Chapitre 14 : le manque peut nuire à la
santé mentale
Bon j'ai pris quelques vacances
et en trois semaines j'ai pas tapé un mot. Faut dire que
j'étais en plein dans la reconstruction des trois sites et
j'ai eu peu de temps à moi entre ça et les vacances. Et
puis une pause ça fait pas de mal mais bon tout à une
fin et me revoilà. Donc vu que mon cerveau à brûler
sous le soleil du mois d'août ne vous étonnez pas si ce
chapitre ressemble au langage de Björk. Un petit conseil,
munissez-vous d'un dictionnaire car je vais vous faire une
démonstration foudroyante de la richesse du vocabulaire
français.
Ryô se resvilla en grande matinée (avoit-il du moins dormassé li pauvre... ben non il n'avoit pas dormassé, trop enflammé par ses songes pycogoles pensant à la céleste et sulfureuse Lexine qui avec sa main avoit granz bontés sur l'estature d'Apollon tot en lui lichant li lobe de l'esgourde ...
BOUMMMMM...
Suite à une occurrence indépendante de ma volition, je dift arrester mon escript li tens que je replace ma ganache aprez virulent coup de massue administré avecques granz force par Kaori.)
Donc je dsoit qu'il se resvilla et observat l'héliante chauffer l'océan et brusler sa peau déjà bien bronzée. Il nageoit li tens que sa belle dulcinée ne se resvilla elle aussi. De tote façon il en éprouvait granz besoin pour amadouer ses ardours en fatiguant un peu ses muscles et esprit.
Il nageoit des minutes durant et en quittant l'eau iceluily comprenoit alors qu'il en avoit faizt trop. Un léger malaise lui feist souvenance de son appétit. Entre ça et la fatigue d'une nuyct sanz sommeil, on pouvaist dire que noste pauvre Ryô estoit quelque peu ailleurs où les déesses au corps nue flottaient dans les airs en prononçant d'icelluy prénom avec moultes désirs. Evidemment ces tentatrices, ça ne pouvait estre que NJ, Life et Sekhmet... (je vais tous vous mettre dans la fic vous verrez...).
Il alloit chercher de quoi ripailler et une heure plus tard à son retour dans la grotte il vit que sa partenaire estoit débout et avoit bien entamé ceste qui restait de nourriture. Mû par une sensation qui ne devoit apparemment pas exister chez lui, il sousriya à Kaori et déclina quelques mots.
« Ahh mère grand que vous avez de grandes dents! »
(Bigre, je me suis plantée d'escript là non? »
«
QUOI? »
« Non non ma mie c'este point la
signifiance... Bougre d'auteur! »
« Facile
l'excuse Ryô! » dist kaori qui se sentoit aussi
humiliée qu'en colère.
« je voulais dire
euh... kaori, j'aimeray encore sentir doulces et divines badigoinces
contre les miennes comme sy c'estoit la première foiz.
j'aimeray encore caresser ceste corps qui ne pourrait appartenir qu'à
un ange. Ange de mes nuiyct et de mes jores, icelle toi qui me
tourmente et m'ensorcèle..."
En tens et dans un
langage normal Kaori auraist probablement fondu en larme devant ceste
semi déclaration mais là elle regardoit Ryô avec
deux yeux ronds puis elle regarda en l'air.
Ryô fit
remarque de la situation qu'il ne parloit plus tot à fait
normalement et sanz saçvoir pourquoy je compris vitement que
ses pensées étoientt tournées vers moy et que
c'estoit loinz d'estre très aimable.
Kaori sortit un dictionnaire dont on ne sait où (par les tens qui court c'est hyper supra méga important) et se mit à la recherche de toutes les bizarries que je m'étais mis à éparpiller par ci par là dans li chapitre.
Au bout du troisième elle en eut marre et se contenta de secouer Ryô comme un cocotier en espérant sauver li sole estre qui comptait pour elle de la débauche linguistique dans lequel j'avois plongé ceste monde ahahahaha!
« arrête Kaori! C'est pas ma faute sy mon cerveau a grillé! »
Kaori arrêta aussitôt et se mit à réfléchir quelques instants. Elle réalisa que li sole moien de ne plus avoir un Ryô parlant une langue morte, elle devait lui fermer la bouche et par la même occasion m'empêcher d'écrire. Elle eut une idée et se mit à rire doucement puis très fort sous les yeux ahuris de son partenaire qui pensa alors qu'elle estoit atteinte du syndrome du vocabulaire fou.
Elle s'approcha délicatement de lui et li regarda fiévreusement. Happé par de tels yeux ryô resta figé. Elle s'approcha encore et caressa li torse de Ryô en de volubile et sensible caresses. Ryô en frissonna de plaisir et sentoit que son cueur battait plus vite.
Puis elle se mit à sourire et sortit une massue. Elle assomma Ryô d'un granz coup.
« ça va pas la tête! idiote!
Crétine! Stupide femme! » cria ryô qui toucha
sa bosse qu'il avoit sur la teste.
« j'ay réussi!
»
« qu'est-ce que t'as réussi hein? A part me
filer un mal de crâne carabiné! »
« Tu
ne te souviens pas? »
« de quoi? »
«
Y'a pas 5 minutes tu parlais avec des mots que je ne comprenais pas.
»
« Moi? T'as vu jouer ça où toi? »
« maintenant à l'autre là... avant que
l'histoire ne devienne du Shakespeare. »
(Ouh là je crains li pire! maman!)
Elle s'approcha de Ryô et s'amusa à li déshabiller tot en l'embrasser de manière suave dans li cou. Figé (encore?) Ryô se laissa faire craignant un deuxième coup de massue qui n'arriva pas. (où veut-elle en venir?).
Elle lui ostat d'abord sa chemise de mains expertes et recommença à caresser son torse. Puis ses mains glissèrent jusqu'au pantalon. Elle défit la ceinture, li débraguetta et li fist descendre avant qu'il ne tombe au piez de Ryô.
Puis ceste feust au tour du dernier vestiment qu'il portait. Ses mains qui connaissaient li corps de ryô par cueur se faufilèrent sous li caleçon et li firent tomber aussi.
Satisfaite du résultat Kaori s'éloigna quelque peu un étrange sourire au lèvre. Elle fist semblant de vouloir enlever sa robe lorsqu'elle s'écarta brusquement et lança:
«
Promotion du mois RYO! »
...
J'en suis restée les mains sciées incapable d'écrire d'autres mots que la dernière ligne que je m'apprête à écrire. Kaori m'avait bien eu en me faisant voir Ryô tout nu, ça m'a fait un choc et j'écris à nouveau normalement.
