Chapitre 28 : Une journée en enfer.
Je marchais tranquillement dans un couloir. On était samedi matin. J'étais levé depuis 8 heures : il en était 10 et je ne savais plus quoi faire. Pourtant vous devez vous dire que je devais avoir des tonnes de choses à faire ! Notamment réunir mes parents ? Ben non ! Ils étaient sur la bonne pente : il y avait plus qu'a laissé couler ! J'avais déjà était voir Hagrid qui m'avait parlé des Dragons. Il était intarissable sur le sujet. Je lui avais montré un dessin du Dragon de Drago que j'avais fait, il y a quelques jours et il avait déclaré fièrement que cette espèce n'existait pas où alors il n'était plus un semi-géant.
A la bibliothèque j'avais trouvé un sort d'amnésie assez puissant et précis pour nous enlever, moi et Nicky, de la mémoire de tous les habitants de Poudlard au cas où nous repartirions un jour. Par contre sur ça, je n'avais trouvé aucun sort, aucun objet ou autre moyen de revenir dans le future. Et y revenir nous même ! C'est à dire que je ne comptais pas me retrouver face à face avec un autre Léo Malfoy ou une deuxième Nicky Potter ! Bref ! Que nous retournions dans notre monde ! Pareil pour les tatouages mouvants. Il était techniquement impossible, m'expliqua Mme Pince, à qui je m'adressais en désespoirs de cause, de faire un tel tatouage sur un être vivant ! Ce n'était pas possible ! Je lorgnais alors sur les livres de magie noire soigneusement cacher dans la réserve.
Quant à ma magie des chats, j'appris que cela s'appeler la Cattuslingua et que c'était un don plutôt rare, plus souvent rencontré en Afrique avec les grands félins que dans une Angleterre humide avec leur lointain cousins. La communication avec ces animaux, disait l'auteur, est rare car ce sont des êtres fiers et solitaires. C'est pour cela qu'ils s'adressent surtout à leur égal humain possédant le pouvoir de les entendre. En effet, les personnes capable de conversé avec les chats ont souvent les même caractères que les animaux sacrés. Donc si le don de parler avec eux est déjà peu répondu, le nombre de ceux qui conversent avec est encore plus minime.
L'auteur conseillait aussi aux possesseur d'un tel pouvoir, ou d'un autre touchant au animaux, de faire attention à ne pas pas devenir trop « sauvage ». Ainsi, une personne capable de se transformer en loup, par exemple, pourrait prendre, s'il utilise son pouvoir trop souvent où n'as pas la force mentale pour résister à son influence, les mêmes habitudes ou mimique de cet animal : la personne adoptera un régime alimentaire riche en viande, une fâcheuse tendance à ce balader la nuit, à avoir peur de ses semblables humains ou à tourner la tête sur le côté pour mordre dans ses aliments comme le ferai un animal. Je reposais le livre un peu terrifié par ce nouvel élément que je ne maîtrisais pas et dont il me semblait déjà sentir les symptômes sur moi : pourquoi recherchais-je la chaleur et le confort, fixais-je les gens sans ciller lorsqu'ils me parlaient, avec j'envie qu'on me gratte la tête derrières les oreilles, avait j'envie de m'allonger ou de m'asseoir partout ou cela était possible et d'où, diable, avais-je chopé cette habitude de m'étirer sans arrêt !
Donc en marchant dans les couloirs je pensais à la seule chose que je ne pouvais pas régler. Contre laquelle je ne pouvais rien faire : Nicky Potter. Cette fille était amoureuse de moi ? Comment faisait-elle ? Je n'avais jamais était gentil, doux, ou charmant avec elle…Au contraire, je lui réservais mes pires humeurs noires et mes répliques les plus cinglantes…et ça depuis que nous étions petits. Et puis, ça me dérangeait quoi ! C'était …comme ma petite sœur quoi ! C'était incestueux et ça m'effrayait même si je trouvais que c'était un joli mot. Et puis je repensais à cet inhabituel picotement au creux de l'estomac quand elle s'était détournée de moi avec le gars aux yeux bleus …et puis aussi lorsqu'elle avait pleuré dans la grande salle hier matin…Je l'aimais bien, c'était tous ! Et elle aussi elle m'aimait bien : elle devait ce tromper sur la nature de ses sentiments. Les filles : un sourire plus chaleureux que d'habitude et elles s'imaginent déjà mariée !
J'avais d'abord songeai à lui passer un savon pour lui demander pourquoi elle m'avait jamais rien dit et puis je trouvais ça soûlant. Je crois que je ne vais même pas me moquer d'elle, me disais-je en tournant à l'angle d'un couloir, c'est trop fatigant ! Non, je pense que je vais simplement lui dire ….
Soudain, un objet non identifié me percuta de plein fouet et je m'étalais par terre.
Oups ! Pardon ! S'exclama Ron alors qu'il était allongé de tout son long sur moi.
Pas de mal j'espère, me demanda t il en m'aidant à me relever.
Non je viens juste de me faire écraser par un fou furieux qui fait deux fois mon poids tout mouillé ! grimaçais je.
Mais déjà, le rouquin ne s'occupait plus de moi. Il regarda nerveusement dans le couloir d'où je venais et dans l'autre sens.
T'as pas vu Harry ? Me demanda t il impatiemment.
Si ! Il discutait avec un vieux type en rouge qui a garé son traîneau dans la cour de devant, dis je le plus naturellement du monde.
Super ! Merci ! S'écria Ron en faisant demi-tour.
J'épousetais en souriant mon pull noir puis relevé la tête : il était de nouveau devant moi.
Arrête de te foutre moi !
Désolé mais tu me tends la perche quand même ! Pourquoi tu le suis ?
Ron trépignai sur place mais commençait à se rendre compte qu'il ne retrouverai pas le survivant.
Pour savoir c'est qui ça petite amie !
Laisse tomber, y a personne qui a réussi !
Je …je crois savoir qui c'est en fait, me dis t-il en me regardant de côté.
Ben vas-y ! Accouche !
Parce que tu crois que je vais te le dire ?
T'en meurt d'envie !
Il me fixa un moment tout en continuant de marcher dans tous les sens.
Non ! De toute façon j'en suis pas sûr ! Parlons d'autres choses : Malfoy !
C'est à moi que tu parle ou tu veux parler de mon père ?
Ron fit la grimace, apparemment dégoûté d'imaginer Hermione avec son pire ennemi.
Sérieux : ils sont toujours ensemble dans le futur ?
Plus que jamais, répondis-je, et vous êtes les meilleurs amis du monde !
Argh ! fit il en devenant tout vert, c'est pas possible ! Il me fera avaler du poison ou quoi ?
Mais non ! Soupirais-je, si tu veux garder Hermione faudra que tu fasses des efforts envers lui !
Et puis quoi encore ? Sais-tu que ton père est un vrai connard ? Une fouine arrogante pourrie gâtée et pleurnicharde ? Ce type est totalement imbu de sa personne ! C'est une vraie mauviette et se croit mieux que les autres parce que son père à de l'argent ! Argent qu'il a même pas gagner honnêtement d'ailleurs !
Là d'où je viens : il n'est pas comme ça ! Et puis merde ! Tu te prends pour qui ? Monsieur j'ai peur des araignées ?
Je n'avais pas haussais la voix même si son discours sur mon père m'avait énervé et je m'en allais ailleurs car ce type me soûlait au plus au point ! Je décidais d'aller ennuyer Drago ! Et Pattenrond tien aussi ! On allait voir s'il voulait pas me parler tien !
Pour une fois je décidais de toquer au tableau au lieu d'enter comme si c'était chez moi.
Eh ! S'écria le petit angelot peint dessus.
Oh ! La ferme ! T'es un tableau : tu sens rien !
C'est pas une raison …. Répondit le chérubin en allant bouder sur la branche d'un arbre.
Drago écarta le cadre.
T'as perdu le mot de passe ?
Nan, mais à l'avenir je pense qu'il me laissera plus entrer ! Dis j'en désignant la toile.
La douce chaleur du petit salon était à la bonne température : pas trop fraîche pas trop chaude. J'émis un petit raclement de gorge de satisfaction. Drago me regarda d'une drôle de façon :
Euh … c'est moi ou tu viens de ronronner ?
Hein ? Quoi ? euh …non, non …
Et merde ! Il fallait vraiment que je fasse gaffe. Je résistais à l'envie de m'allonger en boule sur le divan près du feu et m'assoyais plutôt sur une chaise en face de Drago. Il écrivait sur un petit parchemin déroulé devant lui sur son bureau. Il se tenait très droit, assit au bord de la chaise, les coude le long du corps.
Tu as encore mal ? Lui demandais-je inutilement.
Il hocha simplement la tête. Je détaillais un peu la pièce pour finir par tomber sur Pattenrond qui faisait sa toilette près de la verrière. Je me concentrais un moment sur lui. S'il pouvait parler dans ma tête sans remuer les babines, je pouvais sûrement faire pareil !
Salut le chat, pensais je très fort.
Il arrêta de se lécher le dos pour me fixer des yeux. Satisfait je m'apuyais plus confortablement à la chaise et croisais les jambes :
Tu aime la truite toi aussi ? Demandais toujours en silence.
Le matou continuait de ma regarder, peut-être ne m'entendait il pas !
Parce que tu vois, c'est le plat préféré de Miss Teigne !
Ca lui va bien d'avoir des goûts comme ça ! Répondit le chat en reprenant sa toilette.
Mon bonheur ne connaissait plus de limite : j'avais le pouvoir de parler à ces animaux sacrés et ils me répondaient. $
Ah oui ? Tu n'aime pas la truite ?
Non, c'est un poisson qui vit dans les eaux sales et troubles ! Moi j'aime le saumon…
Monsieur a des goûts de luxe !
Je le vaux bien ! Répondit le chat le plus sérieusement du monde.
J'imagine que Hermione ne dois pas t'en donner souvent….
Non. Elle est gentille : elle me gratte derrière les oreilles et elle me brosse le poil très doucement. Mais elle ne me donne pas de saumon.
Et si je t'en ramener ? En échange de quelques chose.
Le chat s'arrêta et me fixa à nouveau. J'observais sa grosse tête écrasée et ses petits yeux méfiants. Il me faisait penser à un parrain de la mafia des chats !
La question c'est ça ? Tu me rapporte le saumon et je te dis ce que tu veux savoir !
C'est d'accord !
Il se leva et d'une démarche chaloupée se dirigea vers l'entrée. Hermione entra à ce moment là. Elle avait les cheveux en bataille, des cernes en dessous des yeux mais affichait un sourire rayonnant. Pattenrond se frotta à ses jambes pale en ronronnant et celle ci s'accroupit pour le caresser. Je croisais le regard brûlant de jalousie de Drago. Je me mis à rire sans raison.
Coucou vous deux ! Lança la préfète en s'avançant vers nous.
A sa suite entrèrent Lavande et Parvati qui gloussait comme des dindes et une Nicky un peu fatigué qui avait du mal a suivre le mouvement. Les deux compères s'arrêtèrent devant la porte d'Hermione et semblèrent remarquer que nous étions là.
Bonjours Drago ! Dirent t elle en cœur en le dévisageant.
Bonjours Mesdemoiselles ! Répondit doucement Drago étonner pas cette amabilité et se demandant si on était pas entrain de l'analyser pour quelques raisons obscures.
S'lut … marmonna Nicky en se laissant tomber dans le divan.
Je me levais un peu trop vite pour aller vers elle, si bien que les deux filles me suivirent du regard tandis qu'Hermione était entré dans sa chambre.
Euh …Nicky …euh …faudra qu'on parle …après…
Elle ne me regarda pas mais le rouge lui monta instantanément au joues. Les deux autres gloussèrent. Je les regardais brusquement et leur fit la démonstration de mon regard le plus noir et le plus méprisant. Elle s'arrêtèrent immédiatement, embarrassées. Heureusement pour elles Hermione, toujours le sourire aux lèvres, ressortait de ça chambre.
Les filles et moi, allons faire des emplettes à Pré au Lard ! Annonça t'elle gaiement à l'intention de Drago.
Euh …tu fais ce que tu veux …
Elle lui jeta un petit coup d'œil et ses pommettes se colorèrent.
On y va ? Demanda Lavande impatiente.
Nicky s'extirpa du divan à regrets. J'essayais de capter un signe quelconque d'attention mais elle s'éloignait déjà.
Bonne journée ! lançais je un peu déçu.
Ah ! Mais non ! S'écria Hermione en sautillant vers moi ce qui m'effraya parce que je n'avais jamais vu ma mère sautiller, Tu viens avec nous !
QUOI !Dis –j'en ayant peur de comprendre.
On a besoin d'un porteur ! expliqua Lavande
On a pensé que tu serrais bien pour ce rôle ! Ajouta Parvati.
Je la fusillais du regard : certain que c'était elle qui avait eut l'idée.
Et puis on a besoin d'un avis masculin ! S'exclama joyeusement Hermione en passant un bras autour de mes épaules.
Nicky s'était pris la tête entre les mains, désespérée !
Quoi ? Mais non je … ! Me défendis-je mais déjà les 3 filles de 7ème année me poussaient vers la sortie sous l'œil horrifié de mon amoureuse secrète.
Bonne journée ! cria Drago hilare devant mon kidnapping
Ca va être génial ! S'écriaient les filles en descendant à toutes allures les couloirs de l'école.
On va faire des centaines de magasins !
Il faut que je me trouve une belle robe pour le bal !
Et moi il faut que je renflou mon stock de maquillage !
Oh ! Je connais un petit magasin très mignon à l'angle de la rue …
Elles me poussaient devant elles, Hermione accrochée à mon bras, Lavande et Parvati discutant avec effusions et Nicky trottinant derrière le groupe. Je savais que lajournée allait être longue et j'en étais malade rien qu'a l'idée. Une fois installées dans les calèches sans qu'on ne m'ait toujours pas demandé mon avis, on m'assura que je serais payé 2 galions de l'heure et on m'expliqua le véritable but de cette sortie : qu'en tant que personne la plus proche de Drago, je me devais de les éclairer de mes lumières sur ses goûts en filles, car ne le savais-je pas ? Hermione avait décidé, poussée par ses amies, de renouveler sa garde robe pour séduire le beau Serpentards. Hermione leur avait assuré que j'étais un garçon a-do-ra-ble et que je me prêterai de bonne grâce au jeu. On ne pouvait pas être plus loin de la vérité ! Personne sur terre ne souhaitait plus que moi, se trouver ailleurs. Sauf peut être Nicky.
Une fois débarquées à Pré au Lard, on me traîna de boutiques en boutiques et je me retrouvais vite à crouler sous les paquets. Et encore : il n'y avait que Parvati qui avait fait des achats pour le moment ! Je haïssais cette fille profondément !
Mmmm…je trouve que le bleu t'ira mieux, avança t elle en conseillant Hermione sur la couleur de son ombre à paupière.
Mais non voyons, s'écria Lavande indignée, elle a les cheveux bruns ! Il lui faut un maquillage de couleur chaude ! Du rose ou un beau rouge orangé !
Et pourquoi pas du violet, proposa Nicky, ça ferait un beau compromis.
Les trois filles la regardèrent : Parvati horrifiée, Hermione hésitante et Lavande étonné.
Non ! Répondirent les deux autres alors qu'Hermione allait ouvrir la bouche.
Et elles repartirent en conjonctures inutiles. Nicky soupira : un peu déprimé d'être ainsi laissé sur le côté. Je la regardais, compatissant. Je m'étais trouvé un coin tranquille près de la vitrine ou je m'étais affalé, entouré de tous les paquets, reprenant doucement mon souffle. Nicky vint s'asseoir à côté de moi, la mine triste. Je jugeais que ce n'était pas le moment de lui parler de ce qu'elles avaient dit hier soir.
Tu sais j'ai mentis hier ! Me dit elle soudain.
A propos de quoi ? Répondis j'en faisant mine de ne pas comprendre.
Quand j'ai dis que j'étais …amoureuse de toi …
Ah bon ? Alors pourquoi tu parle de moi à Hermione le soir dans les cuisines ?
J'ai pensé que si je disais à Hermione que j'étais dans la même situation qu'elle …elle se confierait plus facilement à moi…
Je savais qu'elle mentait : il y avait tellement de chose qui collait que ça ne pouvait pas en êtes autrement. Mais je ne voulais pas détruire notre amitié : je tenais trop à nos petites engueulades, à nos secrets, à nos plans pour sauver le monde…alors pourquoi pas lui laissait penser que je la croyais ?
Très ingénieux, répondis-je doucement, mais la prochaine fois j'aimerai que tu me mettes au courant ! Non, mais c'est vrai ! J'ai failli avoir une crise cardiaque moi hier soir !
Ah bon ? Dommage que ça ne t'aie pas achevé !
Sale peste !
Elle me regarda enfin, dans les yeux, et me sourit. Je la connaissais bien ma petite Nicky ! Tous de même ! …Ma petite Nicky ? Mais qu'est ce qui me prend à moi ?
Mademoiselle ! Finit par s'écrier Hermione en appelant l'hôtesse alors que c'est deux amies s'entretuée pour savoir qui avait raison sur l'utilité du nouveau mascara bleu et noir camouflage d'Envoûtement & Cie. La vendeuse conseilla la jeune femme et on finit par acheter un ensemble de maquillage dans les tons or et miel ambré.
On devrait faire quelques chose pour tes cheveux chérie ! S'écria Parvati en sortant du magasin et en se remettant du fond de teint pour cacher son œil au beurre noir.
Je sais pas, dis calmement Hermione, je crois que Drago aime bien mes cheveux comme ils sont … il ne trouvait pas ça bien lorsque je les ai lissé, la dernière fois.
Mon dieu, mais ce mec à des goûts horribles ! Dit Lavande qui enlevait les traces de mascaras qui avait coulé pendant la bataille, sans vouloir te vexer ma puce !
Je n'ai pas non plus envie de passer des heures devant la glace ! Répliqua Hermione s'énervant un peu, Chasser le naturel il revient au gallot !
Drago aime les filles naturelles ! Réussis j'à placer alors qu'elles s'engouffraient dans un nouveau magasin, Inutile de jouer sur ce genre de détail qui disparaissent immédiatement après une nuit agitée.
Elles me regardèrent un peu intrigué de ma science et Hermione déclara que j'avais sûrement raison car ça allait sous le coup du bon sens et que c'était un garçon qui parlait et non une fille fashion victime. Ses amies prirent note de l'allusion à elles-mêmes et conseillère Hermione plus que jamais. Si vous étiez venu cet après midi là, dans le centre ville de Pré au Lard, vous seriez certainement tomber sur une bande de folles suivit d'une petite fille et d'un garçon du même age chargé de paquet, écumant les rues en tous sens.
Car à présent, même Nicky devait mettre la main à la pâte : nous n'avions eut que peu d'argent de la part de Dumbledore mais pas assez pour qu'elle se permette de faire les magasins comme ses copines. En conséquence, elle partait quelques paquet comme moi. Au bout 'un moment, nous entrâmes dans un magasin extrêmement cher mais qui avait, il faut l'avouer, des articles magnifiques et originaux. Les filles commencèrent à essayer tous et n'importent en riant comme des petites folles. Même Nicky commençait à se prendre au jeu.
Eh ! On a 11 ans, lui dis-je, tu trouveras rien à ta taille ici ! Et tu peux rien acheter !
Je sais ! C'est juste pour rire ! Dis, tu es un gentleman toi, non ?
Euh oui. Du moins c'est une réputation que j'aimerai bien avoir, répondis-je méfiant.
Alors pourrais tu porte MES paquets pendant que j'essaye des trucs avec les filles ?
Aïe ! Encore pris à mon propre piège. Déjà parce que c'était moi qui avais voulu qu'Hermione se confie à ses copines et qu'elle l'aide, et maintenant par ma galanterie. Le vigile du magasin me regarda d'un air compatissant. Je lui demandais si je pouvais les laisser dans un coin pour qu'ils n'encombrent pas le passage et me dirigeait de là où provenaient les cris. Je découvris Hermione dans un mini défilé : Elle portait un haut jaune or qui découvrait ses épaules et finissait en voiles sur ses bras et sa taille, une petite jupe brune qui présentait des imitations de déchirure et de re-coutures pour finir en plis sur ces genoux et une paire de bottes à talon plat, en cuir, qui me faisait penser à des bottes de cowboy. Elle avait l'air d'une sauvageonne sortit tout droit de son Texas natal pour partir à l'aventure.
Il ne manque plus que le chapeau et le fouet et on t'appellera Indiana Granger ! Disaient les filles en riants.
Hermione se regardait dans la glace avec un grand sourire satisfait :
Qu'est ce que je me sens bien comme ça ! J'ai l'impression que rien ne pourrait m 'arrêter !
Et personne te résister, ajouta Parvati avec les yeux brillant de joie pour son amie.
Oui ! Dis fièrement Hermione en faisant la toupie ce qui fit gracieusement voler sa jupe.
Dommage que ce soir si chère …finit elle par dire avec un sourire triste.
Parvati et Lavande soupirèrent à l'unissons, elle aussi déçu que Hermione ne puissent pas posséder cet ensemble. Puis comme s'il y avait un câble qui communiquait entre leurs cerveaux elles se regardèrent avec des yeux malicieux.
Est-ce que tu penses à ce que je pense ? demanda Lavande à son amie
Oui je pense que tu pense à ce que je pense ! S'exclama Parvati.
Pour ma part je doutais qu'elles pensent beaucoup.
On va te le payer ! Annoncèrent t elles en cœur à une Hermione qui sortait de la cabine déjà changée.
Qu … QUOI ?
Cet ensemble te va à merveille ! On dirait qu'il n'attendait que toi ! C'est trop bête de laisser passer ça ! On a qu'a tous y mettre une part et il sera à toi !
Non, non, mais vous êtes folles ? Il vaut au moins 3000 galions !
2950, rectifia Parvati, et puis ça nous fait trop plaisir ! Les amies c'est fait pour ça !
Mais je ne pourrais jamais vous rembourser ! Et puis …je m'en voudrais de vous devoir quelques choses….Non, non, je ne prendrai pas cet ensemble !
Tu ne nous dois rien ! S'énerva gentiment Lavande, on a qu'a dire que c'est ton cadeau d'anniversaire ! Même si c'est que dans 4 mois !
Mais …mais …objectait Hermione alors que ses amies l'a poussaient déjà vers la caisse en tenant les habits dans les mains.
L'affaire fut vite réglée avec le sourire aux lèvres des 3 filles. Une fois dehors, Hermione les enlaça en pleurant doucement.
Merci, Merci, vous pouvez pas savoir à quel point ça me fait plaisir ! Pas d'avoir cet ensemble mais 'avoir de vraies amies comme vous ! Je n'aurais jamais pensé que vous feriez ça pour moi !
Les deux autres se mirent à rire et à la gronder pour avoir pu penser ça. Elles avaient aussi les larmes aux yeux. Même Nicky se laissait émouvoir par cette scène. Moi, charger comme un mulet, je soufflais et levé les yeux au ciel.
C'est d'un pathétique ! dis je sarcastique.
Cette dépense onéreuse n'empêchas pas les filles de continuer à faire les magasins et d'essayer de me tuer sous les paquets Il faut dire que les essayages allaient très vite ce qui permettait de trouver plus de choses et de faire plus de magasin. En effet : il suffisait d'entrer dans la cabine avec les vêtements désirés et vous étiez habiller en un clin d'œil grâce à un sort automatique. Les filles découvrir des pulls et pantalon qui changeaient de couleur à volonté selon, le temps, la saison, l'humeur ou tous simplement les autres habits que vous portier et en firent cargaison. Elles firent un détour par la parfumerie ou je n'entrais même pas car avec tous mes bagages, je ne passai même pas l'encadrement de la porte. Heureusement elle ressortirent très vite et on me fit encore don de deux sacs.
A la fin, je ne voyais même plus devant moi et c'était Nicky qui était obligé de me diriger au son de sa voix :
Tout droit. Tout droit. Tourne à gauche. Attention lève le pied ! C'est bon ! Encore …s'ailler !
Tu peux poser tes affaires Léo ! Me déclara Lavande alors que nous étions entrés, d'après ce que je pouvais sentir, dans une petite boutique.
Je ne me fis pas prier et posé les nombreux sacs aussi délicatement que je pu avant de m'écrouler sur une chaise qu'on avança derrière moi. Au bout d'un moment, je regardais autour de moi et rougis encore plus mais ce n'était pas sous l'effet de l'effort cette fois.
Tu as de la chance Léo, m'annonça Parvati, tu n'as que 11 onze ans mais tu entre déjà dans le saint des saints des magasins féminins …
Le magasin de Lingerie ! Poursuivit Lavande.
Bon, je pense que vous êtes, pour la plupart, des lectrices et que vous savez par conséquent à quoi ressemble ce genre de boutique ! Pour les mecs, s'il y en a, celui ou je me trouvais était assez petit et intime. C'était une échoppe au lambris de chêne vernis où le soleil entrait joyeusement par le sommet des vitrines qui n'était pas cacher par des piles et des piles de boite. Il y avait accroché aux murs au sur des mannequins ou des étagères des centaines d'ensemble de soutiens gorges, petites culottes ou soutien gorge, string, ou encore des corsets et des portes jarretelles ainsi que de nombreuse pièce dont je ne savais pas le nom ainsi que des pyjamas féminins, des nuisettes ou des robes e chambres de soies.
J'avalais ma salive avec difficulté. Puis j'essayais de me reconcentrer sur Lavande.
Oui, parce que tu vois, notre petite Mione, si elle veut sortir avec Drago Malfoy, et ben il va bien y avoir un moment ou ils vont vouloir faire plus …intimement connaissance, si tu vois de quoi je parle ?
Ben …
Et il faudra bien qu'elle ait quelques chose à se mette ! Parce que si t'a pas pas la bonne lingerie ça tue tous ! T'es pas d'accords ?
Je …
Donc il est plus que temps qu'elle s'achète quelques chose d'acceptable du point de vue truc sexy ! Tu sais pas par hasard quel genre de lingerie il aime ton copain ?
Euh …lingerie ?
Ben oui ! C'est quoi qu'il trouve le plus sexy ? Les strings ? Les culottes ? Est-ce qu'il aime bien la dentelle ? Et puis c'est quoi sa couleur préférée ? M'interrogea t'elle sans pitié.
Euh …répondis je déstabilisé.
Tu ne pense pas qu'elle devrait déjà choisir quelques chose dans lequel elle ce sente bien au lieu de penser à ce que voudrait monsieur ? Dis Parvati en ricanant.
Hum …je suis d'accord avec elle, réussis-je à articuler.
Une femme d'age mur arriva et leur demanda si elles pouvaient les aider. Voyant que j'étais là, elle les entraîna dans le fond de la boutique derrière un mur opaque de boite empilé. Nicky suivit. Je demandais à la dame si je pouvais avoir un verre d'eau et elle me dirigea vers l'arrière boutique. Encore des boites. Pourtant l'atmosphère du magasin était loin d'être étouffante. On sentait une odeur de cèdre dans l'air. Après m'être faufilé entre des rangés de carton je débouchais sur une petite cuisine et me servir un verre d'eau. Je m'installais sur une chaise et me permit de prendre un morceau de tarte aux pommes à peine entamé qui était posé sur la table. Soudain, je sentis des petits trucs pointus s'enfoncer dans ma cheville.
Monter !
Je me penchais et aperçu une petite boule de poile rousse à mes pieds. Celle ci s'agrippait à ma moi comme à un radeau de sauvetage.
Monter ! Répéta le chaton en labourant une nouvelle fois ma jambe avec ses griffes.
Ahhh ! C'est bon, c'est bon ! Je vais t'aider.
Je saisis la petite chose par la peau du cou et malgré ses miaulements plaintifs la déposé dans le creux de mes jambes. C'était un petit chat orange tacheté de blanc qui me regarder avec ses gros yeux marron étonnés. Il me renifla et éternua.
A ben oui ! Je sens pas bon, je vis dans un château tout poussiéreux, lui dis je par la pensée.
Il se désintéressa assez vite de moi et voulu sauter sur la table.
Manger !
Ah non, non ! Je suis sûr que ta maîtresse ne voudrait pas que tu montes sur la table de sa cuisine pour mettre plein de poils partout !
Veux manger ! Fain ! Me transmit il en me regardant avec des yeux implorants.
Je soupirais de ma propre capacité à me laissé attendrir par une petite boule de poil de quelques jours et lui donner un morceau de pomme. Une fois qu'elle l'eut dévoré, elle me regarda de nouveau.
Poisson ? me demanda t elle .
Mais qu'est ce que vous avez tous avec le poisson ? C'est pas vrai ! Vous connaissez que ça ?
Souris ! S'écria alors joyeusement la petite chose et elle voulue redescendre de mes genoux. Je posais le chaton à terre et il disparu aussi vite qu'il pu sur ses petites pattes derrière une boite à moitié ouverte. Quelques secondes plus tard, il revint en traînant par sa longue queue une sourie en peluche et entrepris de jouer avec. Je me penchais et lui carresser la tête et le ventre. Il essaya de me mordre mais ses dents était innofensive.
C'est quoi ton nom petit gars ?
Fenouil !
Et moi c'est Léo …
Lion …Non, Léo !
Lion ! Décida la petite chose.
Je suis pas un lion, je suis un Serpentard … dis-je en soupirant, t'as déjà un sacré caractère toi !
Pour toute réponse, il s'éloigna en trottinant vers là d'où je venais. Je lavais mon verre, le saisis et retournais dans le magasin. Hermione et Lavande étaient dans les cabines d'essayages et Parvati discutait chiffon avec la patronne. Nicky s'approcha de moi et caressa le chaton.
Il est mignon ! Où tu l'as trouvé ?
Dans l'arrière boutique !
Coucou toi, dit elle en taquinant le petit animal qui essaya de s'enfuir en escaladant mon épaule.
Y a pas de quoi devenir gaga pour autant ! dis je un peu ennuyer qu'elle effraye le chaton.
Vous pouvez le prendre si vous voulez ! M'annonça la dame en revenant vers nous avec les boites que prenaient Lavande et Hermione, c'est le dernier de la portée et je ne trouve plus personne pour le prendre ! Je vous l'offre.
Mais je ne peux pas ! répondis je poliment, je suis désolé.
Pourquoi pas ! Dis la préfète en s'approchant, on à le droit d'avoir des chats au château !
Non, je ne peux pas ! Qui s'en occuperai quand je serais absent ? Hein ?
Mais nous voyons, s'exclama Nicky, aller dis oui Léo ! Ce petit bout de chou à l'air de t'avoir adopter !
Tu sais très bien pourquoi je ne peux pas le prendre, répondis-je en le fusillant du regard.
Oh, on trouvera une solution, ne t'inquiet pas !
Si vous ne le prenez pas, me dis la dame, je devrais l'abandonner, je ne peux pas me permettre d'avoir un félin dans une boutique pareil .
Les 4 filles me firent une moue boudeuse tellement irrésistible que je du faire contre mauvaise fortune bon cœur en acceptant de l'amener mais à condition qu'une d'entre elle se dévoue pour s'en occuper lorsque je ne serais pas là. Hermione me pris le chaton des bras et je repris à contre cœur mes paquets. Heureusement nous arrivâmes en avance pour le passage des calèches et Fenouil me rappelait que je devais quelques choses à ces congénères.
Où est ce que je peux trouver du poisson frai dans ce village, demandais-je.
On m'indiqua une petite épicerie au allure de bateau échoué au bout de la rue et j'y couru. Je revins juste à temps pour porter les affaires des ces dames et sauter dans la calèche. Une fois au château se fut plus facile : chacune repris ce qui lui appartenait et s'enfuit en toutes hâtes dans sa chambre pour essayer ses petites trouvailles. Hermione me rendis le chaton qui se tortillait dans ses bras et Nicky l'aida à transporter ses affaires bien qu'elle soit celle qui en ait le moins. Quand a moi je me mis en quête de Miss Teigne, Fenouil sur mes talons.
Attend moi ! Attend moi ! Me disait il.
Je m'arrétais un instant le temps qu'il me rejoigne. Il s'accrocha de nouveau à moi.
Porter !Quoi ? Non mais tu rigole ? Tu marche mon vieux ! Tu fais comme tout le monde ! Dis-je en m'éloignant.
Il se laissa tomber sur le derrière et ne bougea plus d'un centimètre. Il regardait autour de lui comme effrayé, en poussant des petits miaulements pas rassurés. Je me frappais la tête avec ma main : pourquoi avais-je accepter, Je n'avais pas le temps et la patience nécessaire pour m'occuper d'un chaton ! Et puis il allait avoir une mauvaise influence sur moi ! Dans quelques semaines on allait me retrouvais allongé par terre près du feu en train de me lécher les bras ! Je frissonnais rien qu'a l'idée. En attendant Fenouil miaulait comme un désespéré et je l'entendais pleurer. Je me posais alors LA grande question : étais-je aussi insensible que j'aimai bien le croire. C'est un bébé, me disais-je à moi-même, il ne connaît rien et il a besoin de toi ! Toi tu es fort, tu pourras le protéger ! En me frappant encore la tête je retournais sur mes pas et le petit chaton se releva attentif comme s'il n'avait jamais douté que je le fasse.
Des être fiers et Solitaires, hein ? Lui dis j'alors qu'il se perchait en travers de mon épaule, c'est précoce quand même !
Comme toi, non ? Me dit une voix à l'accent féminin.
Je me tournais vers Miss Teigne qui, juché sur un muré, m'observait tranquillement.
Tu entends quand je lui parle ? Demandais-je étonné.
Bien sûr, c'est comme une conversation entre humain : tous les chats peuvent entendre ! Tu as la truite ?
Oui, répondis-je, et est ce que les autres … humains comme moi, peuvent entendre ?
Sûrement oui, la truite !Je sortis du sac que je tenais un énorme poisson et lui déposais sur son bout de muret sous son regard avide. Elle le saisit immédiatement entre ses crocs :
Ravie de faire des affaires avec toi ! Me lança t elle en sautant du muret et en disparaissant de ma vue.
Moi de même, répondis-je en ne sachant plus trop a qui m'adresser.
Et de 1, dis je cette fois si à voix haute, reste plus qu'a trouver l'ami Pattenrond.
Je remontais dans les couloirs de l'école jusqu'à l'appartement des préfets. L'angelot n'eut pas le temps de me refuser le passage car Hermione écarta le tableau au même moment.
Re-bonjours Léo ! Et au faite merci de nous avoir aider pour aujourd'hui ! Malheureusement on est un peu à cour d'argent après ça ! Alors pour tes honoraires ….
Oh ! Ce n'était rien ! C'était gratuit et avec plaisir pour vous, fis j'en grand seigneur.
C'est vrai ? Décidément tu es un être adorable !
Et elle m'embrassa sur la joue puis partie en sautillant.
Miaou, fis faiblement Fenouil sur mon épaule.
Ca te fais rire ? Lui dis je en pénétrant dans le vestibule sombre, c'est de ta faute ! C'est toi qui me rends trop gentil !
Qu'est ce que c'est que ça ? Me demanda Drago assit à son bureau avec une tasse de thé à la main.
Ca c'est …commençais je en essayant de détacher le petit vermisseau de mon pull en laine, ça c'est …mon nouveau bras droit ! déclarais je en présentant fièrement Fenouil a Drago.
Ton bras droit ? Tu fais dans les classes maternelles maintenant ? demanda t il en ricanant.
Ha ha ha …trêves de plaisanterie, fis je en posant le chaton à terre qui parti immédiatement en exploration, où est Pattenrond ?
Dans la chambre d'Hermione je crois …mais je n'ai pas le droit d'y entrer ! Je te préviens !
Sans embarras je traversais la pièce et entrouvrit la porte.
Ps Ss, fis je au monstre allongé en travers du matelas, j'ai ton saumon, ramène tes miches si tu le veux frais !
Avec une incroyable souplesse dont je ne l'aurais jamais cru capable, le matou se retourna et sauta du lit pour venir ce faufiler dans l'encadrement de la porte.
Cela ne te suffit pas ? Demandais-je à Drago.
Coup de chance, marmonna celui ci un peu vexé que je sois entré dans la chambre alors que lui se l'interdisait formellement.
Tien Patterond, voilà ton saumon, fis je au Pacha occupé à viré Fenouil de son coin favori devant l'âtre.
Sans se faire prier et sans m'adresser un mot, il se mit à le dévorer consciencieusement.
Alors ? Qui Hermione a t elle frappé en 3 ème année ? demandais-je
On ne t'a jamais appris qu'on ne devait pas parler la bouche pleine ? Attend que j'ai fini mon repas !
Mais tu parle pas ! tu pense ! M'écriai j'indigné.
Ca revient au même ! Et toi dégage de là, dit il a l'intention du chaton qui essayer de chiper un morceau du festin.
Poisson ! A moi ! cria la petite boule de poil en sortant ses petites griffes face à l'énorme matou.
Ce petit avait du cran : il me plaisait vraiment. Je me dis que lorsqu'il serait en âge d'avoir des conversations plus élaborées, nous ferions une belle équipe.
Ca ! Du poisson ? Gronda Pattenrond d'une voix méprisante, mais ça mon petit c'est la crème des poissons ! Le nec plus ultra ! C'est du saumon !
Saumon ! A moi ! S'écria aussitôt la bestiole rousse.
Je riais tout seul et Drago me regarda avec de grands yeux étonner. Une fois l'essentiel dévoré Pattenrond laissa les reste à Fenouil qui découvrir avec joie la délicate saveur de ce poisson rose. Drago rangeait ses affaires et me demanda narquoisement :
Alors monsieur j'offre du poisson aux chats ? Qui Hermione a t'elle frappé en 3ème année ? Ca m'étonnerai que tu saches !
Au moins aussi bien que toi ! répondis je sans me retourner, au faite elle t'a pas fait trop mal ?
Voilà ! Je sais pas si il y a des fans de Robin Hobb dans la salle mais j'espère qu'elles auront reconnu un personnage de L'assassin Royal que je me suis approprié ! lol Petit clin d'œil à Zillah 666 !
