Genre : Crossover Harry Potter X Final Fantasy VIII

Rating : G

Spoiler : Toues les tomes d'Harry Potter (attention, même le début du 5) et Final Fantasy VIII

Disclaimer : Tous les personnages de Harry Potter appartiennent à J.K. Rowling et sa maison d'édition, quant aux persos de FF8, ils sont propriétés de Squaresoft.

Attention les yeux, voici un cross over entre Harry Potter et Final Fantasy 8, plein de nouveaux personnages (héhéhéhé je vous laisse le plaisir de les découvrir) et d'autres de livres et de mangas. Nurlonnien

Chapitre 1 : Vacances pas comme les autres

Harry se réveillait comme à son habitude chez les Dursley. Il était neuf heures quand l'oncle Vernon, dans son humeur normale, vint frapper à la porte avec une telle violence que les murs auraient pu s'effondrer :

- Debout, lèves-toi et vas préparer le petit déjeuner ou sinon je me charge personnellement de toi.

- D'accord oncle Vernon, dit-il en essayant de se tirer de son sommeil qu'il voulait garder infini.

- Et réponds-moi autrement.

- Vas chier connard de chacal qui pue, murmura-t-il dans sa barbe.

Harry l'entendait s'éloigner dans la salle de bain et Vernon claqua la porte tellement fort qu'il réveilla toute la maison c'est alors que Harry entendit son cousin pousser un grognement alors pour éviter les représailles, il s'exécuta.

*Quelle mouche l'a piquée ? * Se demanda-t-il.

Il descendit l'escalier sans un bruit pour ne pas que la foudre s'abatte sur lui et avança dans la cuisine pour préparer le petit déjeuner de son oncle, sa tante et son cousin. Pendant trente minutes, Harry se surpassa pour confectionner de succulents œufs aux plat, des toasts nappés de confitures de fraises ou d'abricots, et de bons jus d'oranges pressés cents pour cents maison. Pour finir, il mit chaque petit déjeuner devant les chaises respectives de l'oncle Vernon, de la tante Pétunia et du cousin Dudley. Après que Harry ait finit son service, quelqu'un frappa à la porte. L'oncle Vernon, étant dans tous ses états, poussa un grognement et il descendit l'escalier à toute vitesse puis ouvrit la porte. La personne se trouvant sur le palier était de bonne constitution, de longs cheveux noirs étaient attachés par un catogan, ses yeux brillaient d'une intelligence incomparable. Bref, un homme en bonne santé. C'est alors

que l'inconnu s'adressa à l'oncle :

- Bonjour, je suis bien au 4 Privet Drive chez monsieur et madame Dursley ?

- Bien sur que vous y êtes, dit-il avec son humeur agressant. Si vous êtes un vendeur ou quoi que ce soit, allez voir ailleurs si j'y suis.

- Non non non monsieur, je ne suis pas un vendeur, je viens juste chercher votre neveu Harry Potter !

- Pour quoi faire, il a fait quelque chose de grave ?

- Non, il n'a rien fait. En fait, je suis son parrain.

- A bon ? Désolé mais ce Harry Potter n'a pas de parrain et n'en aura jamais. Au revoir monsieur, dit-il en fermant la porte.

- Mais………..Si je vous dis que je suis son parrain alors je suis son parrain, d'accord ? Dit l'inconnu en retenant la porte.

- Je vous pris d'enlever votre sale main de ma porte sinon j'appelle la police.

Harry, qui entendait tout de la salle à manger, se cacha pour entendre la conversation et pour voir ce fameux inconnu. L'homme qui se tenait sur le seuil de la porte était bien son parrain, le fameux Sirius Black. Il l'avait connu au cours de sa troisième année à Hogwarts, l'école de sorcellerie et de magie. Sirius s'était échappé de la prison des sorciers, la prison d'Askaban où leurs gardiens étaient des créatures appelées les Détraqueurs. Sirius était accusé d'avoir tué une douzaine de moldus et un sorcier nommé Peter Pettigrow et d'avoir révélé à Lord Voldemort où se trouvait la famille Potter. Bien évidemment, tout cela était faux. Le vrai responsable fut bien et sera toujours Peter Pettigrow surnommé Queudver. Bref, Sirius Black était recherché et Harry fut très surpris de le trouver ici, sur le seuil de la maison de son oncle et de sa tante. Mais il voyait bien qu'il avait des soucis avec l'oncle Vernon, c'est alors qu'il décida de se montrer.

- Harry, je savais bien que tu étais ici, dit Sirius.

- Mais qu'est que tu fais ici ? Les détraqueurs sont toujours à ta recherche et la police fréquente beaucoup plus ces résidences à cause du gang de mon cousin Dudley. Tu risques de te faire prendre et je n'ai surtout pas envie que tu y retournes à Askaban.

- Harry, écoutes-moi, je viens de me faire acquitter. Peter s'est fait prendre je ne sais pas comment. Il a tout avoué et je suis maintenant libre. Comme je te l'ai promis, je viens te prendre sous mon toit. J'espère que tu es d'accord, à moins que tu veuilles rester chez ton oncle et ta tante.

- Bien sur que je viens avec toi, je n'ai pas envie de moisir ici jusqu'à la fin des vacances. J'espère aussi que mon oncle est d'accord, dit Harry en se tournant vers son oncle. Je peux habiter chez lui ?

- Il n'en ai pas question, tu vas rester ici et monter dans ta chambre tout de suite.

- Réfléchis un instant oncle Vernon, je ne serais plus là, il n'y aura plus de trucs bizarres ici en ma présence, vous serez en paix maintenant et Dudley retrouvera sa deuxième chambre.

- Bon… d'accord, tu peux habiter chez lui, dit-il après avoir réfléchis. Mais tu prends tes affaires tout de suite et tu t'en vas pour de bon. Ai-je bien été clair ?

- Oui, bien sur !, Il se tourna vers Sirius. Attends-moi ici, je vais aller prendre mes affaires et j'arrive.

- D'accord.

Harry monta les escaliers quatre à quatre c'est alors qu'il croisa son cousin :

- T'es pressé ou quoi, tu vas encore chez tes amis tordus ?

- Oui mais je ne reviens plus ici l'année prochaine, je vais habiter chez mon parrain.

- Mais t'as pas de parrain, tu me fais marcher, comme d'habitude.

- Si j'en ai un, il était même recherché par des dé… heu, des personnes qu'on a rencontré l'année dernière. Bon ben voilà, là maintenant, c'est notre dernière conversation. Ben, au revoir.

- Bon débarras, dit Dudley en s'éloignant.

Harry ouvrit la porte de sa chambre en grand et se précipita sur ses affaires. Quinze minutes après il était de retour avec sa valise, son chaudron, sa cage avec sa chouette Hedwige et son balai, l'Eclair de feu que Sirius lui avait offert lors de sa troisième année.

- C'est bon Sirius, je suis prêt.

- Très bien, je vais t'aider à mettre toutes tes affaires dans la voiture.

- Tu as même une voiture ?

- Bien sur que j'ai une voiture. Le ministère de la magie m'a offert une voiture, une maison et un elfe de maison pour le dédommagement.

- Ah, je connais une personne qui ne sera pas contente de savoir que tu as un elfe de maison chez toi !

- Bon ben nous y allons. Au revoir monsieur Dursley, ça été un plaisir de vous connaître, lui dit-il en lui serrant la main.

- Pas pour moi.

Il regarda le duo s'en aller en direction de la voiture du parrain.

- Bon débarras, plus de magie à la maison, plus de sorcier, que demande le peuple !

Pendant ce temps, Harry et Sirius chargeaient les affaires dans la voiture.

- Tu n'es pas trop chargé côté vêtements !

- C'est normal, les affaires que j'ai sont les vieilles affaires de mon cousin. Donc…

- Bon on y va ?

Ils montèrent dans la voiture et partirent définitivement des résidences Privet Drive.

- Ils ne vont pas te manquer ? dit Sirius curieux

- Oh non, c'est même un débarras pour moi et même pour eux, je n'étais qu'un fardeau et rien de plus, ils voulaient se débarrasser de moi tôt au tard.

- Tu n'as pas dû avoir une enfance heureuse alors !

- J'étais toujours le souffre douleur de mon cousin, un jouet, et maintenant, je ne le serais plus. Merci d'être venu me chercher.

- De rien mon garçon, c'est aussi une promesse que j'ai faite à ton père avant qu'il se fasse tuer. Il parcoururent la campagne anglaise pendant une quinzaine de minutes puis Sirius perça le silence. Bon, voilà, on est arrivé.

Harry sortit de la voiture et vit une maison avec des pierres apparentes et un toit de chaume. La maison était protégée par des grands arbres collés l'un à l'autre. Il ne s'était pas aperçu que les arbres faisaient parties d'une forêt immense, certes grande mais rien comparé à la Forêt Interdite qui frôlait l'école de Hogwarts.

- Bienvenue chez moi Harry, j'espère que tu aimeras cette maison et j'ai aussi installé un petit terrain de Quidditch, tu pourras t'entraîner. Tiens, puisque Dumbledore est au courant de ta venue ici, il a envoyé ta liste de fourniture. Tu pourras aller à Diagon Alley par la cheminée si tu veux. Ta chambre est au premier étage, tu verras, ton nom est marqué sur la porte. Installe tes affaires et tu descendras pour manger. Notre elfe a fait un succulent repas pour ton arrivée. »

Harry prit ses affaires et se dirigea vers l'entrée. Lorsqu'il ouvrit la porte, il vit une grande salle à manger, avec cheminée, four à pain (les authentiques) et tout le tralala. L'escalier était sculté dans du chêne et des créatures l'ornait. Harry décida donc de monter l'escalier pour parvenir à sa chambre. Le couloir était dans la pénombre c'est alors qu'il vit une petite créature bougée dans le noir. Celle-ci ouvrit une porte tout en adressant la parole au nouveau venu :

- Bienvenu Monsieur Harry Potter, votre chambre se trouve ici, baragouinait l'elfe pour que Harry ne reconnaisse sa voix.

- Attends, je connais cette voix, ……. DOBBY ?

- Oui monsieur, c'est moi, répondit-il dans un air joyeux.

- Mais que fait-tu ici, je croyais que tu étais à Hogwarts ?

- Quand Monsieur Sirius Black a été relâché, il avait besoin d'un elfe de maison pour entretenir sa demeure donc je me suis proposé et Monsieur Black m'a accepté mais je lui ai dit que je voulais être payé et avoir une semaine de congé par an et il a approuvé. Et après il m'a parlé de son projet de venir vous chercher et d'autre chose mais ça, je n'ai pas le droit de vous le dire, sachez-le. Mais je suis heureux que son ou plutôt ses projets aient du succès. Je suis surtout heureux de vous voir ici monsieur.

- Merci Dobby, il referma la porte derrière lui. Heureusement que c'était aujourd'hui. C'est le plus beau cadeau d'anniversaire que l'on m'a fait.

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Melwyn était là, affalée sur son canapé en lisant deux lettres. Elle n'en revenait pas du tout, elle s'était fait virer de l'école Beauxbâtons et elle venait de se faire accepter dans l'école de Hogwarts en Angleterre. Elle rentrait en cinquième année et allait faire ses études à l'endroit où s'était dérouler le Tournoi des Trois Sorciers, là où Fleur Delacour, qui n'était sûrement pas sa plus grande amie, était devenue la championne de Beauxbâtons. Melwyn avait entendu Fleur dire qu'elle avait rencontré Harry Potter en temps que quatrième champion de l'école Hogwarts. Elle le verrait donc avec ses amis et elle n'en revenait toujours pas :

*J'ai une de ses veines, voir HP et ses potes et peut êtres des beaux gosses, j'ai vraiment de la chance moi, pensa Melwyn avec son sourire narquois. J'espère qu'il y aura des beaux bruns ténébreux avec un catogan. Là, s'il y en a, je lui cours après et il tombera dans mes filets, ça j'en suis sure et certaine. ATTENTION HOGWARTS, ME VOICI*

Elle se leva et se dirigea vers les photos de famille. Elle prit un cadre dans ses mains et regarda un homme et une femme photographiés c'est alors que quelques larmes commencèrent à tomber sur le sol. L'homme était son père et était mort le jour où elle venait d'avoir quatorze ans. Depuis, quand elle regardait cette photo, elle pleurait de chaudes larmes. Elle savait que son père serait fier d'elle car lui était allé à Hogwarts pendant ses études et elle espérait être dans la même maison que lui. Melwyn se dirigea ensuite dans sa chambre pour préparer ses affaires. Elle partait le lendemain pour Londres où elle prendrait une chambre au Chaudron Baveur et achèterait ses fournitures à Diagon Alley. Melwyn regarda l'heure, il était minuit passé et elle devait se lever tôt. Sa mère entra soudain dans sa chambre et la regardait se coucher :

- Passes une bonne nuit ma chérie, demain, je te réveillerais et je t'accompagnerais à l'aéroport. D'accord ?

- Maman, comment on va faire, on n'a même pas de voiture moldu ?

- Ne t'inquiètes pas, j'appellerais un…. Comment ça s'appelle déjà une voiture et un chauffeur ?

- Un TAXI maman, un TAXI. Tu n'as pas suivi des cours sur l'étude moldu. Ah oui, j'ai oublié, tu es de la dernière génération et vous étiez plutôt des babas cool à l'époque. Aujourd'hui, les jeunes comme moi se déchaînent les cheveux en l'air et en écoutant du Metallica ou du Korn. C'est vraiment surprenant que des fans moldus ne se rendent pas compte que la plupart des groupes rocks et hard rock sont des sorciers et ce serait bien qu'on les invite aux bals à Hogwarts, tu trouves pas ?

- Chérie, tu as vu l'heure ? Tu commences à perdre les pédales, ça se voit. Ces groupes-là ne viendront jamais à Hogwarts.

- Si, ils vont venir, je le demanderais au directeur, le professeur Dumbledore.

- Bon, fais ce que tu veux et si ça ne marche pas, ne viens pas pleurer sur mon épaule après, d'accord ?

- Oui maman. Bonne nuit !!

- Dors bien ma chérie.

Sa mère ferma la porte et la chambre s'engouffra dans les ténèbres. Melwyn s'endormit aussitôt.

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Il faisait noir, très noir et le temps était frigorifiant. Installé dans sa demeure, Voldemort récitait une formule dans une langue très ancienne, encore plus ancien que l'elfique. Un lit était installé et une femme dormait, elle était même morte. Voldemort continuait à réciter sa formule quand un halot de lumière quitta le livre de formules et enveloppa la personne. Celle-ci se réveilla aussitôt. Elle regarda Voldemort assis sur sa chaise posant son livre sur une table et se remis sur pieds et le seigneur des Ténèbres leva les yeux. La ressuscitée était tellement grande qu'il ne voyait qu'une partie de son visage. Il se leva et la regarda droit dans les yeux :

- Je sais qui tu es mais tu ne sais pas qui je suis.

- Non, je ne vous connais pas. Quel est votre nom ? Demanda la femme

- Je suis Lord Voldemort, seigneur des Ténèbres et toi, tu es la sorcière du futur, Ultimécia.

- Oui, je le suis. Que puis-je faire pour vous Lord Voldemort ?

- J'ai un projet qui pourra faire tomber le monde dans la souffrance, le chaos. J'aurais donc besoin de toi. J'ai rassemblé mes troupes pour un combat dont la Terre se souviendra. J'ai donc besoin de ma fille, elle nous sera très utile. Vas la chercher.

Ultimécia disparut aussitôt. A des milliers de kilomètres, Melwyn se réveilla en sursaut.

Il était cinq heure du matin et il était difficile pour elle de se recoucher. Elle essaya de se souvenir de son rêve. Elle se souvenait de Lord Voldemort et d'une sorcière qui répondait au nom de Ultémicia, rien d'autre. Sa mère entra dans la chambre en peignoir et s'assit à côté de sa fille :

- Tu as bien dormi ma chérie ?

- J'ai fait un rêve bizarre. J'ai rêvé de Voldemort et d'une sorcière. Sa mère tressaillit en entendant le nom du seigneur des Ténèbres.

- Ce n'est rien. Vas te laver, nous partons dans trente minutes.

Trente minutes plus tard, Melwyn était prête à partir. Le taxi les attendait depuis une bonne quinzaine de minutes. Elles mirent les baguages dans le coffre et s'installèrent à l'arrière du taxi. Une heure plus tard ils arrivèrent à l'aéroport Roissy et quinze minutes plus tard, Melwyn était installé dans l'avion en destination de Londres et il décolla cinq minutes après. Melwyn regardait le paysage et la mer défiler à toute allure et une heure plus tard, elle descendit de l'avion. Elle sortit de l'aéroport et marcha une bonne quinzaine de minutes et trouva une ruelle où les curieux ne fouinait pas leur nez. Elle sortit sa baguette magique et fit un petit geste. Le Magicobus apparut soudain.

*Heureusement qu'on a ce même système en France* pensa-t-elle.

Elle prit ses baguages, paya et se mis au fond du bus. Le Magicobus partit en direction du Chaudron Baveur.

Fin du chapitre

©Les personnages de Harry Potter appartiennent à J.K Rowling.

©Melwyn est un personnage de ma propre invention.

©La sorcière Ultimécia appartient à Squaresoft dans le jeu Final Fantasy VIII.