Heureux? Allez, réponses aux review !
PS : dsl je n'm pas ce chapitre... et vous? review svp !
debbie :Heureusede t'avoir rassurée . Héhé, mais je crois que tu ne sais pas à quoi tu t'attend dans ce chapitre, qui d'ailleur, je n'aime pas trop du tout... Mais bon, lahc eune com' à la fin, gros bisoux !
ciçouille : Eh bien vois par toi même si elle s'est réssucité mais sa serait trop facile à mon gout, l'amour fais des miracle mais kan mm ! enfin, vois par toi même si ce n'est pas le dernier chapitre et si cette histoire n'est pas une tragédie looool.
Miss Glitter : "tout joyeux"? bah... pk pas ! Mais pour la réssuciter, la miss, faut pas que de la joie, faut crée des MALHEUR, alors le chapitre supeeeeeer joyeux ... pour bientôt mdr mé héhé, lache un com' a la fin miss gros bisoux jtad' !
sheinah : Alors sa sa m'impressione tjr les gens qui un jour se dise "bah, et si je lisait cette fic g rien à faire? allez pk aps" et ki on final accroche lol, sa marrive trop souvent et sa fais super plaisir à un auteur ! Donc je me suis "dépécher" (du mieux ke g pu) décrir ce chapitre ! mais je suis partit en vacance un mois c'es chaud quand même !
juju black : Eh bien écoute ce chapitre ne me plais pas trop et l'histoire de moisn en moins je c pas... mais ej suis trop contente de savir que sa plait aux lecteurs :-D. Bonne lecture !
marion-moune : La fin ne peut pas toujours être joyeuse... Au moins la prochaine fois sa sera plus joyeux OUAIIIIIIIIS lol ! bisou la miss !
irislorely : Pourquoi vouloir tué Sakura? Ecoute, quand une femme détiens un physique de rêve, un coeur en or et des pouvoirs fércoce, la jalousie exciste vite, et aussi... Ah non faut pas que je le dise... l'amour? j'en é trop dit allez bonne lecture ! hihi ta pas du tout comprendre jspr looool ! kiss
SyaoSyao : Il faut m'envoyer un mail quand tu comprend pas, ou me le dire dans la review, comme sa je t'explique tout clairement alalala, en tout cas si tu as tjr des coins sombre, contact moi pa review, mail ou msn, bisoux !
cralkilleuse : Hihi sa sa fait trop plaisir quand les gens lisent tous d'un coup, j'espère qu'elle te plait vraiment, moi je n'aime pas trop ce chapitre mais on vera bien votre avis, gros bisoux bonne lecture !
Ito : Yô Ito-kun ! Lol c très gentil mais pas la peine de m'appeler sama lol je ne le mérite pas ! Oh merchi bcp sa fait très plaisir pour une écrivaine de savoir que qq1 à tout lu d'un trait, tu veux la suite hein? Bah voilà je te l'offre, mais ej n'aime plus trop cette histoire, j'ai l'impression de faire des chapitre ennuyant, maladie de la page blanche, mortelle pour le lecteur accro lol, mais j'essaierais de me dépêcher !;-) Vraiment tous ses compliments me font rougir et sa me fait très très plaisir, merci bcp, laisse encore une review stp à la fin, car sa me motive vraiment pour écrire sa, sa doit être comme de l'ancre(?) mddr ! Allez gros bisoux bonne lecture !
AsukaSL : eh bien écoute je fais de mon mieux pour continuer même si j'ai un peu de mal car mes chapitre me plaise de moins en moins. Mais bon je garde courage, gros bisoux bonne lecture et merci pour tous :p
aminteitha : Oui je m'excuse j'ai beaucoup de mal pour les fautes d'orthographe, les corecteur ne suffise souvent pas et je finit en général mes chapitres vers 2 heure du matin, j'ai trop la flemme de les relire et vu que je suis souvent en retard je me dépêche de les posté, c'est un grand défaut je l'avou. je suis heureuse que cette fic te plaise. Hihi, et relis bien le chapitre 14, quand on dit "je t'aime.. ma morte etc..." relit le descriptif de la personne, es tu sur que ce soit shaolan? hihiiiiiiiiiiiiiiiii réfléchis bien g laissé de gro indice ! bisoux bonne lecture !
Chapitre 16
Meiling
Sakura ouvrit lentement, très lentement et douloureusement les yeux. Elle remarqua à ses côté Kerobéro, Shaolan, Yué, et un étranger qui lui semblait pourtant familier malgré la capuche qu'il portait. Shaolan lui caressa la joue, elle le sentit à peine. Elle se sentait fiévreuse, lourde, très lourde, au supplice, elle avait chaud mais sentait son corps congelé… Elle sentait la mort tellement proche. Shaolan lui expliqua calmement la situation :
« Bienvenue chez les vivants…
- Comment sa ?
- Tu es morte, mais on à réussit à te faire revenir à la vie, par contre, nous n'avons pas réussit à te retirer le poison que tu as au fond de toi… Le mage qui te l'a insufflé est très puissant, alors tu dois te reposer… »
Sakura cligna des yeux, comprenant à peu près. Kuroï se leva lentement, une expression assez contrariée sur le visage. (NDA : J'ai déjà parlé de ce poison quelques chapitres avant, quand Sakura sort de la douche et qu'elle attrape la fièvre, un peu avant que Shaolan parte je crois…). Sakura articula avec difficulté :
« Mais… Comment vais-je pouvoir survivre ? »
Un long silence suivit cette phrase, puis Kuroï prit lentement la parole :
« Cher Xioalang, j'ai la bonne, et la mauvaise nouvelle de vous apprendre que la seule personne qui puisse déjoué un poison avec habilité ce nomme Meiling…
- Je le sais, mais Meiling a disparu depuis un an…
- Quel bel imbécile vous faîtes sous tout votre respect. Vous ne vous rendez pas compte de l'étendue de vos pouvoirs Xiaolang, descendant de Clow Lead. Vous pourriez la localisez, il vous suffirait de vous concentré un peu… Je sens en vous cette répugnance envers la magie, mais vous détenez un grand pouvoir, vous avez su l'utilisez pour la maîtresse des cartes, il est temps de l'utilisez pour localisez votre cousine… »
Shaolan hocha la tête et s'exécuta, il se rendit dans une salle très grande, accompagné de Kuroï. Yué et Kéro, un peu à l'arrière, gardait le silence. Shaolan s'installa sur un grand plateau, sortit une écharpe à Meiling, apporter par une domestique et la tint à deux mains, enroulant les bouts. Les lumières s'éteignirent, seule l'aura de Shaolan, légèrement lumineuse, éclairait. Au bout de 10 minutes, l'aura tournoya et se dirigea vers la Chine, se pointant en plein sur Hong Kong. Shaolan rouvrit les yeux. Kuroï demanda :
« Alors ?
- Je sais juste qu'elle est encore vivante, à Hong Kong, mais je ne serais dire plus, et cette ville est tellement grande…
- Vous avez stoppé les rechercher, remettez les en routes, mais plus discrètement, mobilisé encore plus de troupe, car votre chère… maîtresse des cartes, n'en à plus pour longtemps…
Ainsi les recherches furent lancées. Pendant ce temps, Meiling elle, inconsciente,furetait près du marché, en ce moment les temps étaient dure, la nourriture manquait, et les enfants étaient les premiers servit, ainsi que les anciens, alors pour ceux de la génération de Meiling, ainsi vulgairement parlé c'était « chacun pour sa gueule ». Ayant beau être un supérieur, Teï lui-même devait chercher lui-même à manger. Elle mangeait tranquillement une pomme, seul bulletin de sa visite chez le marchand de fruits, devenu beaucoup trop attentif à ses fruits, au goût de Meiling. Elle vit Teï, au bout de la rue, et le rejoins tranquillement. Occupé à négocier de l'argent avec un ancien du groupe qui lui en devait, il sourit en la voyant arrivé, il était avec quelques membres de son groupe.
« Je vous présente Mei sans nom…
- Bonjour, alors Teï, tu quémande pour pouvoir mangé maintenant ?
- Je ne quémande pas pour moi, idiote, mais les vieux et les enfants n'auront bientôt plus à mangé, moi me privé j'ai l'habitude, mais on a pas le droit de leur faire subir sa ! »
Le jeune avec qui il marchandait devait avoir son âge, son regard était amer mais il dit avec bienveillance :
« Je vais aider Teï, car ma mère est morte en se privant pour moi… »
Meiling resta sans voix, c'est vrai qu'elle n'avait pas réalisé que la mort surplombait leur groupe… Et dire qu'elle était une Li… Elle aurait largement assez d'argent pour les aider mais… c'était une Li, elle se ferait tué, et devoir supporté le regard de tous ses gens qu'elle considère comme sa famille, sa ferait trop mal pour continuer à vivre…Ils parlèrent encore quelques instants quand ils entendirent le bruit du marché devenirs plus qu'un murmure. Ils se retournèrent, étonnés. Un grand mage, habillé de noir avec une capuche marchait au devant d'une grande armée rouge… Meiling sentit son cœur raté un battement, et leur tourna le dos, en espérant qu'ils ne la remarque pas. Mais la troupe s'arrêta d'un moment, le mage tourna sa tête de gauche à droite, Meiling tremblait de haut en bas sous le regard surpris de Teï qui la saisit et lui demanda :
« Sa ne va pas ?
- Non… Il faut partir…
- Pourquoi ?
- C'est des Li…
- C'est pas une raison… Quoi que… C'est vrai que tu les fuyais quand on s'est… »
Mais une voix puissante et dure le coupa :
« Mademoiselle Meiling Li, vous êtes priez de retourner immédiatement au domaine Li, finis la fuite ! »
C'était le mage, tourner vers elle, une main tendue. Le sang de Meiling devint un glaçon, elle sentit son cœur s'arrêter. Elle remarqua le regard perdu, surpris et colérique de Teï. Elle recula de quelques pas pour s'écarter de lui. Les membres de son groupe la regardèrent sourcil froncé, exprimant de l'hostilité. Teï siffla :
« Mei sans nom… Pffff… Meiling LI… Minable… Dégage, retourne chez toi et fais gaffe à ta vie… »
Ils se retournèrent et partirent sans un mot de plus. Le mage aggripa Meiling à l'épaule, celle-ci sursauta, pleurant demanda :
« Mais putain vous êtes qui vous ?
- Kuroï, le seigneur Xiaolang vous attend… »
Meiling réalisa avec tristesse que sa mère devait être morte, Shaolan au pouvoir, et son mariage… avec lui… Elle ne pu retenir ses larmes, mais retint tout de même ses plaintes, et gémissements.
Arrivé au manoir Li, Meiling ne pu s'empêcher un regard rempli de dégoût. Les jardins étaient verdoyants, les deux plus jeunes sœurs Li papotaient tranquillement dans le jardin quand elles virent leurs cousines arrivées, ce fut des grands cris de joie et de surprise qui s'élevèrent. Meiling, le visage baigné de larme les observait d'un regard vide. Ses petits cousines, pourtant connus pour être de vraie tornade, la laissaient complètement indifférente. Face au grand brouhaha, Sheifa sortit, exténué, un grand panier à linge sous le bras :
« Non mais les filles ! Qu'est ce que… »
Puis elle se tût en voyant Meiling, debout devant la garde impériale, à côté de Kuroï l'étrange mage, et complètement insensible face à ses deux petites cousines. Sheifa accourut, son panier à linge contenant avec difficulté la lingerie. Elle posa son panier et prit Meiling dans ses bras, le chinoise hésita entre lui rendre son étreinte et pleurer dans ses bras, mais pendant un an, elle avait alimenté une haine envers les Li en apprenant au fur et à mesure des mois les crimes qu'ils avaient pu commettre, juste pour de la richesse, de la puissance, des choses bien futiles à son avis. Alors elle repoussa Sheifa et lui adressa un regard dur. Kuroï ricana :
« Oh, mademoiselle joue sa rebelle, voilà ce que sa donne de traîner un an dans les rues sales de Hong Kong »
Meiling lui décocha un regard méprisant, croyant entendre un sous entendu dans « traîner dans les rues sales de Hong Kong ». Elle se retenait du lui cracher à la figure en voyant ses grand habits large, certes, mais luxueux, indiquant qu'il appartenait à une grande classe de mage. Ce qui horripila encore plus Meiling, tous ce snobisme tandis que certaines personnes meurent de fin dans la rue… Son cousin apparut, Shaolan, la mine grave et fatigué. Les traits tiré malgré son jeune âge, les prunelles assez terne, et de grandes cernes sous ses yeux indiquait de longs moment d'attente, de stress, d'amertume et tout ce qu'il y a de plus déprimant. Meiling panique, espérant qu'il n'était pas dans cet état depuis un an. Heureusement non, il la conduit, avec Kuroï dans un grand salon pour tout lui expliqué. Sheifa ramassa sa corbeille à linge, le regard triste pointé sur le sol, Meiling, l'aîné des sœurs Li avait été sa confidente, aujourd'hui, elle la repoussait ouvertement, Shaolan la haïssait, et elle passait ses journées à veillé à l'éducation des plus jeunes qu'elle, au ménage et nettoyage que toutes les servantes ne pouvaient gérer seules. Personne ne faisait attention à elle, mais ses cheveux avaient perdu toutes leur vitalité, ses yeux toutes l'expression de bonté et de gentillesse qu'elle avait eu auparavant, il ne restait en cette femme que très peu, son enfant. Elle eu un petit sourire en se rappelant que c'était cette enfant, qui avait mené Sakura à Hong Kong, une première fois. (eh oui souvenez vous !). Elle soupira et alla voir si son petit bout de chou allait bien, d'une démarche lente et maussade.
A la fin des explications, Meiling semblait toujours aussi froide et fermé comme un roc. Ses longs cheveux d'un noir de jais était détaché et lui arrivait élégamment jusqu'au bas de la taille. Ses jolies yeux noisette (désolé j'ai un trou de mémoire, il sont bien de cette couleur ?) avait une lueur amer et déterminé qui brillait avec force. Elle était simplement habillée d'un petit haut en toile blanche, qui lui faisait un sérieux décolleter, et une jupe assez longue, mais fendue sur le côté, laissant apparaître des jambes élancées. Shaolan devait bien l'avoué, il avait à faire à une femme, une vraie, et des plus attirantes, mais son côté coureur de jupon l'avait abandonné depuis bien longtemps maintenant ! Meiling le fixait dans le fond de ses yeux bruns avait de sifflé :
« Faire cela serait rendre un fameux service à la puissance des Li !
- Quelle rapport Meiling ? Où vas-tu ? Il s'agit de la vie de Sakura !
- Si la maîtresse des cartes reste envie, c'est sur que la puissance de ce clan augmentera bien plus…
- Mais voyons, on t'as fait un lessivage de cerveau pendant un an ou quoi ! Si tu nous hais à ce point, tu pourras retourné dans ta chère rue si tu le désires, mais avant tout soigne Sakura !
- Trop tard… Je ne pourrais plus y retourner. Affirma t'elle avec un regard des plus amères. »
Shaolan reprit son souffle et observa le bloc de glace qui se trouvait devant lui, jamais il n'aurait pu y reconnaître sa cousine, il avait beau se rappeler des souvenirs de cette jeune fille joyeuse et un peu brusque… Puis il esquissa un sourire avant d'ajouter sur un ton qui se voulait triste et lent :
« Meiling… Ecoute moi, ne fais pas la sourde oreille à ce que je vais dire… L'amour… Tu connais non ? »
Le regard de Meiling bloqua, elle devint comme paralysé… Teï… Comment l'oublié, lui… Shaolan, sachant qu'il avait trouvé un point sensible, continua sur sa lancé :
« En tout cas, toi la première, tu étais là à me répéter que c'était du gâchis, j'ai réalisé, et elle aussi, elle est venu ici, près de moi, mais on l'a tué ! On a osé la tué, je ne sais pas qui à fait sa, mais écoute moi bien Meiling, je l'aime, mon amour à réussit à la faire revenir à la vie, mais pour un court laps de temps, je te l'ai déjà expliqué, toi seul peut la sauver ! Meiling… Tu ne détestait pas Sakura, si ? Et puis, elle ne fait pas partit de la famille Li, elle… »
Le regard de Meiling fixa ceux de Shaolan, insistant, avant de se perdre dans ses pensées, son regard exprimait de la tristesse. Si elle perdait Teï, ne tenterait elle pas tout ? Elle acquiesça lentement, Shaolan ajouta lentement toujours :
« Après tu feras ce que tu veux, mais pence à donner des nouvelles, j'ai eu si peur pendant un an… »
Elle acquiesça de nouveau, avant de se mettre à pleurer et se jeter dans les bras de son cousin. Kuroï soupira avec un sourire carnassier :
« Emouvant… Très émouvant cher seigneur, mais puis-je vous rappeler qu'une personne meurt en ce moment ? Vous ne sentez pas cette aura faiblir ? »
Shaolan se redressa d'un coup. Il entraîna Meiling en courant dans la chambre, Sakura allait à peu près bien, si l'on pouvait dire cela, mais à chaque instant elle perdait un peu de vie. Meiling l'ausculta, trouva le problème assez rapidement, puis son visage devint sombre. Kuroï ricana :
« Comme je le pensais, cette petite ne peux rien faire face à une telle puissance, je me trompe ? »
Meiling le fixa rageusement et ajouta, tel une panthère noire attaquant sa proie :
« Eh bien détrompez vous, le vieux ! Je connais la solution et l'antidote, et je m'en vais de ce pas le préparez, et si il manque des herbes, tel que je connais mon cousin nous les aurons en quelques instants ! »
Kuroï resta stupéfait, puis baragouina :
« Non, c'est impossible… Comment… Une gamine pareille pourrait vaincre une telle puissance ! »
Meiling se retourna, imposante, femme bien bâtie :
« Dans les "rues sales de Hong Kong", croyez moi, on en apprend des choses pour survivre ! »
Puis elle lui tourna le dos et partit avec son cousin qui ne jeta même pas un regard à Kuroï.
Depuis de longues heures, Meiling était penché sur ses herbes, ses eaux et tout son attirail. Son dos en souffrait, elle avait des courbatures aux bras, et ses yeux étaient mi-clos. Puis elle secouait la tête et se reprenait. Mais les derniers brins de motivation s'épuisèrent, et elle s'écroula au sol. La préparation de l'antidote était très longue et très minutieuse. Ses longs cheveux la gênaient, gisant au sol, elle les ramena pour en faire une couette haute et savoura ses quelques secondes de pures détentes. Elle ferma les yeux, à mi-chemin vers le sommeil, elle se rappela de Teï, de toutes ses années passé ensemble, avec les regards complices… Les gestes tendres… Puis soudain son regard dur, haineux… Son cœur se serra et elle se réveilla en sursaut, avant de retomber lentement sur le sol et de se calmer, malgré que les battements de cœur ne semblent pas vouloir se calmer. Elle soupira, se redressa et continua le remède, avec un regard rempli de détermination. Elle lui ferait payé à ce foutu mage, de lui avoir enlevé à son groupe. Puis, plus elle repensait à Kuroï, plus elle semblait douteuse. Qui était il ? Et le peu de visage qu'on pouvait voir ne lui plaisait pas, cette expression… Elle eu un frisson dans le dos, secoua pour la énième fois la tête et se concentra sur son antidote.
Mais dans sa chambre, Sakura agonisait, elle sentait les veines de son corps la faire souffrir, son cœur lutté et encore lutté. Elle n'en pouvait plus, sa seule arme était son amour, le fait de ne pas avoir encore assez profité de sa vie. Mais elle n'en pouvait plus… elle allait bientôt lâchez prise, et enfin se reposée… Eternellement. Une main se posa sur son front, venant d'une grande manche.
- Je voulais que personne ne t'ai à part moi… Mais sa à raté, tu es toujours vivante, mais je ne pourrais pas tenter de te tuer une deuxième fois, maintenant tout dépendra de cette chère et si gracieuse Meiling…
La personne en question eu un sourire doux en observant Sakura. Puis il soupira :
- Si seulement tu pouvais moins souffrir… Tiens le coup, Meiling arrivera peut être à te sauver, et si tu meurt, je t'accorde le droit de me haïr comme je t'ai haït quand tu m'as quitté… Je t'aime…
Puis il sortit de la chambre avec un pas lent et lourds, il se retourna une fois à la porte puis repartit. Sakura se décontracta, et eu une expression plus paisible… morte ? Non… Juste décontracté.
To Be Continued…
- Next Chapter-
MAIS QUI A TUE SAKURA ? Nyark nyark, je suis sur que certains doivent avoir une petite idée. Hihi, qui ? héhé Me I know ! Allez, réponses au prochain chapitre ;). Reviews reviews sinon vous suarez jamais :p !
