Rolalalala quel retard j'ahllucine ! et oui hier c'était mon anniv j'ai pas eu une seconde à moi ? résultat un chapitre de mise en place, et qui n'est pas le final, et encore de l'attente pour le prochain chap GOMEN mais ! J'ai déjà écrit quatre page sur le prochaine chap héhé je compte bien me rattraper ! Bref, rien à dire à part bonne lecture et dsl pour tous ce retard j'ai un emploi du temps blindé et je remerci vraimen toutes les personnes qui me soutiennent sa fait super plaisir c'est pour sa qu'aprè le dernier chap je compte bien écrire beaucoup de ligne de remerciment pour CHAQUE revieweur (jvous dit pas le retard que sa risque d'avoir sa aussi lol :p) Allez LET'S ENJOY AND DON'T FORGET… LOVE LOVE LOVE AND FRIENDS !
Chapitre 18
In the light or in the dark ?
Meiling s'habilla rapidement, une cape surtout sur le visage. Elle prit un petit sac, y enfouit quelque chose et sortit. Une domestique s'inquiéta :
- Où allez vous mademoiselle ?
Meiling se retourna sous le soleil matinal. Elle sourit et dit en faisant des signes de main pour dire au revoir :
- Je reviens, pas la peine de prévenir Shaolan ! Bonne journée Nat' !
La domestique s'inclina et espéra que la jeune Li ne s'enfuyait pas de nouveau. Depuis hier matin, elle était de si bonne humeur que sa lui semblait improbable. Dans la rue, Meiling regardait tous avec rêverie et joie. Elle avait malgré tout un sentiment étrange qui lui serrait le cœur, avant elle foulait cette terre avec une légère inquiétude, celle d'être repéré par des marchands… Mais là, elle marchait dignement telle une Li, peut être pas fière de tous les crimes pour acquérir cette richesse, mais aujourd'hui elle l'avait redistribué à ceux à qui cela avait été pris. Elle entendit quelques cris, des protestations. Surprise elle s'approcha, la capuche bien vissée sur la tête. Elle donna quelques coups de coudes par ci par là pour voir ce qui se passait à l'étalage du marchand de fruit. Elle vit Teï et deux autres de ses équipiers se faire embarqué par la police sous les cris du marchand de fruit :
- Sa doit faire un an que ces sales gamins chéparde à mon étalage, il y en à tout un groupe, lui là, le plus grand, c'est un de leurs chef, j'en suis sur !
Teï se débattait du mieux qu'il pouvait, si bien que trois policiers devaient le tenir. Deux pour les bras, et un lui aggripa les jambes après beaucoup de peine. Son regard était rageux, il était assassin sur n'importe qui il se posait. Meiling intervint, se plaçant devant les policiers :
- Arrêtez c'est un ordre !
- Dégage sale manante !
- Sale manante ! Vous savez à qui vous parlez !
Le policier allait la gifler quand elle retira sa capuche et sortit sa carte d'identité. Il arrêta immédiatement son geste et la scène fut comme mise en mode pause. Tout le monde la fixait avec de grands yeux. Avec un air assuré elle dit :
- Maintenant lâchez les !
Aucun geste ne se faisant elle cria :
- C'est un ordre ! Je vous conseil de vous dépêchez ! Allez !
Les policiers s'exécutèrent à contre cœur. Le marchand, colérique, se remit à crié :
- Non mais ! Vous êtes une Li et alors ! Qui va me rembourser tous ses fruits volés !
Meiling lui jeta des billets de sa sacoche à la figure et cracha :
- Je vous en est volé de vos fruits, aussi, et ils sont vraiment dégoûtant ! Maintenant au revoir !
Le cercle se dissipa immédiatement sous le regard fauve de la jeune femme. Teï et ses deux acolytes se retrouvèrent seuls avec elle, dans l'ambiance normale du marché. Trop surpris, il regardait à gauche, à droite, n'arrivant apparemment pas à y croire. Meiling esquissa un sourire et les rassura :
- C'est réglé, ne vous inquiétez pas !
Teï la fixa surpris. Il la dévisageait de haut en bas. Un de ses compagnons la remercia :
- Merci Meiling ! Tu nous à vraiment sauvez la vie !
Teï se ressaisit et la remercia à son tour :
- Ouais… Merci…
- De rien… Alors, la famine va mieux ?
Ils sourirent tous les trois, Teï dit :
- Oui, jamais nous n'avons eu autant à manger, merci aussi pour sa…
Meiling dit tranquillement :
- Mmmmh… Je ne supporte pas l'idée d'être une Li mais il faut bien que sa serve à quelque chose.
Ils se dirigèrent vers la planque. Meiling retira avec la grâce qu'on lui avait appris à avoir depuis son enfance sa cape. Teï la regarda de haut en bas, Meiling, soignée, lavée, et habillé d'une manière simple, mais tellement élégante. Il voyait là une grande femme très séduisante, et il avait du mal à croire que c'était elle qu'il avait protégée pendant un an, avec son regard si déterminé et son ton si tranchant. Il avait aussi du mal à croire que c'était elle qu'il avait embrassée… Elle lui décocha un regard interrogateur, ils n'étaient maintenant que tous les deux. Elle lui demanda gentiment :
- Alors ? Tous se passe bien ?
Il parut étonné, il rouit légèrement et répondit :
- Bien sûr… Tous les malades et blesser ont pu allez voir un médecin, on à pu acheter beaucoup à manger, et il en reste encore. Mais… Comment as-tu pu avoir autant d'argent ?
Meiling eu un regard gêné et elle le baissa. Elle restait silencieuse, regardant autour d'elle les gens de ce monde, qui était avant le sien, évolué avec le sourire. Il insista avec un ton plus assuré :
- Meiling ! Tu me réponds ?
Mais elle semblait garder obstinément le silence. Il l'attrapa par les bras et essaya de capter son regard fuyant. Il insista bien sur les mots :
- Où as-tu eu cet argent ?
Meiling soupira et avoua :
- Ma tante que je considérais comme ma mère est morte il n'y a pas longtemps, et je vous ai donné la moitié de l'héritage qui était destinée à mon avenir…
Teï parut choqué et dit :
- Mais sa ne va pas bien ! Et comment tu vas faire pour ton avenir ?
Meiling, les larmes aux yeux dit :
- Je n'en ai rien à faire ! Et mon avenir est ici, non ?
Elle le fixa dans les yeux, les siens étant humides. Il la regarda, surpris :
- Malgré tous le luxe que tu as chez les Li tu veux encore partir de chez eux ?
- Pas vraiment, je ne veux pas disparaître car des gens ce sont fais un sang d'encre pour moi, mais… Viens, demain, à la maison, mon cousin est le nouveau maître, et c'est vraiment un homme gentil.
Teï parut choqué, et le regard méfiant il demanda :
- Au domaine Li ?
Meiling acquiesça, ses longs et soyeux cheveux suivant son geste. Teï parut gêné, il ne savait où poser son regard et hésita en parlant d'une manière triste :
- Ecoute Meiling… Moi… Je me suis fais bannir du domaine de mon père, et c'est justement là où est votre château…
- Tu me l'a déjà dit, et alors ? Viens Teï, je veux que tu vois le nouveau sang des Li, sa à changé ! Personne dans ma famille ne penserait à te faire du mal ! Viens, s'il te plaît !
Teï la regarda dans les yeux et elle aussi. Elle était si déterminée… Et si belle quand elle avait ce regard persistant et doux… Il abdiqua en soupirant :
- Tu gagnes, mais tu n'as pas intérêt à m'avoir mentie… A quelle heure ?
- Bah… Quand tu veux… Viens pour manger ! A 11 heures, d'accord ? Je te fais confiance, sois ponctuel, d'accord ?
Son regard s'adoucit et il dit :
- D'accord…
Ils se sourirent, mais immédiatement Teï se reprocha :
« Pourquoi j'ai accepté ? Je suis fou… »
Mais en la regardant, il se dit qu'il ne pouvait refusé à cette jeune femme. Si belle, si douce, et il la connaissait si bien. Il posa une main sur sa joue et fut surpris par sa chaleur et sa douceur. Meiling se jeta dans ses bras et l'embrassa, comme si elle n'attendait que sa depuis le début. Il ne dit pas non, car il se l'avoua, il attendait aussi ce moment avec impatience. Il se sentit léger comme l'air, bien, comme sur un petit nuage. Meiling se dit que tout le monde avait le droit au bonheur, elle venait d'accéder au sien.
Sakura était tranquillement allongée dans l'herbe, elle regardait le ciel se couché lentement. Elle leva sa main en l'air, le vent fit bouger ses cheveux au même rythme que les brins d'herbe. Les derniers rayons du soleil filtraient entre ses doigts. Elle sentait une chaleur l'envahir, le bien être. Que c'était agréable d'être en vie et en bonne santé. Il n'y avait plus de problème apparent, tous semblait baigné tranquillement comme il le fallait. Elle était tellement bien qu'elle se mit à fermer les yeux, et presque à s'endormir, quand une mélodie de flûte l'éveilla lentement. Elle tourna lourdement sa tête vers sa droite, et vit, assis en tailleur en sur élévation sur un rocher, Kuroï(Mathieu), une flûte indienne entre les mains. Jouant tranquillement un air mélodieux, telle une berçeuse, et sûrement une des plus douces berceuse que Sakura est entendue. Elle lui dit, articulant lentement :
- Kuroï…
Il tourna la tête vers elle.
- Tu joues bien…
Il lui sourit :
- Merci…
Elle se redressa et demanda :
- Que fais tu ici ?
Il songea et répondit, le regard songeur et triste :
- Je te protège tant que je le peux encore… Je veille sur toi quoi !
Il lui sourit. Sakura rougit, elle avait l'impression d'avoir à faire à un nouveau jeune homme, alors qu'elle avait vécu avec « Mathieu » pendant un an. Elle demanda :
- Dis… Mathieu…
- Kuroï ! corrigea celui-ci en riant.
- Oui, Kuroï, tu m'aimes encore ?
Il rit silencieusement et regarda devant lui. Il restait silencieux quelques instants, au son des grillons, à la vue du couché de soleil qu'il semblait admirer. Puis il répondit :
- Oui…
Puis il la rassura en lui offrant un sourire bienveillant :
- Mais c'est Shaolan que tu aimes, et je ne ferais rien qui puisse changer sa ! Enfin…
Puis il se tût, la mine soudain plus grave. Comme pour oublier un mauvais souvenir, il se remit à jouer de la flûte. Sakura se laisse bercer, se rallonge. Et après quelques minutes, s'endormit, un sommeil si paisible, elle n'en avait pas eu depuis si longtemps… Elle fit un rêve étrange, si étrange… Elle voyait Mathieu, enfin Kuroï, habillé de sa grande cape, mais sans sa capuche. Elle l'appelle, sa voix résonne à l'infinie. Autour d'eux c'est un champ de fleur magnifique. Il se retourne lentement, puis l'observe, sans sourire. Puis il paraît surpris, il tend un bras vers elle et hurle : « Fuis !». Sakura ne réagit pas, elle observe son visage, si beau… Elle réalise soudain qu'il ressemble à un ange… Son visage si clair et normalement paisible. Là par contre il était inquiet, et il s'avança d'un cou vers elle, sa capuche sur la tête. Le décors changea, elle se retrouva au restaurant… le soir où elle s'était fais agresser ! Kuroï l'aggripa eu cou, elle ressentit la maladie qui l'avait tué… Elle se réveilla en sursaut, des larmes coulèrent toutes seules le long de ses joues. Elle s'était retenue de crier, mais apparemment, trop tard. Kuroï cessa la flûte et s'agenouilla vers elle, il la prit par les épaules et la regarda avec inquiétude :
- Sakura ! Sakura tu vas bien ?
Sakura observa Kuroï, il avait le même visage inquiet que dans son rêve, elle ne savait plus quoi penser de lui, mais il semblait tellement sincère… Elle se jeta dans ses bras, en essayant de toutes ses forces de retenir ses larmes, mais elle avait tellement paniqué. Le souvenir de cette maladie, de cette mort, lui avait laissé une profonde cicatrice dans le cœur et dans tous les organes de son corps. Il lui frotta le dos pour la rassuré.
- Calme toi, qu'est ce qui t'arrive ?
Sakura hoqueta et enfin ses pleurs cessèrent, elle s'expliqua confusément :
- Bah… J'ai rêvée que tu… Tu mettais ta capuche et tu m'attaquais…
L'expression de Kuroï devint grave, et il dit très bas :
- Sakura, je peut être un ange gardien comme un démon dès que j'aurais ma capuche il faut que tu…
Mais il ne pus finir sa frase qui serra sa main sur son cœur, les dents serrés, le visage crispé. Sakura s'inquiéta immédiatement :
- Sa ne vas pas ?
Kuroï se redressa, le visage détendu et la rassura :
- Ce n'était rien, juste une petite crampe !
Puis il lui sourit. Sakura demanda intrigué :
-Alors, vous alliez dire quoi ?
Il se mit debout et répondis en s'éloignant :
- Moi ? Rien !
Sakura le regarda partir, surprise. Elle le rappela :
- Kuroï !
Celui ce retourna te la regarda d'un air bien veillant :
- Oui ?
- Pourquoi partez vous ?
Il sourit tranquillement et assura :
- Je ne veux pas imposer plus longtemps ma présence à Shaolan, il me déteste !
- Attendez !
Elle se releva, lui pris les main et le regarda, perdu. Lui plongea son regard, tranquille, dans le sien.
« Je ne veux pas te blesser ma Sakura… Je dois partir… »
Gênée, Sakura détourna les yeux, mais ne lâcha pas pour autant les mains de Kuroï. Elle soupira, cherchant ses mots. Redressant la tête, elle vit Kuroï fixé quelqu'un à sa gauche. Elle se tourna et lâcha rapidement les mains de Kuroï . Shaolan les fixait sans piper mot. Sakura essaya de sonder son regard mais il était froid. Il ne laissait transparaître aucun sentiment. Il avait eu de longs moments pour approfondir cette technique. Sakura voulut parlé mais ne su quoi dire. Face au long silence, Kuroï dit sur un ton assez froid :
- Elle me disait au revoir, je m'en vais…
Les sourcils de Shaolan se froncèrent. Les cheveux de Sakura virevoltèrent légèrement, Kuroï entama son départ, aillant lâcher les mains de Sakura, sourit en fermant les yeux, respirer une dernière fois ce parfum agréable. Il fixa la fleur de cerisier et partit… Une voix au fond de lui lui disait « Tu l'aimes » et sa réponse à lui était simple, à partir de maintenant il ne voudrait que son bonheur. A chaque pas, il sentait une douleur encore plus poignante étreindre son cœur. Il devait continuer, il ne devait pas laisser le mal s'emparer de nouveau de son cœur… Il continua le plus qu'il pouvait, quitte à mourir…
A midi, Meiling avait posé la table, à la surprise de son cousin, elle avait rajouté un couvert. Avec que Teï n'arrive, elle devait lui expliquer. Elle le prit dans la chambre de celui-ci et commença en hésitant :
- En fait… j'ai rajouté un couvert car j'ai invité quelqu'un à dîner…
- Sa je l'avais deviné, mais qui ?
Elle prit une grande inspiration et répondit :
- La raison de ma si longue absence…
Shaolan arqua un sourcil et demanda calmement :
- Tu… l'aimes ?
- Oui… Mais Shaolan, quand il arrivera ne te braque pas…
- Pourquoi je me braquerais ?
- En fait c'est quelqu'un d'un clan contre les Li, qui vit dans les souterrains de Hong kong…
Shaolan parut surpris plutôt qu'énervé. Il demanda :
- Mais pourquoi est il contre les Li ?
- Car nos ancêtre leur on tous détruit leur vie… Tuant leur proche juste pour + de pouvoir et un terrain mais…
Shaolan sourit et lui fit signe de se taire :
- N'en dit pas plus, tu l'aimes non ? C'est le plus important !
Meiling sourit à son cousin et le prit dans ses bras en le remerciant. Elle sentait un poids s'envolé. Son cousin avait toujours été compréhensif. Elle fut rassurée de voir qu'il n'avait pas changé ! Puis elle demanda :
- Où est Sakura ?
Elle cru voir le visage de son cousin s'assombrirent un court moment avant de répondre :
- Elle est dans sa chambre, elle a besoin de réfléchir…
- Pourquoi ?
Meiling fut surprise, son cousin et Sakura avait déjà eu une querelle ?
- Je… je ne sais pas trop, Kuroï est partit aujourd'hui…
Meiling se mit à réfléchir et soupira :
- Il était… Vraiment étrange quand même, tu ne trouves pas ?
- C'était l'ex de Sakura…
- Ce… Ce mage ?
- Elle, ne le connaissait que sous son apparence normal… Mais je crains qu'elle est encore des sentiments pour lui…
- Voyons Shaolan ! Il ne faut pas dire sa ! Tu sais bien qu'elle t'aime, tu te rend compte tous les sacrifices qu'elle a fait pour venir te rejoindre ici ?
Shaolan n'y avait pas pensé, qu'il était idiot… Et puis, d'un côté, Mathieu avait maintenue sa chère et tendre en vie lorsqu'elle était loin de lui… Pour cela il devait grandement le remercier… mais il avait la sensation et quelque chose ne tournait pas rond, et sa haine envers Mathieu ne faisait que s'attisé. Yué entra dans la pièce et annonça :
- On a des visiteurs…
La porte s'ouvrit à la volée, une voix féminine cria :
- Sakura ! Ma puce ! Où est tu !
Tomoyo, belle jeune femme, tenant dans ses bras un enfant, était inquiète et regardait partout autour d'elle. Eriol, son mari, tenta de la calmer, avec son éternel sourire. Yué le fixait sans cesse, il avait du mal à s'y faire, sûrement… On aurait dit qu'il n'attendait qu'une chose, que Eriol se transforme soudainement en Clow Lead. Sakura descendit lentement les escalier, un peu endormie et surprise :
- Tomoyo ?
- Sakura !
Elle courut attraper son amie d'un bras, tenant dans l'autre l'enfant. Elle lui fit la bise et sa calma, expliquant la raison de sa visite :
- Je suis désolé, j'étais drôlement inquiète. J'ai eu un mauvais pressentiment, les branches de cerisier que tu m'avais offerte avec leur ensorcellement ont soudainement dépéries ! J'ai téléphoné et Yué m'a annoncé que tu étais dans un état critique ! Mais quelle galère à l'aéroport, tous les avions avaient été retardés !
Sakura la remercia en la serrant dans ses bras :
- Merci ma chérie, il ne fallait pas…
Puis elle s'exclama :
- Oh ! Mais il est trop mignon ce bout de chou ! Hein Mia tu as encore grandit dis moi ! Vous allez vite en besogne quand même !
Le bébé gazouilla, tout sourire, reconnaissant sa marraine. Sakura était tout sourire. Shaolan regardait ce tableau, légèrement troublée. Il avait l'impression de regarder un téléfilm, le titre serait simple à trouve « la famille parfaite et heureuse ». Pourquoi avait il l'impression de porte un grand malheur dans son cœur ? Son enfance dure ? Son titre de Xiaolang qui lui prenait beaucoup de temps ? L'ancienne disparition de sa cousine ? La mort de sa mère ? Sa jalousie ? Sa peur de perdre Sakura de nouveau ? Il avait comme une sorte d'impression de vouloir envelopper ce moment précieux dans de la soie pour qu'il ne ternisse jamais. Meiling lui prit le bras et sourit. 11 heures sonnèrent, tout comme l'interphone. Yué alla de nouveau ouvrir, et revint au côté d'un grand jeune homme, bien battit, cheveux blonds en bazars, mais mieux coiffées que ceux de Shaolan quand même (en pic quoi lol). Il avait des yeux bleu profond et clair, la peau assez mat. Il n'était pas habillé comme un clochard, ni comme une personne de la haute société. Il avait toujours ses habits larges. Sentant qu'il était gêné et sur ses gardes faces à tous ses regards posés sur lui, Meiling le présenta :
- Je vous présente Teï, c'est lui qui s'est occupé de moi pendant mon absence !
Shaolan et Teï se serrèrent la main. Tous deux s'évaluèrent du regard. Teï vérifiait si il pouvait avoir confiance en un Li autre que Meiling, et Shaolan si ce jeune homme méritait sa cousine. Finalement ils esquissèrent chacun un sourire et se lâchèrent la main. Meiling présenta :
- Donc sa c'est mon cousin Shaolan Li, sa c'est Tomoyo et Eriol avec leur petit bout Mia, et enfin Sakura, la fiancée de mon cousin !
Sakura se mit à rougir et sembla vouloir dire quelque chose mais se ravisa. Teï demanda, surprise :
- Fiancée ?
Il fixait les mains de Sakura, à l'emplacement où devait être la bague de fiançailles, il n'y avait rien. Shaolan rit légèrement et expliqua :
- Ma cousine en rajoute toujours, non, nous ne somme pas fiancée, mais…
Sakura et Shaolan se lancèrent un regard. La jeune fille était gêné, et lui, lui sourit. Elle lui retourna son sourire, plus détendue. Pendant quelques secondes elle s'était demandée si en fait ce n'était pas « un amour à sens unique ». Ils passèrent à table. Teï fut beaucoup questionné sur sa vie, son groupe, sa survie dans les rues de Hong Kong…Etc… Meiling était heureuse, il semblait apprécier de la famille, même Sheifa qui était pourtant la plus stricte des sœurs Li.
Après quelques dossiers achever, Shaolan décida de prendre une pause, et de la passer avec Sakura qu'il avait vu au loin allongée dans l'herbe du pré, près des chevaux du domaine. Il s'assit à côté d'elle, elle s'était endormie. Elle était adorable ainsi, on aurait dit un ange endormi dans le jardin d'eden. Il avait du mal à comprendre comment tout avait pu arriver jusqu'à maintenant… Plus jeunes, ils étaient sorties ensembles, ils avaient capturer les cartes ensembles, pour finalement ce haïr. Ils s'étaient perdus de vue, et par pur hasard, elle avait du emménager dans le même appartement que lui. Il remercia Dieu de cette chance ! Sans cet appartement, rien n'aurait eu lieu, il sombrerait dans le désespoir à l'heure qu'il est. Dans cet appartement, ils étaient repartis à zéro et avait recommencer une nouvelle amitié. Amitié qui avait dérapé après quelques verres de vin blanc pour finalement se remettre sur la bonne route. Mais il avait du partir de nouveau, il était persuadé que c'était la fin, mais elle est revenu encore une fois, elle repartie… Mais encore revenue, elle revenait toujours… Puis elle est morte… Et cette fois c'est lui qui est allez le chercher dans l'au delà. Il s'en rappellerait toute sa vie. Un jardin flou, près d'un lac sans fin. Elle était allongée par terre, sur les genoux de sa mère, ange magnifique. C'était la première fois qu'il la voyait, à part sur les multiples magazines que Sakura collectionnait. Elle lui avait sourit et rendu sa bien aimée. Maintenant elle était là, et plus rien ne devrait de nouveau les séparés… Rien… Ils devaient maintenant penser à faire comme Tomoyo et Eriol, construirent une famille pleine d'amour. Shaolan en brûlait d'envie, de la garder à ses côté le reste de sa vie, ils avaient tous deux assez souffert, avaient été assez séparés. Il lui caressa le visage du bout des doigts. Les sourcils de Sakura se froncèrent, il sourit. Elle se tourna sur le côté machinalement, lui tournant le dos. Il s'allongea à son tour et la prit dans ses bras, entourant sa taille de mannequin. Elle se réveilla légèrement et posa ses mains sur les siennes. Elle sentit le soleil caresser sa peau comme le contact des cheveux de Shaolan dans sa nuque. L'herbe lui chatouiller les joues, le souffle de Shaolan la rassurée… Elle était bien, dans l'air cette bonne odeur de printemps, cette odeur de cerisier… Elle se rendormie, Shaolan s'endormit, tout près d'elle. Il en était certains, jamais, oh grand jamais, il ne voudrait plus la quitter. Elle était la femme de sa vie, le destin avait eu beau essayer des les séparer, il n'y était pas parvenu… Mais au loin, des yeux envies l'assassinait du regard, une voix sombre et roque souffla :
- Elle serra à moi… Moi seule…
Meiling et Teï faisait un petit tour à cheval, sur les meilleurs étalons du domaine. Meiling avait réussit à battre Teï à la course, et elle ne cessait de le charrier. Elle le vit rire, sourire… Comme un jeune enfant. Mais sûrement n'avait il jamais eu d'enfance, alors qu'elle en avait eu une bien douillette, c'était ce qui creusait une grande différente entre eux deux. Ils se posèrent sous un arbre, pour laisser les cheveux se reposer et paître. Teï respira l'air pur avec un grand sourire et remercia Meiling :
- Merci, j'ai vraiment passé une excellente après midi.
- Ils doivent tous t'attendre au refuge non ?
- Bof… J'ai laissé le commandement à Beck.
Il ouvrit un œil sur deux pour fixé Meiling de coin, leurs regards se croisèrent et ils sourirent. Il ajouta :
- J'ai envie de rester avec toi encore un peu plus de temps…
Il la prit dans ses bras en soupirant :
- Qui sait quand est ce que nous nous reverrons ensuite ?
Meiling caressa doucement les bras de Teï du bout de ses doigts et soupira :
- Je ne sais pas… Par contre… Tu sais, mon cousin et sa fiancée ?
- Oui, et bien ?
- Le destin n'a fait que les séparer. Il se sont connu en CM2, il se sont aimé mais mon cousin a du repartir à Hong Kong avant de revenir quand Sakura était en 6ième. Ensuite ils se sont haït et perdu de vue. Et par hasard, elle a emménagé dans le même appartement que lui. Ils sont repartie à zéro et sont devenu très bon amis. Mais mon frère a du revenir en Chine. Sakura est venu ici deux fois, mais la deuxième fois elle est morte, alors mon frère à utiliser tous ses pouvoirs pour la ranimer. Et voilà…
Elle réalisa trop tard qu'elle avait parlé de la magie de sa famille. Teï ne parla pas pendant quelques secondes et finit par dire :
- C'est une belle histoire…
Meiling le fixa avec inquiétude, il lui sourit et la rassura :
- Il y a toujours eu une rumeur comme quoi la famille Li possédait certains pouvoir magique, et je comprend mieux ainsi comment ils ont pus s'approprié autant de domaine… Enfin, c'est quand même un peu surréaliste de ramener quelqu'un à la vie mais bon…
Meiling demanda :
- Si je mourrais, tu ferais quoi ?
- Bonne question… Sois je meurt, sois je deviens fou, sois je demande à ton cousin à m'apprendre la magie !
Ils rirent, avant de s'embrasser tendrement. Meiling sentit son cœur se transformer en million de petits papillons. Que la vie pouvait être belle quand on la regardait bien… Au loin, des nuages noirs comme les ténèbres s'annoncèrent. Meiling fronça les sourcils :
- Un gros orage se prépare, tu ferais mieux de rentrer…
- Tu as raison, je te raccompagne et j'y vais !
Ils remontèrent à cheval. Les chevaux semblait plus nerveux, légèrement paniqué. Meiling, elle, s'inquiéta, ces nuages noirs avaient une aura étrange. Sa ne présageait rien de bon, elle avait peur, elle sentit un frisson la parcourir alors elle fit accélérer son cheval.
To Be Continued…
-Next Chapter-
Et oui ce n'était pas le dernier chapitre, en fait le prochain le sera surement mais… Enfin certainne personne savent que la fin… est… Enfin bref ! J'espère que vous avez aimez, l'action commence dans le chapitre qui arrive mmdr, « Le destin comme un vent changeant » :-p bref lachez vos com' et le prochain chapitre a déjà 4 pages de fait !
Gros bisous !
