Christmas Eve

Une douce nuit d'hiver où la neige tombait doucement sur les cheveux de la jeune femme qui marchait paisiblement dans la rue déserte. Ses pas dans la neige laissaient des empruntes derrière elle. Les lampadaires éclairaient chacun de ceux-ci qu'elle faisait dans la belle et douce nuit d'hiver. Un flocon vint se déposer sur son visage. Il était d'un froid glacial, mais celui-ci fondit immédiatement au contact de la peau chaude de celle-ci. Plein de pensées se bousculaient dans la tête de celle-ci. Noël arrivait à grand pas, mais la jeune femme détestait cette fête. Elle n'aimait pas cette fête, car la jeune femme haïssait sa famille.

Aucun membre de sa famille ne faisait attention à elle. Peut-être un, mais juste un, son grand frère. Sa mère et son père la détestaient. Elle ignorait pourquoi. La jeune femme s'arrêta, puis elle tourna la tête en direction d'une maison donc laquelle une fenêtre était illuminée. À l'intérieur de celle-ci, une famille dînait autour d'une table. Que cette famille avait l'air heureuse. La jeune femme aurait tant aimer faire partie de cette famille là, mais non elle avait sa famille à elle, même si elle ne l'aimait pas il faillait faire avec.

Elle resta quelques minutes immobiles dans le froid glacial de cette nuit d'hiver à observer la famille par la fenêtre de leur maison. Ensuite, elle reprit sa marche. La neige s'intensifia, les flocons tombaient de plus en plus vite et le vent vint se rajouter à tous ceci. La jeune femme sentait le froid du souffle du vent venir écorcher son visage avec la neige qui venait pincer son visage au passage. Elle continua à marcher dans la même direction qu'elle suivait depuis bientôt deux heures.

Elle aimait aller prendre des marches les soirs d'hiver quand il neigeait. Elle trouvait se paysage si féerique. La neige sur les branches d'arbres, les flocons qui tombent doucement, les lacs et rivières glacés et le souffle du vent qui vient chanter une douce et mélodieuse chanson d'hiver à ses oreilles. Par-dessus tout ces marches hivernales la faisaient sortir de l'enfer qu'était son foyer familial. Elle pouvait échapper aux crises que sa mère lui faisait pour tout et rien et les coups que son père lui donnait pour se défouler. Elle espérait que ses deux parents périssent dans un feu brûler par les flammes ou qu'ils meurent noyés dans l'eau glacée du lac.

Elle les détestait vraiment, car ils ne lui avaient pas montré aucune marque d'affection depuis sa naissance. Un bruit venant de l'autre côté de la rue attira son attention. Deux amoureux jouaient dans la neige. Ils se collaient, se lançaient de la neige, s'embrassaient…….

Elle aurait tellement voulu être à leur place, mais son amour est un amour impossible alors tout ce qu'il lui reste c'est l'espoir et le rêve. La jeune femme le savait depuis le début que son amour avec se jeune homme serait impossible, mais il avait conquit son cœur et elle ne pouvait pas le nier. Dès la première rencontre il avait allumé la flamme de l'amour de la jeune femme pour lui. Elle brûlait toujours. Il était bien loin d'elle alors tout ce qu'elle pouvait faire c'est rêvé de lui.

Elle recommença à marcher. Il commençait à faire vraiment froid. La jeune femme ne sentait plus ses pieds, mais il fallait qu'elle continue de marcher jusque chez elle. Son cœur battait à un rythme infernal à cause de la pensée du jeune homme que les deux amoureux avaient ravivé dans la tête de celle-ci. Elle leva la tête et elle aperçut sa maison au loin. Elle pouvait entendre les râlements de sa mère et les cris que son père poussait pour une raison quelconque. La jeune femme soupira, puis elle se mit à marcher plus lentement pour retarder le moment inévitable où elle devrait les affronter une nouvelle fois de plus.

Elle se dit que se serait bientôt fini, car elle aurait 21 ans dans quelques jours. Elle savait qu'ils avaient oublié, mais elle s'en contre fichait, car quand elle aurait ses 21 ans, elle pourrait s'en aller de cette enfer. La jeune femme arriva à la hauteur de sa maison. Elle entra à l'intérieur du bâtiment qu'elle prenait pour sa maison. La chaleur environnante vint doucement caresser son visage qui avait été meurtri par le froid glacial qui régnait dehors. Elle secoua ses cheveux plein de neige ce qui eu pour effet de créer une flaque d'eau sur le sol. Elle enleva ensuite son manteau et ses bottes, puis elle accrocha celui-ci au port manteau. La jeune femme prit la direction de la pièce qu'elle préférait dans la maison, sa chambre. Une voix venant de derrière elle la fit arrêter.

« - Encore en train de flâner dehors à cette heure, jeune femme ?

- Je suis allée prendre une marche pour me sauver de cet enfer.

- Toute seule ?

- Oui, pourquoi ?

- Un soir d'hiver sombre où il neige et on ne voit presque rien. Tu aurais pu te faire violer. Il y a toutes sortes de monde dans la rue à cette heure.

- Je sais, mais je ne me suis pas faite violée.

- Je sais, mais la prochaine fois va peut-être être la bonne.

- Je sais, je sais. À chaque fois que je sors le soir tu me racontes la même salade.

- Peut-être, mais c'est la vérité et tu devrais être plus prudente, jeune femme !

- Je sais. Je le suis prudente.

- Je trouve que tu ne l'aies pas encore assez.

- Je vais l'être plus alors.

- C'est bien alors. Je vais y veiller que tu le sois plus. Tu vas voir.

- Des menaces ? Tu me provoques ?

- Hey ! Calme-toi ! Ce n'est pas des menaces et je ne te provoque pas. C'est juste que je tiens à toi et je ne veux pas qu'il t'arrive quelque chose de grave.

- Je sais. Il ne m'arrivera rien. Ne t'inquiète pas. Je suis très prudente.

- J'espère que tu l'aies.

- Bonne nuit. Fais attention à toi parce qu'ils peuvent faire n'importe quoi n'importe quand.

- Oui. Toi aussi. »

La jeune femme quitta son grand frère pour aller dans sa chambre. En entrant dans la pièce, elle regarda son bureau où était une pile de livre tous ouvert avec des feuilles parmi eux. La jeune femme soupira de découragement. Elle devait étudier tous ces livres, car le lendemain la session d'examens semestriels commençait. Alors, elle s'installa à son bureau et mit le nez dans ses livres. Les heures passèrent sans qu'elle s'en rende compte. La jeune femme était découragée. Elle leva les yeux de ses livres et elle aperçut un cadre contenant une photo sur son bureau. Celle-ci la fit sourire. Un jeune homme était avec elle sur la photo. Il avait toujours la même expression sur son visage, mais elle le trouvait craquant comme il était. Cela l'encouragea à continuer ses études pour le lendemain. Après des heures d'études intensives, elle avait passé au travers tout ce qu'elle avait à étudier pour ses examens de la semaine à venir. La jeune femme se tourna vers son réveil matin, il affichait en chiffres rouges deux heures et demi du matin. Elle rangea tous ses livres dans son sac et elle alla s'étendre sur son lit. Le sommeil la gagna aussitôt que sa tête toucha l'oreiller. Une sonnerie la sortie de son sommeil. Il était sept heures trente du matin. La jeune femme ramassa son sac, le mit sur son épaule, se ramassa une petite somme d'argent pour déjeuné et dîner à l'école, puis elle s'habilla et sortie de la maison. Ensuite elle prit la direction de son école. Elle avait mal partout à cause de sa nuit blanche. Elle marcha jusqu'à son école. Elle entra dans le bâtiment. Elle avait horreur d'aller à l'école, mais elle se disait au moins qu'elle n'était pas à la maison avec ses parents. La jeune femme arriva à son casier. Elle l'ouvrit et déposa les livres dont elle n'avait pas besoin aujourd'hui. Un truc attira son attention, un garçon et une fille étaient enlacés amoureusement et il s'échangeait un french kiss. Le cœur de la jeune femme se mit à battre plus vite. Elle détourna le regard du jeune couple. Elle se remit à ranger ses livres. Elle entendit quelqu'un l'appeler au loins.