Bonus 2
Léo Malfoy vérifia que son costard 3 pièces dernière mode de chez Parvati Patil( vous vous souvenez de notre Parvati fashon victime ? ben c'est devenu une créatrice de mode ! lol) n'était pas froissé et satisfait, entra dans l'arène avec un sourire légèrement désabusé et incroyablement séducteur. ( essayez d'imaginer le truc , ça devrai pas être compliqué ) Par arène il faut comprendre la grande salle de conférence du History of Magic National Muséum du Caire. Une nuée de flash blanc accueillit son arrivé. Léo ne cligna même pas des yeux : il avait prévu cette réaction incontrôlable des médias en utilisant un sort de protection lumineuse qui lui donnait l'impression de porter des lunettes de soleil. Toujours souriant, il s'approcha du gratin des invités et des professeurs venus assister à sa conférence sur les particules électromagnétiques de la magie espace temporel (invention de ma part pour qu'il ait l'air intelligent donc ne cherchez pas, ça veut rien dire ! ). Ils les salua et laissa le directeur du musée faire son discours alors que les flashs des photographes le mitraillaient toujours et qu'objectivement tout le monde se foutait de ce discours à l'a con car tout le monde connaissait Léo Malfoy et tout le monde attendait impatiemment ses révélations sur ses travaux sur la matière et l'origine de la magie pure. Enfin, le directeur lui céda la place, Léo se leva, le remercia et s'installa devant le pupitre vierge de toute note et sortit sa baguette.
Sa voix douce et ténébreuse s'éleva dans tout l'amphi et tous furent captiver par ce sorcier si jeune mais déjà si savant et si sage et par la force élévatrice qui émanait de son regard bleuté. Léo Malfoy n'avait pas besoin de note pour cette conférence de 2 heures ( du clafoutis pour lui ) : il connaissait son sujet et savait le transmettre avec passion pour manipuler son auditoire. Personne ne cherchera à le contredire tant il serait embourber dans les méandres insaisissables de sa rhétorique.
Et de quoi pouvez vous tirer de telle conclusion si vos travaux n'en sont qu'au premier stade ? Demanda avec insolence une voix mélodieuse au premier rang.
Léo s'immobilisa. C'est vrai que ses recherches n'étaient pas terminées et qu'il partait sur des connaissances déjà acquises qu'il ne pourrait jamais expliquer car venant d'un petit voyage dans le temps effectuer dans sa jeunesse, mais il avait compté convaincre son auditoire de telle manière que personne ne se pose même la question. Il se décala de son pupitre et s'avança lentement jusqu'au bord de l'estrade.
C'était bien Elle.
Cela faisait si longtemps qu'il ne l'avait pas vu qu'il en aurait presque oublié les traits de son visage … croyait-il.
Nicky Potter, ayant abandonner ses vieux short et ses rangers pour une tenus de soirée, était assise au premier rang, étendue comme un pacha dans son siège, et avait braqué ses yeux de braises sur lui en prenant à l'évidence un malin plaisir à saboter sa conférence.
Mes conclusions, ma chère mademoiselle, dit doucement Léo encore le souffle coupé par la surprise, sont les résultats d'un raisonnement logiques …
Pourriez vous développer ce raisonnement professeur, demanda-t-elle de nouveau avec un sourire moqueur.
Léo sentis quelques chose le tirailler en bas de son ventre. Comme le procéssus du désir qui se met en route, il connaissait bien cette sensation. Le genre de sensation qu'un homme de 25 ans ressent face à une femme superbe et sensuelle qu'il n'a pas vu depuis une dizaine d'année. Il se replaça discrètement derrière son pupitre et essaya mine de rien de sauver sa conférence. ( j'espère que vous avez comprit pourquoi il se fout derrière son pupitre ? ;)
2 heures plus tard (oui une petite ellipse parce que ça me fait chier de m'attarder la dessus) il était dans sa suite au grand hôtel du tapis volant au Caire. Léo Malfoy, regardant par la fenêtre, fulminait intérieurement sur cette fichu Nicky, qui, toujours digne d'elle-même, réapparaissait au bout de 12 ans pour l'humilier devant 10 000 personnes. Elle était au premier rang. Le rang des journalistes. Comment avait-elle fait pour se dégoter une place aussi près ?
On toqua à la porte. Il cria d'entrer et l'entendit s'ouvrir dans son dos.
« C'est la fille des sables » l'informa Fenouil qui se prélassait sur le grand fauteuil.
Léo avait remarqué très vite que les chats avait la fâcheuse habitude de donnait un surnom à tous ce qui bougeait. C'était ainsi qu'il était devenu Lion, son père l'homme aux yeux de pierre, sa mère La femme aux cheveux de miel, et sa petite sœur « la garce qui m'a marché sur la queue. Fenouil savait très rapidement cerner la personnalité des gens. Léo sourit pour lui-même.
Tiens, Nicky, ça faisait longtemps ….
Tu trouves toi aussi ? Dit-elle de sa voix envoûtante.
Il l'entendit se déplacer au travers du salon mais pas pour aller vers lui. C'est qu'elle portait des talons aiguilles maintenant. Fenouil ronronna. Léo se retourna. Elle était accroupit par terre à côté du chat qu'elle caressait amoureusement. Pendant une fraction de seconde, Léo songea à se glisser dans l'esprit de fenouil comme il l'avait si souvent fait dans le passé pour partager ses impressions.
« Eh ! C'est pour moi toutes ses caresses ! Tu n'as qu'à attendre ton tour ! «
« Qu'est ce qui te fait croire quelle va aussi me faire des caresses ? « Demanda Léo vexé.
« Je sais pas, attend de voir …. » Répondit le matou énigmatique.
Certaine révélation de fenouil c'était autrefois révélé être juste. Léo regarda Nicky : elle portait bien de fines chaussures à talons aiguilles qui enlaçait ses chevilles, une jupe noire, une chemise en soie blanche et une longue veste bleu nuit. Quelques chose de très sobre et très classe. Elle portait une coiffure compliquée retenue par de minuscules pinces qui menacée de tombé. On voyait bien qu'elle n'avait pas l'habitude de s'habiller ainsi mais Léo pensa que cela la rendait terriblement sexy. Il se donna une gifle intérieurement. Qu'est ce qui lui prenait de trouver sa meilleure ennemie d'enfance sexy ?
Ca à l'air d'aller pour toi ? Cette conférence … tous ses gens … à tes pieds… c'est ce que tu as toujours voulu n'est ce pas ?
Oui il y a juste un truc qui n'était pas prévu dans mon tableau de la réussite parfaite.
Moi, assise au premier rang ?
Précisément.
Je savais que ça te surprendrais de me revoir … c'est pour ça que je suis venu…ça ne te dérange pas si je me déchausse ?
Toujours d'une logique cette fille, pensa Léo.
Nikcy se pencha en avant et commença à délasser les rubans noirs qui entourait sa cheville. Léo sentit à nouveau les picotements dans son bas ventre. Il se retourna et se mit à regarder dehors, le sable, le désert et la nuit qui tombait sur les pyramides de Kheops dans le lointain.
Ah ça fait un mal de chien c'est truc !
Pourquoi tu en porte alors ?
Parce qu'il fallait bien s'habiller pour entrer à ta stupide conférence.
Tu es devenu journaliste ?
Journaliste reporter ! Cela t'étonne ? Demanda t-elle avec une fierté évidente dans la voix.
Non pas vraiment : tu as toujours aimé te mêler de ce qui ne te regarde pas. Pourquoi tu es venu ?
Pour revoir un vieil ami perdu de vue ?
Non la vraie raison.
Parce que j'avais envie de te revoir ?
Ca revient au même, tu as quelques chose à me demander ?
Puisque c'est toi qui aborde le sujet …
J'en étais sûr…dit Léo en souriant, un peu déçu car il avait vraiment espéré qu'elle revenait pour le voir lui…c'est de l'argent dont tu as besoin ? Combien ? Demanda-t-il en sortant son chéquier de la banque Gringott et en s'installant à son bureau.
Pied nu sur le tapis bleu, Nicky le regardait d'un drôle d'air.
Voyons Léo, pas de ça entre-nous, j'avais vraiment envie de te revoir bien que tu n'aies jamais pris de mes nouvelles, et en plus … tu me dois une vieille dette.
Une dette ? De quand ? Pour quoi ?
Pour une aide précieuse apporter lors d'un petit voyage dans l'espace temps qui te permet de faire de si intéressante conférence aujourd'hui.
Elle avait parlé d'une voix suave, en ondulant et en s'asseyant sur son bureau, ses superbes cuisses dénudés juste devant son nez. Elle le faisait exprès ? S'il avait su quand il l'a voyait courir partout avec son short et ses rangers que ça allait donner ça, il se serait moins moquer. Il lui fit signe de parler moins fort, se leva et alla refermer la porte du couloir qu'elle avait laissé entrouverte.
Oh ça ? Mais je n'avais pas déjà fait quelques chose pour toi à l'époque ?
A par m'enfermer dans la chambre de ton père pour m'éviter une mort certaine ? Non je ne crois pas ….
Et tu viens me la demander maintenant ? Pourquoi ?
Parce que j'en ai envie…
Elle se mordillait la lèvre, les yeux malicieux de voir sa réaction.
C'est un argument comme un autre, qu'est ce que je dois faire ?
Embrasse-moi.
PARDON ?
S'il avait été plus vieux, Léo aurait juré qu'il aurait fait une crise cardiaque.
« Tu vois, je te l'avais dit ! »
« La ferme toi ! »
« Quel langage ! »
Tu … tu plaisantes ?
Non pourquoi ?
Mais enfin Nicky …. On se connaît depuis toujours toi et moi ….
Oh arrête ! Ne me dit pas que tu y as jamais pensé ?
Bien sûr que s'il y avait pensé, et il n'avait pas attendu de la revoir pour ça mais ils n'étaient tellement pas fait l'un pour l'autre …quoique…
Ça fait longtemps qu'on se connaît hein ? Et moi ça fait longtemps que j'attends, depuis que tu m'as montré que tu étais si doué pour former des couples …
Elle commençait à l'émoustiller avec ses airs de vamp.
Et il paraît que tu es doué pour plein d'autres choses…
Je vois … ce n'est pas qu'un simple baiser que tu veux, tu veux carrément coucher avec moi !
Oh ! je n'avais pas espéré aller jusque là mais c'est si gentiment proposé …
Léo éclata de rire.
Bravo ! Tu m'épates ! Tu as beaucoup changé, tu sais si bien manipuler les gens à présent !
Nicky rougit soudainement. Elle aurait pu répondre autres choses mais c'était trop osé. Elle se demanda tout à coup si elle n'était pas entrain de faire une grosse erreur. Quand elle avait appris dans les journaux sa conférence au Caire alors qu'elle travaillé pour le quotidien de la ville sa lui avait paru une évidence qu'elle le revoit et qu'elle tente sa chance maintenant qu'elle était devenu une femme et qu'elle était consciente de son pouvoir de séduction. Bien sur qu'elle l'avait toujours voulu, lui Léo Malfoy, tellement orgueilleux et tellement beau, mais on ne passe pas si facilement de souvenir d'enfance en commun, à une nuit torride dans un lit. De plus il n'avait pas l'air franchement partant, elle avait osé espéré … mais c'était déjà trop. Elle ramassa son sac de reporter posé dans un coin et ses chaussures.
Merci… c'est presque un compliment venant de toi. Bon … il se fait tard, j'ai du travail … mon article sur ta conférence … c'était bien de se revoir …
Qu'est ce qui lui prenait ? Léo se demanda pourquoi elle changeait d'avis tout à coup. Elle lui avait semblé si sûr d'elle. Et puis plus rien. Il y avait peut-être été un peu fort en se moquant. C'était vrai après tous qu'il la voulait, elle Nicky Potter, si sensuelle, si excentrique. Après tous ça pouvait bien marcher : elle était bien la seule à l'avoir supporter si longtemps… on pouvait bien recommencer, en plus sérieux, en plus intimes, il était prêt…depuis longtemps … il n'attendait qu'elle.
Tu pars ?
Oui pourquoi ?
Tu n'oublie rien ?
Elle jeta un coup d'œil à la pièce, non elle n'oubliait rien … peut-être de lui souhaité une bonne soirée ?
Et ta demande ?
Fenouil se redressa sur son fauteuil et leur jeta un coup d'œil.
« Mais à quoi ils jouent c'est deux là ? »
Léo saisit la main qu'elle avait posée sur la poignée de la porte. Elle le regardait, les yeux dans les yeux. Jusqu'ou allait-il aller ? Est-ce qu'il la voulait ?
Viens par-là …. Lui murmura-t-il
Il l'attira contre lui. Nicky retrouva toute sa confiance. Ça marchait… au fond elle n'en avait jamais douté. Elle ferma les yeux et sentis ses douces lèvres sur les siennes, sa langue qui venait chercher la sienne.
Il la tenait très fort serré contre lui, pour qu'elle ne s'échappe pas, comme un oiseau du paradis, un petit instant de félicité. Il détacha sa bouche de la sienne. Leurs yeux brillaient.
Encore ?
Elle acquiesça avec un sourire, à nouveau sûr d'elle-même, Léo aima tous de suite ce regard, cette perte de contrôle. Ils se retrouvèrent, dans la chambre cette fois, allongé sur le lit, les fameuses caresses que Fenouil lui avait prédit. il retrouva son corps à elle qu'il connaissait finalement si bien, depuis tout ce temps ou il l'avait observé, ses épaules rondes, son ventre plat, ses jambes puissantes …
Elle était aux anges, enfin il lui appartenait ce garçon qui c'était si souvent moqué d'elle, enfin elle l'avait à ses pieds pour elle, rien que pour elle.
Un téléphone sonna.
Cela coupa court leurs élans passionnés. Léo grommela. Il n'y avait que les moldus pour utiliser ça … ou alors … Il regarda Nicky :
Désolé, il n'y a que ma sœur pour m'appeler avec cette sonnerie là … je lui ai offert un portable … pour qu'elle m'appelle plus vite en cas de besoin…
Bien sur ne t'excuse pas …
Léo se glissa au bord du lit et saisit le petit boîtier gris qu'il déplia.
Allo … oui …
Pendant ce temps Nicky se colla à lui pour retrouver la chaleur de son corps qui l'avait si brusquement quitté. Elle l'embrassa au creux du cou. Il ne lui accordait maintenant plus aucune importance.
Attend … reste calme, j'arrive …
Il referma le boîtier, resta immobile un instant. Il réfléchissait. Puis il se tourna vers sa nouvelle compagne.
Nicky …
Oui Léo ….
ILS sont revenus.
The EndAlors c'est pas un Happy end ça ? Bon c'est une fin ouverte mais il y aura pas de suite mais si vous voulez reprendre mes personnages pour en faire une je veux bien, il n'y a pas de problème.
( à conditions de me tenir au courant lol )
Réponse à deux reviews mais je c plus de qui :
ILS c'est Drago et Hermione puis que Léo vient de recevoir un appel de sa sœur.
Et une question qu'on m'a posé il y a longtemps et que j'ai oublié d'expliquer : pourquoi le tatouage de dragon qu'a Drago est figé lorsqu'il est adulte ?
Alors ma théorie c'est que Drago est libéré de l'emprise de son père donc le dragon prend son envol et la magie disparaît du tatouage donc il se fige et devient un tatouage normal qui représente un dragon qui prend son envol. Voilà !
Aller Noyeux Joël et Bonne année.