Hello, voici le chapitre 8. Alors on tremble toujours pour Riza ? J'espère bien que oui !
Chapitre 8
A force d'essayer de se libérer des menottes, Riza s'était arrachée la peau des poignets jusqu'au sang.
Ils lui faisaient à présent tellement mal, qu'elle n'osait plus les bouger.
La porte s'ouvrit sur son ravisseur. Riza su à sa vue que le moment tant redouté était venu. Son regard était rempli d'un éclat de convoitise et il ne portait pour tout vêtement qu'un peignoir.
Riza le regarda s'approcher d'elle.
« C'est l'heure m'a chérie. Es-tu prête ?
« Allez mourir.
« Après toi ma douce.
« Si vous approchez je crie.
« Tu ne l'as pas encore fait, c'est que tu es intelligente, tu sais parfaitement que cette pièce est insonorisée, il ne sert à rien donc de t'époumoner. Tu ferais mieux de garder ton souffle pour ce qui va venir. J'ai hâte de t'entendre gémir. »
Il se pencha sur elle et colla ses lèvres sur les siennes. Pour se défendre, Riza le mordit. Il poussa un petit cri et se redressa.
Riza se permit un sourire de triomphe ce qui eu pour effet immédiat de déclencher sa colère. Il lui asséna une gifle magistrale. Riza sentit sa lèvre inférieure éclater sous l'impact. Le monde tourna un instant autour d'elle.
« Tu veux la jouer comme ça ? Alors attends un peu, tu vas voir. »
Il se redressa et commença à s'attaquer à la fermeture de son pantalon. Riza gesticulait en tout sens pour l'empêcher de lui retirer. Mais il s'assit à califourchon sur ses jambes, l'immobilisant totalement. Il dégrafa les attaches et descendit la fermeture éclair. Puis il tira sur le vêtement, le faisant glisser sous les fesses de la jeune femme.
Il se leva de ses jambes pour retirer complètement le pantalon qu'il jeta dans la pièce.
Il resta debout au pied du lit à regarder Riza à moitié nue devant lui. Il se pourléchait littéralement les lèvres.
« Tu as des jambes parfaites, quel dommage de les cacher sous cet affreux uniforme. »
Il s'avança de nouveau sur le lit. Riza essaya de lui donner des coups de pieds, mais chaque fois il les évitait et lui bloquait. Il reprit sa position sur ses jambes et commença de remonter lentement ses mains le long de ses cuisses.
Riza serrait ses mâchoires de toutes ses forces tout en le regardant faire. Elle voulait se rappeler de tout ce qu'il lui aurait fait subir le jour où elle lui ficherait une balle en pleine tête après lui avoir démoli les parties.
Il atteignait à présent sa culotte. C'était trop, Riza ferma les yeux.
Soudain, on entendit le carillon de la porte d'entrée.
L'homme grogna et se redressa, mécontent d'être dérangé.
« Ne soit pas trop soulagée ma belle. Ce doit être tes collègues qui te cherchent. Rappelles-toi ce que je t'ai dit, cette pièce est totalement insonorisée et je vais m'amuser avec toi juste sous leur nez. Ca m'excite encore plus. »
Il rajusta son peignoir et sortit de la chambre en refermant soigneusement la porte derrière lui.
Mustang entamait son douzième immeuble depuis le début des recherches. A chaque fois, il recevait les mêmes réponses à ses questions : non, on n'avait rien remarqué de bizarre, ni aucun individu louche dans le quartier et non on n'avait pas vu de jeune femme blonde en uniforme.
Il atteignait le dernier étage, il n'y avait qu'une seule porte sur ce palier. Il actionna la sonnette. Il pu entendre le carillon à l'intérieur de l'appartement. Il attendit près d'une minute avant qu'on vienne enfin lui ouvrir la porte. Il se retourna pour faire face à l'homme qui se tenait dans l'encadrement, une main reposant sur le chambranle de la porte.
« Bonjour Monsieur. Nous sommes à la recherche d'une collègue. Une jeune femme blonde en uniforme. Elle a disparu depuis hier matin. Nous avons retrouvé son véhicule dans le quartier.
« Je suis désolé. Mais je n'ai vu personne correspondant à votre description.
« Vous avez peut-être repéré un individu louche ou quelque chose d'inhabituel ces jours derniers ?
« Non rien, je suis désolé. Vous la cherchez depuis hier ? Ca doit pas être drôle.
« Non effet. Mais nous ne perdons pas espoir de la retrouver. »
L'homme s'écarta ouvrant le passage.
« Voulez-vous un café ou quelque chose à boire ?
« Je vous remercie, mais non. C'est bien aimable. Je dois poursuivre les recherches. Au revoir Monsieur.
« Au revoir Colonel. »
Il referma la porte. Il se souriait. Il avait eu à faire au Colonel Roy Mustang en personne. C'était trop drôle !
Il retourna à la chambre où l'attendait sa proie. Lorsqu'il ouvrit la porte, il l'entendit hurler. Il se dépêcha de refermer derrière lui.
« Je te l'ai dit, sous leur nez ! Maintenant, reprenons là où nous en étions. »
Trop de suspens ! Suis démoniaque ! Pauvre Riza, je relis ce chapitre avant de le poster et je tremble d'émotion pour elle !
Maintenant, si j'ai plein de reviews, je posterai le chapitre suivant rapidement. Mais j'ai dit plein ! Je veux que vous pétiez le compteur de reviews !
Suis accro aux reviews, il me faut ma dose quotidienne...
