Titre : Une étincelle dans les Ténèbres.

Auteur : Etincelle Nocturne.

Genre : Mistery/Romance/Drama/Tragedy

Rating : M

Couple : Harry/Ginny

Résumé : Univers alternatif, les parents d'Harry sont encore vivants. Harry est plus beau et plus fort que jamais. Seulement il n'est pas dans le côté de lumière que tout le monde espérait mais du côté du seigneur des ténèbres qui l'a attiré vers les ténèbres afin d'utiliser ses pouvoirs à défaut de ne plus pouvoir le tuer. On interdit Harry de faire ses études à Poudlard mais à Durmstrang où il se révèle être un très bon élève. Harry sera charger d'un plan diabolique contre Dumbledore pour cela il devra être professeur de Défense Contre les Forces du Mal à ses 21 ans où il rencontrera Ginny, 17 ans, plus belle que jamais. Maligne, intelligente et malheureusement pour Harry contre les forces obscures. Une véritable haine se vouera entre eux deux qu'une attirance viendra tout changer.

RaR:

Sahada : Merci ! Ta reviews m'a fait très plaisir d'autant plus que c'était ma première!lol. Et je suis désolé mais je ne pourrais pas faire un autre couple que Harry/Ginny car j'avais déjà tout inventé dans ma tête et ça ne colerait pas si c'était un autre perso. Les couple Harry/ Hermione, j'aime pas vraiment, et les slashs, j'adore les lire mais je suis une merde pour les écrire... Donc, j'espère que tu continueras à les lire même si tu n'aime pas ce couple, s'il te plaiiiiiit ? lol. Non je te force à rien, tu fais ce que tu veux. bisous et dans l'espoir d'une deuxième review.

Smoke : C'est vrai ? T'aime vraiment ? hihihihihihihi (auteur surexcitée) j'espère que la suite te plairas et que tu ne la trouvera pas trop barbante... Mais il faut bien que je mette tout en route! lol. Allez bisous et bonne lecture.

Vinvin : Merci! Tu n'avais jamais lu de dark fic avant ? Pour moi c'est les plus captivante, et j'aime tellement voir Harry avec des allures de méchant! J'en rafolle !(rien que d'y penser je suis toute excitée!lol). En tout cas j'espère que la suite ne te décevras pas... Et continue de me reviewer, j'adore ça, ça m'encourage à écrire! Quoique, normalement, la suite viendra dans un bout de temps.

Nighthawk-59 : Ta review m'a fait très plaisir ! Tu trouve que j'ai un bon style ? hihihihihihi! Rien de tel pour me faire plaisir ! merci. Il y a une petite apparition de Ginny, j'espère que tu la trouveras à ton goût, mais ne t'inquiète pas on la reverra plus dans les prochains cahpitres! bisous et bonne lecture.

Linoubell : Salut! merci pour ta review, elle m'a fait plaisir et j'espère que ce chapitre te plairas aussi.

Mileslerenard : Kikou! Merci pour ta review! J'espère que ce chapitre n'est pas arriver trop tard à ton goût car les autres seront encore plus long à venir car j'ai beaucoup de choses à faire en ce moment. dsl, et surtout continue à me reviewer ça me fait très plaisir !

Attention ! il y a un petit lemon dans ce chapitre âmes sensibles s'abstenir.

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1er chapitre : La mission

Harry sortit du QG de Voldemort, un air ennuyé sur son visage. Il resserra sa cape autour de lui, bien que c'était le mois d'août, il faisait toujours très froid à Moscou. En effet, le quartier général de Voldemort était situé à Moscou en Russie, le pays même où était situé l'institut Durmstrang. Il vit du coin de l'œil quelques mangemorts transplaner, tous principalement vers l'Angleterre. Ce pays représentait tellement pour Harry, c'était le pays de son enfance, le pays où habitait ses parents, et bien-sûr c'était en Grande-Bretagne que se trouvait Poudlard. Un léger sourire mesquin s'étala sur les lèvres d'Harry. Bien qu'il trouvait sa mission périlleuse. Il devait avouer que c'était de loin la plus intéressante que Voldemort lui ait proposé depuis des lustres.

Cependant, Harry était légèrement anxieux. Il avait, mainte et mainte fois, déçu le Lord Noir, mais là il semblait qu'il était plus que sérieux en affirmant que cette mission était sa dernière chance. Il essaya de ne pas penser aux conséquences s'il ratait cette mission, mais après tout il s'appelait Harry Potter et il était un sorcier très puissant. Harry commença à marcher dans les rues de Moscou, la vérité était qu'il appréhendait sa venue chez lui. Ses parents savaient qu'il fréquentait des mangemorts, mais pas qu'il en était un, il craignait plus que tout, leur réaction. D'autant plus qu'ils détestaient Dumbledore, et qu'il serait alors difficile pour Harry d'expliquer son choix de travailler pour lui… Si toutefois, il y arrivait.

En repensant à Voldemort, Harry serra les poings, il ne regrettait pas son choix de devenir mangemort mais parfois il tremblait de colère à l'idée de rester soumis à ce détritus. La vérité était qu'Harry avait énormément d'ambition, et la seule raison pour laquelle il s'était allié au Seigneur des Ténèbres était qu'il voulait prendre sa place. Il se savait très puissant, mais malheureusement il soupçonnait Voldemort de l'être encore plus. Alors dès sa sortie de Durmstrang, il s'était soumis à lui en espérant connaître les pouvoirs du lord Noir et ses faiblesses. Et il ne pouvait que s'en féliciter, en cachette, il avait amassé beaucoup de pouvoir et avait fait très attention aux points sensibles de Voldemort. Malheureusement, Harry s'était vite aperçu qu'il répugnait à l'idée de servir quelqu'un, il se sentait trop important pour être le chien d'un homme. Il avait eut dans l'idée d'être un sbire modèle, mais… le caractère légendaire des Potter ne pouvait s'y résigner et Voldemort s'était vite méfié de lui et l'avait trop souvent mis à l'écart. Mais cette fois-ci, il avait le pouvoir d'éliminer Voldemort et Dumbledore, s'il jouait fin il pourrait devenir un des plus grands sorciers du monde. Mais il fallait à tout prix que Dumbledore croit en lui, et que rien ne vienne se mettre en travers de son passage…

Harry s'alluma une cigarette, et regarda la fumée blanche que ses poumons relâchaient. Il essayait peut-être de trouver une réponse dans cette fumée épaisse et toxique. Il réfléchissait, puis pris d'un élan de courage et de détermination, il écrasa sa cigarette sur le sol humide de la rue et transplana vers l'Angleterre, un air conquérant sur le visage.

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Une fois arrivé en Angleterre, il observa avec satisfaction que le temps était beaucoup plus clément ici. Il retira sa cape si noir qui accrochait les rayons du soleil. Puis, il regarda le manoir devant lequel il venait de transplaner. Cela faisait quatre ans qu'il n'avait pas remis les pieds ici, quatre ans qu'il n'avait pas revu ses parents. Il marcha vers le portail et poussa la porte qui ne grinçait plus, il se souvenait qu'à sa dernière visite il grinçait et il avait d'ailleurs conseillait à son père de le graisser. L'allée était propre et très bien entretenue, il reconnaissait là l'amour des fleurs de sa mère. Des centaines de fleurs de variétés différentes étaient plantées sur le bord de l'allée. Harry leva les yeux vers l'imposante bâtisse, elle n'avait pas changé, son toit noir comme l'ébène brillait toujours autant, les murs blancs de pierre étaient toujours aussi éclatants, et la lourde porte en chêne se tenait toujours aussi droite et défendait la propriété. Harry eut un sourire, c'était si bon de retourner chez soi !

Enfin, Harry s'approcha de la porte. Il souffla un bon coup et se servit du Griffon qui faisait office de sonnette et cogna la porte. Il attendit que quelqu'un ouvre. Ce fut sa mère, toujours aussi belle. Ses cheveux auburn brillaient et encadraient un visage qui semblait décidé à ne pas vieillir. Ses yeux verts dont il avait hérité furent remplis d'étoile avant qu'elle ne s'exclame avec un énorme sourire.

« Mon chéri ! Tu es rentré ! »

Elle l'enlaça dans ses bras très fortement en manquant de l'étouffer. Harry ria et lui fit un bisou sur sa joue.

« Bonjour Maman » fit-il en rentrant dans la demeure.

Lily ferma la porte, prit sa main et l'emmena toute guillerette vers le bureau de son père. Elle frappa à la double porte en bois tout en lui souriant d'un air heureux.

Il entendit son père répondre à travers la porte et Lily s'empressa de rentrer en tenant toujours la main d'Harry dans la sienne.

« Devine qui est là ! » dit-elle en s'approchant du bureau de ministre de James qui restait le nez dans ses papiers.

A ses mots, il leva ses yeux et resta bouche-bée quelques secondes avant de se lever et de venir enlacer Harry.

« Harry ! » s'exclama-t-il « Tu… tu as tellement changé ! »

Harry eut un sourire éclatant en observant son père, lui n'avait pas changé, il était toujours le même. Harry s'était souvent identifié à son père tant la ressemblance était frappante, la seule chose qui différait était ses yeux, ils étaient couleur noisette. Et quelques-uns uns lui avaient même dit qu'Harry avait un plus petit nez que son père mais sinon ils se ressemblaient comme deux gouttes d'eau.

« Viens donc boire un café dans la cuisine, ça te réchauffera, il doit faire encore frais en Russie. » s'exclama sa mère d'un ton protecteur.

Harry se contenta d'hocher la tête et de les suivre vers la cuisine. Elle avait changé, les chaises en bois que Sirius avait offert pour leurs 10 ans de mariage avaient fait place à des épaisses chaises rembourrées en cuir noir. Un gros meuble remplaçait le garde-manger. Elle avait l'air plus…riche. Il faut dire qu'il n'était pas revenu les voir depuis sa sortie à Dumstrang à ses 17 ans. Il s'assit confortablement sur une des nouvelles chaises en continuant d'observer la cuisine d'un air curieux.

« Ca a beaucoup changé ici. » déclara Harry en reposant ses yeux sur ses parents.

« Oui, ton père a eut une promotion. » répondit Lily en préparant le café comme si c'était une évidence.

« Je ne comprends pas que depuis que nous nous sommes mariés, tu fasses toujours le café alors qu'il suffirait de le faire apparaître. » dit James d'un ton moqueur.

« C'est que ce n'est pas poli, au moins quand il y a des invités ils savent d'où ce café vient puisque je le fais devant eux, et ils n'ont pas à ce demander où a-t-il été fait et avec quoi. » se justifia Lily

« Harry est notre fils, il n'est pas comme s'il était un invité. » décréta James.

Lily soupira d'un air désespéré. Harry avait l'impression de retourner en enfance, toujours des petites disputes, des taquineries, mais une demi-heure après ils s'enverront des regards amoureux comme pour la première fois qu'ils se sont connus. Harry était fier de ses parents car après 22 ans de mariage ils étaient toujours aussi amoureux.

« Alors Harry, tu travailles ? » demanda James en le regardant dans les yeux.

« Heu… Non j'en cherche justement. » répondit Harry n'ayant pas eut le courage de dire à son père qu'il voulait se faire embaucher par Dumbledore.

« Ah ! Et tu cherches dans quoi ? » s'intéressa sa mère.

« J'aimerais être professeur. » déclara Harry d'un ton officiel.

« Professeur ? » répéta James. « Oh…bon choix, c'est un métier très honorable, j'avais juste l'espoir que tu resterais en Angleterre. »poursuivit-t-il.

« Ca ne veut pas dire que je ne resterais pas en Angleterre. » affirma Harry de son regard pénétrant.

« Mais enfin tu ne veux pas travailler pour ce vieux fou de Dumbledore, Harry ! »demanda James d'un air effaré.

« Ce ne serait pas un problème, n'est-ce pas ? Je veux dire, je pense pareille que vous sur ce vieux connard, seulement si j'ai une chance d'exercer le métier que je veux et cela près de ma famille, je pense qu'il faut la saisir et ne pas la laisser passer, vous ne pensez pas ? Je ne changerais en aucun cas d'opinion envers lui mais je n'ai pas envie de travailler en Russie, d'abord parce que c'est loin et le salaire y est médiocre. » dit Harry d'un ton convaincant.

Harry n'aimait pas mentir à ses parents sur la raison de son désir d'exercer à Poulard mais sa vie en dépendait.

« Tu as raison mon chéri, nous n'avons pas le droit de te priver de rester en Angleterre. Fais ce que tu veux mais j'espère juste que se sera le bon choix. »

« Sinon j'aurais certainement une place pour toi au quartier des aurors ! Tu as fait des études qui satisferait pour devenir auror à ton tour. » objectiva James. « Puis c'est bien mieux payer que professeur. »

« Oui mais ce n'est pas un métier qui me plait, presque tout mon entourage fait auror, toi, Sirius, Remus, grand-père et grand-mère. Heureusement qu'il y a eut maman qui a changé un peu de registre en devenant guérisseuse… Je veux avoir un truc à moi, tu comprends ? » demanda Harry à son père.

Celui-ci hocha la tête et encaissa le coup silencieusement.

« Tu sais au moins si Dumbledore cherche un professeur dans son école ? » demanda Lily d'une voix douce.

« J'en ai entendu parler, mais je n'en suis pas sûr. » répondit Harry d'une voix incertaine.

« Regarde la dedans, c'est là qu'il le dit quand il a besoin de professeur. » dit Lily en lui tendant la Gazette du sorcier.

Harry acquiesça et commença à tourner les pages du journal jusqu'à ce qu'il arrive aux faits

divers :

Divers

Le professeur Dumbledore, directeur du collège Poudlard recherche un professeur de défense contre les forces du mal compétant et qui serait disponible dès le 1 septembre prochain. Tout candidat potentiel serait invité à se rendre à son bureau à Poudlard même.

C'était écrit tout en bas de la page en petits caractères. Harry arracha la page et la glissa dans la poche de sa robe de sorcier. Il informa sa mère qu'il y avait bien un poste vacant et repris un café.

« Tu dors ici mon chéri ? » demanda Lily.

« Bien-sûr qu'il va dormir ici, je ne le laisserais pas repartir après toutes ces années sans le voir » répondit Mr Potter en faisant un sourire du coin des lèvres à son fils. La complicité entre eux était revenue au galop…

C'était le lendemain de son retour à Godric's Hollow et Harry se trouvait toujours dans sa chambre, étalait de tout son long sur le lit deux personnes aux draps en soie verte. C'était la couleur préférée de sa mère, le vert… Harry, vêtu seulement de son boxer blanc, se leva et s'observa dans le miroir de son ancienne chambre qui était restait intacte. Il regarda le tatouage qu'il avait été obligé de faire sur son avant-bras, il se trouva répugnant. Il était tatoué comme du bétail, une bête qu'on aurait soumise à sa propre volonté, seulement Harry s'était promis que quand il en aura finit avec Voldemort, il effacerait ce tatouage avec un sort qu'il avait déjà confectionné. Il savait qu'il pouvait le vaincre, il connaissait la prophétie, Voldemort aussi d'ailleurs. Mais le seigneur des ténèbres avait fait la plus grosse erreur de sa vie en tuant les Londubat qu'il croyait être la cible de la prophétie. Neville Londubat n'a pas était marqué comme l'égal de Voldemort comme le dit la prophétie. Voldemort s'était cru sauver quand il avait pu tuer ce bambin qui n'avait seulement qu'un an. Mais il ne l'était pas. Harry savait dès qu'il avait intégré le clan du Seigneur des Ténèbres, qu'il était l'enfant de la prophétie car il avait bien senti que Voldemort le craignait et le respectait bien plus que les autres mangemorts car il savait qu'il était le deuxième enfant de la prophétie et il avait vu ses compétences, il a eut un doute qui a fait qu'il le prend comme son égal inconsciemment, c'est pour ça qu'il n'a jamais osé lui lancer de sortilège impardonnable sur lui. Harry savait donc qu'il avait une chance de tuer le Seigneur des Ténèbres et en éprouver beaucoup de fierté. C'était les parents d'Harry qui lui avait transmis la prophétie pensant toujours qu'il n'était qu'un potentiel garçon qui aurait pu accomplir un tel acte que de tuer Voldemort. Il ferait tout pour le tuer, il ferait tout pour devenir le plus grand sorcier que la terre ait donné.

Harry avait l'intention d'aller à Poudlard le matin même pour s'entretenir avec Dumbledore. Il fallait à tout prix qu'il soit embauché, c'était primordial. Il descendit de bonne humeur jusqu'à la cuisine où il retrouva sa mère qui faisait la cuisine, elle dansait sous le rythme de la musique qu'elle avait mise, c'était une musique de son époque et le rythme était lent et démodé, elle chantait le refrain déchaîné, elle était rayonnante. Harry toussota pour signaler sa présence. Il esquissa un sourire en la voyant se retourner à la vitesse de l'éclair.

« Oh mon chéri, tu es réveillé ! Tu as bien dormi ? » demanda-t-elle en rejetant sa chevelure rousse derrière ses épaules.

« Oui très bien… » répondit Harry en enlaçant sa mère qui était bien plus petite que lui.

« Que c'est bon de te ravoir à la maison ! » déclara sa mère en humant le parfum de son fils.

Harry ricana et alla s'asseoir.

« Tiens, je t'ai préparé ton petit-déjeuner, j'espère que tu aimes toujours ça ? » demanda-t-elle en lui tendant une assiette de bacon, d'œufs et de toasts.

« Bien-sûr, merci maman… » dit Harry d'une voix douce.

« Au fait, tu vas y aller quand voir Dumbledore ? » sollicita sa mère.

« J'avais pensé y aller ce matin, pourquoi ? » questionna Harry en commençant de manger son petit-déjeuner.

« Oh, pour rien, c'était pour savoir si je devais te laver quelques vêtements. » déclara Lily Potter.

« Ne t'inquiète pas, je vais le faire. » affirma Harry d'un ton posé.

« Je peux le faire, ça ne me dérange absolument pas. » certifia Lily.

« Dans ce cas… » répondit Harry en souriant légèrement.

Harry était fin prêt, il était 10h30 et il s'apprêtait à y aller quand sa mère entra dans la pièce précipitamment et le serra dans ses bras en lui souhaitant bonne chance, Harry lui fit un sourire rassurant et prit de la poudre de cheminette vers le bureau de Dumbledore. Il arriva dans une pièce circulaire ou des portraits, certainement des anciens directeurs, étaient accrochés. Il s'avança dans la pièce et observa le bureau placé en plein milieu de la pièce où un vieil homme aux longs cheveux blanc et la longue barbe blanche, travaillait. Il leva la tête et en apercevant l'homme, se leva et alla lui serrer la main. Harry essaya d'afficher un sourire aimable avant de parler :

« Bonjour, je viens pour le poste de Défense Contre les Forces du Mal, je m'appelle Harry Potter. »

« Je m'en doutais… » répondit Dumbledore d'un air énigmatique.

Harry se demanda s'il se doutait qu'il venait pour le poste ou qu'il s'appelait Harry Potter, une question à laquelle il n'aura jamais de réponse.

« Je vous en pris asseyez-vous » repris Dumbledore d'un ton froid.

« Oui…Ecoutez, je ne vais pas faire comme si je ne suis pas au courant de la querelle qui s'est passée avec mes parents, j'espère seulement que vous ne me jugez pas car cette affaire et entre mes parents et vous. Elle ne me concerne aucunement. » déclara Harry sans autre forme de cérémonie.

« Très bien… dans ce cas pourrions-nous parler un peu moins de cette affaire et parler de votre cas, je veux dire de vos compétences, n'est-ce pas ? » demanda Dumbledore.

« Comme vous voudrez, j'ai fait mes études à Dumstrang et je suis diplômé pour être auror, cependant ce n'est pas un métier qui me convient et je me suis dit que je serais plus efficace ici, j'espère seulement que ça suffira pour le devenir, je n'ai pas vraiment d'expérience dans ce domaine » dit Harry sur le ton de la confidence.

« Cela suffirait largement pour être professeur de cette matière, seulement j'espère que vous avez un peu d'expérience dans votre qualification, les choses sont mieux racontées quand elles sont expérimentées. » soutint Dumbledore.

« J'ai fais quelques petits stages en tant qu'auror donc je connais le métier » affirma Harry.

« Dans ce cas je ne vois pas ce qui m'empêcherais de vous embauché, mais je ne vous cache pas que les candidats sont rares de nos jours. »confia Dumbledore sans perdre pour autant son masque de froideur qu'il avait eut depuis le début de l'entrevue.

« Je vous enverrais une lettre vous indiquant tout ce dont vous aurez besoin, mais n'hésitez pas à me contacter si nécessaire. » reprit Dumbledore.

« Je n'hésiterais pas » certifia Harry en hochant la tête vigoureusement.

Il se leva et serra une nouvelle fois la main de Dumbledore et repartit par la cheminée. Dumbledore resta silencieux pendant quelques minutes après son départ fixant toujours la cheminée par laquelle Harry, le deuxième enfant de la prophétie, était partit.

Harry atterrit une nouvelle fois dans sa chambre, il soupira longuement comme pour enlever le stress qui l'avait saisi quand il était arrivé dans le bureau du vieux directeur de Poudlard. Il avait bien senti que Dumbledore n'avait pas la moindre confiance en lui, il le savait très méfiant de nature, cette fois-ci ne fit pas l'exception. Harry fut étonné de la rapidité que l'entrevue avait duré, seulement un quart d'heure et il était déjà embauché. Il avait cru qu'il aurait dû énormément argumenter mais ce n'avait pas été le cas. Il haussa les épaules et alla informer sa mère de sa réussite.

« C'est merveilleux mon chéri ! Tu viendras souvent nous voir, tu dois avoir des week-ends de libre des fois non ? » demanda sa mère après qu'il lui ait informé.

« Oui, je pense. » affirma Harry.

« Ah ! Au fait j'ai invité Sirius et Remus à venir manger ce soir ils sont énormément pressés de te voir. » l'informa-t-elle.

« Très bien moi aussi j'ai très envie de les voir… »

Harry après avoir dit à sa mère qu'il voulait se promener un peu, sortit du manoir et sans attendre plus, transplana au domaine de Voldemort. Cette fois il atterrit dans la grande bibliothèque du domaine du Seigneur des Ténèbres, où quelques mangemorts étaient en train soit d'étudier, soit de se divertir après l'autorisation du Lord, ou soit de chercher un indice pour une mission que le Lord leur aurait confié. Si Harry était là, c'était que Voldemort devait y être aussi, il traversa les grands rayons remplis de livres en tout genre, elle était encore plus grande que celle de Dumstrang. Voldemort devait être dans une salle du fond, à l'abri des regards de tous. Harry s'avança et toqua sur la lourde porte. Voldemort cria d'entrer de sa voix glaciale. Harry ouvrit donc la porte et se glissa à l'intérieur où quelques fauteuils avaient étés installés dans un coin de la pièce, le Seigneur y était assis. Harry s'avança et attendit que le Lord daigne enfin levait les yeux sur lui pour pouvoir lui parler.

« Je viens vous donner des nouvelles. » dit Harry d'une voix respectueuse, mais lui ne s'inclinait pas comme la plupart des mangemorts.

« Je t'écoute. » murmura Voldemort.

« J'ai été embauché par Dumbledore pour être professeur de Défense Contre les Forces du Mal, je voulais juste vous prévenir… »

« Tu as bien fais, je veux tout savoir, même les choses les plus insignifiantes. » exigea Voldemort.

« Je vous dirais tout. » promis Harry puis n'ayant rien à ajouter, repartit de là où il était venu.

Le soir-même, Harry alla ouvrir la porte après que la sonnerie ait retentit. Derrière elle se trouvait Sirius et Remus qui lui sautèrent dessus en brandissant une bouteille de champagne.

« Je me suis dit qu'on fêterait le retour de mon filleul. » Déclara Sirius en l'enlaçant dans ses bras.

« Alors Harry, heureux d'être de retour ? » demanda Lupin en le prenant à son tour dans ses bras.

« Tu n'as pas idée. » répondit Harry d'une voix chaleureuse en souriant de toutes ses dents. « Allez, entrez » poursuivit-t-il en les laissant passer.

Harry était réellement heureux de revoir ceux qu'il considérait comme ses oncles. Il appela ses parents du bas de l'escalier et attendit qu'ils descendent pour enfin prendre un apéritif. Sirius et Remus lui posèrent des questions tous plus invraisemblable les unes que les autres du genre : « Est-ce que les Russes font l'amour la nuit ou le jour ? » et où Harry répondait : « Un peu des deux »…Le dîner se passa bien entre les rigolades, les moqueries, et les sujets anodins. Ils étaient partit tard ce soir là, c'est à dire à 3 h00 du matin. Harry avait tout oublier, la mission de Voldemort, les mensonges qu'il avait dit à ses parents et même la prophétie, tout ce qu'il savait c'est qu'il avait passer une très bonnes soirées en compagnies des ex-maraudeur…

Les semaines étaient de plus en plus longues et Harry recommençait à sortir le soir dans les discothèque sorcière de Londres comme il le faisait quand il rentrait pendant les vacances d'été à ses 16 ans. Il sortait dans les plus bas quartiers de Londres, les plus malfamés, les bas-fond. Souvent quand il ne ramenait pas une fille c'était pour tabasser un gars qui l'aurait plus ou moins déranger. Harry n'aimait pas chercher la bagarre mais il aimait torturer, pour lui c'était très jouissif. Cette nuit là, il avait ramené une fille chez lui. De taille moyenne, elle était brune aux yeux bruns. Une bouche pulpeuse et un nez retroussé. Elle était mignonne dans son genre, mais c'était son corps qui l'embellissait le plus. Une taille fine et des os très fins. Une poitrine avantageuse et un derrière bombé comme il les aimé. Il l'a tenait par la taille quand il entra chez lui ce soir-là. Il était content qu'il soit si tard pour ne pas croiser ses parents, bien que ce soit un grand manoir il lui était déjà arrivé de les croisés dans les bras d'une de ses conquêtes, c'était un moment plutôt gênant, sa mère était plutôt du principe qu'il fallait aimer la femme pour lui faire l'amour et quand elle s'apercevait qu'Harry en ramené une nouvelle chaque soir, elle avait du mal à accepter. Harry emmena Prudence dans sa chambre faisant le moins de bruit possible. Quand il ouvrit la porte il s'empressa d'insonoriser la pièce. Quand sa conquête dont il ignorait l'âge ferma la porte, il l'a prit fermement par la taille et l'embrassa contre le mur. Il l'embrassait sauvagement et brutalement ce qui ne sembla pas déplaire à la jeune fille qui répondait ardemment à son baiser. Quand leurs langues se séparèrent et quand leurs bouches s'éloignèrent, la jeune fille entreprit de déboutonner la chemise de son bel étalon. Quand elle découvrit le tatouage sur son avant-bras elle fronça des sourcils puis leva les yeux vers lui.

« Tu es un mangemort ? » demanda-t-elle étonnée.

Pour répondre Harry lui enleva son débardeur noir par la tête et lui suça le cou très doucement et sensuellement. Elle gémit sous ses baisers et continua ce qu'elle avait commencer. Elle déboutonna le jean noir qu'Harry portait et le fit glisser. Il était à présent en boxer noir. Il dégrafa brutalement son soutien à gorge et suçota ses tétons avec désir. Il déchira sa jupe blanche révélant son string rouge du même ensemble que le soutien à gorge. Il enleva délicatement son string après avoir enlever son boxer, puis prenant conscience qu'elle avait déjà mouillé, pénétra en elle lui arrachant un gémissement de plaisir. Ses mouvements se faisaient lents mais brutaux. Le plaisir était intense pour les deux. La fille semblait se retenir beaucoup pour ne pas hurler. Elle gémissait déjà fort mais semblait se contenir, elle s'agrippa au cou d'Harry avec une telle force qu'il étouffa presque. La sueur ruisselait sur leurs peaux brûlantes. Ils avaient extrêmement chaud.

« Emmène-moi près de la fenêtre » glissa la jeune fille qui haletait, près de son oreille.

Il obéit et la porta jusqu'au rebord de la fenêtre grande ouverte. Un vent doux vint les rafraîchir agréablement. Elle cria encore plus fort quittant le peu de pudeur qui lui restait. La sensation de la peau d'Harry sur la sienne lui faisait un effet incroyable, qu'elle n'avait jamais connue. Harry gémissait d'une voix silencieuse et rauque. Presque comme un murmure. Il était de plus en plus brutal ce qui l'amenait de plus en plus vers la jouissance. Elle était au bord de l'extase quand un dernier coup de rein vint la faire rugir du plus fort qu'elle le put, elle cria son nom une dernière fois alors que la semence d'Harry se versait en elle. Il restèrent ainsi dans cette position pendant un petit moment pour reprendre leurs souffles. Puis Harry pris la main de Prudence et l'amena jusqu'au lit où il s'effondra tout de suite dans les bras de Morphée…

Le lendemain, quand Harry se réveilla, la fille n'était plus là et Harry en fut ravi. Il n'aimait pas devoir inventer une excuse quelconque pour qu'une fille s'en aille. Il descendit dans la cuisine où son père buvait son café, Harry fronça des sourcils, c'était une des rares fois où il était là, le plus souvent il était au travail à cette heure là.

« On est dimanche » dit James comme pour répondre à sa question.

Harry sourit, rigolant de son ignorance des jours qui passent. Il s'assit près de son père et fit apparaître quelques toasts et un bol de lait.

« Alors tu pars chez ce vieux fou, demain ? » demanda son père, c'était plus une affirmation qu'une question.

« Papa, écoute, j'en ai rien à faire de ce salop de Dumbledore, je sais ce qu'il a fait et je ne l'oublierais jamais ! Ce n'est pas parce que je vais travailler chez lui que je vais forcément adhérer à ses idées ! » dit Harry clairement.

« Je n'ai jamais dit ça. » répondit James d'une voix rauque.

« Tu ne l'as pas dit mais j'ai l'impression que tu le penses très fort. » avoua Harry en regardant son père droit dans les yeux.

« Ce n'est pas vrai Harry et tu le sais très bien, tu es mon fils et je sais très bien que tu ne te feras pas mener par qui que ce soit, tu es un Potter … Mais savoir que tu seras aux côtés de ce sénile répugnant, même si je sais que tu ne l'apprécies pas, désolé mais j'ai du mal à l'accepter. »

Sur ce, James se leva et après une petite claque sur l'épaule de son fils, monta au premier étage rejoindre sa femme. Harry resta à sa place et ne bougea pas. Il se sentait comme sale, c'était une sensation qui est difficile à expliquer, il se sentait comme un traître, une honte de sa famille. Et tous ça pour devenir le nouveau seigneur des ténèbres…Il se sentait ridicule mais son ambition était plus forte que sa culpabilité et il fronça des sourcils en repoussant bien loin cette idée.

Il remonta dans sa chambre, il avait entendu sa chouette qui l'appelé d'en haut, ça devait être secret sinon elle serait venue lui apporter la lettre dans la cuisine. Il se précipita de monter les marches quatre à quatre et empoigna la lettre fermement sans regard pour sa chouette qui lui lançait un regard outré. Harry haussa un sourcil, c'était une lettre de Voldemort en personne ! C'était pour l'informer qu'il fallait qu'il prononce le sort qu'il lui avait écrit pour que son tatouage disparaisse et qu'il ne soit ainsi pas démasqué une fois à Poudlard. Il précisa tout de même que ce n'était pas parce que le tatouage était non-apparent qu'il n'était pas là. Harry s'empressa de le faire disparaître et vit avec plaisir son bras nu. Il soupira bruyamment et prépara sa valise pour le lendemain qu'il appréhendait. Il pensa avec regret qu'il n'aurait plus ses nuits de détente qu'il s'était offerte ici, que ce soit les bagarres comme les filles. Il ne put empêcher une petite voix dans son esprit de lui susurrer qu'il trouverait peut-être une belle étudiante à son goût. Harry sourit intérieurement, d'un sourire machiavélique.

Le moment de se lever se présenta enfin, la noirceur de la nuit était toujours au-dessus de l'immense manoir où un vent doux sifflait entre les arbres. Il était 8h00 et Harry prenait actuellement sa douche. L'eau brûlante de la douche coulait sur son corps musclé dû aux nombreux entraînement de Quidditch. Il restait durant des minutes ainsi, à sentir la pression de l'eau sur sa peau. Ses cheveux mouillés étaient incroyablement lisses et quelques mèches étaient plaquées sur son front lisse. Il se décida à sortir enfin et s'habilla en vitesse d'habits moldus pour ne pas être remarqué quand il serait à la gare. Il était habillé d'une chemise noire déboutonnée vers le haut laissant voir son torse imberbe, et d'un jean droit noir. Il était classe. Ses yeux verts émeraude et ses dents incroyablement blanches le rendait irrésistible. Il se parfuma d'un parfum d'homme viril. Harry était fier de son apparence et se permit un petit sourire. Avec son physique c'était impossible que personne ne se retourne sur son passage. Il descendit à la cuisine et après avoir mangé quelques toasts il se fit un sandwich pour ce midi et un mot d'au revoir à ses parents. Il n'y avait maintenant plus que deux heures avant que le train ne parte pour Poudlard, et Harry voulait arriver par les façons moldus à la gare, pour une raison qu'il ignorait totalement, il aurait pût transplaner sur le quai 9 ¾ mais il voulait certainement revoir la ville au petit matin car il la reverrait après quelques semaines de travail. Il prit donc le bus rouge traditionnel de Londres et monta au deuxième étage au fond du bus. Prendre ce bus lui rappelait plein de souvenirs de son enfance quand il prenait ce bus pour pouvoir accéder au centre ville sans que ses parents ne sachent. Il se rappela d'une fois où il avait seulement 10 ans quand il avait utilisé ses pouvoirs sans le faire exprès pour voler une chose dont il avait très envie dans un magasin, elle s'était retrouvée dans sa poche et Harry n'avait cessé depuis ce jour de prendre par la magie tout ce qu'il voulait sans payer à travers la vitrine. Il racontait à ses parents que c'était ses amis qui lui avaient donnés. Ses amis… Des moldus, ses meilleures amis, il les aimait beaucoup, mais depuis qu'il avait dû partir à Durmstrang et il ne leur avait plus jamais parlé. Harry se rappelait de son ignorance, son innocence face au monde, il se rappelait de ce petit garçon qui était un garçon adorable qui autrefois était lui. Heureusement qu'Harry avait prévu de partir tôt car en ce jour de rentrée, il y avait beaucoup de monde sur les routes ce qui créer des bouchons où klaxons et insultes étaient au rendez-vous, ceci fit rappeler à Harry un autre plus vieux souvenir du commencement de l'apparition de ses pouvoirs. Il était dans la voiture de sa mère et un énorme bouchon s'était formé tandis qu'il pleuvait à cause de la chaleur, il venait d'avoir un an et il était pressé de rentrer à la maison pour voir son père, quand, tellement il avait l'envie d'être à la maison qu'il transplana dans le bureau de son père qui était en grande réunion avec beaucoup d'aurors. Ils furent tous surpris de le trouver là et James était plus fier que jamais que son fils avait réussi à transplaner à cet age là. Harry s'aperçut enfin qu'ils étaient devant la gare, il descendit les escalier à une vitesse grand V avant que les portes ne se referment et que le bus roule. Il entra dans la gare nommée King's Cross et chercha la voie 9 ¾ des yeux mais un chose lui sembla bizarre, il y avait une voie 9 et une voie 10 mais pas de voie 9 ¾ , il s'approcha du mur et avança sa main vers celui-ci, elle ne le toucha jamais. Harry avait donc compris, il fit attention qu'aucun moldus n'était dans les parages et traversa le mur. Il atterrit en face du train à vapeur rouge où un écriteau indiquait : « Poudlard Express ». Des élèves allaient dans tout les sens serrant leurs parents pour leur dirent au revoir. Il était 10h30 et tout le monde s'empressait dans le train sûrement pour trouver un compartiment. Harry décida de monter pour chercher le compartiment réservé aux professeurs. Comme il ne savait pas où il se trouvait il décida de le demander au premier élève qu'il verrait. Une porte de compartiment s'ouvrit et une fille aux cheveux auburn en sortit, elle avait des yeux couleur ambre en amande et une bouche pleine et pulpeuse d'un rouge très foncé, sa peau était blanche comme seule une rousse pouvait l'avoir. Elle avait une poitrine ronde, des fesses avantageuses et une taille très fine. Harry était carrément éblouie par sa beauté mais il n'en laissa rien paraître, il l'avait reluquer très rapidement ne lui laissant pas le temps de s'en rendre compte. Elle allait passer à côté de lui car apparemment elle ne l'avait pas remarquer, quand Harry la reteint par le bras.

« Excusez-moi, vous sauriez où se trouve le compartiment des professeur ? »demanda Harry poliment alors que la jeune fille semblait en manque de souffle.

« Heu…oui, je…enfin… je crois qu'il est, heu au devant à côté du heu, conducteur…mais j'en suis pas sûre. » bégaya-t-elle en le fixant d'un air troublé.

« Merci, Miss ? » demanda Harry profitant du trouble qu'il provoquait chez la jeune fille.

« Weasley, Ginny Weasley. » répondit-elle en souriant chaleureusement perdant sa timidité.

« Alors je vous reverrais sans doute au repas. » dit Harry d'une voix suave.

« Oui, c'est ça, au revoir professeur. »répondit-elle en partant vers la sortie du train.

Harry était heureux de cette découverte, cette fille était tout simplement délicieuse, il espérait qu'il y en aurait d'autres comme elle. Il se dirigea vers l'endroit qu'elle lui avait indiqué et toqua fermement à la porte puis entra sans attendre la réponse. Il n'y avait que très peu de professeur dans ce grand compartiment, Harry conclut qu'ils devaient être déjà tous à Poudlard en train de préparer. Il y avait deux personnes, un homme aux cheveux noirs et extrêmement gras, Harry réprima une grimace de dégoût quand il lui serra la main et une femme aux cheveux gris et aux yeux acier, elle disait s'appelait Madame Bibine. L'homme aux cheveux gras se présenta comme étant Mr Severus Rogue, un nom qui était étrangement familier à Harry. Mais quand Harry se présenta, il grogna et s'assit sur la banquette du compartiment. Harry eut soudain un éclair, Rogue lui était familier car il avait entendu ce nom à deux endroits. Son père lui en avait parler comme étant son ennemi juré pendant sa période au collège et Harry aurait juré avoir entendu parlé de lui dans le domaine de Voldemort. Harry fit preuve d'une hypocrisie sans égal envers lui. Madame Bibine lui raconta qu'elle était professeur de Quidditch auprès des premières années et s'occupait des match de Quidditch qui se disputait entre les différentes maisons.

Le train était en route depuis déjà deux heures et Harry regardait inlassablement par la fenêtre qui donnait sur le paysage campagnard.

« Si vous vous ennuyez vous avez qu'a faire des rondes dans les couloirs. » dit Rogue d'une voix lente et rauque.

« Il n'y a pas de préfets qui sont chargés de le faire ? » demanda Harry avec dédain, offusqué d'être pris pour un idiot de service.

« Ils le sont mais croyez moi, ils sont certainement en train de parler de tout ce qu'ils ont fait pendant leurs vacances et ils n'ont certainement pas la tête à ça. » répondit Rogue.

Harry se leva donc, ne voulant pas se mettre mal avec ses collègues dès le premier jour. Il devait être bien avec tout le monde s'il voulait réussir sa mission. Il sortit sans un bruit du compartiment avant de pousser un soupir. Il se balada dans le couloir que donnait le gigantesque train qui réunissait plus de 1500 élèves. Il regardait par les vitres des portes si tout se passait bien, il marchait tranquillement oubliant de temps à autre pourquoi il était là. Il voyait de nombreux groupes bien soudé, comme il en faisait parti dans son école. Tous des mangemorts maintenant. Tout d'abord il y avait son meilleur ami, qui l'est toujours d'ailleurs, lui seul connaissait son ambition, c'était un grand blond, aux yeux couleur acier et un air sarcastique permanent, il n'y a que Draco Malefoy pour répondre à cette description. Et il y avait aussi une fille avec laquelle il s'entendait très bien, une fille d'une grande beauté glaciale mais que, malheureusement beaucoup d'hommes avaient pu goûter, elle avait des cheveux noirs comme l'ébène et des yeux noirs tout aussi foncé, ils étaient en amande. Et une peau blanche pour cause de n'avoir jamais vu le soleil, c'était Pansy Parkinson. Zabini Blaise, un garçon sans pitié et rusé jusqu'au bout des ongles, il était brun et des yeux noirs, il avait une grande cicatrice sur la mâchoire qui le rendait moins séduisant qu'il aurait pu l'être. Harry n'avait pas vu Pansy et Blaise depuis l'an dernier, Voldemort leur donnait tellement de travail qu'ils ne pouvaient plus beaucoup se voir. Soudain le regard de Harry se figea, il était devant le compartiment de la fille avec qui il avait parlé tout à l'heure. Elle riait avec ses amies tellement qu'elle en avait les larmes aux yeux. Depuis tout à l'heure il avait regardé toutes les filles qu'il avait pu voir, mais aucune n'égaler la beauté de cette jeune fille. Harry savait qu'en raison de son poste de professeur, il n'avait pas à regarder ainsi une fille qui serait bientôt son élève, mais la conscience d'Harry était bien loin déjà et cette fille était bien trop belle pour la laisser passer. Il continua sa route vers le fond du train pour surveiller les élèves perturbateurs qu'il avait entendu crier. C'était le dernier compartiment et Harry sans attendre ouvrit la porte à la volée. Il y avait apparemment deux jeunes de 17 ans qui se lancaient des sorts pour se convaincre de qui était le meilleur. Harry s'empressa de les désarmer tout les deux à une vitesse incroyable que seul lui pouvait maîtriser, si bien qu'en deux secondes les deux élèves se retrouvèrent à terre, leurs baguettes dans la main d'Harry et tous les autres élèves la tête tournés vers lui. Il y avait quelques filles qui semblaient bouche bée devant Harry et le regardaient de façon envieuse.

« Je pourrais savoir ce qu'il se passe ici ? » demanda Harry avec une colère non dissimulée, sa voix était forte et extrêmement glaciale.

« Ri…rien, ils s'entraînaient juste pour quelques sorts…c'est…c'est tout… »dit une fille aux cheveux châtains et apparemment apeurée.

« Bien-sûr, c'est tellement plaisant de se battre, n'est-ce pas ? » demanda Harry sarcastique.

« Nous recommencerons plus, on vous le promet. » dit un des garçons qui se battait, courageusement.

Harry pu voir d'après son insigne qu'il était de Gryffondor, la maison de ses parents. L'autre était de Serpentard, d'ailleurs il le regardait d'un air de défi.

« Très bien, dans ce cas retournez tous dans vos compartiments respectifs. » dit Harry d'une voix rauque alors qu'une fille semblait lui faire de l'œil.

« On peux récupérer nos baguettes ? » demanda le serpentard d'une voix traînante.

« Je crois que je vais les garder quelques temps, je vous les rendrais demain, dès que je vous verrez, ça vous apprendra à vous battre avant même d'avoir commencé l'année ! » s'exclama le nouveaux professeur de Défense Contre les Forces du Mal.

Harry était maintenant à la table des professeurs, qui était face à quatre longue table qui accueillait les élèves. Il était entouré de professeurs plus différents les uns que les autres, Dumbledore se trouvait au milieu et était vêtu d'une longue robe bleutée, qui s'assemblait bien avec sa barbe argentée. Harry avait emprunté une diligence tirée par des sombrals pour venir devant le château de Poudlard qui était bien plus impressionnant que toutes les tours qu'offrait Durmstrang. En effet Durmstrang était constitué de dix grandes tours en verres séparées par quelques mètres. On y voyait les élèves passaient avec leurs sac remplis sur le dos et leur allure frigorifiée. Harry regardait la grande salle se remplir peu à peu et admirait les élèves aux visage rieurs qui contrastait tellement avec ceux sarcastique et prétentieux des Durmstrang. Une femme assise à côté de lui avait un chignon serré, des lèvres pincées et quelques petites rides autour des yeux, elle avait de grandes mains accompagnées de grands ongles, vêtue de son chapeau pointu, elle ressemblait étrangement aux sorcières dans les contes moldus. Harry soupçonna qu'elle s'appelait Mme McGonagall, sa mère lui en avait déjà parlé comme étant sa prof préférée. Elle était elle-même assise à côté du grand directeur de Poudlard que tant de monde respectait. Ce n'était pourtant pas le cas d'Harry…De son autre côté se tenait une femme à l'allure énigmatique et qui portait de grosses lunettes, sur le nez lui faisait d'énorme yeux rond comme des patates, ses lunettes faisaient loupes. Il y avait aussi un minuscule professeur qu'il avait déjà vu dans le quartier des aurores pour une affaire étranges qu'il avait dû résoudre avec son père, il s'appelait, si sa mémoire ne le trompait pas, le professeur Flitwick. Il y avait de l'autre côté de Dumbledore, Rogue et Bibine et bien d'autres encore mais leurs noms étaient inconnus à Harry. La grande salle était maintenant remplie, et quelques élèves était rentrés en compagnie de Mme McGonagall qui était partie quelques instants plus tôt. Ils avaient l'allure timide, c'était sûrement les premiers années. Ils se rangèrent en une ranger parfaite devant la table des professeur où un petit tabouret était installé où, un chapeau rapiécé y trônait. Harry fronça des sourcils il ne comprenait pas ce qu'un vieux chapeau ridicule venait faire là. C'est alors qu'une fente s'ouvrit et qu'un son strident en sortit :

(Nda : chanson prise du 1er tome, j'ai la flemme d'en inventer une !)

Je n'suis pas d'une beauté suprême

Mais faut pas s'fier à ce qu'on voit

Je veux bien me manger moi-même

Si vous trouvez plus malin qu' moi.

Les hauts-d'forme, les chapeaux splendides

Font pâl'figure auprès de moi

Car à Poudlard, quand je décide,

Chacun se soumet à mon choix.

Rien ne m'échapp' rien ne m'arrête

Le choixpeau a toujours raison

Mettez-moi donc sur votre tête

Pour connaître votre maison.

Si vous allez à Gryffondor

Vous rejoindrez les courageux,

Les plus hardis et les plus forts

Sont rassemblés en ce haut lieu.

Si à Poufsouffle vous allez,

Comme eux vous s'rez juste et loyal

Ceux de Poufsouffle aiment travailler

Et leur patience et proverbiale.

Si vous êtes sage et réfléchi

Serdaigle vous accueillera peut-être

Là-bas ce sont des érudits

Qui ont envie de tout connaître.

Vous finirez à Serpentard

Si vous êtes plutôt malin,

Car ceux-là sont de vrais roublards

Qui parviennent toujours à leurs fins.

Sur ta tête pose-moi un instant

Et n'aie pas peur, reste serein

Tu seras en de bonnes mains

Car je suis un chapeau pensant !

Puis les élèves furent appelés tour à tour et répartit dans chacune des quatre maisons, Harry avait été étonnés de savoir qu'on répartissait les élèves par un chapeau… Puis quand le dernier nom fut prononcé et la dernière maison, à savoir Serpentard, criée, Dumbledore demanda le silence et se leva devant plus de milles élèves.

« Chers élèves, je sais que vous n'avez qu'une hâte, c'est de manger le délicieux repas qui vous a été préparé mais je vais vous demander d'attendre quelques secondes le temps de vous présenter votre nouveau professeur de Défense Contre les Forces du Mal. Le professeur Harry Potter !

ENXXENXXENXXENXXENXXENXXENXXENXXENXXENXXENXXENXXENXXEN

Voili voulou j'espère que ça vous a plu, et SVP, Reviewez-moi !

Dites le moi si il y a quelques chose qui vous a choqué ou déplu, ça m'intéresse !

Je sais que j'ai fais quelques fautes et veuillez m'en excuser mais je n'ai pas eus le temps de les corriger…

Les prochains chapitres seront plus intéressant, ne vous inquiétez pas !

Celui-là devait tout décrire et présenter tout les personnages donc je comprends que ça a été barbant à la fin, dites-moi ce que vous en pensez !

Je mettrais peut-être un certain temps avant de poster l'autre chapitre car pendant la semaine avec les cours je suis vraiment fatiguée et j'ai beaucoup de choses à faire!

Etincelle Nocturne (ou E.N.)