Bonjour tout le monde : je remercie minibout'chou(c'est vrai que ron est assez bien dans le genre débile de l'histoire) sika sika(c vrai que je n'est pas décris la robe de Hermione, mais je te laisse devinez, et pour ginny..Mystère..Mystère)ari(quelque chose me dit que tu ne seras pas déçus, continue à mettre des reviews stp, ça me ferai très plaisir)

Chapitre 7

POV de Drago :

Je marchais en direction de la bibliothèque où j'espérai trouver Hermione.
J'était assez énervé : « Miss Granger, vous voulez bien m'accorder cette danse ? » non mais quel faux-frère !
J'allais enfin avoir une occasion en or et il a réussi à la faire partir avec lui et elle m'a fait faux-bond.
Il fallait absolument que je rattrape le coup et que je sache ce qu'elle lui avait dit car Harry n'avait bien entendu pas eut la délicatesse de me le dire.

Moi par contre, je lui aie tout dit à chaque fois ! Et bien puisque c'est comme ça, c'est chacun pour soi.

J'entrai dans la bibliothèque et cherchait Hermione du regard sous le regard désapprobateur de Mme Pince qui mettait un doigt devant ses lèvres pincée en faisant « chuut ».
Je partais en direction d'Hermione que j'avais repéré près de l'étalage sur l'histoire des créatures magiques en ignorant sperbement la bibliothécaire.
Elle avait un bouquin immense dans les mains, je m'asseyais à côté d'elle avant de commencer :

- Salut Hermignone. Elle me regarda avec de gros yeux et je fit : Ben quoi t'aime pas ce surnom ?

- Si c'est mignon

- Tu sais que tu m'as beaucoup peiné en partant comme ça hier ? Tu m'as carrément laissé en plan !

- Ouai désolée mais Ron était partit et je tiens à lui, je n'allait pas le laisser comme ça quand même.

- Oui je comprend, fit-je en regardant dans le vide. Et de quoi vous parliez avec Harry ?

- Il ne te l'a pas dit ? fit-elle en plissant les yeux

- Non, il a disparut avec Déborah sans que je sache où, répondit-je avec un sourire en coin, conscient du double sens de ce que je disais.

- En fait c'était trois fois rien, dit-elle en haussant les épaules, je lui demandais juste comment ça se faisait que vous soyez devenus aussi gentil avec moi en si peu de temps alors qu'on s'est disputé pendant six ans.

- Tu sais ce qu'on dit, "l'amour et la haine sont des parents consanguins", fit-je

- je ne savais pas que tu t'intéressais à la culture moldue

- Seul les imbéciles ne changent pas, répondit-je en haussant les épaules. Sinon,en parlant d'imbéciles, Ron, est-ce qu'il a enfin compris qu'on voulait juste être amis avec toi ? demandait-je en roulant les yeux

- En fait il persiste à croire que vous voulez me draguer pour lui faire du mal, répondit Hermione

- Non mais vraiment, fit-je en soupirant, il croit vraiment que le monde tourne autour de son nombril celui-là, il voit le mal partout et ça doit être exaspérant toute cette jalousie qu'il montre à notre égard

- Bof, ça lui passera…j'espère…

- Et Ginny, elle va bien ? fit-je. En fait je m'en foutait de comment elle allait mais j'avait un petit plan qui m'aiderait à faire perdre Harry.

- Oui pourquoi ? répondit-elle sans savoir que c'était exactement ce que je voulais qu'elle demande

- Eh bien…je ne sais pas si c'est vraiment bien que je t'en parle, dit-je en faisant mine d'hésiter

- Mais si tu peux me le dire à moi après tout on est amis maintenant ? fit-elle en souriant.

- Eh bien il se trouve que je crois que Harry a un faible pour elle, fit-je

- Vraiment ? fit-elle Parce que c'est un secret mais Ginny aussi a un faible pour lui.

- Ah mon avis, il suffirait qu'on leur donne un coup de pouce pour qu'ils soient ensemble, parce que c'est sur, Harry ne fera jamais le premier pas, tu sais, c'est la première pour laquelle il ressent ça…

- Oui tu as raison, je t'aiderais à les mettre ensemble, fit Hermione en souriant d'un air malicieux.

Et oui, c'était ça l'idée, j'allais détourner Hermione de Harry et elle refusera les avances de celui-ci en pensant d'abords à ne pas faire souffrir son amie.

C'était un plan excellant, maintenant, Harry avait perdu son pari d'avance en voulant utiliser Ginny et il ne me restait plus qu'à séduire Hermione.
Je l'avais pris à son propre jeu.
Ce pauvre Potter, la tête qu'il va faire quand il verra que j'ais gagné ce foutu défis.
Je m'en régale d'avance. Puis je me remis à regarder Granger.
Elle était vraiment belle finalement.
Elle avait tous pour faire fondre un garçon.
Elle était belle, intelligente, douce, gentille et avec un caractère fort (qui ne me déplait pas pour autant).

Elle était tout simplement…heu….mais qu'est-ce que je raconte, j'étais complètement paumé là, il fallait que je me concentre sur ma mission, et en plus ce n'étais qu'une vulgaire sang de bourbe affirmait-je pour conclure, et je me remit à la regarder lire jusqu'à qu'elle lève son visage de son livre avec un regard plutôt interrogateur.

- Heu, dit moi Drago ? Tu comptes rester là à me regarder toute la journée ?

- Pourquoi pas ? Répondit-je sur mon habituel ton provocateur. Tu es assez mignonne pour ça.

Elle se mit à rougir malgré elle ce qui me fit plutôt sourire en voyant l'effet que je lui faisais et sa réponse fit de moi l'heureux vainqueur d'avance de ce pari.

- Toi non plus, tu n'es pas mal répondit elle. Ca y était, j'avais passé le cap le plus difficile avec elle. Elle me trouvait mignon, elle me parlait comme si j'étais un vrai ami et elle commençait à me faire confiance.
L'affaire était dans la poche. Et je m'apprêtais à recommençais à la draguer quand la belette arriva à ma plus grande déception.
Il se mit entre ma cible et moi en me lançant des regards meurtriers.

- Je peux faire quelque chose pour toi ? Demanda t-il en colère.

- Oui, effectivement tu peut faire quelque chose pour moi Weasley. Tu peux partir ou encore mieux, mourir dit-je sur un ton de défis.
Mon ennemi serra les poings en essayant de ne pas se mettre en colère devant Granger contrairement à ce que je voulais qu'il fasse. Puis il reprit :

- Tu fais quoi ici ? Demanda t'il.

- Je suis venu travailler comme tu vois. Mais j'ai la malheureuse impression que ce mot ne figure pas dans ton vocabulaire vu les notes que tu as.
Sur ce je crois que je vais vous laisser car j'ai la nette impression que je dérange dit je avec un sourire moqueur.

- Non pas du tout dit Hermione en lançant des regards noirs à Ron pour mon plus grand bonheur.

- Si et de toute façon il faut que j'aille faire mes devoirs car moi au moins il m'arrive de les faire de temps en temps dit je en regardant Weasley une dernière fois avant de ranger mes affaires et de rejoindre ma salle commune. « Vipère » dit je au tableau avant de rentrer et de m'asseoir sur un canapé en face de mon « infidèle équipier ».

Il me regarda avec ses yeux pleins de flamme comme s'il s'apprêtait à me sauter dessus ou comme si il allait crier de joie.
A, mon avis et j'en étais sur c'était la 2ème option. D'après ce que Granger m'avais dit, elle et lui avait parlé d'un sujet assez intéressant.
Et il n'avait rien osé me dire et à mon avis je ne savais pas tout ou carrément rien du tout.
Tout ce que je savais c'est que ça pourrait me nuire vu la tête de vainqueur que montrait Harry.
Il fallait que je sois sérieusement sur mes gardes et je ne comptais pas lui expliquer notre petite entrevue d'aujourd'hui avec Granger.
Il m'avait fait comprendre par lui-même que c'était chacun pour soi.
J'allais le laisser croire tranquillement à sa pseudo victoire et ensuite le poignarder dans le dos.
On continua à se lancer des regards de vainqueur car dans les 2 sens on croyait à notre victoire sans dire un mot.
Puis après quelques minutes, nous nous levâmes ensemble pour aller nous coucher quand mon pire cauchemar apparu devant moi.

-Bonsoir mon dragounichou ! Dit Pansy souriante.

-Dégage Parkinson et ne t'avise plus jamais de m'appeler comme ça ou carrément de me parler.

-Mais Pansy.

-La ferme, je t'ai dit de dégagé Parkinson, la coupait-je en montant 4 à 4 les marche du dortoir suivit d'un Harry hilare et d'une Pansy criant haut et fort pour ma plus grande colère « mais je t'aime mon dragounichou ». Je ne pouvais plus la supporter cette sale peste.
Elle n'arrêtait pas de me harceler tous les jours et de me coller aux baskets.
Je préférais avouer que Granger était bien meilleure que cette vielle mocheté.
Je m'endormi sur cette bonne pensée.

Je me réveillais le lendemain matin avec le sentiment d'avoir oublié quelque chose, je m'habillais toujours avec cette impression étrange et tout d'un coup, j'eus un éclair de compréhension : je n'avais pas prévu la manière dont j'allait faire pour rapprocher Harry et Ginny.

Je me résolus à en parler avec Granger le mercredi parce que nous avions l'après-midi de libre.
Le dit mercredi, je trouvais Granger ayant l'air de s'ennuyer avec Weasel dans le parc(tant mieux, j'en profiterai pour le faire enrager) j'arrivait par derrière sans pouvoir m'empêcher de sourire en coin :

- Salut Hermignone et… ah oui, Weasel, dit-je, les faisant sursauter, Hermione sourit mais Weasley parut plutôt énervé :

- Qu'est-ce que tu veux encore toi ? demanda-t-il exaspéré

- Ta pendaison publique pourquoi ? répondit-je sarcastiquement en souriant à Weasel qui devenait- une fois de plus- tout rouge de colère.

- Tu devrais retourner dans ton nid de serpents avec Parkinson ! Lança Weasley.

- J'arrive pas à y croire ! fit-je en me retournant et en faisant mine de chercher quelqu'un des yeux avec un air surpris

- De quoi ? fit Hermione

- Je vérifiait si c'était pas quelqu'un d'autre qui avait parlé parce que c'est la première fois que j'entends quelque chose d'un petit peu intelligent sortir de la sale bouche de Weasel, fit-je avec un sourire narquois, et puis pourquoi tu parles de Parkinson ? Tu n'aurais pas un faible pour elle ? Ajoutait-je, Je peux t'arranger un coup si tu veux, fit je avant d'éclater d'un rire moqueur avant de me tourner vers Hermione :

Bon tu peux venir s'il te plait, je dois te parler de ce-que-tu-sais-dont-nous-avonc-parlé-hier, fit-je.

Elle me fit un clin d'œil d'un air de connivence (qui fit devenir Weasel encore plus furieux) et elle donna une excuse bidon au pauvre Weasel qui n'avait rien compris (comme d'habitude) une fois qu'elle fut partie en avant en me disant de la suivre, je me tournai vers Weasel avant de dire à voix basse : Tout est fini entre vous, tu peux aller te cacher et pleurer avec Parkinson.
Et avant que Weasel ne puisse répondre, j'étais déjà loin.
Moi et Hermione discutâmes pendant plusieurs heures avant de se mettre d'accord sur le plan que nos deux brillants cerveaux avaient conçus (nda : vous le connaitrez bien assez tôt).

Avant de partir, je lui lançait d'un air séducteur :
Ce fut un plaisir de travailler avec toi, et si tu as besoin de me parler de ça, tu n'auras qu'à me faire ce signe pendant le repas, fit-je en imitant le vol d'un oiseau avec mes mains

- D'accord, répondit-elle en souriant.
Je l'embrassait sur la joue, ou plutôt je voulut l'embrasser sur la joue mais elle tourna la tête et ce fut sur la bouche.
Je plaçais un doigt sur ses lèvres avant qu'elle puisse s'excuser et m'en allait avec un sourire mutin sur les lèvres: j'aurai bientôt gagné, et peut-être pas seulement un pari.

Chapitre 8

POV de Harry

J'étais très inquiet pour mon pari, avant-hier, Drago avait l'air satisfait, trop satisfait, il fallait que je trouve aussi quelque chose.

Nous étions un vendredi, je me dirigeais à présent vers mon cours de métamorphose en commun avec les gryffondor (je déteste ce cour).
Perdu dans mes pensées, je ne fit pas attention et je me rendit compte trop tard que j'avais percuté quelqu'un, je rattrapai (par pur réflexe) cette personne et m'apprêtait à l'insulter quand je remarquais que c'était Ginny, elle était toute rouge et avait l'air d'avoir couru car elle était essoufflée : Ca va ? Demandait-je

- Ouai mais…heu…excuse moi je …j'ai mon cours de divination maintenant, bafouilla-t-elle

- Je ne vois pas pourquoi tu te presses pour cette espèces de folle lunatique, tu n'auras qu'à dire que tu as eut une vision en venant et que tu as du de reposer un peu avant de venir parce que ça t'avais fatiguée, tu verras, elle te croira, surtout si tu dis que tu as vu un de tes proches en très grand danger.
Moi et Drago on l'a déjà fait plusieurs fois et elle gobe tout à chaque fois. Fit-je avec un sourire en coin.

- Eh bien…heu…merci je vais y aller, fit-elle en ramassant son sac qui était tombé.
Je lui fit un léger signe de la main auquel elle répondit avant de repartir en se pressant un peu moins cette fois.
J'étais assez amusé par cette fille, c'était marrant de voir l'effet que je lui faisait, évidemment je n'était pas dupe, ça façon de rougir comme ça et de bafouiller, c'était typique de ce genre de fille.
Je me rendis donc à mon cours où, une fois de plus, Drago m'avait précédé et c'était mis à côté d'Hermione, je m'installais donc à côté de la même personne que la dernière fois en me maudissant d'avoir traîné.
De temps en tant, je voyait Hermione rigoler à quelque chose que Drago disait puis, elle me jeta un regard amusé avant de se retourner vers Drago et…une minute, un regard amusé ?
se moquaient-ils de moi ? Je n'aimais pas du tout la tournure que prenaient les choses, et vu que je lui avais fait comprendre que dans ce pari, c'était chacun pour soi, Drago n'accepterai jamais de me dire de quoi ils parlaient.
J'enrageais, c'est alors que Drago me lança son sourire signifiant : « prépares toi à perdre tu n'as aucune chance contre moi ».
Je fis mine de prendre des notes de ce qu'expliquait Mc Go depuis une demie heure (ça c'est secondaire, il y a un serdaigle qui prend des notes pour moi pendant ses cours, vu qu'on a toujours les même malgré la maison).

Je jetait un regard à Weasel (nda : la belette en anglais pour ceux qui savaient pas) et je me délectait de le voir rougir de colère en fronçant les sourcils et serrer et desserrer les poings en jetant de fréquents regard à la table de Drago et Hermione (c'était déjà ça, après tout c'était pour ça qu'on faisait tout ça).
Le cours se passa assez bien (j'évitait de me tourner en direction de Drago).
La cloche sonna bientôt et je me plaçais à coté de la porte de sortie pou attendre Drago, qui sortis quelques minutes plus tard avec un sourire victorieux :

- Alors mon petit Harry, tu as des projets pour quand tu auras perdu ton pari ?
Parce qu'il est clair que tu n'as aucune chance de gagner, fit-il perfidement. Mais bon, changeons de sujet, que penses-tu de la sœur de Weasel ?

- C'est quoi cette question ?

- Tu vas pas faire le Saint Harry, j'ai remarqué comment tu la regardait parfois…
Alors tu comptes sortir avec elle après où juste l'avoir ?

- Pourquoi tu me demandes ça ? Tu t'intéresses à elle, fit-je sèchement

- Arrêtes d'être sur la défensive Harry ! répliqua-t-il, je te rappelle qu'on est ami depuis bientôt sept ans alors tu peux quand même me le dire si tu flash sur une fille.

- Bon d'accord, j'avoue qu'elle est pas mal mais pour l'instant je n'envisage rien avec elle.
Drago haussa les épaules et nous nous rendîmes à notre prochain cours.
Le midi, j'arrivai à table pour déjeuner avec Drago comme à mon habitude, mais Pansy était accroché à son bras malgré tous les efforts de mon ami pour la repousser. C'était un spectacle tout à fait pathétique.
Et là une idée me surgit à l'esprit.
Et si je me servais de Parkinson pour éloigner Drago de Granger ce qui allait me laisser évidemment le champ libre pour attaquer.
Certes, cette salle pékinoise n'était pas très futée mais elle allait bien me servir.
Je voyais très bien que Granger s'était attaché à mon coéquipier, et apparemment il n'y avait plus que de l'amitié dans l'air.
Je savais bien reconnaître une femme amoureuse. C'était une de mes qualités.
Je savais définir les expression des gens rien qu'en regardant leur visage comme par exemple Drago.
Et lui aussi n'était pas apparemment insensible à la gryffondor.
Du moins je l'espère car le défi deviendra encore plus excitant.
Je pourrai atteindre le cœur de cette malheureuse Granger ainsi que de mon infidèle meilleure ami ce qui pourrai être une grande première.
Oh…mais qu' est-ce que je raconte moi. J'étais presque entrain d'encourager deux personnes à tomber amoureux. C'était au dessus de mes principes.
Bon je vais revenir à mon ancien plan de départ, c'est-à-dire me servir de Parkinson pour assouvir mes sombres projets.
Je m'approchait donc de la table et m'assis en face de Drago et de ma prochaine cible.

- Allez mon dragounichou, viens te promener avec moi dans le parc. J'ai quelque à te montrer implora Parkinson.

- Je m'en fous éperdument de ce que tu as à me montrer sale clebs. Et je te conseille de me lâcher le bras où je t'en colle une devant tout le monde !
C'est clair ! Elle le lâcha les larmes aux yeux et repartit en direction de la porte en criant.

- Non mais ce n'est pas vrai !
Il faut vraiment que je me débarrasse de cette sale langouste périmée avant qu'elle porte atteinte à mon honneur et qu'elle me donne des difficultés pour gagner le pari(et elle va t'en donner, je t'assure pensai je).

- Et pendant, que tu parles du pari comment ça va avec Granger ? Demandait-je.

-Ca ne peut pas aller mieux. Pour t'avouer quelque chose, ce qu'on fait très peu en ce moment entre nous, je l'ai embrassé, fit-il avec un sourire victorieux.

-Tien voyez vous ça répliquai-je. Et elle t'a repoussé ?

-Mon chère Harry, sache que personne ne repousse un Malefoy et si tu étais une fille tu comprendrais pourquoi, dit il sarcastiquement avec une assurance impressionnante.

-Ahh oui bien sur. Dis moi, elle t'intéresse Granger ?

- C'est quoi cette question ?

- Tu ne vas pas faire le Saint Malefoy, j'ai remarqué comment tu la regardais parfois… ironisa Harry en reprenant les thermes de Drago précédemment.
Alors tu comptes sortir avec elle après où juste baiser? J'aimais bien cette situation.
Je l'avais pris à son propre jeu.

- Alors insistait-je ?

- Je ne vais pas te mentir moi. C'est vrai que je la trouve tout de même séduisante et je crois que je vais gagner plus qu'un pari si tu vois ce que je veux dire.

- Tu n'as jamais été aussi clair. Bon, ce n'est pas que je n'aime pas bavarder de tes nouvelles conquêtes mais je dois faire quelque chose d'important.

Puis je me levai sous le regard méfiant de mon cher confrère et je sortis de la grande salle à la recherche de Parkinson pour lui expliquer « la nouvelle situation ».

Je trouvait ce…cette… aucun mot n'était suffisant pour la décrire, je pensait sincèrement, avec compassion qu'en traitant Pansy de bouledogue ou de pékinois, on insultait ces pauvres bêtes mille fois plus belles et intelligentes que Parkinson, bref, revenons à nos gnomes, Pansy était assis sous le saule pleureur et elle…pleurait comme si elle n'avait jamais été humilié par Drago (ce qui était stupide vu qu'elle se prenait ce genre de vestes au minimum trois fois par jour).
Je soupirai, cette pauvre fille était vraiment pathétique.
Je m'assois, masquant mon dégoût, à coté de Parkinson pour lui expliquer ce qu'elle devrait faire.
Une fois terminé (nda : vous le saurez bien assez tôt), je retournait dans la chaleur (si on pouvait dire ça, vu qu'il fait pas très chaud au sous-sol) de notre salle commune.
Et m'asseyait près du feu (non sans, au passage, avoir violemment écarté un troisième année qui venait de si asseoir).
Ce que m'avait dit trottait, malgré moi, dans ma tête… Ginny… si belle… si…STOP, je DEVAIS me reprendre car si Drago avait réussi à se rendre compte de l'intérêt que je portais à cette fille, il risquait de faire basculer les évènements.
Je priais pour que Drago ne se serve pas de Ginny pour me perdre.

Niark Niark Niark, tu n'as encore rien vu Harry!lol!

Ben alors vous pensez quoi de ce chapitre?

Envoyez des reviews ;D

Kiss