Coucou ! C'est lundi, je publie !
Suis malade, et fatiguée aujourd'hui, mais je n'ai qu'une parole, alors je publie.
Mais je ne vais pas me lancer dans une longue intro.
Je rappelle juste que rien à moi blablabla…
Et que j'écris du yaoi et que si c'est pas encore citronné, ça va venir.
Merci à tous ceux qui me lisent, même sans reviewer. Pour les revieweurs, encore plus merci, les RAR sont à la fin.
Bonne lecture !
Chapitre 4 : On joue ?
POV Drago.
Je l'avoue, je suis un sale gamin. Et un peu sadique sur les bords. Mais c'est plus fort que moi. Et avec Potter, c'est encore plus drôle que d'habitude.
D'abord parce qu'il rougit comme une jouvencelle. Il est trop mignon quand il devient écarlate et j'adore que ce soit mon regard ou mon sourire qui le pousse à rougir ainsi.
Ensuite, physiquement je crois bien qu'il me plaît plus qu'aucun de mes amants. Et je trouve qu'on forme un beau couple : le pâle et le ténébreux, le blond et le brun. Je suis un esthète, moi, et j'aime le contraste de ma main sur la sienne.
En plus, Potter essaye tellement de ne rien laisser paraître de ses sentiments ! J'adore le voir se figer, fermer son visage alors même que son corps frissonne à mon contact.
Mais, le must ça a été le match de Quidditch entre nos deux maisons, hier, qui marquait la fin des cours et le début des vacances de Noël.
Bien sûr, il a encore gagné, mais c'est pas le plus important. C'est vraiment un attrapeur hors-pair parce qu'on peut dire que je lui ai pas facilité la tâche. J'ai tout fait pour qu'il ne puisse pas se concentrer et je suis sûr que je lui ai fait perdre tous ses moyens, et pourtant il a attrapé le vif d'or avant moi ! J'avoue, je suis impressioné. Et c'est pour ça, finalement, que je suis content qu'il ait gagné, c'est une compensation, sinon, il ne m'aurait jamais pardonné ce que je lui ai fait subir pendant le match.
Rien que d'y repenser, je sens un grand sourire s'épanouir sur mes lèvres. Sans me vanter, j'ai été machiavélique à souhait. Ça c'était de la drague ! Et je sais de quoi je parle, draguer c'est une seconde nature chez moi. Je revoie encore la scène : déjà, je l'ai collé autant que j'ai pu en faisant semblant de chercher le vif. Je lui ai même réussi à le toucher en lui murmurant sensuellement :
- « Tu chevauches ton balai comme un dieu. J'ai hâte de te voir chevaucher autre chose. »
Le pauvre ! Heureusement qu'il ne porte plus de lunettes sinon elles auraient été pleines de buée tellement il a rougi ; et avec ma main sur son bras, j'ai pu être sûr de l'effet que je lui faisais ! Et mon sourire coquin le lui a fait bien comprendre. Il a bien essayer de répliquer en me disant :
- « Toi, en revanche, malgré ta réputation, tu n'es pas à la hauteur face à moi dans le ciel. »
Mais il n'arrive pas à la cheville d'un serpentard en ce qui concerne l'art et la manière de déstabiliser quelqu'un.
- « Eh, tu as mené ton enquête pour être si bien renseigné sur ma réputation ? Je suis on ne peut plus flatté de ton intérêt. Mais la prochaine fois, viens me voir, je me ferais un plaisir de te renseigner et de te faire une démonstration gratuite. »
Là, il ne savais plus quoi dire alors il est parti en chandelle.
- « Froussard », lui ai-je crié avant de le suivre.
- « Lâche-moi les basques Malefoy. »
- « Tu ne veux pas plutôt que je te les enlève ? »
- « Arrête je te dis ou je… »
- « Ou tu quoi ? Tu me réduis au silence ? Ça c'est moi qui le fais tu te souviens ? »
- « Tu m'as pris en traître ! »
- « Ah, je ne suis pas serpentard pour rien, que veux-tu c'est ma façon d'être. »
Et là il ne sut pas non plus quoi dire tellement il s'était attendu à ce que je nie tout en bloc. Une telle franchise de ma part, ça l'a scié.
- « Allons, Harry, c'est pour ça que tu m'aimes, parce que je suis imprévisible. »
L'emploi de son prénom et du verbe aimer le laissa bouche bée, et le rendis encore plus incapable de me répondre avec efficacité.
- « Ce n'est pas ça que j'aime chez toi. »
- « Ah non, c'est mon physique de rêve alors ? »
- « C'est ta nullité au Quidditch. », dit-il en me montrant sa main droite qui tenait le vif d'or.
- « Tu ne t'en sortiras pas comme ça, Potter », lui murmurais-je en me serrant encore plus contre lui juste avant que les autres joueurs ne rappliquent, et sentant bien que ma voix le troublait, « je sais que tu m'aimes, tu viens de me l'avouer, et une fois descendu de ton balai, tu joues sur mon terrain, et là, je n'ai encore jamais perdu. »
Et je l'ai laissé descendre vers la terre ferme. Mais au moment même où ses coéquipiers se jetaient sur lui pour le féliciter, j'ai bien vu dans ses magnifiques yeux verts qui ne me lâchaient pas que mes paroles avaient fait mouche.
Les jours qui viennent risquent d'être encore plus intéressant encore ! Je suis génial ! Et je dis ça en toute modestie, bien sûr ! Ah, ah, ah !
Alors ?
Non, on ne me tue pas… Je sais, je sais, finalement je suis une sadique…
Mais bon, je suis maladeuh… Alors, on fait une p'tite review gentille, please, ça vaut tous les médicaments du monde, et comme ça je reviendrai lundi en pleine forme avec le… LEMON ! Et oui… Comment ça vous êtes encore plus frustrés maintenant que je vous ai dit ce que contient le prochain chapitre ? Comme c'est dommage… Niark niark niark… Non, c'est pas moi qui suis méchante, c'est la maladie qui parle… Ne me tuez pas, AIEUH… OSKOUR….
A lundi, si je suis toujours en vie…
Et maintenant les RAR (par ordre alphabétique pour ne pas faire de jaloux et pour que vous trouviez la réponse à votre review facilement) :
Delphine : Non, j'ai pas honte de le traumatiser, et je vais continuer ! Mais bon, c'est pour qu'il soit encore plus heureux après notre Ryry, alors… Heureuse que ça te plaise en tout cas. Bonne semaine à toi aussi.
Farahon : J'ai remis "Alors ?" juste pour toi ! Mais si tu me tues, tu sauras jamais la suite ! lol !
Hana Uchiwa : Merci merci, tu as vu, il est pas le seul à phantasmer ! lol !
Himitsu no fire : Moi aussi, de temps en temps, je ne sais plus de quoi parlait ma review, surtout que je reviewe beaucoup… Mais bon, je suis heureuse de te faire aimer les lundis… ou les mercredis…
Hisokaren : Merci. T'as raison, quoique franchement j'adorerais que JKR fasse un slash, même un tout petit, genre Dean/Seamus par exemple ! A lundi prochain !
Jouzetsuka : Et oui, un gryffondor ne fait pas le poids contre un serpentard, quoique…
Kimmy Lyn : Désolée, mais aujourd'hui, pas la force de les faire parler ! Mais lundi prochain, j'essaie, promis. Et c'est toi qu'ils vont tuer mes revieweurs s'ils savent que t'as déjà la suite…
La-shinegami : Je sais c'est court, mais je publie tous les lundis… et tu vois, même malade je publie… ça compense, non ?
Serdra : Mais non, je vais pas le laisser mourir de frustration t'inquiète ! Tu verras lundi prochain !
Snape Black Rose : Voilà ! lol !
Vert émeraude : Sale petite serpentarde ! lol ! Je préfère les yeux de chat au chantage… Mais en échange de la vie de mes amours, je te dis ce que moi je pensais qu'il y voyait, même si en fait, tu peux imaginer ce que tu veux parce que j'ai réalisé que je le disais jamais ce que Harry avait lu dans les yeux de Dray… lol ! Donc, évidemment, Harry y lit du désir, mais surtout, il voit Dray, le vrai je veux dire, il voit les blessures de son âme (je sais, c'est mélo, mais Dray il a été très malheureux dans sa vie, méchant papa tout ça) et il y lit la promesse d'un amour vrai : je veux dire qu'il y voit que pour le serpentard il n'est pas juste une aventure. D'ailleurs, en fait, je crois que je vais insérer cette explication dans un chapitre, je sais déjà lequel, parce que t'es absolument pas la seule à me poser la question, et puis, oui… une expression calculatrice et sadique apparaît sur son visage comme ça ça sera encore plus douloureux… niark niark niark… Si tu veux l'explication de cette dernière phrase énigmatique, promets-moi la happy end ! A serpentarde, serpentarde et demie ma chère !
Vif d'or : Désolée, mais étirer je peux pas, j'ai horreur de délayer. Alors, je sais, c'est court, mais bon, je sais pas faire autrement, quoique, j'essaie. Pour cette fic, c'est rapé, mais pour celles que je suis en train d'écrire, je fais des efforts pour faire des chapitres plus longs. Enfin, contente que tu aimes quand même. Et puis, je publie vite, non ? C'est déjà ça… Enfin moi je trouve.
