Nous, y sommes : ma première fic. Dérangeante, déroutante et pas appréciée de tous.
Désolée d'avance, J.K.R., et toi lecteur avertis, je ne fais pas dans le genre de cette auteur magnifique, seuls les personnages et leurs histoires sont à elles. Celle-ci à moi. I hope you enjoy.
Paris, XVIe ou les déchéances de nouveaux riches
Chapitre premier : Mr. Malefoy et Mr.PotterDrago Malefoy était l'une des personnes les plus riches de Paris. Il avait passé sa dernière année de cours à Beaubâtons, l'équivalent de Poudlard, en France car son père s'y était installé pour affaire. Ils avaient fait déménagé le manoir en plein Paris. Mais cela ne se voyait pas car ils avaient utilisé un sort qui rendait la demeure invisible aux yeux des moldus, à la place, il y avait un simple apartement. Simple, pour une famille huppée et riche comme celle des Malefoy. A la fin de cette septième année de classe, le célébrissime Harry Potter vaincquit celui-dont-on-ne-devait-pas-prononcer-le-nom. Les Mangemorts moururent à la suite de cette défaîte, c'est pourquoi aujourd'hui, Drago comblait le vide de la mort de son père, en argent.
Il avait des entreprises dans le monde entier, il pouvait voyager comme il le voulait, mais restait à Paris. Il paraît que c'est en France que les filles sont les plus chaudes. Il fit cette découverte lors de sa dernière année d'étude, où plusieures « frenchies » sont tombées sous son charmes dévastateur. Il avait grandi jusqu'à mesurer 1m92, ses épaules s'étaient développées à cause du quidditch qu'il pratiquait toujours. Ses cheveux blonds atteignaient ses épaules. Il les attachait souvent avec un ruban noir et laissait quelques mèches encadrer son visage. Ses yeux couleur lune scintillaient étrangement sur sa peau impeccablement pâle. Ses lèvres sensuelles ne laissaient de marbre personne, tous sexes confondus. Le principal atout de drago était qu'il savait se mettre en valeur, son styliste personnel n'y était pas entièrement pour rien.
A vingt-deux ans, Drago était le meilleur parti du XVIème arrondissement de Paris, et sûrement d'Europe : riche, beau, intelligent - et non machiavélique, comme le pense certains. Et Pansy Parkinson n'était pas la dernière à s'en être aperçu. Après la mort de ses parents, Mangemorts, elle avait, elle aussi, reprit les rênes des sociétés familiales, qui étaient beaucoup moins nombreuses et fructueuses que celles des Malefoy.
En ce moment même, Pansy massait les épaules de Drago. Ils se trouvaient dans le bureau de Drago, au vingtième étage d'un immeuble d'affaire. De là, il pouvait observer la ville, à travers les baies vitrées encadrant trois paroies de son bureau. Il était dans son fauteuil, les pieds sur son bureau où nul ne trainait à part son ordinateur portable (léger comme une plume), son Palmpilot, son téléphone portable minuscule et sa lampe. Le tout était très design, classe et moderne. Le décorateur d'intérieurs, passé il y a une semaine, avait fait du bon travail.
Le téléphone de Drago sonna. Seuls ses amis, sa famille et sa secrétaire avait son numéro.
-Oui, allo ? dit-il de la voix traînante et si sensuelle qui lui était propre.
-Eh ! Dray, c'est Blaise. Comment ça va ?
-Salut, Blaise.
Blaise Zabini était devenu réalisateur de film, très prisé, ce qui lui permettait de coucher avec toutes ces jeunes actrices qui rêve de devenir la prochaine Marilyn.
-T'as quelque chose pour ce soir ? demanda Blaise, à l'autre bout du téléphone.
-Je comptais passer une soirée à lire des histoires au coin du feu. Si t'as mieux ? plaisanta Drago.
-Ecoute ça : un nouveau bar ouvre ses portes « The Nova Club House ». Il paraît que c'est super. Un pote gay y est allé à l'ouverture, il y a deux jours.
-Un pote gay ? Quel pote gay ? Oh ! attend, j'ai un double appel.
Drago appuya sur une touche.
-Oui ?
-Mr. Del Mante est en ligne, Mr. Malefoy. Déclara sa secrétaire.
-Oui, et alors ?
-Il souhaiterais vous entretenir au sujet d'une course de chevaux. Son cheval serait favori.
-Dîtes-lui que je souhaiterais qu'il aille se faire enculer par son cheval.
Drago reprit sa conversation avec Blaise.
-Oui, donc va-y, continue, Blaise.
-C'est un night club gay, sur les Champs.
-Heureusement que c'est gay ! Tu me vois aller dans un bar complètement hétéro ?????
-Nan, bien sûr que non. Vingt deux heures, tu passes me prendre ?
-Ouais, bye, ciao.
Drago raccrocha, informa Pansy de la soirée, se leva et alla se chercher un verre de Whisky dans un placard.
Harry Potter était installé confortablement dans son canapé de cuir noir. Son appartement, situé dans le XVIème arrondissement de Paris, était on ne peut plus luxueux. Home Cinema à écran super plat, tapis les plus chers d'Orient, cuisine High-tech et j'en passe. Il avait pu se payer tout ça grâce à sa victoire contre Le Seigneur Des Ténèbres. Ses autobiographies s'étaient arrachées de part le monde. Après ses études à Poudlard, il avait entreprit une formation d'Auror, mais, il faisait ce métier par pur plaisir et que lorsque cela lui plaisait.
Il tenait une coupe de Champagne dans une main, l'autre étant occupée à caresser le doux cachemire blanc du pull d'Hermione Granger. Sa réputation en tant que top model et plus récemment actrice n'était plus à démontrer. Les meilleurs réalisateurs d'Hollywood réclamaient Herminia, son pseudonyme. Mais elle aimait résidé à Paris chez son ami Harry et Ron, qui habitait avec.
Ce dernier contemplait la scène qui se jouait sous ses yeux. Voir serait plus juste. Depuis plusieurs semaines, une seule chose hantait son esprit : Seamus Finnigan. Seamus était le partenaire de Ron, un journaliste et un photographe. Les photos de Ron étant les plus chers des magazines. Il exposait aussi, souvent. Une des plus belles œuvres du photographe était, sans nul doute possible, une photo noire et blanc de Seamus en tenue d'Adam. L'amour traversait la photographie.
-Harry ? demanda Ron.
-Oui, que veux-tu?
-Est-ce que je pourrais faire quelques clichés de toi, pour ma prochaine expo ?
-Oui, bien sûr, quand tu veux.
Harry avait une musculature parfaite : ni trop, ni trop peu. Sa peau avait impeccablement bronzé durant ses longues expositions sous le soleil de St Tropez. Ses cheveux avaient un peu poussé et grâce à son coiffeur-sorcier, il avait réussi à en faire un « désordre rangé », des mèches sombres flottaient autour de son visage. Sur l'extrémité des mèches, on décelait des reflets de différentes couleurs suivant le jour, qui s'accordaient au profond regard sensuel qui faisait ravage.
-Merci, Harry. Dit Ron, avide.
Hermione se redressa et posa sa coupe sur la table basse en verre.
-Qu'est-ce qu'on fait ce soir ?
Elle secoua sa tête, ses longs cheveux châtains, méchés blond, reflétant le soleil.
-Rien de spécial, répondit Harry, jouant avec le passant de ceinture de son pantalon.
-Euh…Seamus, m'a dit qu'une nouvelle boîte gay a ouvert, il n'y a pas longtemps. Il m'a…euh…proposé de l'y rejoindre. Vous n'avez qu'à venir.
Hermione et Harry se regardèrent puis acquiescèrent. Hermione avala le reste de son verre.
-C'est quoi le nom de cette boîte ? demanda-t-elle.
-« The Nova Club House ». Pourquoi? Ca te dit quelque chose?
-Oui. On m'a dit que les mecs étaient plutôt chauds, là-bas…
-Mione ! c'est un club GAY ! Tu comprends ce que ça veut dire ??? Questionna Harry.
-Ca veut dire comme toi ?! Le taquina-t-elle avant de lui faire un clin d'œil. Mais cela veut aussi dire : BI !
Harry et Ron sourirent en reconnaissant bien leur Mione adorée !
Qu'en pensez-vous???
