Chapitre 39 : La vie devant toi.

Extrait du Journal d'Hermione Granger.

1 Avril 2004

Voilà cher journal tous ce qui c'est passé cette nuit. Tous le monde est choqué et un peu traumatiser ici et il faut bien que j'en parle à quelqu'un : tu es la pour ça ! Surtout pour parler de Drago. A qui pourrais-je me confier sur ce qui c'est passé cette nuit ? Alors, tu comprends ou plutôt je me comprends, je suis aller le voir. Il était dans l'infirmerie, la vrai, qui sert maintenant de morgue pour les corps des mangemorts. C'est absolument répugnant tous ça, toute cette histoire.

Déjà quand j'étais dans le couloire je l'ai entendu hurler et il a commencé à jeter des trucs : Rogue et Dumbledore sont sortis en courant de l'infirmerie bondardés par des pots de pommade et des bouteilles de potions vides. C'était plutôt amusant à voir. Il était question, je crois, du corps de son père car il disait :

Je vous interdis de faire ça ! Il doit reposer chez nous : dans notre caveau familial ! Je suis le nouveau Lord Malfoy et je vous interdis de le mettre dans une fosse commune !

Je pense pour ma part qu'il avait raison. Il semblait très énervé et je n'osais pas rentré dans l'infirmerie. Mais après tous, me suis-je dis, il vit un moment difficile et je peux bien au moins lui dire que je suis là s'il a besoin de moi. J'ai attendu quelques secondes a la porte puis, je suis entré. Heureusement tous les corps avait était recouvert d'un linceul noir qui les protéger et nous empêche de les voir. Drago était penché à côté de l'un d'eux qu'il a recouvert quand je suis arrivé. Je savais bien que c'était son père alors j'ai voulu faire vite pour le laisser à nouveau seul avec lui. Je lui ai sortis mon petit discours que j'avais fait dans ma tête mais ça semblait curieusement déplacer :

Drago je ne saurais jamais ce que tu peux ressentir en ce moment mais je me doute que c'est très difficile à vivre et je voulais te dire que …que je suis là pour toi, pour t'aider et te soutenir si … si tu ne te sens pas bien et que tu as envie de parler. Et … et je comprendrais …je veux dire, je te comprendrais, je t'écouterais et si tu as besoin de quoique ce soit, je suis là et …et ….

Il s'était relevé et écoutait calmement ce que j'étais en trin de bafouiller avec un air très sérieux. Mais qu'est ce que je raconte me suis je dis, il a l'air d'aller très bien : c'est complètement nul ce que je lui dis. Ici, au milieu de tous ses morts et lui si calme, ça me semblait totalement déplacer et vide de sens. Il a eut l'air un peu embarrassé :

Merci … Hermione mais … ça va aller. Il va me falloir un peu de temps … pour que je me retrouve et que je me remette c'est pour ça que … que je crois qu'on devrait arrêter tous ce qui est en cours entre nous, je suis désolé pour cette nuit, mais je n'aurais plus le cœur ni le temps à ça …

Ca ? Il osait appelé ça le sublime moment que nous avions passé ensemble dans les appartements de Dumbledore ? J'ai sentis la colère m'envahir malgré moi bien que je me disais que c'était normal, que je comprenais, qu'il lui fallait du temps et que de toute façon je n'avais pas envie, moi aussi , de continuer à cause de se qui c'était passé cette nuit et de tous le travail qu'il faudrait accomplir pour remonter l'école et de nouveau l'ouvrir. Que l'on aurait besoin de moi, que Ron et Harry avait besoin de moi et que nos chemin devrait bien se séparé un jour ou l'autre non ? Je sentais que mon visage était en feu et qu'il fallait que je parte au plus vite si je ne voulais pas ….

Bien sûr ! ais-je dis d'une manière un peu brusque mais que je voulais compréhensive puis je suis sortis.

J'ai remonté le couloir qui menait à la grande salle. Je me sentais mal. Tout était fini entre nous alors ? Je ne pensais pas qu'une histoire aussi brève pouvait faire aussi mal . Toutes ces peurs, ces espoirs, ces rêves ne servirait à rien. C'était différent entre nous à présent. J'avais eut l'impression de quelques chose de plus grand, de plus fort mais tout était retombé il y a quelques minutes. Et bien tans pis, ce n'était pas vraiment ce que je pensais mais ce que je devais me dire pour ne pas fondre en larme au beau milieu de ce couloir dévasté. Je regardait autour de moi en essayant de ne pas penser à lui. Quel carnage ! Il y avait tellement de chose à refaire, qui avait était brisé, il faudra bien tous reconstruire, ça serait dur et on y arriverais peut être pas mais il fallait tenter parce que ça en valait la peine. Soudain je me suis arrêter. Et je me suis dis : avec Drago c'est pareil ….

Je l'aime tellement et il y tant de bonne chose à venir entre nous… il ne faut pas qu'on laisse la mort de son père et ses nouvelles responsabilités nous séparé. Bien sur il y a ce qui c'est passer cette nuit et on a fait un pas en arrière car on est mal à l'aise et on n'ose plus ce dire la vérité en face. Il faut reconstruire cette confiance et continuer à construire cet amour : ça prendra du temps et on est pas sur d'y arriver mais ça en vaux la peine. Et pis merde je tiens tellement à lui que je vais pas le laisser partir avec un simple : bien sûr ! Et pis au diable Harry et Ron ! Ils sont assez grand pour se débrouiller sans moi !

J'ai fais demi-tour et d'un pas décidé je suis retourné à L'infirmerie. Je me sentais soudain beaucoup mieux. Pour une fois je n'allais pas me laisser faire. J'allais lui dire les choses comme je les pensait et je lui donnerais un nouveau coup de poing dans le nez si il avait le malheur de me dire de ne pas insister. J'ai rouvert la porte d'un seul coup. Il était toujours au même endroit, debout les mains dans les poches et les yeux baissés. En plus il est mignon, me suis-je dis : ça veut bien la peine que je me batte pour lui, non ? Il m'a regardé, très surpris. J'ai refermé la porte d'un mouvement brusque et elle a claqué bruyamment. Je me suis planté devant lui et quand il a posé ses yeux gris sur moi je lui ai dis:

Non je suis pas d'accord !

Euh ….de quoi ?

Je ne crois pas qu'on devrait se séparer ! Ce n'est pas parce que tu es à présent Lord Malfoy que tu ne dois plus m'accorder d'importance !

Je … je n'ais jamais dit ça !

Non … mais tu l'as pansé tellement fort qu'on t'a entendu jusqu'à l'autre bout de l'école !

Enfin tu … que je vais avoir beaucoup à faire et puis … C'est très difficile pour moi …

Mais je suis là Drago ! m'exclamais je en me montrant des mains, Je vais t'aider ! Je te soutiendrais : je ne suis pas une Pansy Parkinson qui va te traîner dans les pattes et t'empêcher de faire ce que tu as à faire !

Il a baisser la tête, sûrement pour me cacher ses yeux car ses mèches blonde se son placer entre nous. Il devait être ému, je crois, en pensant à la tendresse que je lui offrait et que sa famille ne lui avait pas donner. Je me sentis soudain beaucoup moins fière. J'écartais d'une main tremblante ses murailles blonde et les caché derrière son oreilles. Ses yeux étaient troublés.

Hermione … je n'ai pas envie … je n'ai plus envie de rien …me dit-il.

J'ai cru voir au fond de son âme un cour instant. Comme si le temps s'était arrêté et j'ai vu ce qui se passait …

Non, Drago, tu as seulement mal ! Tu as mal et ça affecte ton jugement ! Mais je suis là, je vais ….je vais te passer de la pommade, je vais te soigner comme j'ai soigné ton dos …

J'essayais de l'encourager, de le rassurer car c'était plus de sa que d'être seul qu'il avait besoin. Je me suis rapproché de lui et lui ai relevé la tête pour qu'il me regarde. C'était étrange de sentir à nouveau sa peau sous mes doigts, ça me rappelais cette nuit …

Je serais là pour toi … je t'aime Drago…

Je crois que je ne lui avais jamais dis. Et ça m'avais soudain paru très important de lui dire : là dans cette salle qui sentait la mort et la tristesse. Tous en lui me disait la même chose.

Tu me soigneras ? m'a-t-il répondu, d'accord mais une fois que tu l'auras fait tu te rendra compte que je n'en vaux pas la peine et tu partiras. Tu partiras … je n'ais rien à t'offrir … moi aussi je t'aime mais je n'ai rien à t'offrir et tu partiras….

Il me disait ça très sérieusement, sans que ça voix ne tremble. Et il ne pleurait pas, il avait juste le regard très triste. Il semblait persuader de ce qu'il disait. Mais comment pouvais t-il le savoir, la vie nous réserve tellement de chose.

Il y a un mois , lui ai-je répondu d'une voix déséspéré pour le convaincre, tu pensais que tu allais mourir … aujourd'hui c'est lui qui est mort et c'est toi qui est en vie ! Et il y a plein de chose que tu ne croyait pas, que tu ne pensais pas avoir le temps de faire que tu peux faire à présent … et il y a plein de chose que tu peux me donner à présent … j'ai besoin de toi, peut être pas aujourd'hui mais … mais ça viendra …c'est la vie, tu sais, elle est belle, tu le sais qu'elle est belle ! C'est toi qui me l'a dit, c'est toi qui me l' a montrer !

Je sais Hermione mais là … là c'est dur …

Je m'en doute … et je t'admire ! Tu as perdu ton père que malgré tous tu aimais mais il te reste encore …

Ma mère est morte aussi Hermione.

Ca m'a frapper tous d'un coup. J'en suis resté le souffle couper. Je ne le savais pas et ça peine était si bien cachée que je croyais qu'il ne pleurais qu'une seule personne. Comment faisait-il pour être si calme ? J'étais si stupide de ne l'avoir pas vu. J'étais impardonnable. Par Merlin comme il devait avoir mal ! J'ai passé mes bras autour de son torse et je l'ai attiré contre moi. Je l'ai serré très fort, aussi fort que j'ai pu. Pour lui dire combien je l'aimais, combien j'étais triste pour lui, combien j'étais forte aussi et qu'il pouvait compter sur moi. J'avais mal pour lui et sans vraiment comprendre je me suis mise à pleurer. C'était comme si sa souffrance, qu'il n'arrivait pas à sortir, était passé en moi et s'exprimais pas moi. Il n'avait pas mérité ça, il n'avait pas mérité que le destin s'acharne sur lui comme ça … et sa pauvre mère non plus. Quand il m'avait parler d'elle, j'avais été très triste : il l'aimait ne pouvait rien faire pour soulager sa souffrance. C'était terrible. Et aujourd'hui elle était morte. Je n'osais même pas lui dire à qu'elle point j'étais désolé pour eux.

Merci Mia, merci … a –t-il répondu en me serrant aussi fort comme si il m'avait compris.

Il m'a lâcher et ma sourit tristement. Il m'a prit par la main et a dit :

Viens allons-nous en d'ici !

J'étais d'accord avec lui : ce n'étaient pas un endroit pour parler et même si je savais que ce n'était pas le moment je voulais lui parler de ce qui c'était passer entre nous. Je voulais savoir ce que lui en pensai et ce qu'il comptait faire pour nous deux. Moi je savais et je sais que je l'aime et que je voulais que ça continue mais c'était si étrange si anormale. On est allé dans les anciens appartements des préfets. Après cette nuit c'était vraiment dur de ne pas se ressentir à nouveau ce qui c'était passé : le désir, le plaisir, sa peau contre la mienne, sa bouche sur mon corps, sa chaleur…c'était brûlant comme le feu. Et la ce matin dans ce château, il faisait tellement froid et il y avait tellement d'horreur autour de nous que j'aurais bien voulu encore le sentir contre moi voir en moi ….

Alors, bien sur quand il m'a doucement entraîner vers sa chambre… c'était dur de résister ! Ca été dur de lui dire :

Attend ! Je voudrais qu'on discute un peu avant ….

Discuter ? M'a-t-il dit en me regardant dans les yeux, Mais il n'y a rien a discuter : Je t'aime et je ne te laisse pas indifférente. C'est simple alors pourquoi se compliqué la vie ? Elle est tellement courte Mia : j'ai envie de la vivre à cent pour cent maintenant !

J'étais à la fois surprise et ravie de se changement de comportement. Je n'osais pas revenir sur les malheurs qu'il vivait ou sur les questions que je me posais au risque de le voir perdre sa bonne humeur.

Oui bien sûr ….

J'étais un peu pris de cour : là aussi j'avais préparé un petit discours dans ma tête et lui simplifié tous. Je me suis dit que j'étais une fille trop compliquée. Il suffisait de lâcher les amarres comme je l'avais déjà tant de fois fait avec lui. Pourquoi est ce que j'avais autant de mal à le faire ? Pourquoi je ne pouvais pas entrer dans sa chambre, fermer la porte et repasser encore une fois entre ses bras ?

A moins que tu n'ais d'autres projets pour nous, répondit-il un peu tristement et essayant de trouver la réponse sur mon visage.

Oh non, non !

Surtout pas non, je ne pourrais plus vivre sans lui.

Alors c'est quoi le problème ?

C'est que ça va un peu trop vite pour moi, avais-je envie de lui dire mais si je disais ça, il allait le prendre mal, croire que je n'avais pas confiance en lui alors qu'après ce qu'il avait fait pour nous sauver dans la grotte, je ne pouvais pas imaginer confier ma vie à un autres a homme que lui. Pis j'avais envie, après tous, d'entrer dans cette pièce avec lui.

On va plutôt dans ma chambre ? Lui demandais-je.

Il sourit, soulagé. Je lui rendis son sourire et tournais la poignée de la porte. C'était peut-être la première fois qu'il voyait ma chambre. Ah ! Non, maintenant que j'y pense, il y a eut celle ou il est entrer quand je faisais mes bagages. C'était comme si je l'invitais enfin dans mon intimité.

La plupart des femmes préfèrent leur propre lit, dit-il en fermant la porte.

Je n'avais plus envie de discuter. Je le tirais vers mon lit et m'allongeais dessus. Il me regarda, son visage sevoila a nouveau de tristesse puis il secoua la tête et s'approcha de moi. Il s'assit sur le lit et posa son bras sur ma taille.

On s'est pas embrasser cette nuit ? Me demanda-t-il malicieusement.

Je me remémorais rapidement ses quelques minutes de plaisirs. Et je rougis : non nous ne nous étions même pas embrasser. Comment coucher avec un garçon dont on a jamais exploré la bouche ? C'est un rite de passage, la première pénétration, non ? Je me rassis sur le lit un peu tremblante : Pas de sortilège cette fois pour m'aider à franchir le pas. Je t'aime et tu m'aimes c'est aussi simple que ça.

Tu es belle Hermione , si belle que te regarder est une souffrance…

L'autre jours tu disais que c'était une joie.

Il parut un peu déconcerté par ma réponse mais ne se laissa pas abattre.

C'est une joie ET une souffrance !

On avait l'impression qu'il avait totalement oublier ce que nous nous étions dit quelques minutes plus tôt dans la morgue. Il ne fallait pas chercher à comprendre. La vie était courte.Je me penchais vers lui et j'effleurais ses lèvres avec les miennes.

On toqua à la porte. Drago étouffa un juron. Le battant de bois s'entrouvrit et Léo passa la tête dans l'encadrement avec un petit sourire narquois. J'avais déjà vu ça quelques part non ?

Je vous dérange ?

Tu sais que t'es un chieur dans ton genre ? Répondit le beau blond à côté de moi.

Moi aussi je t'aime Drago, répondit le petit prétentieux en lui envoyant un baiser, je viens chercher mon chat !

Tu sais très bien que c'est Nicky qui l'a ! Lui dis-je.

Il le savait très bien. Qu'est ce qu il venait faire ici ? Et maintenant je repensais à sa petite discussion bizarre avec Sanders. Il faudrait lui poser des questions mais pas maintenant ! Plus tard ! Qu'il parte ! Qu'il s'en aille tous de suite ! Il s'éclipsa.

Bon, on en était où ? Demanda Drago en se jetant sur moi.

Note de Léo : Ma mère donne d'autres détails croustillants de ce qui ce passa après que je les ai quitté mais je ne juge pas ces détails utiles à la compréhension de l'histoire. Ici s'arrête les extraits de journaux de mes parents.

Ah ! Bon ? C'est Nicky qui l'a ? Oui oui j'étais au courant je voulais juste vérifier que tout allait bien ! Fenouil était très content de me revoir. Il avait entendu beaucoup de bruit et de cris tout au long de la nuit et il avait eut très peur que je ne revienne jamais. Pattenrond semblait avoir un sérieux coup de vieux :

Emmène loin de moi ce petit diable ! M'ordonna-t-il avec un air fatigué et se laissant tomber près de la cheminée des Griffondors.

Bon d'accord ! D'accord ! Pas la peine de s'énerver ! Puis plus bas : alors comme ça tu as bien embêté Pattenrond ? Je suis fière de toi !

Fenouil miaula de contentement. Je le serrais contre moi et redescendit dans le grand hall où, trop fatigué pour aller plus loin, je restais toute la matinée. Je vis les aurors emmener leurs prisonniers sous l'œil rassuré de quelques élèves venus assister à l'événement et du directeur venu leur souhaiter une bonne route. Il y avait également des Serpentards parmi les mangemorts mais comme il s'agissait encore d'adolescent ou de jeune adulte, un autre traitement leur était réservé.

Dès que nous serons arrivées à Londres nous préviendrons le ministère et vous enverrons des médicomages, lui assura celui semblait être le chef des aurors.

J'avais en effet cru comprendre que tous les hiboux de la volière avaient été soit tuer, soit, terrifiés, s'étaient échappés. Poudlard était totalement coupé du monde extérieur. Bien que le repas de midi fut généreux grâce aux soins de Dumbledore, rare fut ceux qui avaient envie de manger. La plupart des élèves et des autres habitants survivants du château étaient dans la grande salle, blessé ou auprès d'amis blessés. Je restais seul dans mon coin. Je ne pensais à rien. Par les portes grandes ouvertes je voyais l'extérieur et recevais la lumière du début d'après-midi. C'était une belle journée pour mourir pensais-je. Fenouil, qu'une âme d'explorateur habitait, visitait le grand hall. Je sortis de ma poche ma baguette magique et la fixais pendant un moment. Au début elle ne m'avait pas paru très utiles mais je savais ne plus pouvoir m'en passer, je me rappelais encore une fois la formule qui ferait oublier notre présence durant ce mois à Poudlard. D'une autre poche je sortis le petit flacon de poudre noir que m'avait donné Rogue. Il me servirait à emporter Fenouil avec moi. J'étais près. J'étais près depuis ce matin et commençais à me demander si je n'étais pas un prématuré car il me semblait étrange qu'ayant été conçu durant la nuit je n'étais pas déjà de retour chez moi. Mais bon j'attendais. Il faisait bon j'étais bien. Soudain Nicky surgit de nul par à la fois paniquée et excitée :

Regarde Léo ! Regarde !

Elle grimpa à toute allure l'escalier en haut du quel j'étais assis.

Regarde : je commence à disparaître !

Elle me montra ses mains : je pouvais voir la jointure des marches au travers. Je sortis les miennes de mes poches : la même chose.

Ca alors ! Moi aussi !

On va rentrer chez nous on va rentrer chez nous !

Elle me prit les mains et commença à danser et tournoyant. Je la laissais m'emportais. Oui on allait rentrer chez nous ! C'était enfin fini ! On avait réussi ! Pris d'une soudaine joie, je me mis même à danser :

On va rentrer chez nous LALALA ! On va renter chez nous ! Lalala.

Non mais ça va pas vous deux ? Cria Ron en bas des marches.

Il était tous là : Ron Harry, Drago et Hermione et nous regarder danser avec des yeux ronds comme des soucoupes.

ON VA RENTRER CHEZ NOUS ! Leur hurla Nicky avec un grand sourire.

Oui …oui, répondit Harry qui toujours pâle tenait néanmoins debout et était amusée par notre spectacle, nous aussi on va rentrer chez nous !

Oh ! Mais vous pouvez pas comprendre ! Leur dit-elle en leur faisant signe de laisser tomber.

J'éclatais de rire en voyant leur tête. J'étais heureux ! Je n'avais jamais étais aussi Heureux ! Mes parents s'aimaient, ils étaient en vie, nous aussi , et nous retournions dans notre présent !

Et bien avant que vous ne rentriez chez vous, on doit vous poser quelques questions ! S'exclama Hermione.

Nous descendîmes quelques marches, tous sourire :

Oui ? C'est à qu'elle sujet ?

C'est au sujet … euh …. C'était quoi cette discussion, Léo, que tu as eut avec Sanders ? De quoi parlait-elle ?

A oui Léo ! De quoi parlait-elle ? Répéta Nicky en riant.

Vous n'avez pas compris ? Leur dis-je moi aussi de la bonne humeur.

Hermione et Drago se regardèrent puis regardèrent les deux autres :

Euh … non a moins que je ne sois soudain devenu très stupide, répondit Drago, aussi stupide que Weasley qui semble avoir compris..

Eh ! Répliqua l'intéressé.

Oui ! Mais lui on lui a dit la réponse : C'est pas du jeu ! Répondit Nicky.

C'est bien ce que je disais ! Fit Drago soulagé.

Tu veux mon poing dans la gueule ? demanda Ron

Mes amis, mes amis du calme, dis-je en prenant un ton paternaliste, vous vous souvenez de ce que je vous ai dit à ce moment là ? Que vous alliez trouver ça très bizarre mais que je vous expliquerai après ?

Oui, alors vas-y : explique ! S'énerva Hermione.

Vous vous souvenez de ce que Sanders m'a demandé ? Si j'ai réussi à vous faire coucher ensemble ?

Elle a vraiment dit ça ? S'étonna Harry qui essayait de ne pas paraître hors du coup.

Nicky acquiesça vigoureusement de la tête pendant que je descendais encore quelques marche pour me retrouver devant mes géniteurs.

Et pourquoi devais-tu nous faire coucher ensemble ? Demanda d'un ton méfiant la jeune femme.

Parce que je viens du futur et que je suis votre fils, a tous les deux, ajoutais-je en les montrant de la main et en m'inclinant devant eux.

Ils se regardèrent et partir dans un véritable fou rire !

AH AH AH ! Ah oui très drôle ! Fit Drago en essuyant les larmes qui lui coulaient le long des joues.

Mais bien sûr ! Ah ah ha ! Elle est bien bonne ! Disait Hermione.

Puis ils semblèrent se rendre compte qu'ils étaient les seuls à rigoler. Ils se tournèrent vers Ron et Harry qui tirait des têtes graves d'enterrement.

Ben quoi ? C'est drôle non ?

C'est la vérité, répondit Harry en se raclant la gorge.

Nouveaux regard interloqué entre les deux amoureux puis il se tournèrent vers Ron :

Quoi ? Mais c'est une blague ?

Celui-ci soupira :

J'aimerais bien mais malheureusement non, ils viennent vraiment du futur et … et c'est votre fils !

Et j'ajouterais que vous devez vous attendre à me revoir d'ici 9 mois mais cette fois si je ne serais pas la pour vous faire tomber amoureux l'un de l'autre !

Ils me regardèrent à nouveaux, soit ébahi parce qu'il se rendait compte de qui j'étais soir parce qu'un rayon de soleil allumé de flammes mes cheveux blond platine et m'éclairais d'une beauté surnaturelle. Non, non je ne suis absolument pas Narcissique ! Hermione tout en m'observant du coin de l'œil se pencha vers son compagnon et lui murmura :

C'est vrai qu'il te ressemble …

Et il a ton sale caractère, répondit Drago sur le même ton.

A non c'est pas vrai ! S'indigna ma mère.

J'étais heureux pour eux. Je jetais un coup d'œil a mes mains, elle devenait de plus en plus translucide.

Bon … c'est pas qu'on vous aime pas mais … on va devoir y aller !

Et qui est-elle, Elle ? Demanda suspicieusement Ron en montrant Nicky.

Moi ? Répondit Nicky sur un ton tout à fait naturel, moi je suis sa fille !

Et elle désigna le pauvre Harry du doigt. Tout le monde le regarda.

Et moi aussi je devrais pointer le bout de mon nez d'ici quelques mois ! Ajouta-t-elle joyeusement.

Harry me donnait l'impression désespérée de quelqu'un qui a toucher le fond mais creuse encore. Il regarda Nicky, la bouche grande ouverte, puis ses amies, puis de nouveau Nicky puis encore ses amis. Il commença à s'éloigner à petit pas :

Euh … vous m'excuserez mais il faut que j'aille voir une certaine personne…

Et bien qu'aucun de nous ne l'en aient cru capable, il partis en courant. Ron, lui-même un peu secoué, le regarda s'éloigner puis se tourna vers nous :

Euh … je crois que je vais le suivre car je crains que cette certaine personne ne soit ma sœur !

Et il disparu. Nicky secoua tristement la tête :

Le pauvre ! Ca va lui faire un choc !

Je pouvais voir la superbe rampe sculpte à travers elle a présent. Je me rappelais soudain d'un détail.

Fenouil ! Hurlais-je.

Et le petit chat apparu en bas des marches. Je m'avançais vers lui sous l'œil toujours aussi surpris de mes parents et déverser la poudre noire par terre. Le chaton, curieux s'en approcha et éternua en le reniflant.

Fenouil, pensais-je très fort, tu veux revenir avec moi ?

Je veux venir avec toi, répéta-t-il en me regardant de ses grands yeux marron.

Il devint soudain aussi transparent que moi. Je le pris sur moi et ressortis ma baguette. C'était l'heure des adieux.

Mais où vous aller ? Demanda Hermione qui paraissait mieux se remettre du choc que Drago.

On rentre chez nous ! Répéta Nicky avec un air faussement agacée mais on ne distingué déjà plus très bien son visage.

Bon ben merci d'être venu, au revoir et a bientôt ! Dis-je en remontant les marches pour me placer à côté d'elle du moins me semblait-il car je ne la voyais plus.

Elle me saisit le bras avec force. C'était le moment de lancer le sort.

Par les 4 éléments que j'invoque …

Oubliez nous, comme l'eau efface les pas dans le sable,

Oubliez nous comme le feu effaces des mémoires les chose qui on exister,

Oubliez nous comme le vent emporte les parfums des être aimés,

Oubliez nous comme la terre engloutis ceux qui l'on fouler jusqu'à leur dernier soupire,

Et jusqu'au votre, effacez nous de ses trente dernières lunes

Et à jamais …

Une curieuse boule de lumière rouge sortit de ma baguette et se mit à tournoyer dans la pièce en devenant plus en plus grosse. Elle devait devenir si grande qu'elle pourrait recouvrir tous Poudlard et ses environs et effacer la mémoire de tous ceux qui se trouverai à l'intérieure. Mais je n'eus pas le temps de la voir faire son œuvre car je perdit connaissance tous de suite après. Ma dernière vision fut Hermione montant quelques marches vers nous puis s'arrêtant soudain pour ce tourner vers Drago et lui dire :

Pourquoi je suis monté déjà ?

Bon c'est tous pour le moment, c'est pas finit mais je ne suis là que le week-end alors sa va être plus long pour la suite ! Lol , je sais, la formule est un peu pourite et c'est pas trop l'habitude à Poudlard mais je voulais essayer. Pis pardonnez les fautes d'orthographes, je voulais publier et j'ai pas eut le temps de corriger ! Lol, Voilà , voilà….