Bonjour tout le monde ! Bon alors, désolée d'avoir mis autant de temps à poster ce chapitre, mais il faut dire que vous n'avez pas été très encourageants ... :'( Merci en tout cas à mes quelques reviewers :D, j'espère que ce chapitre vous plaira autant que le précédent !

The Diary - le Journal

- Alors ?

- Tout est prêt, Seigneur.

- Bien ... Très bien. Est-ce qu'il l'a prise ?

- Oui, Seigneur.

- Enfin ... Ma vengeance ... Cette fois, je dois réussir. Merci Lucius, tu peux t'en aller.

- Bien, Maître.


- Savez-vous ce que c'est, professeur ?

- Je crois bien avoir une idée, Severus, en effet.

- Qu'allez-vous en faire ?

- Eh bien ... je vais la garder, ça sera du plus bel effet sur mon bureau.


Le samedi matin, AJ et Draco dormirent peu. Ce n'étaient pas de grands adeptes de la grasse matinée. Au contraire, les deux Serpentards adoraient arpenter les grands couloirs vides et silencieux pendant ces quelques instants qui, comme l'avenir, appartiennent à ceux qui se lèvent tôt.

Ce jour-là cependant, ils s'aperçurent avec joie qu'ils étaient absolument les seuls à avoir résisté à l'appel tentateur de leurs matelas en ce premier matin du premier week-end de l'année. Et comme les professeurs n'assistaient que rarement aux petits-déjeuners dans la Grande Salle, l'endroit était absolument vide. En revanche, les plats d'or regorgeaient de petits pains, de croissants encore chauds, de miel, ...

- Attends voir ... murmura Draco, en traversant la Salle.

AJ, étonnée, le regarda étudier chaque table attentivement, puis le vit tourner la tête vers celle des professeurs. Ses yeux gris étincelèrent malicieusement, et le blond fit le tour de la table pour s'asseoir, carrément, sur le siège de Dumbledore.

- Hum ... pas mal, apprécia-t-il en souriant.

AJ rit légèrement, mais son sourire s'accrut franchement quand Draco, voulant la rejoindre, tenta de se lever, et découvrit que ses jambes restaient collées au fauteuil.

- Qu'est-ce que ... fit-il, soudain un peu pâle.

- À mon avis, répondit AJ en s'avançant vers lui, c'est exactement destiné aux jeunes présomptueux dans ton genre, Drake.

- Très drôle ... Aide-moi plutôt, espèce de cruchonne, au lieu de dire n'importe quoi.

- Attends, laisse-moi voir ça idiot.

- Dépêche-toi vieille greluche.

- Hum ... rien de grave, sombre crétin, ce n'est qu'un simple sort de Glue Perpétuelle.

- Quoi ??!

- Et le pire c'est qu'il me croit. Liberate !

Instantanément, Draco retrouva toute sa mobilité, et en profita pour se jeter rapidement hors du siège enchanté.

- Ouf ... Merci AJ.

- Je t'en prie mon petit Schtroumf.

- Petit quoi ?

-Oh, rien, c'est juste de la culture Moldue. Tu peux pas comprendre.

Le Serpent se jeta à la gorge de son amie, mais la brune fut la plus rapide, et parvint à se glisser hors d'atteinte avant l'impact.

- Je vais t'étrangler ! hurla Draco en la poursuivant.

- Aaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaah !!!!

- Mr. Malfoy, Miss Potter, qu'est-ce que c'est que ce vacarme ? intervint le professeur Dumbledore, venu de nulle part.

- Excusez-nous, professeur, répondit AJ en rougissant férocement. Nous ne savions pas ...

- C'est bon, l'arrêta le directeur avec un sourire. Mr. Malfoy ?

- Oui, professeur ?

- Si vous tenez vraiment à étrangler Miss Potter ici présente, je vous conseille d'aller dans le parc. Le spectacle risquerait ici de choquer certains de nos jeunes élèves.

- Bien, professeur, je suivrai vos conseils. Tu viens, AJ ?

- Au secours ... fit la jeune victime avant de s'enfuir en courant.

Une fois arrivés dans le parc cependant, les envies meurtrières des deux jeunes s'effacèrent. Le soleil, levé depuis peu, baignait toute l'étendue verdoyante de la pelouse d'une douce lumière dorée. Draco prit AJ par la main et, tranquillement, ils se promenèrent. L'avantage de ce genre de ballades à Poudlard, c'est que le parc est assez grand pour que même après six ans passés à l'école, on puisse toujours y trouver quelque chose de nouveau. Ne serait-ce qu'en longeant la lisière de la Forêt.

Draco et AJ, après avoir largement dépassé le terrain de Quidditch, décidèrent finalement de se poser sur l'herbe.

- C'est mignon comme coin, ici, remarqua AJ. C'est dommage qu'on n'y vienne pas plus souvent.

Disant cela, elle arracha quelques brins d'herbes, les posa sur la paume de sa main et, par un murmure, les changea en minuscules serpents. Cette métamorphose était une de ses spécialités. Les petits reptiles, tout étonnés d'exister soudain, jugèrent préférables de rester dans cet étrange nid rose où ils avaient vu le jour.

- Ils sont pas mals, apprécia Draco. Tu t'améliores encore, AJ.

- Merci, répondit la jeune fille. À ton tour.

Draco s'éxécuta, mais au lieu de brins d'herbe il attrapa un cheveu tombé sur la robe d'AJ, qui devint lui aussi un serpent, long et noir cependant.

- Montre-le moi, demanda AJ.

Il lui tendit le reptile et elle l'observa attentivement.

- C'est bien ce que je pensais, fit-elle après son examen. Il te ressemble, regarde, il a les même yeux que toi. Un peu plus et il avait les cheveux blonds.

- Pfff ... soupira Draco, atterré.

Laissant le serpent de côté, il s'affala sur le sol. AJ, elle, prit sa baguette et s'amusa à en faire sortir des volutes de fumée verte. Peu à peu, celles-ci se tortillèrent et dessinèrent finalement un visage, puis un serpent, avant de s'évanouir. La Serpentarde laissa son regard rêveur parcourir la pelouse. Soudain, elle fronça les sourcils.

- Qu'est-ce qu'il y a ? demanda Draco qui l'observait.

- Il y a ça ... répondit AJ en montrant du doigt un point sur l'horizon. Ce n'est pas normal.

Ce qu'elle désignait, et vers quoi ils se dirigèrent ensuite, c'était un point à la limite de la Forêt et des montagnes qui entouraient le château, au-dessus duquel s'élevait une fumée noirâtre. Quand ils furent plus près, ils virent qu'une petite grotte était creusée dans la roche et que sur le sol, un feu achevait de se consumer.

- Qu'est-ce que c'est ? demanda AJ, d'une voix légèrement teintée d'inquiétude.

- Comment veux-tu que je le sache ?

- Ce n'est sûrement pas un élève qui a fait ça, tout le monde dort ce matin.

- Justement ...

- Quoi ?

- Celui qui a fait ça a dû se dire que, s'il venait assez tôt, personne ne remarquerait rien.

- Tu crois qu'il faut prévenir quelqu'un ?

Sans répondre, Draco s'approcha du feu et promena sa baguette au-dessus des dernières braises. AJ le regarda faire en silence.

- Alors ? fit-elle quand il se releva.

- Un simple feu de bois, tout ce qu'il y a de plus basique. Qu'est-ce que tu en dis ?

AJ ouvrit la bouche, mais au même moment, une ombre glacée passa, les frôla, et le feu s'éteignit définitivement.

Le passage de l'ombre eut sur eux un effet considérable. Draco se sentit subitement à la fois faible et glacé et, quand il tourna la tête vers AJ, la vit d'une paleur horrifiante.

- AJ ! appela Draco.

La jeune fille ne régit pas pendant quelques instants, puis secoua brusquement la tête, comme pour chasser son soudain engourdissement. Dans ses yeux brillait une lueur apeurée qu'il ne lui avait vue que très rarement.

- Qu'est-ce que c'était que ce truc ? balbutia-t-elle. On aurait dit un Détraqueur.

- Je ne sais pas, moi aussi je me sens bizarre. Mais tu ... je veux dire, ce n'était pas un Détraqueur, tu n'as pas entendu ... tes parents ?

AJ secoua lentement la tête.

- Non, fit-elle, heureusement.

- Tu es affreusement pâle, tu es sûre que ça va ? demanda Draco

- Ne t'inquiète pas, je me sens juste un peu secouée.

Draco et AJ restèrent ensuite un moment sans rien dire. Puis, Draco demanda simplement :

- Snape ?

AJ acquiesça d'un signe de tête, et tous deux s'éloignèrent rapidement de cet étrange endroit pour regagner le château. Une fois arrivés, ils descendirent trouver leur Directeur de Maison dans son bureau. En quelques mots, Draco lui expliqua la situation.

- À la jonction des monts et de la Forêt Interdite ? vérifia Snape.

- C'est ça, confirma AJ.

- Très bien, je vais en parler à Dumbledore. Merci de m'avoir prévenu, je vous tiendrai au courant si nous trouvons quelque chose.

- D'accord.

Les deux jeunes saluèrent leur professeur, et regagnèrent leur chambre.

- À ton avis ? demanda simplement Draco.

- À première vue, j'aurais pensé à un petit curieux qui voulait essayer discrètement de brûler une poupée vaudou à l'effigie de Trelawney.

- Mais l'ombre ...

Journal de Draco Malfoy et AJ Potter :

Draco : il faut absolument que j'en parle à mon père.

AJ : dommage, j'aimais bien l'idée de la poupée vaudou.


Draco et AJ ne reparlèrent presque pas de l'affaire de l'ombre, comme ils l'avaient tacitement dénommée. Seulement, ils rédigèrent ensemble une longue lettre, que le hibou Grand Duc de Draco emporta au Manoir Malfoy. Le reste du week-end, ils entreprirent de diminuer la masse déjà importante de leurs devoirs.

Le lundi matin, à l'heure du courier, le Grand-Duc n'était toujours pas revenu. Ils l'attendirent d'ailleurs toute la semaine, en vain. Entre-temps, rien de plus étrange que d'habitude ne se passa entre les murs de Poudlard. Pendant les cours de Potions, Draco ignorait royalement Granger, la laissant disparaître derrière une montagne de livres et de parchemins sans lui adresser le moindre mot. AJ, quant à elle, passait des heures à se prendre la tête, plutôt ralentie qu'aidée par Ron.

Enfin le vendredi, alors que Draco levait la tête plus par réflexe que par un réel espoir, il distingua dans la masse des hibous les plumes mordorées d'Oemor. Celui-ci se posa dignement près de son maître, tendit une patte et attendit patiemment que l'héritier des Malfoy eut détaché la lettre qui y était attachée. Puis, sa mission remplie, il étendit ses ailes et prit un envol majestueux. C'est tout un art d'être le hibou d'une grande famille.

Vu le caractère hautement personnel du contenu de la lettre, Draco s'empressa dans la ranger dans une de ses poches les plus profondes.

- Tu me la montreras ? demanda AJ, sûre de la réponse.

- Après le déjeuner, dans ta chambre, précisa Draco.

- OK.

Quelques instants plus tard, ils se séparerènt pour se rendre respectivement en Arithmancie pour AJ et en étude des Runes pour Draco. Aucun des deux ne fit néanmoins très attention à ses cours, ce matin-là. Leurs deux esprits étaient unis et convergeaient vers une seule pensée : la réponse de Lucius Malfoy. L'attente qui avait précédé cette réponse ne la rendait que plus excitante ; le père de Draco ne mettait jamais plus de deux jours à leur répondre quand ils l'interrogeaient par hibou, et s'ils avaient attendu près d'une semaine, cela signifiait forcément que la réponse était exceptionnelle.

Une fois les cours achevés, ils se ruèrent dans la Grande Salle, déjeunèrent en quatrième vitesse et filèrent tout aussi rapidement dans la chambre d'AJ. Là, enfin, avec des gestes presque cérémonieux, Draco sortit le parchemin roulé de sa poche, en brisa le seau de cire verte et l'ouvrit. Immédiatement, ses yeux s'élargirent de surprise : c'était l'écriture de sa mère.

"Draco, lut-il

Ton père voulait te répondre plus tôt mais il a été ... retardé. "Ils" (je suppose que tu vois de qui je veux parler) étaient en réunion, à propos de leur dernier projet je pense, quand il y a eu une attaque. Ce n'étaient pas des Aurors, ce n'étaient même pas des Hommes. D'après ce que Lucius m'a décrit, la salle où "ils" étaient s'est retrouvée soudain envahie d'esprits, ou de spectres, je ne sais pas. "Ils" ont essayé de les éliminer, mais les sorts leur passaient au travers. Ou plutôt, ils les absorbaient. Et au bout de quelques instants, les esprits ont ... comment dire ? Ils ont expulsé les sorts qu'ils avaient reçus, "les" frappant tous. Heureusement, aucun Avada Kedavra n'avait été utilisé. Les spectres ont ensuite transplané, "les" laissant tous plus ou moins blessés.

Lucius a réussi à éviter la plupart des sorts. Cependant, nous avons dû veiller sur lui sans relâche jusqu'à hier soir, où il était enfin assez lucide pour m'ordonner de t'écrire.

Il ne sait rien sur ce qu'il vous est arrivé. "Il" ne lui en a pas parlé.

À bientôt, mon fils

Narcissa Black Malfoy."

Draco s'était écroulé par terre depuis longtemps, mais il n'avait pas l'air de s'en être rendu compte. Son père, Lucius Malfoy, attaqué et blessé par de vulgaires esprits ? Il ne pouvait pas y croire, c'était impossible. Pourtant, la lettre de sa mère était là, entre ses mains. Et même si Narcissa n'était jamais affectueuse, du moins lui disait-elle toujours la stricte vérité.

- Drake ? fit doucement AJ.

Il ne répondit pas. Sans se démonter, AJ s'agenouilla près de Draco et prit ses mains dans les siennes.

- Je sais à quoi tu penses ... commença-t-elle.

- Non, tu ne sais rien, répliqua sèchement Draco.

- Je sais que si tu es suffisament énervé pour t'en prendre à moi, c'est que c'est grave.

- ...

- Ne t'en fais pas, Drake. Ton père est un mage puissant, c'est vrai, mais il y a différents types d'esprits. Je ne pense pas que ce soient de simples spectres, ils ne peuvent pas absorber les sorts comme ça. Mais j'ai lu quelque chose à propos des esprits de l'air. Ce sont des créatures très rares, mais qu'on ne peut pas compter puisqu'elles peuvent se dédoubler à l'infini, et qui ont des pouvoirs que même Voldemort leur envie.

- Tu parles comme Granger ... ricana Draco. "J'ai lu quelque chose à propos de la psychose métaphysique des goules de Guadeloupe", imita-t-il d'une voix particulièrement ridicule.

- Ferme-la, Malfoy ! s'écria AJ. J'essaie de t'aider, imbécile.

Draco allait lui renvoyer une réplique acide, mais se contenta de soupirer.

- Je sais ... Je suis désolé AJ, je ne voulais pas m'emporter comme ça contre toi.

- Je m'en remettrai, fit la jeune fille avec un sourire. Je te connais trop bien pour te prendre toujours au sérieux.

Au même moment, la cloche retentit, annonçant le début des cours de l'après-midi.

- Prends tes affaires, dit Draco, on a Potions.

Depuis trois jours, les élèves ne passaient plus un instant dans les cachots, consacrant le maximum de temps à leurs recherches. Du moins, c'étaient ce que faisaient la plupart d'entre eux. Draco, lui, se perfectionnait dans l'élaboration de petits serpents noirs ou verts, essentiellement composés de fumée et d'étincelles.

Malgré les paroles rassurantes d'AJ, il n'avait toujours pas l'esprit tranquille. D'où venaient ces esprits ? Comment avaient-ils pu attaquer tant de puissants mages noirs sans le moindre problème ? Avaient-ils quelque chose à voir avec l'ombre glacée qui avait éteint le feu, en ce dernier samedi matin ? Tout en réfléchissant, Draco sortit la lettre de sa mère, qu'il avait auparavant remise dans sa poche, et alluma une flamme au bout de sa baguette pour détruire ce document compromettant. Ce n'était jamais très sûr de se promener avec des informations sur la dernière réunion de Mangemorts dans sa poche droite.

Avant de brûler le papier, Draco contempla rêveusement la flamme dorée qui jaillissait de sa baguette. Il sourit en pensant à l'allure qu'il devait avoir en cet instant précis : seul, dans le recoin de plus obscur de la Bibliothèque, son visage pâle et ses yeux gris traversés à la fois par l'ombre et la lumière de la flamme. Sombre. Sombre et ténébreux, plus intimidant que jamais ...

- OK, Malfoy, ça suffit maintenant.

Draco, arraché brutalement à ses pensées, sursauta sur sa chaise. Granger, debout devant lui, venait de lâcher une épaisse pile de parchemins sur sa table, interrompant ses mystérieuses rêveries. Il s'empressa d'éteindre la flamme et de fourrer à nouveau la lettre dans sa poche, avant que Granger ne la remarque.

- Au cas où tu n'aurais pas compris, reprit la jeune fille, je ne suis absolument pas plus heureuse que toi de notre groupe. Si j'avais eu le choix, j'aurais fait exactement comme toi, et je n'aurais pas levé le petit doigt pour travailler là-dessus. Mais il est absolument hors de question que j'ai une mauvaise note en Potions à cause de toi. C'est pour ça que je trime depuis le début. Alors maintenant, tu prends ces parchemins, et tu te débrouilles toi-même si tu ne veux pas rater tes examens à la fin de l'année.

Ne t'imagines pas que tu m'impressionnes, Malfoy, poursuivit-elle en voyant que Draco ne répondait rien. Sache que je n'en ai strictement rien à faire de ton nom, de ton sang, de ton fric et de ta Maison. Tu n'es qu'un petit con arroguant, même avec ta belle coiffure et tes grands airs. Et si tu n'as pas encore compris ça, c'est ton problème.

Ayant dit ce qu'elle avait sur le coeur, Granger fit demi-tour et sortit de la salle à grandes enjambées.

Draco en resta bouche bée. Jamais, au grand jamais, personne ne lui avait parlé de la sorte. Jamais n'avait été confronté à une telle colère et une telle haine. Et de la part de Granger, en plus. Le choc fut si puissant que, maté, il se mit docilement au travail et passa le reste du cours à étudier les notes prises par Granger.

Bon voilà j'espère que cette dernière scène vous a plue parce que j'y pensais depuis des semaines !
Mettez-moi des reviews SVP, surtout que le prochain chapitre va être génial et super long !

Réponses aux reviews, en attendant les suivantes :

Vici Black : Evidemment, j'allais pas me casser la tête à trouver une idée aussi ... géniale ! ("par un élégant comme ... moi !" ref ?) si ce n'était pas pour ... ;-) !
Draco n'est pas méchant, non, juste un peu borné. Juste. Un peu. Mais pas beaucoup (heureusement, sinon ça deviendrait lassant !). Bisous

Ti Frodo : merci pour ton idée, mais elle est venue un peu tard pour que j'en prenne compte. Je ne poste jamais sans avoir un chapitre d'avance et je déteste avoir à tout modifier alors ... Merci pr la review, au fait !

Clem : Que des beaux blonds ? Et Hayden,alors !!??? Et puis attends, les Maraudeurs sont tous bruns, faut bien varier les plaisirs !

HB : merci mon BB d'avoir daigné venir me lire (après ke je ne t'en ai supllié que 12 fois !! Exploit total !! :-p) et surtout d'avoir reviewé. Bisous. Chui contente que t'aime Draco comme il est. Moi aussi (non ?? c pas vrai ??)

Elizabeth Turner : Merci, ô toi autre fan d'Orlando Bloom si j'en juge d'après ton pseudo, d'être venue me lire. J'en suis très touchée, et merci ussi de laisser une review. C très sympa, surtout kan c positif (nan, nan El Rio, te sens pas visée !! :-p)