Chapitre 2 : La famille, les amis, … les emmerdes !
Oh ! Léo ! tu ne devrais pas dire ça !
Mais elle va me prendre ma chambre !
Mais … tu en aura une plus grande !
Oui mais c'est MA chambre !
Il n'y a pas de : oui mais …, cette pièce et la plus proche de notre chambre à nous, et ce sera donc la chambre de ta sœur ! Un bébé ça pleure , ça cris et ça a besoin que ça soit auprès de lui très vite ! en plus tu sera a l'autre bout du couloir et tu ne l'entendra pas ! ce qui ne sera pas le cas de moi et de ton père ….
Je vous présente mon angélique mère ! Oh mais excusez-moi , vous la connaissez déjà : Hermione Granger dans toute sa splendeur ! … et enceinte en plus ! Qu'ai je fais pour mériter ça ? Franchement je vous le demande ? Une petite sœur ? Mais à quoi ça va me servir ? Mon esprit subtil et démoniaque ne saurai s'encombré de tel … de tel …. chose ?
C'est la logique même ! … Crois-moi mon fils , tu me remerciera un jour , dit-elle en sortant de la pièce et en se dirigeant vers les escaliers.
"Ben voyons !"
Lorsque tu sera un jeune garçon en pleine trouble de l'adolescence ! tu me remerciera de t'avoir donner une chambre à l'autre bout du manoir ! continua-t-elle dans les escaliers, soudain elle s'arrêta comme si elle avait été pétrifier .Je remarquais son brusque silence et m'élançais à sa suite :
Maman , ça va ?
Euh … oui, pas de problème, c'est juste que ta sœur bouge beaucoup en ce moment , dit-elle dans un souffle . Je profitais d'être auprès d'elle pour étoffer mon argumentation :
Tu sais, j'y tien à cette chambre, elle a une grande valeur sentimental pour moi !
Je t'en prie Léo tu as changer 12 fois de chambre depuis que nous nous sommes installer , la 13ème , c'est la bonne !
Elle est comme ça ma mère, vous la connaissez bien : quand elle a un idée sur quelque chose , elle ne peut en démordre … même enceinte … surtout enceinte … c'est d'ailleurs pour cela que je ne pouvais lui avouer la véritable raison , pour laquelle je souhaitais tant garder cette chambre : j'y avais aménager , avec du temps , du courage et de la patience , quantités de caches secrètes où se trouvait accessoires de magies , ingrédients , livres de sorcelleries et carnets de notes contenant mes découvertes.
Nous descendîmes ensemble le grand escalier de pierre qui nous mené du 1èr étage dans le hall. Celui-ci était immense , avec des colonnes et un grand tapis, persan rouge broder d'or et de vert, en son centre . Les murs , qu'en à eux : en pierre comme le reste du manoir , était couvert de portrait de la famille Malfoy . Plus froid et immobiles les un que les autres. Mon père ne les aimait guères mais moi ils me faisaient rire : ses vieux types morts depuis des lustres qui croyaient devenir immortels au travers de simples morceaux de toiles et de taches de couleurs . J'aurais parier que ces portrait n'étaient mêmes pas fidèles.
Ce que je redoutai depuis le début de la matinée arriva : On sonna à la porte ! A peine fut-elle ouverte qu'un désordre sans nom s'invita dans le manoir ! d'ailleurs …. Ils étaient inviter : Mon « Tonton « Harry , sa femme et ses 3 enfants débarquèrent tel les américains en France occupée durant la 2nd guerre mondial , suivit de près par « Tonton « Ron qui tentait de rivaliser avec sa marmaille et son Fox-Terrier à poil long lancer à l'assaut, tel un fougueux déstrillé ( d'ailleurs il était monté ), du grand hall et animer de la foi de Don Quichotte à la poursuite de ses moulin géants . Je remarquais bien vite que, pour le coup , c'était moi le moulin, et je n'eus le temps que d'esquisser un mouvement d'auto défense lorsque le raz de marré poilu s'abattit sur moi ! Tandis , qu'il s'appliquait à me fournir gratis un nettoyage intégrale de mon visage , j'entendit une voix geignarde crié du sommet de son crane et que je reconnu trop bien :
LEO ! s'écria Rupert , le plus jeune fils de Tonton Ron , Tu veux zoué avec moia ?
Ai-je vraiment le choix ? dis-je en essayant de repousser le monstre mystique qui me labouré le torse a coup de griffes
Rupert ! Descend de là et va joué ailleurs avec Platon , s'écria une voix féminine que je reconnue encore . Mon cœur balança entre le soulagement soudain de voir quelqu'un arrivé a mon secours ( même si je m'en serai très bien sorti tous seul ) et la désagréable envie de fuir que provoqué l'approche de ma pire ennemie ….
Platon fini par se retirer , de mauvaise grâce il est vrai ( si un chien apprécie déjà tant le goût de ma peau qu'est ce que ça sera avec les filles plus tard ? ), et une poigne solide me souleva du sol où j'avais élu domicile quelques instants auparavant.
Hello Léo !
Salut , Nicky …
Cette fille si gracile et élancé , aux cheveux brun et aux yeux de braises qui se tenait devant moi , n'était autre que Nikky Potter , la fille aînée de mon très illustre tonton Harry. Elle avait le même age que moi et nous allions tous deux entrée à Poudlard dans quelques jours , avec un peu de malchance , nous nous retrouverons dans les mêmes cours ou pire : dans la même maison ! Je n'ai jamais su exactement ce que s'imaginaient nos parents lorsqu'ils disaient fièrement que nous étions les meilleurs amis du monde . Nous ne nous supportions pas ! Mais bien obligé de vivre côtes à côtes pour les besoins de la vieille amitié qui lié ma mère et son père , nous faisions bonne figure .
C'était une fille très sûre d'elle ,courageuse mais peu encline à faire ses devoirs, sportive et qui n'avait pas sa langue dans sa poche ( toujours à donner des conseil : « Fais ceci , fais cela , tu ne devrait pas dire ceci , dire cela , parler comme ça , insulter les gens , penser ça , etc …. «) .Seulement voilà : elle était la seule personne vivante sur cette terre capable de me suivre partout dans les péripéties que je m'inventai lorsque nous étions petits , bien que ça présence m'exaspéra au plus haut point ….
Alors ?
Je la regardai perplexe avec le mauvais pressentiment qu'elle allait mettre sur le tapis quelque chose dont je n'avais nullement envie de parler :
Alors quoi ?
Tu as préparé tes bagages pour Poudlard ?
Hem ….. pas encore …..
J' en étais sûre ! Il faut toujours que tu t'y prenne à la dernière minutes ! C'est incroyable ça ! Combien de fois je t'ai dis de …
Si tu en étais si sûre que ça , dis-je en m'éloignant vers le grand salon où tous le monde étaient partie, pourquoi me poser la question ?
Parce que j'ai fais un pari avec mon père !
Un pari comme quoi je n'aurai pas encore fais mon sac ? dis-je alors que je commençai à m'énerver , Mais c'est stupide !
C' était pour qu'il arrête de me dire de le faire , tu sais bien qu'il te prend toujours en exemple !
Je m'arrêtais brusquement et elle failli bien me foncer dedans , je me retourner lentement , m'attendant presque à la réponse :
Et … tu l'as fais ?dis-je doucement , presque avec gentillesse .
Ben non , répondit-elle en levant les yeux au ciel comme si il s'agissait de l'évidence même , c'est d'ailleurs pour ça qu'on a fait un pari !
MAIS ALORS, POURQUOI TU TE PERMETS DE CRITIQUER ?
Ah mais, moi, c'est pas pareil ! lâcha t-elle simplement en s'en allant.
Pitié Seigneur ! dites moi se que j'ai fais pour mérité ça ?
Tu as beaucoup péché mon fils ! dit alors mon père qui sortait de son bureau juste à se moment là .
Je tournais la tête pour le regarder et lui sourit de ce sourire que nous savions tous deux faire : qui signifié que le monde n'était qu'une vaste mascarade et comme si nous étions les seuls à le savoir….. Il me le rendit . Il s'approcha de moi :
Viens Léo , allons affronter l'arène , me dit il.
Et nous entrâmes dans le salon.
