Réponses aux reviews :
Nico : Oui je sais, moi aussi j'aimerai beaucoup montrer plus les sentiments de Ron, malheureusement c'est une traduction donc je traduis je ne réécris pas l'histoire
Moggliesmad : Alors la voilà la surprise j'espère que ça va te plaire !
Vava cracra : Merci beaucoup
Faeris : Désolée ! Mais c'était trop tentant et puis THE couple ron hermione arrive : lentement mais sûrement !
Virg05 : Stuart ? il ne fait pas du tout le poid contre Ron ! et puis Hermione n'est plus sure de rien : faut la comprendre !
Bon voilà la suite j'espère que ça va cous plaire !
Les Ailes du papillon
Chapitre 6 : Crise
Hermione passa une centaine de fois devant sa cheminée. Elle marchait d'un pas rapide et nerveux, et parcourait le même chemin une fois après l'autre, totalement étrangère à tout ce qui l'entourait.
"Comment j'ai pu faire quelque chose comme ça ?... A quoi est-ce que je pensais ?" C'était une question idiote, à laquelle répondit d'elle-même.
Elle venait de rejeter un homme qui non seulement était absolument sublime et adorable, mais, en plus, il lui avait donné le meilleur sexe de toute sa vie ! Et au final... Pourquoi ? Pour avoir la possibilité éloignée de pouvoir accomplir... Quoi ? Une fantaisie sexuelle ? Un fantasme mélancolique de son adolescence ?
Fatiguée de tourner, elle se jeta sur un fauteuil et resta comme ça en regardant dans le vide. Non. C'était un mensonge. Elle ne voulait pas l'admettre, mais une petite partie d'elle voulait croire à la possibilité que Ron puisse être cette personne spéciale qu'elle avait cherchée pendant tellement d'années. Cette personne avec laquelle elle pourrait partager le reste de ses jours heureuse et accomplie... Le fait de pouvoir jouir de sexe sauvage et effréné avec lui pourvu qu'il le veuille, n'était pas non plus impossible.
"Merde !" murmura-t-elle entre ses dents. Elle devait contrôler ses fantasmes fiévreux... Elle se paralysa pendant un moment... Et si ce n'étaient pas de simples fantasmes ? Et si ses sentiments pour lui n'avaient jamais totalement disparu ? Si elle les avait seulement enterrés en elle d'une certaine manière, et, qu'ils ressortaient à nouveau à la lumière après toutes ces années à être réprimés, ils étaient beaucoup plus forts maintenant que jamais. Dans un livre elle avait lu que les sentiments réprimés, quand ils pouvaient finalement se libérer, étaient énormément forts... et souvent violents.
Peut-être Ginny avait-elle raison et qu'elle devrait essayer quelque chose avec Ron, mais d'autre part il n'avait jamais montré aucun intérêt romantique pour elle. De plus depuis qu'elle avait rompu avec Paul elle avait été totalement 'disponible' et il n'avait jamais profité de l'occasion afin d'effectuer un quelconque rapprochement ou fait une insinuation ou n'importe quel type de flirt... ou autre chose. Si il sentait une attirance pour elle ce qui aurait été normal il aurait du profité de l'occasion. Ou non ?
Elle se leva et continua faire des allé et retour dans sa chambre, en pesant constamment le pour et le contre. Parfois avoir un esprit incroyablement brillant ne résolvait pas les problèmes. Beaucoup pense comme cela, la seule chose qu'ils obtiendraient serait de trouver un millier de raisons de prendre une décision... plus un autre millier pour prendre la décision contraire. Finalement, son cerveau surchauffa elle prit la seule solution qui lui paraissait logique : Elle mit sa tête dans la cheminée et appela à Ginny à travers le réseau de cheminée.
Au début elle fut aveuglée par la suie, puis peu à peu le salon qui lui était familier apparue devant ses yeux : Harry était assis au milieu du sofa avec la tête en arrière et les yeux fermés... avec Ginny agenouillée en face de lui, au niveau de sa ceinture et déplaçait sa poitrine de haut en bas à un rythme particulier. Ginny fit un saut quand elle entendit le cri d'Hermione et se retourna. "Hermione ! Mais tu avais un rendez-vous ce soir ? Il est passé quelque chose ?"
Pendant que Ginny parlait, Harry, avec des reflets dignes du meilleur aurore, avait disparu derrière le sofa avec les mains entre les jambes, en essayant de couvrir la vue de pénis.
Hermione sentit que d'un seul coup le sang lui montait à la tête. "Je ne me sentais pas bien et il s'est passé la même chose que ce que je t'ai raconté ce matin donc il fallait que je te parle." Elle allait partir de la cheminée à toute vitesse, quand Ginny s'agenouilla devant elle. "Non, attend ! C'est pas grave. N'est-ce pas Harry ?"
Harry répondit depuis l'arrière du sofa d'une voix éteinte. "Non... Si... Je veux dire que tout va bien. Ne vous en faites pas."
Ginny la regarda avec visage préoccupait. "On supposait que tu avais un rendez-vous... Que s'est-il passé ? Il n'aurait pas essayé de te faire du mal ?"
En entendant ceci Harry passa sa tête au-dessus du sofa. Il avait encore le visage rouge comme une tomate mais son expression était identique à celle de Ron pendant une de ses discours de 'Père-hyperprotecteur '.
"NON ! Évidemment que non ! Il ne c'est passé rien de mal... c'est seulement que... bon... " Comment pourrais-je expliquer... ?
Harry se leva du sol d'une manière quelque peu rigide et plus rouge que ce qu'elle ne l'avait jamais vu. "En faite il te trouves bien ?"
"Oui il me trouve bien." Elle lui sourit étrangement chaleureusement, contente de la démarrage de protection de Harry. "Je suis désolée... tu sais j'ai.. interrompu... "
Harry fit un geste avec la main, pour lui enlever de l'importance, bien qu'il soit redevenu encore plus rouge qu'avant. "Ne t'en fais pas. C'est notre faute de ne pas avoir fermer la cheminée... c'est... vous allez parler d'une de vos conversation... de femmes ?"
Ginny se retourna vers lui en attendant sa réponse. "Ba... En effet... Je crois que oui."
"... Alors je vais vous laisser parler tranquillement... Je serai dans la chambre." Il pointa avec le doigt les escaliers qui conduisaient à l'étage supérieur.
Ginny lui sourit malicieusement. "Ne t'en fais pas, je monte immédiatement en haut. En attendant, profites-en pour t'installer confortablement... très confortablement." Elle lui fit un clin d'oeil ; et Harry sourit d'une oreille à l'autre.
"On a tout l'après-midi." Il dit ça la tout en montant les escaliers.
"Ginny... Ne t'en fais pas... mais, tu ne pourrais pas aller chercher quelque chose en haut ?" La vérité était qu'elle avait une poitrine impressionnante. Abondante et fermes, avec de grand mamelon. Elle l'avait toujours un peu enviée. Maintenant qu'elle les voyait briller, imposants, à la lumière de la cheminée comme s'ils étaient couverts... d'huile, probablement... oui, c'était sûrement ça.
Ginny regarda vers le bas, comme en étant surprise de sa propre nudité. "Oh ! Pardon, je ne m'en était pas rendue compte."
Après s'être couverte avec une chemise énorme, qui devait être à Harry, elle se retourna vers elle. "Bon, que s'est-il passé ?... Et ne me dis pas rien. Parce que sinon, tu ne serais pas venu dans ma cheminée à cette heure de la nuit."
"La vérité c'est que je ne le sais pas... Tout était parfait. Nous avions bu et nous étions allé dîner. Nous étions ensuite allé marché et quand il a commencé à faire nuit nous sommes allé chez lui."
Ginny lui fit un geste pour qu'elle continue.
"... et je ne sais pas ce qu'il s'est passé... dès qu'il m'a posée sur son lit et a commencé à m'embrasser... je ne pouvais pas m'empêcher de penser à Ron... et.. je n'ai pas pu... tu sais...je ne pouvais… rien faire... je l'ai laissé et je suis rentrée à la maison."
"Guau!" Ginny la surveillait avec les yeux très ouverts.
"Comment que guau ? Ni même je puis avoir une relation normale... Ceci est une obsession. Il ne peut pas être sain... À ce pas je vais finir faite une solterona."
Ginny resta pensive. "Hermione."
Elle la regarda. "... Oui?"
"Bon... J'y ai un peu pensé... pour toi... Tu as déjà eu sept fiancés... sauf le cas de Paul, tous étaient de bonnes personnes, beaux, intelligents... on pourrait dire, pratiquement parfaits. Mais tôt ou tard, il y a toujours quelque chose qui apparaît et qui fait on ne sait pas pourquoi que ça se termine."
"Et tu m'accuse ? En effet, j'ai passé de bons moments avec tous... Ca te paraîtra étrange, mais je crois qu'aucun n'a été une perte de temps. Chacun d'eux m'a apporté quelque chose qui m'a aidée à grandir, à mûrir."
"... Tu es mûre... mais tu vas finir pas être toute seule."
"Je ne sais pas... Je suppose qu'à la fin aucun d'eux n'a été... je ne sais pas... Je ne m'imaginait pas passer le reste de ma vie avec eux, et vieillir avec eux... Tout le monde n'a pas la chance de connaître à l'amour de sa vie à dix ans."
"Non ?... Mais tu n'as jamais pensé que tu n'as jamais trouvé à ton homme idéal parce que tu l'as toujours eu devant toi et que tu n'as jamais voulu t'en rendre compte."
"Qu'est-ce que tu veux dire ?" Elle ne pu s'empêcher de demander, bien qu'elle sache exactement ce que son amie voulait dire.
"Pourquoi tu n'essais pas avec Ron ? Parles avec lui de tes doutes. Ca ne te coûtera pas beaucoup de le séduire."
"Ginny !... Je ne vais pas coucher avec le premier qui me passe par la tête ! "
"Ah bon... Et Stuart?"
"Stuart c'était différent... c'était... bon, je ne sais pas ce que c'était. Mais je ne vais pas aller coucher avec toutes les personnes dès notre premier rendez-vous."
"... Et tu veux sortir un peu avec lui avant... Pour quoi ? Pour mieux le connaître ?" Ginny dit cela avec un ton ironique.
"Ginny ! La vérité c'est que tu ne m'apporte pas de beaucoup d'aide."
"Qu'est-ce que tu as à perdre?"
"Et Ron?"
"Allez Hermione, vous n'êtes plus deux adolescents effrayés ! Vous êtes tous les deux des adultes avec de l'expérience... Surtout toi." Dit-elle en riant...
"Eh ! Tu n'es pas non plus un ange."
"Tu vois ? Au moins vous devriez essayer de parler... Sinon, qu'est-ce que tu vas faire ?"
"L'ignorer et attendre que mon fantasme passe ?"
"Et perdre l'occasion d'être heureuse. Et si Ron est l'homme que tu as toujours attendu ? Tu vas perdre tout ça ? Tu sais que si tu ne profites maintenant pas de cette occasion tu te demanderas toute la vie si tu as fait le bon choix. La vie offre quelques fois une seconde occasion... profites-en. Je l'ai fait et j'en suis que plus heureuse."
Ginny avait toujours cette habilité pour poser les questions gênantes, questions auxquelles elle préférerait ne pas répondre... Mais si elle avait raison... Ron était réellement l'homme le plus noble et le plus gentil qu'elle connaisse... bon, quand il le voulait. Quelle autre option avait-elle ? Elle pouvait seulement risquer et attendre le meilleur. Elle regarda à nouveau à Ginny. "D'accord... Comment je lui dis ?"
Ginny lui fit un sourire énorme "Vous n'avez qu'à venir dîner demain ?"
"Demain ? Si... tôt ?" Hermione sentit comme une sueur froide parcourir sa peau... elle respira profondément, en essayant de se calmer. Elle était seulement un peu anxieuse...
"Oui. Pourquoi attendre ? Après le dîner il se peut que nous ayon envie de prendre quelque chose tranquillement... disons... je ne sais pas... "Elle fit une pause, tandis qu'elle décidait du lieu... Bien que toutes les deux sachent que c'était du théâtre. "Disons... chez toi, par exemple... Après un instant je peux être très fatiguée et Harry et moi irons dormir... C'est seulement une question de bien calculer le nombre de verres pour laisser un Ron légèrement animé, chez toi et ta totale disposition." Elle fit un geste comme pour dire : Rien de plus facile !
Hermione la regarda avec un mélange d'effroi et d'étonnement. "Tu es tellement machiavélique... je me demandes pourquoi tu n'es pas allé à Serpentard."
Ginny était rayonnante. "Merci pour ce compliment... Bon alors, nous le faisons ?."
"Je ne sais pas... "Elle voulait réellement le faire... mais à la fois l'idée la paniquait.
"Allez... Ca sera super facile!"
"C'est bon... D'accord... Demain soir." Elle s'éloigna de Ginny et elle s'assit dans son soja, en regardant le feu et en se demandant comment elle s'était mise dans une situation comme celle-là.
Voilà un autre chapitre de fini ! J'attend toujours vos commentaires avec impatience !
Bye snows
