Salut tout le monde et merci pour vos reviews :
minibout'chou : Tu as bien raison, la suite souhaite très prometteuse et pauvre pansy(bien que j'adore la souffrir, je suis une vrai sadique lol)bisous.
Sika-sika : C'est vrai que Hermione et Ron (n'est pas vraiment mon couple préféré) Voici la suite et j'espère que tu aimeras autant !Love !
Buzame : Merci beaucoup pour tes compliments et je te donne la suite avec plaisir en espérant que tu me laisseras d'autres reviews !kiss !
Langedesenfers : Merci beaucoup et voici la suite en espérant qu'elle te plaira !Love !
Drago-tu-es-a-moi : Merci et les enjeux pour eux est de savoir quoi la séduire le premier !kiss !
Chapitre 9 :
POV de Drago
Haa… encore une excellente une
journée pour moi. Vous l'avez deviné, je suis allé
parler à Hermione et on a parlé du couple Ginny/Harry
et des trucs qu'on pourrait faire pour les rapprocher l'un de
l'autre.
Et quand je l'ai embrassée sur la joue, j'ai
lut dans ses yeux de la frustration ! Ca, c'est clair, ça
veut dire qu'elle aurait préféré que je
l'embrasse autre part si vous voyez ce que je veux dire… Donc
j'approche de la victoire !
C'est bientôt le bal de
Saint-Valentin, et le vieux sénile (Dumbledore) nous a dit
qu'il y aurait un bal.
En gros c'est GENIALE ! La
prochaine fois que je verrai Hermione je lui demanderai d'y aller
avec moi !
Il n'y a aucune chance qu'elle y aille avec
Weasel, en ce moment il lui fait la gueule, parce qu'elle nous
fréquente, moi et Harry.
Mais comme elle est butée,
elle continue à nous fréquenter et j'ai remarqué
qu'ils se disputaient de plus en plus souvent !
Il y a
néanmoins une ombre à ce tableau si parfait :
Parkinson.
J'ai, à mon grand damne, remarqué
qu'elle me collait plus qu'avant et elle commence à
m'énerver sérieusement.
Il faudrait que je trouve
un moyen de m'en débarrasser…où alors… je pourrai
m'en servir à mon avantage… mais oui !
Je sais ce que
je vais faire ! Cette erreur de la nature mi-canine mi-humaine va
m'aider sans même s'en rendre compte !
Je vais demander
quelque chose de très spécial à Hermione pour…
m'aider… mais auparavant il faudra que je soie sur que Parkinson
l'énerve autant qu'elle m'énerve et pour ça,
il suffira que je m'arrange pour que Parkinson me suive quand
j'irai lui parler et Hermione se rendra bien vite compte qu'il
vaut mieux qu'elle accepte ma proposition plutôt que de
laisser le pékinois agir.
C'est dingue… parfois je
suis moi-même subjugué par mon génie !
En
parlant de ça, je n'ai pas beaucoup apprécié
la dernière retenue avec ce cher Rusard.
Il m'avait, oh
combien injustement, accusé d'être l'auteur du
marécage portatif installé dans ses appartements !
Ce
n'était pas moi ! C'était moi ET Harry ! De toute
les façons, il est bien trop tard pour pester contre
l'injustice du concierge.
En ce moment même, il est à
peu près 23h et d'après la carte du maraudeur que m'a
gentiment prêté Harry, je peu voir que Rusard se trouve
au deuxième étage.
Son chat par contre… vient
dans ma direction. Je me cache derrière une armure et une fois
que Miss Teigne est passée devant moi, je lui lançai un
« stupéfix » et maintenant, je n'ai plus qu'à
me venger…
J'ai apporté une tondeuse sorcière :
elle fonctionne sans électricité et fait seule la coupe
choisie.
Je la fait tondre comme un caniche puis, à l'aide
d'un précieux sort que j'ai découvert, son pelage
prends une délicieuse teinte verte fluo avec des pois roses et
j'accroche des clochettes à ses oreilles et la touche finale
: je macule de boue les espaces tondus de son pelage.
Voici un
chat très original, je le met dans un sac à maille et
le suspend à la porte du bureau du concierge.
Je n'ai
plus qu'à tranquillement aller me coucher et j'ai hâte
de voir la tête du concierge demain et de son chat aussi.
Harry m'a dit qu'il était un crackmol donc avec un peu
de chance, il n'aura pas réveillé un autre professeur
pour l'aider à arranger un peu son sale chat et les autres
élèves pourront profiter de ma création.
Le lendemain, comme je l'avais espéré, le concierge n'avait pas réussi à arranger son chat et les autres élèves ne se gênaient pas pour rire à gorge déployée sur le passage de Miss Teigne. Evidemment, tous ce taisait sur le passage de Rusard, mais ça n'en était pas moins drôle.
Tout le monde savait également que c'était moi l'auteur de cette farce, mais de toute les manières, il n'y avait absolument aucune preuve contre moi.
C'est donc de bonne humeur que
j'avais suivie les cours de la matinée.
L'après-midi,
nous avions un cours de potion en commun avec les gryffondors et
j'avais bien l'intention de commencer mon nouveau plan. Je
traînais exprès, sachant que Granger rentrait toujours
rapidement.
Parkinson à deux heures… en moins de
temps qu'il ne faut pour le dire, elle s'était collée
à moi et je jetais un regard en direction d'Hermione qui
était assise à côté d'Harry.
Elle
fronçait les sourcils et lui, il n'avait absolument pas
l'air surpris… et, contrairement à moi, Harry ne masquait
pas souvent ses émotions, ce qui me faisait me poser des
questions...
En m'asseyant dans son champ de vision, je
m'assurais qu'elle puisse voir la petite scène que j'avais
préparée exprès…
Je sentais son regard sur
ma nuque, aussi, agacé par cette sensation désagréable,
je levait la tête dans sa direction, Harry ne lui parlait pas
vraiment (il était nul en potion et le professeur gardait un
œil sur lui).
Je lui lançais un regard désespéré
en désignant Pansy qui s'était agglutiné très
près de moi sur le banc.
Elle leva un sourcil interrogateur et je soupirais d'exaspération en me concentrant sur le cour.
Après le dîner,
Hermione me fit le signe pour qu'on parle.
Elle sortir de la
Grande Salle et je décidai de faire entrer la potiche dans
l'action.
Pansy n'était pas loin et je savais qu'elle
guettait le moindre de mes mouvements, je lui fit un sourire charmeur
(bien que la sensation me traversant soie plus proche du dégoût
que d'autre chose) et me dirigeais vers le parc, en m'assurant
qu'elle me suivait bien de loin.
J'arrivais auprès d'Hermione et engageait la discussion :
- Tu voudrais venir
avec moi au bal de la Saint-Valentin ?
J'agrémentais ma
demande d'un sourire charmeur.
- D'accord, pas de
problème.
Mais j'ai une question à te poser sinon
: c'était quoi ce regard en potion quand tu étais
assis à côté de ta fiancée ?
Si
j'avais été en train de manger quelque chose à
ce moment, je me serais sans doute étouffé.
Je ne
pus me retenir d'écarquiller les yeux
- Qui t'a dit qu'elle était ma fiancée ?
- C'est Harry, ton meilleur ami. Fit-elle sur ton de défis
- On
n'était qu'en quatrième année quand nos
parents ont voulus nous fiancer, mais il se trouve que mère ne
partageait pas la conviction de mon père quand a me fiancé
à ce pékinois, elle a fini par le convaincre- vu tous
les défauts de Pansy c'était pas trop dur- et ils ont
annulé nos fiançailles, le seul problème est que
cette idiote s'est enfoncé dans le crâne qu'elle
m'épouserai, et elle me cour toujours après, fit-il
exaspéré.
Elle est collante, tu ne peux pas
imaginer, c'est du harcèlement !
- Mouai, je vois, fit-elle en se décrispant peu à peu
- Mais dit moi Hermignone, tout à l'heure j'ai crut percevoir des ondes de jalousie, tu ne serais pas jalouse quand même ? la taquinait-je
- Mais pas du tout ! répliqua-t-elle avec véhémence.
- Drago ? Enfin je t'ai retrouvé, fit Pansy en se pendent à mon bras.
J'essayais vainement de secouer mon bras pour m'en débarrasser mais elle était tenace.
- Dégage Parkinson, tu vois pas que tu gênes ! fit-je en colère,
- Que fais-tu là sang-de-bourbe ? aboya-t-elle à l'intention d'Hermione qui était toujours sous le choc de son apparition
- Tires-toi Parkinson, fit Hermione vexée en pointant sa baguette sur Pansy
- Et qu'est-ce que tu vas
faire sang-de-bourbe, fit Pansy sur un ton de défi.
Elle
commençait à m'énerver, d'habitude, elle
serait déjà partie en pleurant, mais pourquoi
était-elle devenue plus collante ?
La réponse me
vint directement : Harry.
C'est pour ça qu'il avait
l'air si satisfait et que le fait que Pansy le colle ne le
surprenait pas du tout… Il allait le payer.
Agacé, je
poussais violemment Pansy, profitant du fait qu'elle soit distraite
par Hermione.
- On t'a dit de la fermer et de te barrer Pansy ! Je ne VEUT pas que tu restes ici, et si tu restes encore ne serait-ce qu'une seconde de plus près de moi, je ne t'adresserait plus JAMAIS la parole et tu pourras définitivement dire adieu à tes chances avec moi.
Cette idiote me
crut (comme si elle avait déjà eut une once de chance
avec moi) et elle s'enfuit en courant.
Je soupirais, exaspéré
par le comportement ridicule de cette idiote, indigne de
serpentard.
- Je croyais qu'elle ne t'intéressais pas ? fit Hermione, pourquoi tu as dit qu'elle pouvait dire adieu à ses chances ?
- Tu vas quand même pas faire une crise de
jalousie ! lançait-je sur le ton de la plaisanterie, on n'ait
pas mariés et on ne sort même pas ensemble,
continuait-je sur le même ton.
Elle rit nerveusement,
tandis que je m'approchais dangereusement d'elle.
Et si j'ai
dit tout ça à Parkinson c'était pour qu'elle
s'en aille.
Elle n'a JAMAIS eut aucune chance avec moi. Trop
moche et trop débile, fit-je en haussant les épaules,
contrairement à toi, fit-je avec un sourire malicieux et plein
de sous-entendus.
Elle rougis légèrement et
détourna la tête. Je me rapprochai encore et, je
tournais son visage vers moi en le tenant par le menton, avant de
l'embrasser.
Je guettait sa réaction et remarquais
qu'elle répondait au baiser, je l'approfondit donc, et
mettait une main dans son dos, tandis qu'elle plongeait les siennes
dans mes cheveux.
Le baiser se fit plus passionné, puis, à
bout de souffle, nous rompîmes notre baiser.
Je la
regardais dans les yeux, elle les détourna alors et dit :
- Je ne peux pas, je suis avec Ron, oublions ça.
Elle essaya de partir mais je la retint par le bras et lui soufflait :
- Tu n'as qu'à arrêter de sortir avec Ron…, dit-je sans oublier de lui souffler dans le cou, m'enivrant de la sentir tressaillir.
- Je… je ne peux pas… fit-elle avant de s'en aller d'un pas rapide et je lançait :
- Tu peux dire
ce que tu veux, je sais que tu me désire et je peux te dire
que c'est réciproque, et moi, je n'oublierai pas se
baiser, mais si tu veux, nous ferons comme si rien ne s'était
passé, je ne t'en voudrais pas.
Elle s'arrêta un
instant puis, elle retourna dans le château.
Je ne savais
pas pourquoi je lui avais dit ça… peut-être que je
ressentais vraiment quelque chose pour elle… Sinon, en attendant,
c'était un pas de plus vers la victoire !
Je savais
qu'elle allait songer à ce que je lui avais dit et je verrai
bien le résultat.
Mais franchement, je croyais qu'elle
allait faire comme si rien ne s'était passé, et
j'allais ainsi pouvoir bientôt faire la fameuse proposition…
Quelle barbe, on était en cours d'histoire de
la magie… la matière en elle-même n'était pas
si nulle mais le professeur alors… Je profitait de cette pause pour
réfléchir : J'était sur la bonne voie pour
gagner mon pari, il fallait par contre que je ne le montre pas à
Harry, sinon il serait capable de trouver une autre idée et de
comprendre que finalement, Pansy me servait au lieu de me nuire
auprès d'Hermione.
En parlant de lui, il faudrait que je
commence à le rapprocher de Ginny sans qu'il s'en rende
compte, lors d'un cours de potion, j'avait parlé avec
Hermione de ceci.
Hermione s'était engagée à
parler d'Harry à Ginny et à l'aider à se
faire désirer par ce dernier.
Moi, je devais fournir des
renseignements sur ses goûts en matière de fille et les
trucs qu'il aimait faire, et à l'occasion lui glisser des
commentaires sur Ginny.
C'était quelque chose de
simple mais je comptais bien mettre discrètement mon grain de
sel.
Ma nouvelle mission était de faire en sorte qu'Harry
aille au bal avec Ginny et qu'il se rapproche d'elle.
En
rentrant dans la salle commune, je remarquais qu'Harry
réfléchissait sur un canapé près du feu.
Je m'assois près de lui avant de lancer d'un ton
moqueur:
- Alors Ryry, tu comptes aller au bal avec Debi encore ?
- Déjà, je déteste ce surnom débile, tu le sais et ensuite, je n'irai certainement plus jamais à un bal avec cette malade de Déborah Simpson.
- Pas la peine d'être agressif, et au fait, si tu comptait y aller avec Granger, c'est raté, elle y va avec moi, fit-je avec un sourire narquois.
- …
- Alors avec qui tu vas y aller, fit-je en souriant, Parkinson peut-être ?
- C'est pas grave, j'irai avec Ginny, comme ça je serait pas loin et à la première occasion, tu peux être sur que je prendrais ta place auprès de Granger.
- Ca c'est toi qui le dit, fit-je en partant me coucher, très satisfait qu'il soit de lui-même allé vers Ginny.
Chapitre 10 :
POV d'Harry
Pour l'instant, mon plan
marchait toujours, Hermione avait l'air de plus en plus agacée
de voir Pansy débarquer à chaque fois que Drago était
avec elle, de plus avec cette histoire de fiancer, je croyais bien
avoir marqué un point. Malheureusement, Drago avait été
plus rapide que moi et il avait réussi à aller au bal
avec elle, mais j'étais certain que Pansy allait leur
pourrir la soirée !
Et cela me mettait d'excellente
humeur. En plus, il avait vraiment crut que j'irai au bal avec
cette cruche de Déborah ou avec sa sangsue Parkinson, mais ça
lui avait clouer le bec quand je lui ait dit que j'y allait avec
Ginny, ou du moins je le crois, son expression était restée
indéchiffrable, qu'est-ce que ça peut m'agacer
quand il fait ça !
Si je ne réussissais pas a
récupérer Hermione avant la fin de la soirée, au
moins il y aurai Ginny en compensation, elle au moins elle ne se
vanterai pas à tout va d'y aller avec moi et elle ne me
demanderai pas toute la soirée des trucs débiles.
D'ailleurs, j'espérai que personne ne l'avait déjà
invitée sinon je devrai me rabattre sur des filles de second
choix. Je pensais aller lui demander après mon rendez-vous
avec le serdaigle qui faisait mes devoirs de potion.
Celui-là,
j'espérai qu'il aurai bien fait son boulot sinon je devrai
le suspendre en sous vêtement dans la Grande Salle, comme son
prédécesseur, mais passons, celui-là il se
tenait à carreau, je ne pensait pas avoir de
problèmes.
Après avoir récupéré
les réponses au devoir de potion, je me rendis près de
la tour des serdaigles où j'espérai trouver Ginny.
J'attendis pendant une dizaine de minutes avant de me souvenir que
je possédai une carte me permettant de localiser n'importe
qui.
Je soupirai avant de redescendre dans le dortoir des
serpentards pour voir ma carte du maraudeur.
Je localisai Ginny
entourée d'un troupeau de copine qui se dirigeait vers la
bibliothèque, je m'y rendis rapidement et parvient à
intercepter le groupe de filles avant qu'elles ne rentrent dans la
bibliothèque, probablement pour faire une recherche. Je
commençais alors :
- Salut les filles, Ginny j'aimerai te parler. Les autres filles gloussent et chuchotent entre elles des choses que je ne préfère pas écouter, Ginny rougis légèrement et me suivis quelques mètres plus loin.
- Alors qu'est-ce que tu voulais me dire Harry, demanda Ginny avec un sourire angélique
- Je voulais te demander si tu voulais venir au bal avec moi, répondit-je avec un sourire
- Ce sera avec plaisir Harry, fit-elle avant de
retourner auprès de ses copines.
Je me sentais étrangement
bien et léger après qu'elle m'ai dit « oui »,
mais je préférait attribuer ça à la
satisfaction d'avoir réussi ce que j'avais prévu.
Plus
la saint valentin approchait, plus je perdais tout espoir un jour de
gagner ce foutu pari.
Drago passait tout son temps avec Granger
pendant que moi et Weasley tapissait tranquillement dans leur ombre
mais ce n'était pas pour autant qu'on allait faire copain
copain. Non mais franchement vous imaginer que moi Harry Potter,
jeune garçon séduisant, adulé de toutes ces
dames s'abaissera un jour au niveau si bas de Weasley. Non mais, je
vous interdis de pensez ça .
Mais un jour alors que je vis
le rouquin s'énerver en voyant Drago et Hermione ensemble,
une idée lumineuse(normal vu que c'est la mienne) me vint.
Et si j'incitais et même aidait Weasley à récupérer
sa sang de bourbes ?
Vous me direz que c'est une idée
totalement stupide, mais pas si stupide que ça, car après
avoir fait cet acte d'étonnante gentillesse je volerai
Granger au rouquin.
Il est trop naïf ce mec. Ce serai tout
simplement un jeu d'enfant. Mais le seul blême et oui il y en
a toujours, c'est que le temps ne sera pas franchement de mon coté.
Ce sera dur et long de rendre Weasley présentable pour
qu'ainsi il puisse reconquérir le cœur de sa bien aimé.
Moi il faut que j'arrête de regarder des série
débile à la télé avec mère. Les
feux de l'amour ne me réussissent pas trop apparemment.
Y
en a marre des amoureux qui pleure tout le temps car ils ont le cœur
brisé ou qu'ils ne savent pas si ils veulent faire leur vie
ensemble car le bonhomme part pour le front. Mais bien sur il y a une
chose réaliste : la vengeance.
Bon bref revenons à
Weasley et la façon dont je peux remettre ce couple coincé
de Gryffondor ensemble. Et à la limite si je n'arrive pas à
conquérir Hermione quand elle se remettra avec Weasel (ce qui
est impossible avec mon physique d'apollon) personne n'aura gagné
ce pari.
Je préfère que personne ne gagne car je
vous avoues qu'avec beaucoup de tristesse, qu'à se stade
du pari je n'est plus aucune chance de gagner si je ne fais rien.
Je sais que vous avez peur que je ne gagne pas, mais ne vous
inquiété pas. Vous connaissez le proverbe aussi bien
que moi « Qui tente rien n'à rien »ce qui d'un
coté est un peu faux car même quand je ne tente rien
j'ai tout ce que je veux. Donc je marchais tranquillement à
la recherche du Weastiti quand je vis Drago entrain de rire avec
Granger.
En la voyant je souris en me rappelant le plan
diabolique que j'avais mis au point et je ris intérieurement
de mon rire méchant comme dans les films (muhahahahah).
Et
je n'aie jamais vraiment compris pourquoi on ne pouvait pas rire
toujours comme ça dans la vie quotidienne.
Allez savoir
pourquoi.
Je marchais donc vers eux d'un pas déterminant
et je me pointai devant Drago qui me regarda déjà d'un
regard méfiant :
-Tiens je te cherchai justement dit je.
-Pourquoi ? Demanda t'il.
-C'est encore Parkinson qui fait des siennes, elle te cherche partout car apparemment tu lui as promis de sortir avec elle.
Hermione le
regarda étonné mais pas plus étonné que
mon chère confrère. Et alors arriva comme prévu
(et oui vous pensez quoi, je prévois tout à l'avance)
le misérable pion à mon jeu qui se jeta littéralement
sur lui et alors s'en suivi du départ précipité
d'Hermione suivit de près pas Drago qui lui était
suivi de près Parkinson.
J'étais à ce
moment précis le mec le plus heureux de la journée et
je vous promets que ça faisait que commencer. Je me remis donc
avec hâte et bon humeur (en tout cas meilleur qu'il y a tout
juste 1 minute) à la recherche du plus misérable
sorcier que je connais, vous l'avez devinez vous-même,
Weasmoche et c'est là que je vis une tête rousse et
quand je m'apprêtai à lui parler, je découvrais
qu'en faite ce n'était que la petite naine de la famille
et je me rappela soudainement que j'avais prévu de partir au
bal de la saint valentin avec elle.
C'est fou non, il y a des
petits détails comme ça, qu'on oublie tout le
temp.
-Bonjour dit elle en rougissant comme une tomate ce qui ne lui allait pas trop mal.
-Ouai bonjour, tu n'aurais pas vu Weasmo…..enfin je veux dire ton frère ? Demandais je.
-Oui il est à la bibliothèque.
-Merci,
à plus, dit je sans ajouter un autre mot trop pressé de
mettre mon plan à exécution. Je marchais donc vers la
bibliothèque en essayant de régler une question très
importante « Comment traîner avec Weasley sans ternir ma
belle réputation ? »
C'était une question à
laquelle il fallait que je médite sérieusement.
Je
trouvais Weasel dans la bibliothèque, assis à une table
de travail et ayant, apparemment du mal à faire son devoir.
Ciel, pourquoi les gryffondors ne pensaient-ils jamais à
employer des serdaigles comme nous autres.
Bref, je m'assois
silencieusement à côté de lui sans qu'il le
remarque. Je commençais donc :
- Salut Weasley
- Qu'est-ce que tu veux sale serpent ! Me lance-t-il. Wouah, l'insulte du siècle pensait-je
- Tu pourrais changer un peu ton vieux disc, depuis le temps que tu nous le passe, il commence à railler maintenant, fit-je sarcastiquement.
- Qu'est-ce que tu fou là ?
- Mon cher Weasley, bien que nous ne soyons pas amis, je compte t'aider, et même si tu refuse je le ferai quand même
- M'aider à quoi ? demande-t-il de son air d'arriéré
- Ta copine Granger, je vais t'aider à la récupérer
- C'était pas justement le contraire que vous vouliez? demande-t-il haineusement
- Si, pour une fois t'as raison, tu veux un cookie? demandait-je sarcastiquement, il se trouve que j'ai eut un différent avec Drago, bref, mon intérêt maintenant, c'est de vous remettre ensemble, je vais t'aider, rendez-vous ce soir à minuit dans la tour d'astronomie
-
Mouai, fit-il d'un air songeur. J'entendis soudain un petit «
crac » mais je ne fis pas attention, sachant que personne ne
pouvait transplaner dans l'enceinte de Poudelard.
Je retournait
ensuite vaquer à mes activités : terroriser les
premières années, séduire et préparer des
mauvais plan.
Rah!
Comment fera Drago pour se tirer de se piège! Harry
réussira-t-il à rendre weasley présentable?
rélisera-t-il qu'il apprécie ginny?
tan de questions
tan de questions
Laissez des reviews please
Kiss
