On a marché sur Nouméa !
Cette partie promet d'être courte (« 'tain, pour une fois », me diront certains), pleine de romance (horreur...) et avec toujours autant de conneries !
Disclamiers : Aah, j'arrive pas à le dire...
KAMUI : Si ! Fais-le !
MWA : ... sont pas à mwa...
KAMUI : Heureusement... nous sommes la propriété exclusive des Clamp.
MWA : Comment ça 'heureusement' ? Si c'était moi votre créatrice, sois sûr que t'aurais pas un tel destin de merde et en plus tu serais déjà fiancé à Kotori !
KAMUI : C'est bien pour cette dernière raison que je dis 'heureusement'...
Mini-story résumé : Nos 14 Dragons se sont payés des vacances en Nouvelle Calédonie, et en tant qu' éternels insatisfaits, ils foutent le b*rdel dans mon bô pays.
SUBARU : Moi ? Je fous le bordel ?
MWA : Ouais, tu perturbes mon cœur, d'habitude si peu capricieux...
SUBARU : ... ''Si peu capricieux'', elle se moque de qui là ?
SEÏSHIRÔ : Pas touche, c'est mon homme !
NATAKU : J'veux la tuer !
CHAPITRE 4
Après l'éprouvante journée de la veille, les Dragons ont décidé de rester pépères au moins une journée au Méridien... ainsi, ils pourront le visiter tranquillement (toute façon y'a rien à voir à l'intérieur à part la piscine, même si de l'extérieur on croirait au palais des mille et unes nuits) :
SUBARU : Mademoiselle Kishû ?
KISHÛ LA NARRATRICE : Oui Subby chéri ?
SUBARU, une goutte de sueur lui perlant le front : Heu... ça ne se fait pas de faire le blâme d'un hôtel dans une fanfic... après ils n'auront plus de clients et l'hôtel fermera par votre fau...
KISHÛ LA NARRATRICE, le coupant : Rien à foutre, je dis que la vérité, et y'a que la vérité qui blesse !
SUBARU : Le terme 'blesser' est mal employé dans cette situation...
KISHÛ LA NARRATRICE : Pourquoi tu me fais la morale ? Mon cœur déborde d'amour pour toi, et c'est comme ça que tu me remercies... ?
SEÏSHIRÔ, qui ramène sa fraise : TOUCHE PAS MON HOMME, SALE POUFF' ! (Pétales de cerisiers accompagnés d'une musique angoissante)
KISHÛ LA NARRATRICE : Heu... l'histoire commence...
Et dans la joie et la bonne humeur (?), tous (même Kakyo) descendent prendre leur petit-déjeuner au Faré (oui oui, avec le toit en paille et les colonnes en bois... et ses prix implacables) :
AOKI : QUOI ! 1200fcfp (10€ environ) pour une malheureuse omelette ! C'est du délire !
YÛTO : Cher collègue, oubliez-vous que nous sommes dans l'hôtel le plus classe de la ville de Nouméa ?
AOKI : Même ! Et après on s'étonne qu'il y ait de moins en moins de touristes japonais ici !
SATSUKI : C'est depuis la mort de touristes japonaises à l'Île des Pins. Ça a fait un scandale monstre au Japon...
YUZURIHA, la main sur la bouche : C'est horrible !
NATAKU, très intéressé : Comment sont-elles mortes ?
SATSUKI : T'es trop jeune pour entendre ce genre d'histoire...
NATAKU : Hein ! Je suis pas un mioche !
KUSANAGI : Termine ton verre de lait si tu veux bien grandir et ne pas finir comme Edward Elric qui est tout petit...
EDWARD, une lueur démente dans les yeux, transmutant son bras pour qu'il devienne une dague : ai-je bien entendu... ?
KISHÛ LA NARRATRICE : Non ! Il a pas dit p**** (moi non plus je ne l'ai pas dit) ! Et dégage de cette fic d'abord ! C'est X Clamp ici !
YUZURIHA : Kyyyaaa ! Une crevette blonde ! Comme elle est choupimimi, hein Inuki ?
... ... ... ... ... ... ... ... (Affaire à suivre)
KAKYO : C'est quoi l'Île des Pins ?
KISHÛ LA NARRATRICE : Tu verras dans un prochain chapitre si j'arrive jusqu'à là...
SATSUKI : Ah, j'avais oublié que tu ne suivais pas depuis le début.
KAKYO : Hein ! Mais c'est faux ! J'ai toujours été très attentif à tout ce qu'on m'a dit depuis le début de cette fic...
FÛMA : Et mon cul, c'est du poulet !
SORATA, ventre gargouillant & bavant : C'est vrai ?
ARASHI : VOYONS, ARISUGAWA-SAN !
SORATA : J'crève de faim ! Mam'zelle (interpelle la jeune et charmante serveuse) ! Je veux tous les plats sur la carte ! Je veux un cocktail de fruits frais, un thé au Jasmin et un Milk-Shake chocolat banane, ainsi qu'un verre d'eau pour ma dulcinée siouplaît !
KISHÛ LA SERVEUSE : Maieeeeuh, ces plats ne sont valables qu'à partir de 11h...
SORATA : Ah ? Bon bah je veux ça, et ça, et ça et ça...
KAREN : Sinon moi j'ai bien dormi cette nuit ! Pas vous ?
FÛMA, buvant son lait chaud : Moi j'ai pioncé comme un bébé !
SEÏSHIRÔ : T'as surtout ronflé... t'as une moustache de lait au dessus de la lèvre...
L'intéressé s'essuie d'un revers de manche. Karen reprend :
KAREN : Dites, mais où sont passés nos deux bishô mazo ?
SORATA : Et ça, et ça, et ça, encore ça, avec un peu ça, vous le mettez à part, et pis ça...
KISHÛ LA SERVEUSE : (Essaye de prendre note)
FÛMA : Honnêtement, Séï et moi on n'en sait rien.
TOUS, sauf Séï &Fûma : HEIN !
SEÏSHIRÔ : Hier, quand on est sorti de la douche avec Fûma, ils avaient déjà disparus... pourtant deux heures avant, ils étaient en train de s'épiler les épines...
KAREN : Avant de continuer... attendez, vous avez pris votre douche tous les deux ? Et vous êtes restés cloîtrés deux heures sous la douche ?
Silence... les femmes et leur perspicacité !
SEÏSHIRÔ, vexé et confus : Meuh nooooon ! C'est pas ce que vous croyez ! Kishû, dites-leur !
KISHÛ LA NARRATRICE : Aux dernières infos, ma fic n'est pas un lemon... et d'abord si je devais un jour en faire (mais ça sera parce qu'on m'aurait menacé de faire un autodafé de mes mangas), ce serait un couple officiellement déclaré : c-à-d un Subaru x Séïshirô ou un Kamui x Fûma (c'est banal, je sais).
SUBARU & KAMUI, voix off et s'étranglant presque : KOAAA !
YUZURIHA : Vous n'avez rien entendu ? Là, à l'instant ? Après ne dites pas que je suis paranoïaque, comme avec Inuki...
YÛTO : Mais ça n'empêche pas les persos de faire ce qu'ils veulent... pas vrai Satsu-chan ? (Passe sa main sur la cuisse de la demoiselle)
SATSUKI, le repoussant : Bas les pattes.
KISHÛ LA NARRATRICE : Bon, si après les persos s'amusent quand j'ai le dos tourné ou pendant les ellipses, ce n'est plus de mon ressort... c'est intime.
TOUS : ... (surpris par la lucidité de l'auteur, mais se disent qu'après tout c'est l'auteur de cette fic)
SORATA : Je veux ça aussi, et encore ça, vous m'en mettrai une douzaine, d'acc' ?
KAREN : Mais revenons au sujet principal ! Où sont nos deux bishô ?
LES DEUX SADIQUES : On sait pas !
Quelque part, dans une autre dimension... :
SUBARU : Heu, Kamui, tu m'as emmené où, là ? (Sort les ofudas)
KAMUI, réfléchissant à toute vitesse : Bah en fait, je sais pas...
SUBARU, qui se radoucit : Il fait trop noir ! Attend... (Fais comme Shaolan dans l'anime de CCS dans l'ascenseur en allumant un ofuda)
KAMUI : Kishû, vous ne voudriez pas faire un p'tit miracle ? Genre comme dans Sakura, on découvre que nos corps brillent parce que la carte de la lumière est dans notre cœur et...
KISHÛ LA NARRATRICE : ... Mais vous vous foutez de moi ? Si vous continuez, je vais faire comme dans Lawful Drug, dans le noir avec la petite bonne femme narcissique (heu, parce qu'elle sent les narcisses... jeu de mot pourri) qui vous tient la main alors que vous pensez que c'est celle de l'un et l'autre (vous suivez toujours ?), mais ça sera pas une jolie p'tite minette, ça sera le monstre qui a pris l'apparence de la Princesse dans RG Veda vol.4 heu... comment s'appelle-t-elle déjà ? Ah oui, Aïzen-Myôô ! #Il y a de quoi être dyslexique avec des noms pareils#, avec ses mains en raquette ! Subby, fais quelque chose, enfin ! C'est toi l'homme ici !
KAMUI : Mais moi aussi chui un homme !
KISHÛ LA NARRATRICE : Quand je te vois, tu m'fais penser à un porcelet...
KAMUI & ASHURA : Chui pas un porcelet !
SUBARU : ... C'est la joie d'avoir enfin pu vous procurer la suite de RG Veda qui vous pousse à faire des cross-overs ?
KISHÛ LA NARRATRICE : Ouiiiii J'veux pas que Kendappa, Bishamon-ten et Kisshô meeeeeurent ! Kujaku je t'aime !
SUBARU : ... Arrêtez de faire des spoilers...
KISHÛ LA NARRATRICE : POURQUOI ! POURQUOI ! Heu, pardon, oui donc, continuez votre route jusqu'au matin, c'est la 3ème étoile en partant du Nord et heu...
SUBARU : Peter Pan ? Ou bien RG Veda ? J'en ai assez des cross-overs...
KISHÛ LA NARRATRICE : J'ai hâte que les Clamp te fassent apparaître dans Tsubasa !
SUBARU : Je ne sais pas jouer au foot !
KISHÛ LA NARRATRICE : Subby ! Je parlais de Tsubasa Reservoir Chronicles ! J'suis certaine qu'avec ta sœur vous êtes des vampires... Mais quoi qu'il en soit... continuons notre histoire !
SUBARU : Kamui, lorsque tu m'as montré ce passage secret dans ce placard dans la chambre, je ne pensais pas qu'il serait aussi long et large ! Comment allons-nous sortir d'ici ?
KAMUI : Heu, nous n'avons qu'à aller tout droit, et on verra bien...
SUBARU : Comment en est-on arrivé là ?
Flash Back
KAMUI : Subaru ! J'ai trouvé un truc pour échapper à Fûma et Séï quand ils veulent nous trucider !
SUBARU, qui sort le nez des 'Lettres Philosophiques' de Voltaire : Hein ?
KAMUI : Viens voir ! Tu as vu ? Il y a de la place pour deux ! Mais je ne l'ai pas exploré en entier, il doit être un peu plus grand ! T'es partant ?
SUBARU : Mais heu... en fait je ne peux pas, j'ai peur du noir... avant quand il y avait Hokuto, j'avais une veilleuse dans ma chambre mais...
Le 'click' qu'émet le verrou de la porte laisse sous-entendre que les Anges (ce mot les définit vraiment très mal) viennent de terminer :
SUBARU : Ok ! Je viens, me laisse pas seul avec ces ahuris !
Fin du Flash Back
SUBARU : Je ne réaliserais jamais mon souhait dans ces conditions... je ne veux pas que l'on croit, lorsqu'on retrouvera mon squelette, que je suis un idiot qui a joué à cache-cache trop longtemps...
KAMUI : Subaru ! Garde espoir ! Je vois un trait de lumière !
Toujours à quatre pattes, ils avancent aussi vite que peuvent deux garçons dans une telle position (à quatre pattes... je viens de comprendre mon erreur...). Au fur et à mesure qu'ils progressent, la lumière éclairant leur visage pâle se met à les aveugler. Kamui tend la main comme pour attraper ce mince filet de lumière et... il pousse une porte où ils découvrent la Vérité cachée derrière, avec des tas de petits bonshommes aux yeux bleus et un gros noeuneuil géant avec des tentacules noires partout ... Et mince, c'est plus la même série.
KISHÛ LA NARRATRICE : Ça répond à ta question, Karen ?
KAREN : ... Non pas vraiment cela veut dire qu'on ne les verra pas pendant un moment ?
KISHÛ LA NARRATRICE : Bah si, y'aura quand même des flashs.
KAREN : ... Ça sera plus pareil sans eux, on les regrettera... je prierai pour que leur âme trouve le chemin du ciel, après la messe...
Flash
Un petit garçon blond devenu récemment manchot et éclopé, les membres en sang, s'avance vers eux (enfin, du mieux qu'il peut puisqu'il lui manque un bras et une jambe) :
PETIT GARCON (que tout le monde aura reconnu) : AIDEZ-MOI A RETROUVER MON FRERE ! RENDEZ-LE MOI ! IL EST MA SEULE FAMILLE !
KAMUI : ... Mais tu m'lâches le nain ?
PETIT GARCON, reprenant soudain du poil de la bête : CHUI PAS PETIT !
SUBARU : Kamui, y'a des tentacules noires et arracheuses de membres qui s'accrochent autour de ta cheville...
Fin du Flash
KISHÛ LA NARRATRICE : Enfin, tu vois ce que je veux dire ?
KAREN : ... Ils vont me manquer, sincèrement... surtout Subaru, j'aurais bien aimé... rien qu'une fois... #Sourire pervers#
SEÏSHIRÔ : Qu'est ce que t'insinues ?
Et soudain, Kakyô s'endort et laisse retomber sa tête dans une assiette de pancakes. #l'art de détourner les sujets de conversation# :
KUSANAGI : Je vais le porter jusqu'au transat le plus proche, comme ça il bronzera en dormant... et si nous allions tous nous promener dans l'hôtel, ensuite ?
TOUS : Wééééééé !
SEÏSHIRÔ, entre ses dents : Cette p*** ne perd rien pour attendre !
Karen, accompagnée d'Aoki, s'est précipitée dans les boutiques aux prix imbattables proches de l'entrée, avec son sol de marbre, son plafond infini, ses lustres luxueux et sa grande fontaine en bénitier. Yûto et Satsuki se sont plutôt penchés vers le Casino, à quelques minutes à pied de l'hôtel (même s'il n'ouvre que le soir, au moins ils seront les premiers à attendre). A côté du Lobby Bar, en face de l'entrée, de grandes portes de verre laissent entrevoir les rangs de cocotiers et palmiers autour d'un ponton menant aux restaurants Le Sextant et l'Hippocampe (après le coup du lycée Lapérouse, ils remettent ça...), la piscine, les appartements, les chambres luxueuses, les suites et enfin, en option, la mer (qui rejoint celle de la Baie des Citrons et de l'Anse Vata). Le ponton surmonte un bassin rempli de carpes et de têtards, entre autre... heu non, pas « entre autre », c'est tout ce qu'on y trouve...
FÛMA : C'que tu peux être courge, des fois ! Narratrice, tu parles !
KISHÛ LA NARRATRICE : La ferme, ou alors je te fais chanter du Lorie en karoké avec la chorégraphie !
FÛMA : Ah non alors ! Plutôt laisser Kamui crever !
KISHÛ LA NARRATRICE : On s'est compris, c'est bien. Mais bouge-toi ça sera bientôt à toi !
Pas loin du Sextant se trouve une salle de jeu contenant deux tables de billards, une table de ping-pong, un flipper... et heu... ensuite je sais plus... un distributeur de boissons et de cigarettes, mais heu... bref. C'est ici que se sont rassemblés Sorata et Kusa. Kakyô se prélasse près de la somptueuse piscine, allongé sur un transat, des lunettes de soleil sur les yeux, un hibiscus à l'oreille et une glace en train de fondre à côté. Yuzuriha, Nataku ainsi qu'Inuki s'amusent tous dans le parc pour enfants, non loin de la piscine d'un bleu azur. Arashi visite (seule) la petite salle d'art à gauche de l'entrée du Méridien ; il suffit de descendre un escalier.
Tous semblent sereins, à part deux des Dragons. J'ai nommé Fûma et Séï ! Mais pourquoi donc ?
KISHÛ LA NARRATRICE : Bah kesskiya ?
SEÏSHIRÔ & FÛMA : SUBBYYYY/KAMUIIIII ! Où qu'ils sooooooont ? On ne peut pas vivre sans eux... REND-LE MOOOOOÂÂ !
KISHÛ LA NARRATRICE : Heu... moi je veux bien, mais après ça dépend d'eux... #où sont-ils en ce moment ?#
Flash
SUBARU : Kamui ! Nous les avons semés !
KAMUI : Ils commençaient à me faire carrément flipper ces petits yeux bleu #Behiiind blue eeeeyes#
Et ils s'aventurent donc un peu plus loin dans le noir... et là, tout droit, un autre jet de lumière ! Subaru retient une exclamation de stupeur en voyant que quelqu'un d'autre attend devant cet interstice lumineux. Un garçon aux cheveux d'un noir de jais, qui ne les a pas remarqué. L'exorciste s'arrête ; il entend des voix, des gens en train de parler ! Le genou de Kamui cogne bruyamment le sol, et l'inconnu se retourne vivement, la surprise se reflétant à travers ses lunettes. Mais le leader céleste heurte Subaru dans sa chute, conduisant l'Ônmyoji à s'écraser sur le pauvre adolescent. Celui-ci pousse malencontreusement la porte du placard dans lequel ils se sont tous retrouvés. Ils tombent les uns sur les autres dans un endroit très sale, glauque, qui empeste le renfermé. Au travers des vitrines du magasin (enfin, c'est ce que nos deux Sceaux ont conclu), la rue est sombre et l'ambiance inquiétante. Kamui se masse le crâne et réalise qu'ils ne sont pas seuls... ils sont tombés nez-à-nez avec... des chaussures ! Ils lèvent la tête et voient un homme aux cheveux blond platine et un jeune garçon, aussi blond que les blés, sûrement le fils ; mais très classe, z'ont l'air friqués (et ça ils le sont !). A côté d'eux se tient un vieux croûton qui, Kamui en mettrait sa main (ou du moins ce qu'il en reste) à couper, est le vendeur... timidement, il s'enquit :
« Eetooo, koko ni doko desuka ? »
Silence. Ils ne parlent apparemment pas japonais. Les trois individus semblent horrifiés. Dans un anglais que notre ami parle couramment, il réitère sa question :
« Heu... c'est où ici ?
-Vous... vous êtes dans mon magasin, 'Barjow & Beurk', dans l'allée des Embrumes.
-Subaru, c'est quoi ce charabia ? On est où là ?
-Kamui, pousse toi s'il te plaît, t'es lourd...
-Oui, je vous en supplie, j'étouffe. », Dit la petite voix du garçon sous l'exorciste. « Je peux avoir mes lunettes ? Je ne vois rien sans elles. »
Fin du Flash
SEÏSHIRÔ & FÛMA : Ooouuuuiiiiiiiiiiiiiiiiiiiin !
KISHÛ LA NARRATRICE : Mais heu ! Ils vont revenir vos bishô ! Et même que vous irez vous marier dans la petite chapelle qu'est juste en bas, pas loin de la salle de réception et de la salle d'art !
SEÏSHIRÔ & FÛMA, étoiles dans les yeux : C'est vrai ?
KISHÛ LA NARRATRICE : Bah heu, moi j'dis ça mais faut voir avec les concernés... bon, et si je faisais tomber la nuit pour aller au karaoké ?
SEÏSHIRÔ & FÛMA :... hein !
Tard dans la soirée, après le repas (et l'addition avec une suite de zéro à couper le souffle), les Élus se rendent au karaoké...
FÛMA : Moi j'veux pas y alleeeeeeeeeeeeeeeeer ! Je sais pas chanter !
KISHÛ LA NARRATRICE : Mais j'en ai strictement rien à foutre mon cher pour le plaisir de te faire tourner en dérision, tu chanteras le premier ! Mmh, disons... tu chanteras Lorie !
FÛMA : NAAAAAN JE VAIS TE TUER !
KISHÛ LA NARRATRICE : Bon, bah tu reverras jamais ton Kamui.
KAMUI : Je veux pas être impliqué dans ce chantage douteux !
FÛMA : Si c'est la seule solution pour le revoir... j'accepte.
KISHÛ LA NARRATRICE : Si c'est pas meugnon !
SEÏSHIRÔ, se rongeant les ongles, sûrement des restes de poumons humains dessous : Et mon Subby à moi ? Je suis inquiet, ça fait une journée que je n'ai pas pu plonger dans son regard émeraude... sniff !
FÛMA, en train de regarder Séï se bouffer les ongles : Eh, Sakurazuka, tu commences à attaquer l'os là.
SEÏSHIRÔ, qui s'arrête : Ah heu...
KISHÛ LA NARRATRICE : Ah l'amour, ça vous pousse tellement à faire n'importe quoi ! #Aura de sadisme#
SEÏSHIRÔ & FÛMA : #Envie de meurtre#
La soirée se déroule de manière très gaie (et pas gay) ; vous voulez savoir quelle chanson nos amis ont chanté chacun leur tour ? Suffit de demander :
-Karen : « Je t'aime Mélancolie » de Mylène farmer
-Yuzuriha : « Le Papa Pingouin » de Sophie et Magaly
-Kusanagi : « Je ne suis pas un héros » de Balavoine
-Satsuki : « Want Me Want Me » de Namie Amuro
-Yûto : « I'm no Angel » de Dido
-Arashi : « Don't Say You Love Me » de M2M
-Sorata : « Obsession » de Aventura
-Kakyô : « Au clair de la lune », comptine populaire
-Nataku : « Papa to Asobou » ('Jouons avec papa') de Keiji Fujiwara
-Aoki : « Flying Without Wings » de Westlife
-Fûma : « Près de moi » de Lorie... ah, j'l'avais dit Fûma, j'l'avais dit
-Séï : « Kesenai Tsumi » ('Péché ineffaçable') de Nana Kitade
FÛMA : POURQUOI C'EST MOI QUI AI EU LA CHANSON LA PLUS NULLE !
KISHÛ LA NARRATRICE : Mais... elle est très bien cette chanson #Air de parfaite hypocrite# "Le Papa Pingouin" et "Papa To Asobou" c'est pas extra non plus !
NATAKU : Otô-san ! Ça veut dire que c'était une chanson de bébé ?
FÛMA : OUI ! Tue-la !
KISHÛ LA NARRATRICE : NON ! Me tue pas !
Et soudain, Kakyô s'endort et laisse retomber sa tête dans une assiette de pancakes. #l'art de détourner les sujets de conversation# :
FÛMA : C'est pas un lâche copier/coller que tu viens de faire ?
KISHÛ LA NARRATRICE : Évidemment que non... #Sourire hypocrite# Bon, Kusa, tu le ramènes dans sa chambre ? Et vous autres, c'est l'heure d'aller dormir ! Une longue journée vous attend demain !
TOUS : Ah bon ? On fait quoi demain ?
KISHÛ LA NARRATRICE : Et si je vous dit... shopping au Centre-ville ?
YUZURIHA, KAREN, SATSUKI, ARASHI : KYYYYYYYAAAAAAA !
LA GENT MASCULINE, débouchant leurs oreilles : ...Hystériques.
Et c'est ainsi que tous partent se coucher (même si les filles ont eu du mal et se sont donc rassemblées en meute pour savoir ce qu'elles achèteraient le lendemain, pour elles et leurs compagnons... ce qui effraie un peu ces derniers.)
Dans la chambre des deux énergumènes.
SEÏSHIRÔ : OUUUUUUUUUUIIIIIIIN ! MON SUBARU !
FÛMA : MON KAMUIIIIIIIIIIIIII !
KISHÛ LA NARRATRICE : Franchement, vous faites chier. Vous voulez pas comprendre que c'est pour le bien de tous que je vous ai séparé une journée !
SEÏSHIRÔ : Ah, depuis quand tu penses de manière altruiste toi ?
FÛMA : A-truie-kyste ?
SEÏSHIRÔ : Subby ne pourras pas manger le bon bentô que je lui ai préparé s'il ne revient pas !
FÛMA : T'as préparé à bouffer toi ? Moi mon Kamui je le laisse mourir de faim, justement. Ça prouve que je suis très sadique.
SEÏSHIRÔ : Oui, mais si tu laisses Kamui mourir de faim, tu ne pourras plus toi-même l'achever ! Ce ne sera plus la peine de s'acharner sur le cadavre, puisque... ben puisqu'il sera mort, il bougera plus et ne souffrira plus.
FÛMA : Ah ! File moi un peu de ton bentô !
KISHÛ LA NARRATRICE : Les voilà qui reviennent.
FÛMA : Qui ?
KISHÛ LA NARRATRICE : Kamui et Sub', crétin !
Les portes de l'armoire s'ouvrent à la volée, et nos deux protagonistes s'éclatent sur le sol. De grosses traces rouges ornent leurs joues.
KISHÛ LA NARRATRICE : Ouais, je leur ai fait visiter la pension Hinata avant, ils ont dû atterrir dans la chambre de Naru, sûrement en train de se changer un truc comme ça, et... VLAFF !
KAMUI : Subaru ? J'vois des étoiles, c'est toi ?
Sans crier gare, nos deux Émissaires bondissent sur un Kamui et un Subaru pas très rassurés, mais néanmoins trop fatigués et affamés pour se défendre... non ! Sont-ils sur le point perdre leur virginité ?
KISHÛ LA NARRATRICE : Eh, j'ai pas voulu dire ça !
ENVY, qui avait préalablement prit l'apparence de l'auteur de la fic : Ouais, mais c'est moi qui te l'ai fait dire ! Héhéhé !
KISHÛ LA NARRATRICE : Retourne dans ta fic sale pervers !
SEÏSHIRÔ & FÛMA : ON N'EST PAS AUSSI OBSÉDÉS QU'ON EN A L'AIR !
SEÏSHIRÔ, serrant le chef Suméragi dans ses bras avec douceur : Subaru... tu... tu m'as manqué, j'ai cru que je n'allais plus jamais te revoir...
Subaru, trop surpris par cette réaction, ne prend pas la peine de se dégager de l'étreinte de Séïshirô, qui en plus, a l'air sincère. Sans réfléchir, Sub' se blottit un peu plus dans les bras de l'homme qu'il aime. C'est vrai que lui aussi, à un moment, a eu peur de le perdre.
La seule différence avec Fûma, c'est qu'il est un peu trop démonstratif :
FÛMA : Kamui... Je vais te tuer maintenant que tu es revenu !
KAMUI : ….
SEÏSHIRÔ : Tenez les garçons, j'ai apporté assez de nourriture pour vous deux, vous devez être morts de faim !
SUBARU : ... Séïshirô... merci...
SEÏSHIRÔ : ... De rien.
FÛMA : C'est ça la romance qu'elle avait promis cette idiote ? Elle est où ma romance avec Kamui ?
KAMUI : Non Fûma c'est bon ! J'ai compris que tu m'aimes, pas la peine de me le prouver !
SUBARU : Kishû, où êtes-vous ?
KISHÛ LA NARRATRICE, la revenante : Chui là, chui là.
FÛMA : Où étais-tu sale pouff' ?
KISHÛ LA NARRATRICE : Je me suis cassée, dieu seul sait à quel point le romantisme et les grandes déclarations, les embrassades pathétiques me donnent envie de gerber...
SUBARU : Dites-moi, maintenant que j'y pense, ça rime à quoi toutes ces gentillesses ?
FÛMA & SEÏ : Hein ?
KAMUI : Ouais ! Ça sous-entend quoi ?
FÛMA & SEÏ : Kish', y'a un sous-entendu ?
KISHÛ LA NARRATRICE : Bah oui, vous êtes les méchants, vous sous-entendez toujours quelque chose !
FÛMA & SEÏ : Ah bon ? Alors quand on dit 'ça me gratte dans le dos', ça sous-entend un truc aussi ?
KISHÛ LA NARRATRICE : Oui.
SUBARU : Il ne reste plus qu'à savoir ce que cela sous-entend alors...
Silence.
SEÏSHIRÔ : À propos, demain on va faire du shopping en ville.
KAMUI : Tu sous-entends quoi par là ?
KISHÛ LA NARRATRICE : ça sous-entend que demain c'est une journée lèche-vitrines !
FÛMA : Lécher les vitrines ? Mais t'es débile ! Tu la lèches pas la vitrine, tu l'éclates et tu plantes les bribes de verre dans la peau de Kamui !
SUBARU : Et ça sous-entend ?
FÛMA : Kamui... Je vais te tuer !
KAMUI : Je sous-entendais bien que c'était ce sous-entendu qu'on sous-entendait...
A SUIVRE (commencé le 8/12/05, fini le 11/12/05)
FÛMA : Et ça sous-entend quoi maintenant ?
KISHÛ LA NARRATRICE : Y'a pas de sous-entendus, j'dis juste que c'est à suivre...
KAMUI : Moi je dis que ça sous-entend qu'on s'est fait berner ! On est pas en 1999 mais en 2005 !
KISHÛ LA NARRATRICE : Me reproche pas ça, c'est la faute des Clamp, elles sont trop lentes ! Elles promettent une série de 22 volumes achevée le 31/12/99, et voilà le résultat !
SUBARU : ça sous-entend que tu te rebelles contre l'autorité ?
KISHÛ LA NARRATRICE : Ne sous-entend pas que je serais Fûma !
FÛMA : Et là, qu'est ce que tu sous-entends par là ?
KISHÛ LA NARRATRICE : Je sous-entends que je suis pas toi et que ce chapitre est FINI !
FÛMA : J'comprends plus rien...
