Bonjour à tous !
Exceptionnel début de fic pour remercier tous ceux qui m'ont laissé un petit commentaire sur ma song-fic.
Je ne cours pas après, en général, mais parfois, j'avoue que j'aime avoir des avis, je suis comme tout le monde, mon ego a besoin lui aussi de se faire flatter et motiver. Lol.
Alors, à tout le monde en général, un grand merci de me lire.
Et bonne lecture.
Chapitre 6 : Toutes deux
Quand j'ouvre les yeux, je reste un instant paralysée tandis que ma mémoire se rapelle tout ce qui est arrivé.
Je me tourne pour vérifier le côté droit du lit et ce que j'y vois me rassure. Le souvenir de ce merveilleux baiser, de nos déclaration, de ton corps contre moi, de mon apaisement et de ma confiance entre tes bras, tout cela est vrai.
Le lit n'est pas très grand et l'appartement a besoin d'une couche de peinture, mais il est une cachette sûre pour mon rétablissement. Comme chaque matin depuis une semaine, chaque réveil est une source d'étonnement et de bonheur à la fois.
Je ne me lasse pas d'être surprise qu tu puisse répondre à mon amour. Moi l'enfant-reine, moi la solitaire prisonnière du palais, j'ai enfin trouvé mon chevalier, et celui-ci a répondu à mes sentiments. C'est mon miracle, c'est mon conte de fée.
Pour le finir cependant, il y a une condition. Il faudra vaincre les méchants, et alors, ils se marieront et auront beaucoup d'enfants. Se marier, je peux faire une loi pour ça, pour que nous puissions vivre au grand jour et au diable le reste des hommes et de leurs idées étroites. Les enfants, avec les progrès de la science, et l'exemple des soeurs de Quatre1, ce n'est vraiment pas un problème.
Reste les méchants. Et face à eux je me sens si impuissante.
Je ne sais pas me battre, pas comme toi, pas physiquement, avec leurs armes, et je ne sais pas si j'ai vraiment la capacité de le faire avec ces armes, de toute façon. Je hais les armes, elle n'amène que mort, souffrance, douleur et haine.
Je n'ai que ma diplomatie, mon intelligence et ma détermination. Et un peuple derrière moi qui me soutient, si les nobles, eux ne le font pas.
Au demeurant, je ne veux pas sacrifier ce peuple, il y a eut déjà tellement de sang, de perte et d'afflictions.
Je voudrais que cette guerre s'achève. Je voudrais que la peine soit finie et qu'il ne reste que l'espoir et les rêves qui nous animent, que la paix soit enfin sur ce monde.
Cela me rappelle une chanson.
Et je commence à fredonner doucement, comme une prière, comme un mantra, cette chanson. Alors, blottie contre toi, je laisse le soleil doucement se lever et éclairer notre chambre à coucher.
« Que la paix soit sur le monde2
Pour les cent mille ans qui viennent
Donnez nous mille colombes
A tous les soleils levant
Donnez-nous mille colombes
et des millions d'hirondelles
... »
Je t'aime. Je sais que je te le dis chaque jour, chaque moment que je peux. Je ne sais pas comment tu n'as pas pu encore te lasser de mon affection envahissante, de mon systématique besoin de te tenir, de ma nécessité de te tenir au moins la main à chaque minute, comme si, oui, comme si tu pouvais t'évanouir dans les airs.
Comme si tout n'était qu'un rêve. Merveilleux mais irréel.
Et que si je venais à ouvrir les yeux, tu ne sois plus là.
Alors je t'aime, je me love contre toi à la moindre chance, j'essaie de faire des menues choses qui pourraient te plaire. Je tente par tout mes faibles moyens, toute mon inexpérience, de te séduire.
Déesse, je ne sais pas comment peuvent s'aimer deux femmes. Je n'y connais rien. Je veux dire, les hommes et les femmes d'accord, c'est même au cours de biologie, mais femme et femme ?
J'ai peur de faire une erreur. Peur de te faire peur. Peur de ne pas être à la hauteur. Petite boule d'angoisses sur pied qui cherche à cacher sa panique à l'idée de te perdre.
Tu es mon tout, tu es mon moi.
Je ne suis pas complète, je ne serais plus jamais complète loin de toi.
Je sais, c'est vraiment fleurbleue cette idée d'une âme soeur mais depuis que je suis avec toi, depuis cet instant incroyable où tu m'as dit « je t'aime », même si j'ai peur, même si mon coeur souffre encore, n'osant pas trop espérer, n'osant pas trop vouloir ou croire, depuis je ne pense plus à mourir, comme si tes mots m'avaient insuffler ce souffle qui me manquait.
Pourtant, depuis nous n'avons partager rien de plus que de chastes baisers, quelques caresses à peine esquissées. Dès que cela va trop loin, tu fuis, comme si tu craignais quelque chose, moi peut-être.
Tu me dis que tu veux que je me rétablisse, que je ne suis pas encore assez forte et tu passe ton pouce doucement sur mes lèvres avant de me faire une bécot sur le nez et de partir.
Chaque jour je recherhce ta présence, et tu me tiens dans tes bras, mais ça ne va pas plus loin.
Je ne sais pas si tu es aussi effrayée que moi par l'aspect physique de notre relation ou si cette amour n'a pas besoin d'être physique mais... oui, je ne veux pas être brusquer, oui, je suis un peu effarouchée à l'idée de passer à l'étape supérieure, celle du corps à corps mais je te veux tellement.
Parfois tu me regardes et je ne sais pas pourquoi, il y a cette bulle de chaleur qui s'installe en moi, je me sens tout d'un coup un peu chaude et enfiévrée, un peu plus consciente de toi, de tes yeux qui me fixent, brûlant et pénétrant, et je m'affole. Alors tu te lève et tu me dis que tu vas faire une course, ou sous la douche, ou je ne sais où.
Mais tu pars.
Qu'est-ce que je fais qui a tort ? Qu'est-ce qui cloche ?
Tu es la première personne que je laisse approcher si près, je ne sais pas ce qu'il faut faire quand on est amoureux et en couple. Je veux dire, tu es la première personne à qui je me confie autant, tu en as entendu plus en une semaine sur moi, mes sentiments, mes doutes et mes frayeurs, que Dorothy, mon amie, ou qui que ce soit, même mon père d'adoption.
Mais je n'ai jamais discuté d'amour ou de vie amoureuse avec eux, ni avec personne.
Comme si la Princesse Peacecraft pouvait s'abaisser à des tels pécadilles. C'est le mot qu'avait donné ma gouvernante à LA question que je lui avais posé quand j'avais 11 ans. J'ai compris que ce n'était pas des questions que j'avais le droit de demander, ou même d'évoquer.
Je devais rester pure et chaste. Belle foutaise. Plutôt stupide et cruche non ?
Quand à la littérature, on a toujours évité de me donner accès à certaines lectures. Je regrettte presque de ne pas m'être rebellée et de ne pas être allée en douce voler le volume du kama-sutra de mon père.
Trop tard hélas.
Et même, à quoi cela m'aurait servi, il n'est que pour les couples dit « normaux ». Peut-être que j'aurais dû m'abonner à des câbles télévisés, avec chaînes pornos comprises dans le bouquet, pour faire mon éducation ?
Ça aurait, sans aucun doute, fait jaser tout le royaume. Le future reine est une obsédée. Et puis, même, je doute que ce genre de voyeurisme m'aurait plu, alors payer pour rien...
Je veux dire, la seule personne que je veux voir nue me tient entre ses bras.
Quel intérêt je pourrais avoir dans ces trucs. Ah oui, c'est vrai, la documentation.
Je soupire. Autant pour moi. J'ai bien une petite idée mais je ne suis pas sûre et j'ai peur de me ridiculiser.
Je suppose que je devrais suivre mon instinct. Je re-soupire. J'espère qu'il ne me plantera pas le moment venu.
Je baille doucement. Mes cauchemars me réveillent toujours trop tôt. Même si tes bras les atténuent, je revoie encore la scène de mon attaque dans mon sommeil. Mes yeux papillonnent et se ferment. Je baille à nouveau. Je sens que je vais me rendormir alors je me serre un peu plus contre toi et je soupire d'aise.
Mon amour. Même si nous n'avons pas le bon mode d'emploi, même si je doute encore un peu beaucoup, je te promets, je te promets que je ferais tout pour que nous soyons heureuse.
Je t'aime trop.
Je n'aurais pas l'audace de tousser
Si ça me dérange, je n'ai qu'à m'en aller
Je sens qu'on s'agite un peu contre moi puis le calme revient. Le soleil joue de ces rayons sur mes paupières, m'appelant à me réveiller. Je proteste un peu, restant encore fermement dans l' univers cotonneux du semi-sommeil.
Je suis si bien, entre tes deux bras autour de moi. Je soupire de bien-être et finit, à contre- cœur par ouvrir les yeux.
La première vue qui m'accueille est ton visage et je souris émerveillée, comme si cette chance de t'avoir à mes côtés était toujours aussi nouvelle, et peut-être éphémère.
J'ai tout jour du mal à croire à ma bonne fortune.
Et ce, même si nous sommes ensemble depuis une semaine maintenant.
Je regarde ton visage, ta petite bouche rose qui se boudine quand ton sommeil se trouble. Heureusement, il a suffit de quelques jours pour que tes lèvres aillent mieux. L'idée qu'en t'embrassant, j'ai pu rouvrir tes plaies, que tu ais pu saigner à nouveau et pire, garder une cicatrice, m'empêche de laisser libre court à mes baisers. Tu boudes un peu en disant que tu vas très bien, mais je ne peux franchir ce cap, tu es trop précieuse à mes yeux. Je suis déterminée à te garder à moi pour l'éternité. Je te répète alors que nous avons le temps pour les baisers.
Bien entendu, je te ramènerai dans ton palais dès que tu iras mieux, mais, désormais, je ne te quitterai jamais.
Je t'en ai fait la promesse et ma parole, à ton égard, est plus que sacrée. Tu es mon monde, et je refuse de briser la chance extraordinaire qui m'a été donnée : Ton amour.
Ma main, malgré moi, vole à ton visage et écarte une mèche rebelle venue se poser contre ton nez. Sûrement la raison pour laquelle tu fronces ta petite bouche d'un air désapprobateur. Je suppose qu'elle te chatouille. Je ne peux arrêter le sourire idiot qui habite mon visage, tandis que l'expression de ton visage s'apaise.
Tu te blottis contre moi et je ne sais plus quelle prière adresser à Dieu là-haut pour le bonheur qu'il me donne. Et pourtant, Il sait que je ne te mérite pas. Je suis une assassin, une « traître », une terroriste, mais je suis prête à aller en Enfer du moment que je peux vivre cette vie avec toi.
Ma main redescend le long de ta joue, puis de ton cou et arrive à l'orée du décolleté de ta chemise de nuit. Nous n'avons encore rien fait, je n'ose pas te brusquer, pas dans ton état. En plus, j'avoue sincèrement, j'ai peur de t'effrayer ou de briser ces instants magiques qui ne sont qu'à nous depuis ton réveil à l'hôpital.
Si tu savais parfois comme il est dur de se retenir, sachant que tu m'aimes. Tu ne dois pas te rendre compte que tes frôlements contre moi, ta main qui saisit la mienne, ta tête sur mon épaule, ou même le rire qui agite ton corps, tout cela me rend parfois dingue.
Ou quand tu te penches vers moi avec ce sweat-shirt trois fois trop grand que je t'ai trouvé et qui me dévoile tes seins fermes et libre de toutes attaches. Ou ce jour où tu étais dans la cuisine, je venais de rentrer des courses, et tu avais essayé de nous faire des crêpes.
Dieu, il y en avait partout, sauf dans l'assiette et tu étais tout désespérée de ton échec, comme si c'était une tare que de ne pas savoir faire les crêpes.
Moi je ne sais pas faire le repassage, je ne vais pas te reprocher de ne pas savoir faire un dessert après tout., Tu m'as sourie alors, un peu déçue, un peu découragée, surtout triste que ta surprise est ratée. En vérité, il m'a fallu tout mon sang-froid de soldat pour ne pas te sauter dessus sur l'instant et te faire comprendre à quel point tu étais sexy au diable, et la manière dont tu m'étais mon corps en feu dans ton sweatshirt géant, avec juste cette petite culotte blanche en dessous.
Tu seras ma perte mais je ne pourrais jamais le regretter.
Ma main continue son voyage à travers ton corps et s'arrête sur ton sein, qu'elle frôle tendrement, de son plus léger touché.
Je déglutit un peu, mon regard ne quittant pas ta poitrine qui se lève et s'abaisse tranquillement dans ton sommeil.
Seigneur, je sais, je suis encore une ado et, donc, je ne peux qu'éprouver un désir insatiable face à l'objet de mon désir, mais je suis aussi quelqu'un de maîtrisé, concentré et... et tu me fais perdre la tête malgré tout mon sang-froid.
Comme si, depuis ton aveu, toutes les barrières qui m'avaient retenu dans mes démonstrations d'affection à ton égard, que toutes ses frontières, avaient volé en éclat, ne laissant plus qu'une affamée de ta chair, de ton corps, de ton coeur...
Ma main a profité du vagabondage de mes pensées pour saisir ton sein et le caresser du pouce. Je sens ton corps se tendre et réagir et j'ai une boule qui se forme au creux de mon estomac.
Je dois arrêter maintenant, je ne dois pas tenter le Diable ou je risque de...
Mais c'est comme si je ne me contrôlais plus et ma main descend plus bas pour saisir la chemise de coton et la remonter. J'ai maintenant ma main contre ton globe de chair, et il n'y a presque plus de tissu qui sépare ma chaleur et la tienne. Je respire plus vite, plus fort.
Je sais que je dois m'arrêter, je ne peux pas profiter de ton innocence face à ses choses-là, ni de ton sommeil pour assouvir mes désirs. Je voudrais partir, me lever mais je sens ton bras qui serpente contre ma hanche et m'attire contre toi. Et ton soupir de contentement qui suit.
Tu veux ma mort, ma douce, ma Lena.
J'enfouis mon nez dans tes cheveux, respirant ton parfum, espérant calmer les battements désordonnés de mon cœur. Mais ton odeur ne m'aide pas cette fois et tout mon corps, mon cœur, ne désire plus qu'une chose : Toi.
Des images traversent mon esprit. Ton corps nu. Toutes ces fois où je t'ai lavée et nettoyée. La courbe de ta poitrine, la petite rondeur de ton ventre soyeux, le satin de tes cuisses...
J'halète dans ta chevelure et ferme les yeux de toutes mes forces, espérant retrouver mon calme.
Je crois que je n'y arriverais pas alors que ma main, rebelle, saisit plus fermement l'objet de son désir. Dieu, je suis en train de perdre le contrôle.
Je dois me lever et aller me prendre une douche glacée, sans aucune autre option.
J'essaye, ciel, j'essaye vraiment mais tes bras me retiennent et alors que j'essaye de me détacher de toi, j'entends ta petite voix.
- Pourquoi ? Est-ce que j'ai fais quelque chose de mal ?
Tu semble si triste. Et mes défenses s'écroulent totalement. Au diable le reste. Je proteste, essaye de t'expliquer puis, renonce et prend ta bouche dans un baiser passionné, pour te prouver qu'il n'y a rien de mal avec toi. Il faudra juste que je fasse attention à tes blessures. Après tout elles ne sont pas encore entièrement guéries.
Je te sens frémir et puis j'entends ton gémissement de plaisir que j'étouffe de ma langue en pénétrant ta bouche.
Mes mains voyagent rapidement et la chemise de nuit n'est plus qu'un souvenir. Je t'aime.
Je t'aime et tu es à moi. Rien qu'à moi.
Quand je m'écarte de toi pour reprendre notre souffle, ta peau est un peu rouge et tes yeux brillent d'une fièvre que je reconnais. Je le voudrais que je ne pourrais pas résister, pas quand je te vois comme ça. Mon tee-shirt et mon boxer rejoignent, au sol, la guenille déchirée qu'est devenu ton pyjama.
Je ne m'en plaindrais pas, dormir nues, l'une contre l'autre, voilà un désir que je compte bien réaliser tous les soirs de notre vie.
Tu rougis, et tu baisses les paupières, prenant conscience tout à coup de ce qu'il va vraiment se passer. Je t'appelle doucement, te demande de me regarder. Je veux te rassurer, je veux que tu saches que je ferais tout pour que tu sois bien. Une de mes mains voyage vers ta joue pour lever ton visage vers moi, l'autre vers tes hanches.
Tu ne me regardes pas mais tu me repousses un peu, me laissant un instant court le cœur brisé, puis tu écartes les cuisses doucement, face à moi, me dévoilant ta féminité. Mon cœur saute un battement et j'entends une plainte troublée le silence. Je crois que c'est moi qui l'ai pleurée.
Tes yeux, un peu voilés, rencontrent enfin les miens et tes joues prennent une couleur carmin. Tu essayes de parler mais ce n'est qu'un bégaiement incompréhensible qui sort de tes lèvres gonflées de nos baisers.
Je crois que même si c'était compréhensible, mon esprit n'enregistrerait pas ce que tu me racontes, toute mon attention concentré vers ton sexe. Mes mains descendent vers l'intérieur de tes jambes et les maintiennent écartées. Cela fait trop longtemps que je souhaite cela et ma bouche se jette comme affamée sur ton centre, ton clitoris.
Tu trembles et te tends, tes jambes cherchant à se refermer par réflexe pur, mais je ne te laisse pas faire, tout en veillant soigneusement à la blessure de ta cuisse gauche.
Et ma langue rencontre ta peau et tu pousses un sanglot. Et commence notre tango.
Avec mes pierres elles construiraient leur forteresse
Qui arrête les colombes en plein vol
Le mot de l'auteur
Lied, rouge brique, s'évente : Pfiu... je sais pas comment j'ai fait pour écrire ça, parce que c'est mon premier yuri mais bon... y'avait un p'tit lime sur la fin3. En tout cas, il fait chaud, vous trouvez pas les filles ?
Relena, cramoisi profond : ... ... ...
Hilde, rouge tomate : ...
Quatre, en syncope par terre : +
Le reste des G-boys sont partis prendre une douche froide.
Relena : Co... co... com... men... ment t... t...t..t.tu as p..p...pu f...
Lied :Stop le massacre ! Comment ? Tu crois que je voulais écrire ça moi ! J'suis pas censer écrire ça moi ! Je suis classée yaoiste pure et innocente moi, mademoiselle ! Et pareil dans la catégorie yuri ! Groumphs boude un peu Enfin c'est arrivé et puis y suffit de transposer d'un lemon/lime yaoi à... enfin vous comprenez quoi ! éè
Hilde qui essaye de reprendre un couleur normale : Non, je comprends pas comment tu peux cautionner ça...
Lied : Maieuh, je jure que je voulais m'arrêter mais y me manquer une dizaine de ligne pour finir la fic et de ligne en ligne ben... Si ça peut vous rassurer, je promet de ne plus recommencer. vv
Hilde, rouge bien mûr : Y'a intérêt !
Relena, toujours écrevisse : Et puis tu pourrais même carrément abandonner ta fic non ?
Lied : Mais non, d'ailleurs, je vais aller préparer le chapitre suivant !
G-Girls : NOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOON !
1 : Elles sont toutes nées in vitro et en cuve. Elles sont 29 quand même. Seul Quatre est né de manière « normal »
2 : Mille Colombes, chantée par Mireille Mathieu. Vieux souvenirs d'enfance ça...
3 : Belzy : Au moins, y'a pas que moi qui souffre de lemons avortés. Snif... mon lemon.
Kirin : On sait, on sait ! Je n'aurais donc jamais la paix !
Lied : Ben tu sais, il attend toujours la fin du chapitre 3 de sa fic et la suite hein...
Kirin : C'est une basse méthode détournée pour m'obliger à bosser dessus c'est ça ?
Lied : Meuh naaaaaaan... Qu'est-ce qui te fais penser ça ? Au fait Ki'...
Kirin : Vi ?
Belzy, serviable : BOSSE !
Kirin : TT
Lied : ;
