de se coiffer."
Le blond eut du mal à retenir un sourire.
"Je suis parfait ?"
Harry se retourna et répondit malicieusement :
"Tu es trop sexy pour ton propre bien, si tu veux tout savoir."
"C'est ça…Rattrape-toi…Saleté de Gryffondor…"
Ils s'enlacèrent tendrement et Draco secoua la tête en jetant un œil à leurs reflets dans le miroir.
"Chéri, tu as encore mal boutonné ta chemise, ricana-t-il."
"C'est pas vrai ! se récria Harry en rougissant."
Sa voix sonna un peu trop comme un gamin de 11 ans à son goût.
Le blond éclata de rire et lui reboutonna correctement sa chemise.
"Je devrais aller à la rédaction de la Gazette, tu sais. J'imagine déjà le fric que je me ferais avec le scoop : le grand Harry Potter incapable de boutonner ses chemises et de faire ses lacets…"
"Je sais faire mes lacets ! se vexa le Gryffondor."
Draco jeta un coup d'œil à ses chaussures et gloussa de plus belle.
"Non mais là, c'est parce que j'ai pas encore eu le temps de les faire ! Je te jure !"
"C'est ça...se moqua Malefoy."
"Mais je te jure ! Et arrête de te marrer !"
Harry allait rétorquer furieusement quelque chose mais le Serpentard se mit à l'embrasser langoureusement et il avouait que ça lui faisait perdre quelque peu ses moyens…
Malefoy passa ses bras autour de la taille de Potter et se colla à son dos en continuant de fixer leurs reflets. Il ajusta une mèche de cheveux du brun derrière son oreille et Harry sourit.
"Tu sais, ça me fait bizarre…lança le blond."
"Quoi ?"
"Je sais pas…Tout. Le fait qu'on ait grandi. On a tous quitté Poudlard, on a tous nos vies à nous, on travaille…Et aujourd'hui Ron et Hermione qui se marient…"
"Oui, répondit Harry. Ca passe vite, ça passe trop vite…"
…
Le monde bascula à nouveau et un vertige flou et coloré s'empara des consciences de Malefoy et de Potter, les plongeant dans un amalgame indéfinissable de sons et de pensées qui ressemblaient de très près à ce qu'ils ressentaient sur le moment.
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"Il commence à me saouler Potter, chuchota Malefoy à Grégory Goyle."
C'était un cours Gryffondor/Serpentard à Poudlard et Harry faisait une sorte d'exposé.
Le professeur n'était nul autre que Argus Rusard, bien que semblant un peu moins miteux dans sa façon de s'habiller.
"Et donc ceci permet de déduire la clé du rébus de Lady de Rockford, grâce à l'adjonction des…"
"Achevez-le ! siffla Malefoy entre ses dents."
…
L'exposé toucha à sa fin, après que Draco eût le temps de pousser maints soupirs et de ruminer de nombreuses ambitions de meurtre.
"Bien, merci beaucoup Mr Potter ! fit le professeur quand Harry eut terminé sa conclusion. Est-ce qu'il y a des questions ?"
Personne ne leva la main, et le Gryffondor allait retourner à sa place quand Draco s'entendit dire sans réfléchir :
"Oui, moi ! J'ai une question !"
L'air clairement provocateur qu'il affichait fit frémir Harry malgré lui.
"Allez-y Mr Malefoy, l'encouragea le sorcier aux yeux proéminents. Nous vous écoutons."
"Combien pour toute la nuit, Potter ?"
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"Malefoy !"
"Fous-moi la paix !"
"…Oh allez, fais pas la gueule. Je m'excuse."
"J'en ai rien à foutre Potter !"
"Draco…"
"Va-t-en !"
"Dray…"
"Mais CASSE-TOI à la fin !"
"Drake ! Draky ?…"
"…"
"Drakinou ?"
"Ne-m'appelle-pas-DRAKINOU ! Et arrête de rire ! Tu me fais chier, Harry !"
"Mon petit dragon ! Mais te fâche pas pour ça ! Je t'en rachèterai !"
"Raaaaaaah !"
"Ha ha ha, désolé…"
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Pendant ce temps là, dans le bureau du directeur :
"Professeur Dumbledore, je suis désolé mais je ne comprends pas cette mesure, commença le professeur Rogue sur un ton lancinant."
"Ecoutez Severus, la vérité c'est qu'à l'heure d'aujourd'hui, Harry Potter est plus que jamais en danger mais qu'il n'a toujours pas su trouver sa force."
"Oh non ! Je vous en prie ! Encore ces histoires fabuleuses sur la force de l'amour et compagnie ? railla Rogue."
Dumbledore ne se vexa pas le moins du monde mais le darda d'un regard tout à fait dumbledorien qui remit le professeur de potions à sa place.
"Vous sous-estimez le pouvoir de l'amour Severus, vous savez pourtant que c'est l'erreur même de Lord Voldemort."
"…Je…excusez-moi Albus. Je n'ai pas réfléchi."
"Je vous comprends Severus, l'opération que j'ai entreprise est loin d'être simple. J'ai simplement décrété qu'il était temps d'essayer de faire évoluer un peu les choses entre messieurs Potter et Malefoy. Il est primordial pour toute la communauté magique qu'ils se découvrent, et…"
"Quoi ? s'horrifia le vieil ennemi des Maraudeurs. Vous voulez dire…Malefoy et…il a…Malefoy et Potter ? cracha-t-il en manquant de basculer de sa chaise."
"Severus ! Remettez-vous je vous en prie ! gronda un peu le vieux sorcier. Cette situation est bien assez préoccupante et critique pour qu'on n'y mêle pas de jugements personnels. Est-ce bien clair entre nous ?"
"Par…Parf…Parfaitement, bégaya Rogue plus pâle que la mort."
"Les circonstances ont fait de ces deux adolescents des ennemis acharnés mais la vérité c'est qu'ils sont plus liés qu'ils ne le croient. Non seulement leur personnalité est très forte mais leur empreinte magique également ! Leurs magies sont complémentaires Severus, et vous savez ce que cela signifie…Je n'essaie pas de jouer les entremetteurs, mais je me disais que s'ils se voyaient sous un jour nouveau, cela leur permettrait peut-être de voir leurs points communs et les opportunités qui s'offrent à eux."
"Bien entendu monsieur le directeur, je n'en doute pas…répondit Rogue d'une voix mortifiée."
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Je t'aime…
Je t'aime… Je t'aime… Je t'aime…
….
La conscience d'Harry commençait à saturer. Il n'avait pas connaissance du temps écoulé mais cela faisait une petite dizaine de scènes auxquelles il assistait et pas une ne dérogeait à la règle : Malefoy et lui étaient ensemble.
E-N-S-E-M-B-L-E ! Dans chacune !
Et si les relations entre eux allaient de l'amour platonique, tourmenté et désespéré à une passion destructrice, il ne fallait pas oublier le must du must : le sexe.
Mon Dieu ! Pourquoi essayait-il de s'occuper l'esprit comme ça ?
Et bien justement parce que Draco était en train de lui faire l'amour, là, sous ses yeux, et qu'il commençait à devenir fou.
C'était l'expérience la plus traumatisante de sa vie.
Il sentait toujours la présence du Serpentard non loin de lui mais il évitait consciemment de s'en approcher.
Mon Dieu, mais qu'est-ce qu'il devait penser de tout ça ?
Ca avait l'air tellement…
C'était si…
Oh, putain il tuerait pour devenir lui à ce moment précis ! Enfin…on se comprend.
Ses propres gémissements lui emplissaient les sens et le désir lui faisait perdre la raison.
Il aurait voulu que cette réalité là soit la leur.
Il aurait voulu goûter aux lèvres du blond, caresser sa peau comme il caressait la sienne, sentir son étreinte et son corps contre le sien.
Il aurait voulu…il voulait…
Merde, mais qu'est-ce que je suis en train de penser ? C'est MALEFOY !
"Draco…s'entendit-il implorer d'une voix étranglée par le plaisir."
Il vit le blond entamer les derniers coups de reins fatidiques qui lui emplirent les yeux de larmes et la tête de rêves.
Je viens de me voir jouir.
Je viens de voir Malefoy jouir.
En fait, je viens de me voir jouir avec Malefoy.
C'est-définitivement-l'expérience-la-plus-traumatisante-de-toute-ma-vie !
Rectification : de ma PUTAIN de vie !
Oh quelle galère ! Mais quelle galèèère !
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Les situations se succédèrent les unes aux autres et Harry ne sut plus du tout où il en était. Malefoy avait l'air tellement différent dans ces réalités interposées !
Purée, mais il l'aimait ! Et le rendait fou de bonheur ! Et… (soupir).
Je crois que j'ai besoin de faire le point, pensa-t-il avec lassitude.
"Sors de ma vie, Potter ! hurla un Malefoy un peu plus jeune que les précédents, toujours en uniforme de Poudlard."
Ils étaient en train de se battre avec les poings dans la bibliothèque. Ca avait l'air d'être la nuit sinon Mme Pince aurait rappliqué en 4ème vitesse.
Mais il y avait un truc qui clochait avec leurs doubles, il ne savait pas quoi…
Si ! L'uniforme !
Incroyable !
Il était à Serpentard et Malefoy à Gryffondor !
Et encore plus incroyable, Malefoy lui reprochait de s'attaquer à ces deux meilleurs amis : Weasley et Granger.
"Et alors, ils ne sont pas capables de se défendre tous seuls ? s'entendit-il railler avec un air suffisant."
C'était comme ci…comme ci…En fait, c'était les vrais 'eux' sauf qu'ils avaient inversé leurs vies. C'était un truc démentiel !
"T'en as pas assez de faire du mal, Potter ? Je me demande ce qui cloche chez toi ! Bon sang mais tu ne pourrais simplement pas me FOUTRE LA PAIX ! rugit Malefoy en l'envoyant valdinguer contre une étagère."
Ils s'envoyèrent livres et insultes en pleine gueule pendant un petit moment puis Potter-Serpentard parvint à immobiliser son adversaire contre une étagère en le tenant fermement par le col de sa robe.
Le blond ne pouvait plus se dégager, le corps d'Harry était bien trop près du sien. La haine flamboyante qui brûlait entre eux deux se dissipa soudainement pour faire place à un étrange malaise.
Le Harry de Serpentard commença à trembler et déglutit, le visage du Gryffondor n'était plus qu'à quelques millimètres du sien, son souffle balayait son visage et il sentait sa respiration s'accélérer car il avait toujours les mains plaquées sur son torse. Le temps s'était arrêté, plus aucun ne bougeait ou ne parlait.
Ils étaient comme tétanisés, irrémédiablement attirés l'un par l'autre.
Harry n'écouta que ses pulsions et, les yeux fermés, se pencha sur les lèvres de Malefoy.
Juste une pression…pour voir…pour ressentir…pour apaiser la tension qu'il sentait monter en lui.
Draco avait l'air effrayé.
"Qu'est-ce que tu fais ? gémit-il d'une voix faible et sans volonté."
Il perdait la tête.
"Je...Je ne sais pas…murmura Harry avant de recommencer aussi doucement que la première fois. Je ne sais pas."
Et il attira un peu plus le Gryffondor à lui pour approfondir leur baiser...
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Harry, le vrai, qui était toujours là en tant que spectateur impuissant et effaré, pouvait presque ressentir ce que leurs doubles dimensionnels ressentaient.
L'appréhension, le désir fulgurant…Le contact nouveau et un peu dérangeant de la langue de l'autre contre la sienne avant que cette gêne ne se mue en plaisir….
Les mains qui s'activent, qui se cherchent, se découvrent et s'entrelacent…
La chaleur.
Il était complètement hypnotisé.
C'était d'autant plus troublant que cette réalité là était celle qui se rapprochait le plus de la leur... Et il devait bien se l'avouer, il désirait ardemment…tomber amoureux.
En fait, il était déjà amoureux, il en prenait pleinement conscience. Ce ne pouvait pas être une coïncidence.
Nul endroit, nulle époque ne le montrait en la compagnie du blond.
Ils étaient…destinés ? (gulp !)
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Modifié le 1er Janvier 2006.