Bon, voilà mon troisième chapitre, où Winry va retrouver Al.
Merci beaucoup à Etoile du soir et à raziel-chan pour leurs reviews, ca m'a fait très plaisir. je vais faire de mon mieux pour sortir une histoire convenable...
les personnages de Full Metal Alchemist ne m'appartiennent toujours pas, et je crois que c'est pas près d'arriver...
Bonne lecture à tous...et n'hésitez pas à me laisser vos impressions !
- Winry ?
C'était bien elle, toujours avec sa fameuse salopette et ses cheveux attachés en queue de cheval. Elle le regardait en souriant et s'approcha du puit :
- Mais qu'est ce que tu fais là ? T'es seul ? Et Alphonse, il est où ?
Puis son visage s'assombrit et sans qu'il est eut le temps de comprendre ce qui lui arrivait, Édouard se retrouva les quatre pattes en l'air, violemment frappé par une clé à molette que Winry venait de sortir de Dieu sait où. Rapidement, Winry ouvrit la main et une touffe d'herbe tomba au fond du puit, mais ça, Édouard ne le vit pas et lorsqu'il se releva, le visage de Winry était toujours fâché.
- Mais qu'est ce qui t'as pris, t'es pas bien !
- C'est pour ne pas m'avoir avertie que tu étais là, et ne vas pas chercher des excuses pourries Édouard, c'est dégueu de ta part.
Édouard ne comprenait rien du tout, qu'est ce qu'il n'avait pas fait ?
- Quoi ?
- Arrête, tu te trouves à RushValley, le paradis sur terre, et tu ne m'en dis rien. Je ne t'aurai pas vu là, je suis sur que tu ne m'aurais jamais dis que tu étais passé dans cette ville.
- Depuis quand t'as envie de savoir dans quelles villes je passe ?
- Pas toutes les villes, crétin, mais celle-ci …… la ville de toutes les envies, la ville du péché originel, la ville des passionnés, la ville du bonheur suprême, la ville…
Édouard n'écoutait déjàplus, c'est vrai, il n'avait nullement eu l'intention de la prévenir, il n'avait en effet, même pas eu l'envie de lui dire. Pourquoi ? Parce que ça aurait signifié qu'il prenait la peine de téléphoner aux Rockbell pour leur donner des nouvelles et ça, Édouard ne le voulait pas. Il ne voulait plus avoir à penser aux autres, il voulait avoir l'esprit libre lorsqu'il se battait contre les homoncules, lorsqu'il cherchait la pierre et ne voulait pas s'inquiéter pour d'autres personnes que lui même et son petit frère.
Pendant que Winry était partie dans son délire et Ed dans ses pensées, ils remontèrent tout les deux en ville pour finir par s'arrêter devant l'hôtel où Ed et Al avaient décidé de rester.
- …la ville idéale, la ville magique, the automail city, la ville des rêves bleus, la ville où tout est permis, la ville…
- Hé, Winry ! Tu montes voir Al ou tu restes dehors ?
La jeune fille sortie de ses pensées et fixa Édouard :
- Bien sur que je veux le voir… je te suis !
Apparemment, elle lui avait totalement pardonné, ou alors, pensa Ed, elle avait tout simplement oublié. Il grimpa rapidement à l'étage, suivie de près par Winry, et rentra dans leur chambre, la 16A.
Alphonse s'y trouvait bien, mais il n'était pas seul. Lorsqu' Édouard les vit, il paniqua, que faisaient-ils tous là ? Et Winry qui le suivait, elle allait les voir et Dieu seul savait ce qui pouvait se passer. En un éclair, Ed eut le réflexe d'éjecter Winry hors de la salle avant qu'il ne lui arrive malheur. Il ferma la porte à double tour et ignora ses protestations … Puis, il se tourna vers son frère, ou du moins ce qu'il en restait… Alphonse était ensevelit sous une montagne de chat. Noirs, blancs, alezans, pies, rouans, tachés, rayés, petits, grands, gros, gras, maigres, effrayants, mignons, défigurés, sans poils et Ed en vit même un sans queue… il devait être une trentaine et étaient tous regroupés autour de son petit frère, quémandant une caresse, un biscuit ou tout simplement une place près de lui. Lorsqu' Alphonse s'aperçut de la venue de son frère, il essaya d'abord de les cacher, mais allait cacher trente chats en moins de quelques secondes. Voyant que son entreprise était vouée à l'échec il tenta une excuse:
- Ed, c'est, c'est pas ma faute, ils sont venus, comme ça, je voulais pas et…et regarde les pauvres…
- Al, tu vas me les balancer en vitesse par la fenêtre !
- Quoi ? Mais non ! T'es fou !
- Al, Winry est là (1), si elle trouve ces chats tu sais bien la tête qu'elle va faire alors soit tu t'en charges, soit je les transmutes en croquettes pour chien.
- T'es vraiment un sans cœur grand frère, tu, tu n'as aucune pitié, ils vont mourir si je fais rien…
En prononçant ces mots, il prit le premier chat qui lui tomba sous la main et le tendit à Ed pour essayer de l'amadouer, mais il avait mal choisi son chat. Il devait être le plus gros de la troupe, d'une couleur incertaine entre le orange et le noir, il avait plus l'air fatigué que près à mourir. Face à la tête d'Édouard qui devenait de plus en plus rouge, Al prit soudainement peur et c'est le visage inondé de larmes qu'il consentit à ouvrir la fenêtre pour les laisser sortir. Il fallut une dizaine de minutes pour tous les chasser et Ed eut le temps d'en compter 42...puis, exténué il s'écroula sur le lit près à piquer un somme avant de se rappeler qu'une certaine fille attendait dehors…
Paniqué à cette pensée, il ouvrit la porte doucement, risqua un coup d'œil dehors et se reprit la clé à molette.
- Ca va pas la tête de me mettre dehors comme tu l'as fait, espèce de petit crétin ?
- Qui c'est que tu traites de petit crétin si petit qu'il a besoin d'une échelle pour être vu ?
- Toi bien sur, qui veux-tu que ça soit d'autres ?
Elle rentra dans la chambre, et sourit à Al :
- ça me fait plaisir de te revoir Al, j'espère que tu vas bien. Puis en se retournant vers Ed :
- J'espère que t'as une bonne raison pour m'avoir fait ce coup là…
Édouard regarda paniqué son petit frère, il ne pouvait pas lui parler des chats, il tenait encore à la vie, alors il sortir la première excuse qui lui vint à l'esprit :
- heu, en fait, c'est parce que…il y avait, heu, c'est Al, il était tout nu…
En disant ces derniers mots il jeta un regard vers Winry, celle-ci le regardait d'un œil sceptique :
- Qu'est ce que tu me sors là , comment Alphonse peut il se retrouver nu ?
- Et bien, je veux dire que….que, qu'il n'avait pas son tablier et tu sais, en dessous, et bien, c'est, c'est personnel…
Ed ne voyait vraiment pas comment il allait pouvoir s'en sortir, mais à sa grande surprise, Winry rougit légèrement et bafouilla un "ha" avant de se retourner rapidement. Alphonse se rapprocha de son grand frère et lui chuchota :
- T'aurais pas pu trouver autre chose ? Je passe pour un gros dégoûtant qui se ballade nu dans les chambres d'hôtel qu'il loue…
- Mais t'as jamais était nu, alors arrête un peu…
Exaspéré, Ed retourna sur son lit et attendit les explications de Winry sur sa venue ici...
(1) Là, je suppose que Winry a une peur bleue des chats et devient assez violente vis à vis de son entourag dès qu'ele en voit un, en réalité, ej pense que Winry n'a pas peur de ces petites bêtes là mais bon...
voilà ! encore un autre chapitre de finit, j'éspère que vous avez bien aimé, n'hésitez pas à reviewer ( je sais pas si ça se dit ) et bizz à tous !
