Chapitre 6 : Potions, baguettes et petites embrouilles .

Je suivais donc la trace de mes ancêtres paternel. Serpentard. J'ignorai si mes parents allait être heureux, de toutes façon j'avais une personnalité tellement vaste que je pouvais appartenir à toutes les maisons en mêmes temps comme à aucune d'entre elle. Fièrement, je me dirigeais vers la table recouverte de vert où je fus acclamer tel le messie en terre promise par mes petits camarades. Derrière moi , Nicky avançait , tremblante, jusqu'au tabouret. Son nom avait provoqué le même vague d'étonnement et de curiosité que le mien , quoique plus conséquente. A la différence de son père quelques années plus tôt , le Choipeau se décida rapidement :

GRIFFONDOR !

Je soupirais d'aise : nous n'aurions pas à nous supporter continuellement pendant 7 ans. Je me retournai pour voir Nikky courir vers la table des Griffondor , rejoindre Melchior qui la félicita. En revanche un frisson me parcouru le dos lorsque Tryn vint me rejoindre. Une de perdu , une de retrouvée ! pensais-je alors qu'elle s'asseyait en face de moi.

Tout au long du repas je fus , comment dire , courtiser par les plus jeunes des Serpentard : les autres se croyant trop bien pour m'adresser la parole . Etait-ce de la peur que je lisais dans leurs yeux ? Ma réputation ou plutôt celle de mes ancêtres m'avait-elle dépassé jusqu'ici ? Pourtant ils devaient savoir que mon père n'était pas de ce genre , et moi non plus ! …. Enfin , pas trop. Je savait que mon visage reflétait une parti de mon caractère : froid, cruel , dédaigneux et impitoyable, et que les pouvoirs magiques que je possédais été visible telle une aura palpable autour de moi. Je décidais de les ignorer mais j'aurais voulu discuter avec des élèves plus vieux car les gamins qui me faisaient la conversation m'ennuyaient profondément.

Cela continua lorsque nous arrivâmes dans les dortoirs . Je remarquais que l'école ne se fichait pas de ses élèves : chacun d'entre nous avait un lit à baldaquin avec un matelas confortable , plusieurs oreillers et de somptueuses couvertures très douce , ainsi que sa propre armoire pour ranger ses affaires. J'élu domicile dans un des angles statégique de la pièce en espérant être plus tranquille.

Etrangement , j'eus peine à trouver le sommeil cette première nuit et lorsque je m'endormis enfin je fis un cauchemar.

Voici donc comment se déroula mon entrée à Poudlard.

Les cours reprirent bien vites et je m'ennuyais à mourir sachant déjà tous le programme de la première année à la cinquième grâce aux bon soin de mes parents et ayant approfondis mes connaissances par des recherches personnelles menées en cachette, dans le dos de ma mère.

J'avais essayé de découvrir, par mis les gens de ma maison et même des autres, quelques caractères compatible et à la hauteur du mien, mais on ne me témoignais que respect , admiration et crainte face aux talents que j'avais pu démontrer en cours. Ce n'était un secret pour personne que je les méprisais pour leur stupidité, leur arrogance mal placé et enfantine et ils avaient été choqué lorsque je leur en avais fais part. Ma mère n'aurait sûrement pas aimé savoir ça. J'étais assez déçu de mes camarades Serpentard car je pensais trouver des gens intelligents et mature dans cette maison.

Pour tuer le temps, je m'appliquai à enfreindre les règles de l'école, piquai des livres interdits dans la réserve de la bibliothèque, agaçais mes enseignants par mon génie et mon immense savoir, m'introduisais la nuit dans les salles fermées à clef, explorai le château dans ses moindres détails et découvris plusieurs passages secrets menant à l'extérieur. Je venais d'ailleurs d'en explorer un qui conduisait du couloir des Griffondors jusque dans les cachots lorsqu'une voix bien connue se fit entendre :

Tiens ! Léo ! Qu'est ce que tu fais là ? Tu nous cherchais ?

Je me retournais d'un bloc pour tomber sur Nicky . Derrière elle se tenait Melchior. C'est deux là traînaient toujours ensemble depuis le début de l'année. J'appréciai beaucoup ce garçon car il était perspicace, compréhensif, subtil et discret : je lui avais confié quelques une de mes découvertes , choses que je n'aurais pas fait avec Nikky . Il compris immédiatement ma présence en cette endroit.

Vient Nikky , dit-il en lui prenant doucement le bras, Léo attend seulement le professeur Holmes et nous on doit aller en cours !

Attend , cria-t-elle en se dégageant, Léo il faut que je te disent quelques choses….

Elle jeta un regard au alentours . Il n'y avait personne . J e savais depuis longtemps qu'elle adorait faire des mystères.

L'autre jour, on a entendu les Serpentard discuter à la grande table…. Ils ne t'aiment pas beaucoup. Je te conseil de faire attention à toi !

Mais quel scoop dis-moi ! Heureusement que tu me le dis : je n'aurais jamais deviné tous seul !

Ils n'apprécient pas que tu sois amis avec nous , qui sommes des Griffondors ! Certains préparent quelque chose contre toi , dit alors Melchior.

Je réfléchis quelques instant. Les Serpentards ne m'intéressais guères, c'était des gens sans aucunes fierté, tricheur, menteurs, calculateurs et hypocrites. Je m'étais vite éloigné d'eux comme de la peste . Il valait mieux être seul que mal accompagné. Je m'était tourné vers mes compagnons de voyage.

Conan était un type sympathique et ouvert, qui passait son temps a écrire des histoires et a faire rire tous le monde, il n'écoutait pas beaucoup en cours mais était apprécié des professeurs.

Malabulle ( comme je préférai l'appeler ) était une sorte de Hermione Granger, taille miniature , studieuse, plongée dans ces livres mais aussi fan de musique rock : elle m'avait confié qu'elle possédait une guitare électrique et qu'elle jouait avec un groupe d'amies à l'occasion. Je n'avais aucun mal à l'imaginé habillé en punk en train de se défouler sur sa pauvre guitare : ça me faisais rire. Inutile de vous faire un dessin pour vous dire que les Serpentard n'apprécié pas ces 4 là . Je fronçais les sourcils :

Qui peut bien être assez stupide pour vouloir se mesurer à moi ?

Euh … nous avons pensé … peut-être Tryn …

Oh non , pas elle : je me suis fait une idée de cette fille, croyez le ou non , ce n'est pas son genre ! En tous cas se ne sera pas elle qui aura monter la tête aux autres .

En effet , elle était une des rares personnes que j'avais vite cerné. D'abord gentille et souriante , elle avait su se faire apprécier de tous, puis ayant emmagasiné de l'influence et du pouvoir et c'était faite la reine de Serpentard, dictant les ordres et désignant les faibles qui ne méritaient que le mépris d'autrui. C'était une ambitieuse et nous avions eut des maux lorsqu'elle avait tenter de me faire plié à un de ses caprices. Voyant que, à l'évidence, j'étais plus fort qu'elle et que je n'avais nul envie de m'entourer d'une cour pour contrecarré ses plans : nous nous tenions a distance l'un de l'autre et elle me témoignai une sorte de respect tandis que je l'ignorais superbement. Face à cette accord placide, ceux de sa bande qui trouvaient à redire sur la grande assurance dont je faisais preuve ne pouvaient avoir sa bénédiction pour s'en prendre à moi. Ainsi allait la vie à Poudlard !

Je murmurais quelques remerciement en remarquant que mon cours de potions devait avoir déjà commencé. Je priai intérieurement pour que les 2 Griffondors mettent les voiles le plus vite possible : je n'avais pas envies de m'attarder sur les commentaires de Nicky lorsque j'ouvrirai le passage secret ! Heureusement , Melchior ( béni soit-il ) lui rappela l'heure et eux-mêmes partir en 4ème vitesse vers la tour d'astronomie. Je m'enfonçais dans le couloir sombre et débarquais en trombe dans la salle de cours.

Ah ! vous voilà enfin monsieur Malfoy ! s'exclama le professeur Harker : une jeune femme à l'air sévère, aux cheveux brun et long avec des yeux marron où brillait un éclat dur.

Asseyez-vous là, au premier rang, a côté de Melle Sanders, puis que vous êtes en retard.

Sans rechigner je m'installais à côté de la Serpentarde lorsque j'entendis un ricanement dans le fond de la salle , en tournant la tête j'eus le temps de voir qu'on caché quelque chose sous une table en regardant dans ma direction. Je me rassis normalement sur ma chaise avec le mauvais pressentiment qu'il allait se passer quelques choses dans les prochaines minutes.