Kikou tout le monde! Alors me revoila pour une autre fic. D' ailleur, c' est la toute première que j' ai écrit et elle me tient beaucoup à coeur. Alors cette fic relate la première année des Maraudeurs du point de vue de James et la deuxième année est en cours. Et oui vous avez compris, vous aurez droit aux sept années d' étude de nos héros préférés ( une fois ma prof d' espagnol nous a demandé comme question qui était nos personnages fictifs préférés et moi j' ai, en grande fan que je suis de Harry Potter et des Maraudeurs, bien sûr répondu les Maraudeurs! LOL! ). Sachez que le point de vue de Sirius existe aussi mais pour ça il faut harceler mon amie Patpat qui est trop fénéante pour poster ses chapitres. Si ça vous tente, dite-le moi et je la harcèlerais pour qu' elle poste. Je suis trés douée en plus pour harceler! D' ailleurs, l' une de mes auteurs préférées en a déjà fait les frais. LOL! Au fait ce premier chapitre est trés similaire à celui de l' école des sorciers parce que je ne savais pas du tout comment commencer l' histoire donc ne vous inquiétez pas, c' est tout à fait normal.
Disclaimers: Les personnages de Harry Potter ne m' appartiennent malheureusement pas et c' est bien dommage. Imaginez sinon toutes les choses que je pourais faire avec eux! Eh! Non, bande de perverses je ne pense absolument pas à ce que je sais que vous pensez que je pense mais que je ne pense pas alors arrêter de penser... Mais maintenant vous savez pourquoi j' écris des fic, c' est pour pouvoir torturer mentalement les personnages. Niark niark niark niark niark... Mais non! Pas sadique du tout!
Résumé: James Potter entre en première année au collège Poudlard. Il y rencontrera Sirius Black, Rémus Lupin et Peter Petigrow avec lesquels il forgera une trés grande amitié. Mais Rémus disparaît assez souvent et James et Sirius se posent beaucoup de questions sur les secrets qu'il cache... Et pourquoi tous ces gens qui disparaissent mystèrieusement?
RAR:
SusyBones: Merci pour la review et voilà le cahpitre 2. Kissous XXX
Chapitre 1:
Semaine mouvementée et disparitions étranges,
Le lendemain, loorsqu'il se réveilla, sauta au pied de son lit sans rien attendre pour débouler trés rapidement dans le couloir et dévaler les marches de l'escalier quatre par quatre. Il n'avait pas pris la peine de chausser ses pantouffles et il ne prêta même pas ettention au carrelage qui lui gelait les pieds. Tout ce qui importait pour lui, c'était ses préparatifs de la journée. Son père et lui avait en effet prévu d'aller jouer au Quidditch dans un prés derrière la maison, à l'abri des regards indiscrets. Le Quidditch était un sport merveilleux qui se jouait sur des balais volants et qui mettait en scène quatre balle différentes mais tout aussi volantes que les balais sur lesquels évoluaient les joueurs. James était passionné de Qidditch. Son père lui avait appris à jouer un jour où Adriana s'était absentée pour la journée alors qu'il n'avait que cinq ans. Inutile de décrire l'état de fureur de Mrs Potter quand elle les avait surpris le soir même.
Cela faisait tellement longtemps que James n'avait pas eu l'occasion de jouer qu'il était dans une euphorie que rien n'aurait pu gâcher. Sauf peut-être la pluie qui tombait drue sur les fenêtres et les fortes rafales de vent que l'on entendait faire claquer les volets. Le jeune Potter savait bien que ce n'était pas cette "petite" tempête qui les empêcherait de jouer son père et lui; mais il connaissait suffisament sa mère pour savoir qu'elle ne les laisserait jamais sortir faire du Quidditch par un temps pareil.
Son enthousiasme s'était donc évanouit quand il entra dans la cuisine où ses parents étaient occupés à déjeuner.
"B'jour!" dit-il d'une voix morne en prenant place à table devant une assiette remplie de toats grillés.
" Qu'est-ce qui ne va pas mon chéri? demanda sa mère en remarquant sa mine renfrognée. Tu as mal dormi?"
Elle lança un regard à son mari qui souriait. Il semblait avoir compris ce qui tracassait son fils.
" Ce n'est pas ça! répondit l'interpelé. C'est juste que j'avais hâte de jouer au Qidditch avec papa. Mais avec le temps qu'il fait... tu ne voudrais pas nous laisser y aller?" ajouta-t-il avec un regard plein d'espoir.
" Il en est hors de question! dit-elle. Je ne veux pas vous retrouver en petits morceaux à la fin de la partie. Avec le vent qu'il y a vous risqeruez de tomber de balais et de vous rompre le cou!"
Le visage de James s'assombrit encore d'avantage.
"Fichu temps! pensa-t-il. Comment peut-on passer d'un temps splendide hier à un temps aussi désastreus aujourd'hui? Si seulement il pouvait exister un sortilège permettant de contrôler les évènements climatiques!"
Une détonnation à crever les tympans retentit alors dans le salon, le sortant de sa méditation portant sur le comment et le pourquoi de ce temps de chien. Un homme plutôt grand et à la carrure d'athlète apparut au seuil de la porte qui séparait le salon de la cuisine.
" Bonjour Patrick!" lança vivement Richard à l'adresse de l'homme à la cape bleu turquoise.
Patrick Delawney était un collègue de travail à Mr Potter. D'aprés ce que James avait entendu dire de lui, c'était un ancien joueur de Quidditch professionnel. Mais il avait tout laissé tomber pour entrer au ministère, et c'est comme cela qu'il s'était retrouvé au Bureau de Réparation des Accidents de Sorcellerie. La détonnation qui avait précédé son arrivée était le signe caractéristique d'un transplanage, un moyen trés efficace et trés rapide de se rendre où on le souhaitait à condition de connaître l'adresse exacte.
" Bonjour Richard! Adriana, James! répondit-il. Wouah, quel temps! Heureusement que nous savons transplaner. Je pleinds ces pauvres moldus qui doivent se déplacer à pied ou se dépêcher de monter dans leur rognure!"
" Euh... Je crois que c'est 'voiture', dit James. Le voisin d'à côté l'appelle comme ça, en tout cas. Il la bichonne sans arrêt en l'appelant ma petite puce, la plus belle des voiture, ma cresta à moi... Non seulement il lui parle mais à chaque fois qu'il la lave il l'embrasse de joie en disant qu'elle est la plus belle. En fait... c'est vrai que certains Moldus sont un peu fous."
Adriana et Patrrick secouèrent la tête en rigolant alors que Richard lui ébourrifait les cheveux.
" Sacré garnement, va! s'exclama-t-il. Mais tu peux dire ce que tu veux Jamesie, personne n'est ou ne sera jamais plus loufoque que Dumbledore. Tu verras par toi-même quand tu iras à Poudlard."
" Ah oui, c'est vrai! se rappela soudain Delawney. Tu rentres à Poudlard cette année. Tu y verras sûrement ma fille, Alicia. Elle rentre en 5ème année à Serdaigle."
Serdaigle était l'une des quatres maisons de Poudlard. L'école était en effet divisée en quatre maisons, chacune dotée d'une caractéristique propre. La maison Gryffondor, par exemple, était reconnue pour le courage de ses étudiants. Serdaigle accueuillait les élèves ingénieux. Les Poufsouffle étaient reconnus pour leur grande loyauté. Et Serpentard formait les audacieux et les rusés.
" Alors, que nous vaut l'honneur de ta visite, Patrick?" demanda Mr Potter.
" Oui, c'est vrai que je ne suis pas là pour le plaisir quoique ça m'aurait arrangé. Je sais qu'aujourd'hui est ton jour de repos, Richard, mais on m'a dit de venir te chercher. C'est un ordre d'en haut. Apparament, il se passe des choses pas nettes au ministère mais ils n'ont rien voulut me dire. Ils ont demandé à ce que tous les employés soient présents."
Richard fronça les sourcils et se leva.
" Je te suis, Patrick. Ca m'intrigue cette affaire... Juste le temps de prendre ma cape et je suis à toi."
Il sortit de la cuisine pour revenir quelques secondes plus tard, une cape noire sur les épaules.
" Adriana, je te ferait parvenir un message pour te dire si je rentre ou non pour le repas. J'espère seulement que ce n'est rien de grave..."
" Ne t'en fait pas Richard! le rassura-t-elle. Tu peux partir sans crainte du moment que tu me prévienne pour savoir s'il n'y a rien de grave. Toi et Patrick prennez au moins un toat avant de partir."
Mr Potter embrassa sa femme et fit un clin d'oeil à son fils; puis il prit quelques toasts avant de disparaître en transplanant en même temps que son collègue de bureau. James se tourna alors vers sa mère.
" Qu'est-ce qu'il se passe à ton avis?"
" Je n'en ai aucune idée! Mais je trouve cette attitude étrange. C'est bien la première fois que le ministère demande aux employés de renoncer à leur jour de repos."
Elle observa la pluie qui tombait toujours au dehors quelques instants puis elle ajouta avec un sourire:
" Puisqu'il pleut aujourd'hui, il n'y a aucune chance que tu sortes... Tu vas donc pouvoir ranger ta chambre."
James tira la grimace. Penser qu'à la place il aurait jouer au Quidditch était une véritable torture. C'est donc à contre coeur qu'il remonta à sa chambre pour y mettre de l'ordre. Le chaos qui y régnait était tel qu'il ne put s'empêcher de penser qu'aprést tout ce ne serait peut-être pas plus mal mais qu'il en aurit malheureusement jusqu'à la fin du mois suivant anger.
Lorsqu'il descendit manger à midi, James fut surpris de constater que la table n'avait été installée que pour deux.
" Papa ne rentre pas?" demanda-t-il à sa mère.
Cette dernière hocha négativement la tête.
" Non! Il m'a envoyé un mot pour me dire qu'il ne rentrait que ce soir."
" Et il ne t'a rien dit d'autre?"
" Rien d'autre à signaler, mon capitaine! Tout nous sera expliqué ce soir. Tu as finis de ranger ta chambre?"
Bien sûr que non il n'avait pas terminé et c'est pourquoi il passa toute l'aprés-midi à faire le grand ménage. Cependant, il avait eu beaucoup plus de mal à se concentrer sur ce qu'il faisait que le matin même et cassa trois ou quatre objets en se maudissant. Sa mère était même venu voir ce qu'il fabriquait à tout casser. Mais en fait, il avait la tête ailleurs et s'inquiétait de la brusque intervention du ministère dans une affaire étrange. Et il se demandait quel rôle pouvaient jouer son père et tous les autres emplyés dans cette histoire. Aussi, i avait hâte de connaître les raisons du départ de son paternel.
Aussi, lorsqu'il entendit un immense fracas en provenance de la cuisine vers 20heures ce soir là, il lâcha tout ce qu'il faisait et se précipita dans ladite salle. Sans aucun doute, son père était rentré. Il en eut la preuve même lorsqu'il entra dans la pièce où sa mère servait une tasse de café bien fort à son mari qui s'était écroulé sur une chaise, errinté. Il s'installa lui aussi sur une chaise attendant que son père commence son récit, Adriana prenant place à table également.
" Je n'en peux plus! dit Richard dans un souffle. J'ai passé toute la journée à faire des allées et retours dans tout le bâtiment. Je dois avoir pris une bonne quarantaine de fois l'ascensseur et les escaliers si ce n'est plus... Ca a été un véritable carnage au ministère aujourd'hui. Je n'aurais jamais cru cela possible vous pouvez me croire..."
" Mais pourquoi? intervint James. Qu'est-ce qu'il s'est passé?"
"James! Laisse ton père reprendre son souffle!"
Mr Potter le regarda un instant avant de répondre.
" C'est la crise au ministère. Cela fait plusieurs jours que Robert Jonsons, Berthy Williams et Angela Jackson ne se sont pas présentés à leur bureau. Et aucun d'entre eux n'avait prévenu de leur abscence. Le ministre a envoyé des aurors chez eux mais personne ne répond. Ils ne sont pas chez eux."
Il soupira.
" Trois employés qui disparaissent dans la même semaine... continua-t-il. Ca fait tout de même un bon nombre. Sans compter que dans le même temps, 7 Moldus ont disparus sans laisser de trace. De plus, Patrick et moi avons remarqué que les trois sorciers disparus étaient de grands admirateurs de Moldus... La coincidence est forte."
" Coincidence? s'exclama Mrs Potter. Richard, tu crois que quelqu'un se cache derrière ces disparitions?"
En signe de réponse, il hocha la tête.
" Je ne comprends pas! déclara James. Et quel rapport avec les Moldus?"
Les deux adultes se toisèrent du regard pour concentir ensemble s'ils devaient lui expliquer.
" On va présenter les choses comme ça, James! dit alors son père. Certains sorciers estiment qu'ils valent mieux que d'autres parce qu'ils ont ce que l'on appelle un ' sang pur'. Sous prétexte qu'ils viennent d'une famille entièrement composée de sorciers, ils se croient au dessus des lois et méprisent les sorciers d'ascendance moldue."
" Oui, je sais déjà ça! Mais ça n'a aucun sens! Ce n'est pas parce qu'une sorcière ou un sorcier vient d'une famille moldue qu'il est infèrieur à un sorcier de pure ascendance. Ca reviendrait à dire que... que leur sang est... sal. C'est complètement idiot!"
" Tu as raison, James! le rassura sa mère. D'ailleurs on compte beaucoup de jeune sorciers ayant des parents moldus parmi les meilleurs élèves de Poudlard. Mais il y aura toujours des gens de notre monde pour prétendre que la pureté de leur sang les rend supèrieurs."
" Le mieux, c'est de leur botter les fesses! plaisanta Mr Potter. Tu sais Jamesie, tu en rencontreras beaucoup des élèves qui pensent ainsi à Poudlard mais n'hésites surtout pas à donner ton point de vue sur ces histoires stupides. De plus, nous n'existerions même plus sans les Moldus. C'est grâce à eux qu'il existe encore des mages et sorcières dans le monde entier. Nous ne serions pas là si nous n'avions pas épousé les Moldus. Mais ça, certains sorciers ne veulent pas l'accepter. Les Black par exemple!" ajouta-t-il l'air dégoûté.
James ne put qu'approuver son père. Les Black étaient une riche famille de sang pur, merci pour eux. Une haine intarissable avait toujours opposée cette femille à celle des Potter. D'un côté les imbécils qui méprisent les Moldus; et de l'autre, le soutient du merveilleux monde moldu. Les deux familles étaient trés connues dans le monde magique et tout le monde savait qu'elles se détestaient cordialement. Pour sa part, James ne les avait vu qu'une seule fois, sur une photo dans la Gazette du Sorcier.
" Bien, il se fait tard! James, je veuw que tu ailles te coucher. Avec de la chance tu pourras jouer au Quidditch demain."
" Mais maman! Il n'est que 20h30!"
" Eh bien si tu ne veux pas dormir, je te conseille de prendre un livre."
" Mais maman..."
" Pas de discussion! File au lit, dépêche-toi!"
Boudant, le jeune Potter monta d'un pas lent à sa chambre. Il n'était pas bête: il voyait bien que sa mère voulait parler seule à son mari. On lui cachait des choses, c'était sûr! Une fois dans sa chambre, il se coucha sur le lit et regarda le plafond, pensif. Cette histoire n'avait pas fini de faire parler d'elle. Ce ne fut que trés tard, bien aprés que ses parents soient montés se coucher, qu'il réussit enfin à s'endormir.
Il avançait dans le couloir qui menait à sa chambre, se laissant guider par une voix douce et mélodieuse. Au bout du couloir, la porte de sa chambre était légèrement entrouverte, laissant un rayon lumineux s'infiltrer dans le corridor, éclairant les quelques particules de poussière qu'il y avait. C'était bien de sa chambre que la voix résonnait. La femme chantait une berceuse qu'il connaissait bien: c'était celle que lui chantait sa mère quand il était bébé. Il ouvrit la porte, s'attendant à voir Adriana mais quelle ne fut pas sa surprise quand il constata que ce n'était pas Adriana Potter qui se trouvait dans la pièce. Non, c'était une jolie jeune femme rousse avec de magnifiques yeux verts pommes. Elle était vraiment belle et souriait en chantant la berceuse à un petit paquet de linge qu'elle tenait dans ses bras. Son regard s'attarda sur les magnifiques perles brillantes de la jeune femme. Il avait envi de se perdre dans la forêt de ces yeux doucereux. Le paquet dans les bras dans ses bras gémit puis une main minuscule s'étendit hors du linge. La rousse sourrit d'avantage. James compris alors: ce qu'il avait pris pour un paquet de linge était en fait un nourrisson pas plus âgé de 3 mois enveloppé dans une épaisse couverture pour bébé. Lorsque le bébé avait tendu sa main, la couverture qui recouvrait sa tête avait glissé et James avait enfin pu le voir: c'était lui mais... avec les yeux verts? Le jeune Potter se trouble à cette vision. Que faisait-il dans les bras d'une inconnue et en plus avec les yeux verts? La jeune maman se tourna alors vers lui et un sourire des plus magnifiques éclaira son jolie visage. Le brun se figea. Est-ce qu'elle l'avait vu? Il amorça un pas pour s'approcher.
Drrrrrrrrrrriiiiiiiiinnnnnnnnnnnggggggggg !
Il émergea de sous la couette, les cheuveux encore plus en bataille que d'habitude. Il attrapa son réveil et le jeta de toutes ses forces sur le mur d'en face.
" Saleté de réveil! maugré-t-il. Pour une fois que je faisais un rêve intéressant!"
Il se frotta la tête et regarda autour de lui, bien que sans ses lunettes, il ne distinguait aucune forme des objets présents dans la pièce.
" Drôle de rêve, en tout cas, marmonna-t-il. Je me demande qui étaient cette femme et ce bébé."
Il rougit en repensant à la jeune femme et se donna brusquement une tappe sur le front.
" Mais qu'est-ce qu'il me prend? Je deviens dingue!"
Il s'extirpa de ses draps puis, aprés avoir posé ses lunettes sur son nez et avoir mis ses pantouffles aux pieds, il descendit à la cuisine.
Durant la semaine qui suivit, son père ne fut guère trés présent. Il passait toutes ses journées au ministère; et lorsqu'il rentrait, James avait tout intérêt à être dans sa chambre s'il ne voulait pas subir les foudres de sa mère. Deux autres employés du ministère étaient venus s'ajouter à la liste des disparus. Et dans le même temps,3 Moldus avaient eu un accident étrange. James n'étant pas autorisé à discuter de ce sujet avec ses parents, il avait dû les espionner pour en apprendre plus.
Aucun autre rêve étrange n'était venu troubler son sommeil mais il le regrettait quand même un peu. Il aurait aimé revoir la jolie femme rousse avec son nourrisson. Il ne savait pas pourquoi mais il se sentait attiré par cette femme. Non pas seulement parce qu'elle était jolie mais aussi parce qu'une infinie douceur émanait d'elle. Et ses yeux... ses yeux verts comme l'émeraude. Jamais il n'avait vu d'yeux plus beaux. Ils étaient uniques. Le nourrisson également le troublait. C'était lui bébé mais avec une petite différence: il avait les magnifiques yeux verts de sa mère. Car la femme était sans nul doute la maman du bambin.
Pour en revenir à ces disparitions plus qu'étranges, James était persuadé qu'il y en aurait d'autres. Et d'aprés lui, celui qui en était responsable était un grand partisan des sangs purs. Un malade qui se croyait en tout point supèrieur aux autres. Un fou qui mériterait d'aller à Azkaban, la prison des sorciers. Ayant surpris une conversations de ses parents, il avait appris que Dumbledore s'était impliqué dans cette affaire. Et si Dumbledore s'était impliqué, c'était qu'il était inquiet. Et s'il était inquiet, c'était que ce qu'il se passait était grave. Dumbledore se mêlant des affaires du ministère, ça n'arrivait pas souvent. La dernière fois que ça avait été le cas, un mage noir du nom de Grindelwal avait tenté de s'emparer du monde magique. Ca s'était passé en 1945. Grindelwald s'était alors retrouvé face à face avec Dumbledore dans un duel mémorable. Le directeur de Poudlard étant le sorcier le plus puissant que le monde ait jamais porté, il ne faisait aucun doute qu'il avait remporté le combat. Ce qui venait s'ajouter à la réputation du vieux sorcier et à l'admiration que le monde lui portait. Il ne manqurait plus qu'un nouveau Mage Noir fasse son apparition.
La semaine avait parut trop lente au goût de James. Ses inquiétudes quand à l'apparition d'un nouveau Grindelwald lui trônaient dans la tête et c'est le cerveau embrûmé par tout un tas de questions sans réponse qu'il déscendit prendre son petit déjeuner ce matin là. A sa grande surprise, il retrouva sa mère ET son père dans la cuisine ensoleillée. Alors qu'il venait de s'asseoir aprés un rapide bonjour à ses parents, une chouette hulotte entra par la fenêtre grande ouverte et vint se poser devant Mr Potter. Il détacha le journal de la patte du rapace puis mis 3 noises dans la bourse qu'elle portait en plus. L'oiseau ouvrit ensuite grandes ses ailes et reprist son envol.
James porta son attention sur son père qui dépliait le journal. Comme chaque numéro de la Gazette du Sorcier, et comme tout journal magique que se respecte, les articles étaient accompagnés de photos où les personnes représentées bougeaient. Alors qu'il parcourrait la première page des yeux, Richard Potter faillet s'étouffer. Les deux autres membres de la famille se penhèrent alors chacun par dessus une de ses épaules et lirent ce qui avait choqué le père de famille. La photo de l'article représentait une maison totalement détruite et des sorciers en uniforme tout autour avec une mine déconfite. Mais James se sentit trés mal en lisant le titre de l'article.
Augustus et tara Prewett, une mort bien étrange
C'est dans la nuit du 2 juillet que les corps de d'Augustus et Tara Prewett ont été retrouvés dans leur demeure à Blackpool. Cet assassinat, pour le moins étrange, s'inscrit à la suite d'une longue série de diqparitions qui touchent aussi bien les Moldus que les Sorciers. Car cette mort tragique des Prewett ne peut-être qu'un assassinat étant donné leur bonne santé leur joie de vivre. Cependant, le ministère a gardé secret les disparitions de certains de ses employés ainsi que celle de 7 Moldus. Ce n'est que ce matin que le ministre de la magie, Denius Jones, a enfin daigné faire une courte déclaration mais fut elle nécessaire: "Nous ignorons les circonstances de la mort des Prewett mais nous continuons d'enquêter. Quant aux disparitions dont il est question ces derniers temps, cela ne relève que du ministère!" Déterminé à ne pas tenir la population des sorciers au courrant, le ministre n'est plus parut en public depuis qu'il s'est adressé à la presse. En revanche, notre grand reporter Bryce Skitter est en mesue d'affirmer que le sort responsable de la mort des Prewett est bel et bien un Avada Kedavra, sortilège de la mort. En effet d'aprés lui, la peur qui se lisait sur le visage des victimes ne peut porter à confusion. Notons que ce sortilège impardonnable n'a plus été utilisé depuis la défaite de Grindelwald face à Dumbledore en 1945, lequel est l'actuel directeur de l'école de sorcellerie Poudlard. Nous pensons fort à la famille des victimes et nous souhaitons toutes nos condoléances à leurs enfants et plus particulièrement à leur fille Molly, qui s'est récemment mariée à Arthur Weasley.
La Gazette du Sorcier
édition du 3 juillet 1971.
James eut une soudaine envie de vomir. Augustus et Tara Prewette... Il avait du mal à le croire. Ce n'était pas possible. Tout le monde aimait les Prewett. Comment qulqu'un aurait-il pu leur faire du mal? " Assassinat"! Ce mot résonnait dans sa tête. Cette histoire prenait une ampleur beaucoup trop grande à son goût.Il ne s'agissait plus seulement de disparition mais de meurtre.
Richard Potter se leva.
" Je vais au ministère! dit-il. Je dois absolument faire quelque chose! Je ne peux pas rester là sans rien faire!"
Puis, sans rien ajouter, il transplana. James se tourna vers sa mère qui paraissait inquiète.
" Ne t'en fait pas! lui dit-elle calmement. Cette histoire sera bientôt terminée. Mange!"
Mais il n'avait plus faim. Il remonta lentement à sa chambre, son envie de vomir toujours aussi présente. Il se rappelait les paroles des samère. " Cette histoire sera bientôt terminée!". Il en doutait. Ce n'était, au contraire, que le début.
Fin du chapitre 2.
NOTE: Voilà le chapitre 2 qui j'espère vous aura mis en alaine même si je suis sûre que vous savez déjà ce qu'il se passe. Aprés tout, vous aussi vous êtes des fans de notre sorcier à lunettes préféré. Le chapitre 2 pour la semaine prochaine si j'ai le temps mais j'ai d'autres fanfictions à poster donc... Ben, je vous dit à + et Reviews please! Kissous XXX
