Tyto : Ah je suis contente que l'histoire du portrait n'était pas prévisible. Je voulais créer la surprise.
Bonne lecture du dernier chapitre ;-)
Elfie : J'espère que tu aimeras ce dernier chapitre. Merci d'avoir lu la fic jusqu'au bout :-)
Ze1telotte : En fait je suis fanatique des prénoms anciens : Mélusine, Mélisende, Adenor etc. Mélusine vient donc de là. Néanmoins on m'a déjà fait la remarque une fois au sujet d'une BD nommée Mélusine qui raconte les histoires d'une sorcière délurée. Personnellement, je ne connais pas.
Quelle âme torturée et délaissée ? Torturée peut-être, mais en bonne compagnie :-P
Ombrage : Je suis fidèle à Baudelaire désolée :-P Quant à la qualité de la traduction, je trouve que les deux se complètent. Je préfère certains choix de Baudelaire et certains choix de Mallarmé. Mais comme tu dis, Baudelaire c'est Baudelaire.
Pitchfork s'est un peu écrasé c'est vrai, mais t'imagines un peu le choc pour lui de voir Severus Snape faire l'éloge d'une étudiante ? Nihihi.
Azuline : La voici la suite, le dernier chapitre. Peut-être écrirai-je une suite, mais ce ne sera pas avant quelque temps.
La lectrice : Quel cliché vises-tu ?
Personnellement je me tiens à mon style, le plagiat très peu pour moi. Après peut-être que j'aime des éléments classiques, qui reviennent facilement dans les histoires, ça c'est possible, mais chacun ses sales goûts :-P
Gaïa666 : Alors seront-ils enfin ensemble dans ce dernier chapitre ou Pitchfork va-t-il débarquer et demander la main de Hermione ? :-P
Violette : Bien on arrive à la fin (pour le moment ?) donc je laisse comme ça pour les RAR, en espérant que ça passe. Sinon l'idée du blog c'est pas mal, je la note pour toute éventuelle future fic.
Et voici la fin, bonne lecture !
Cassandre8 : Merci ! Tu m'as donné un de ces sourires ! C'est merveilleux de lire de tels commentaires. Je soigne beaucoup l'écriture et j'essaie de tout lier, de faire en sorte que rien ne soit écrit par hasard, et c'est très agréable qu'on le reconnaisse.
La rodeuse : Pitchfork s'il ne se doute pas encore se doutera bien un jour c'est sûr. C'est bien son genre lol. J'espère que tu aimeras ce dernier chapitre !
CrazyMarie : Nous sommes ce que notre passé a fait de nous, il est donc important de le partager. Il est difficile de connaître quelqu'un sans connaître son passé, en tout cas à mes yeux.
Et comme j'essaye d'apprendre à aimer les fêtes de fin d'année, je vous souhaite à tous un très Joyeux Noël (en retard là désolée...) et une bonne année 2006 !
Chapitre XVIII : Un nouveau jour se lève
Où enfin l'oeillet rouge peut fleurir en plein jour,
symbole de liberté et de passion.
(Et voici le dernier chapitre. J'espère que vous aurez aimé cette fic...
N'hésitez pas à me faire part de vos critiques positives et négatives. Si elles sont négatives allez-y doucement quand même. J'accepte les critiques, mais avec un peu de diplomatie ça passe mieux lol.
Je ferai peut-être une suite du genre 'deux ans plus tard' si j'ai le temps et l'inspiration. Pour le moment j'ai deux autres projets, mais je ne sais pas encore si je vais aller jusqu'au bout...)
Un soir après dîner, Hermione sortait de la Grande Salle pour monter à ses appartements lorsqu'elle fut interpellée. Elle s'arrêta et se retourna vers celui qui l'avait appelée. C'était Andrew, préfet-en-chef et préfet de Gryffondor.
- « J'ai entendu dire que tu finissais ton stage cette semaine, c'est bien ça ? »
- « Oui, je pars vendredi soir. »
- « D'accord... En fait, on voulait tous te dire, enfin tous les Gryffondors qui t'ont connue quand tu étais à Poudlard, que nous avions été très heureux de te revoir un peu cette année. Tu as été la meilleure préfète et préfète-en-chef que nous avons eue. Tu avais toujours du temps pour nous écouter, nous conseiller, nous aider dans nos devoirs. Tu sais Hermione, tu es mon exemple. Alors on voulait te remercier encore une fois. » Andrew lui tendit une grande enveloppe. Hermione haussa un sourcil interrogatif, tout comme Severus savait si bien le faire, et accepta l'enveloppe en souriant. Elle l'ouvrit : c'était une carte qu'ils avaient faite eux-mêmes et sur laquelle ils lui avaient tous marqué un petit mot de remerciement. Il y avait les timides Anthony et Roselina qui s'étaient décidés à se parler en suivant ses conseils, ils étaient devenus amis et s'étaient récemment mis ensemble, il y avait Marsie qui grâce à son aide avait progressé, avait pu garder les Enchantements après les Buses et avait trouvé sa vocation, il y avait Gregory qui s'était réconcilié avec sa famille auprès de laquelle il allait de nouveau passer les vacances... Les yeux brillants d'émotion, Hermione remercia Andrew. Ils échangèrent encore quelques paroles et se séparèrent, mais non pas avant que Hermione lui ait promis de venir leur faire une petite visite à la Tour avant de partir.
Le dernier jour de son stage, Hermione se rendit au bureau de Severus avec son dossier. Il lui avait demandé de le lui montrer. Il le parcourut attentivement, puis le rendit à Hermione. Il lui tendit alors un parchemin :
- « Voici une appréciation personnelle sur votre stage. Vous pouvez la joindre à votre dossier. »
Hermione lut l'élogieuse appréciation et remercia chaleureusement Severus. Il y répondit brièvement, mais l'ombre d'un sourire avait joué sur ses lèvres. Hermione prit congé et alla préparer ses affaires avant d'aller voir les Gryffondors.
Ce fut donc le sourire aux lèvres et les yeux brillants que Hermione quitta Poudlard ce vendredi soir. Elle avait cru qu'elle n'arriverait pas à quitter le château une nouvelle fois, mais elle était heureuse : elle se sentait reconnue et aimée, elle savait désormais qu'on ne l'avait pas oubliée, son stage était une réussite, elle rentrait chez elle, dans sa petite maison, et dans une semaine Severus viendrait la rejoindre. Enfin.
-§-
Le vendredi soir des vacances, Hermione se percha, comme souvent, sur le rebord de la fenêtre de sa chambre et guetta l'arrivée de Severus. Elle guetta encore et encore, tant et si bien qu'elle finit par glisser dans les bras de Morphée, oublieuse du froid et de la précarité de son perchoir. La jeune femme se réveilla alors que la nuit semblait déjà bien avancée et prit soudainement conscience de ce qui l'avait réveillée : on frappait à la porte. Elle courut ouvrir. C'était lui, c'était bien lui. Impulsivement, elle se jeta à son cou et Severus la serra très fort dans ses bras. Ils s'embrassèrent avidement. Enfin ils étaient libres de s'aimer.
- « Entre donc ! » lui dit-elle alors qu'ils desserraient leur étreinte.
- « Je suis désolé Hermione, je ne peux pas... »
- « Pourquoi ? Qu'est-ce qu'il y a encore ? » Hermione avait l'impression d'avoir été frappée de plein fouet par un hippogriffe lancé au grand galop (1).
- « Ma cousine Katatonia est venue me voir aujourd'hui à Poudlard. Elle est partie de chez elle, avec son enfant. Je lui ai proposé de rester chez moi pour le moment. J'ai un peu peur de la laisser seule cette nuit, elle est un peu bouleversée... mais je pense que demain elle ira déjà un peu mieux. »
- « Que lui arrive-t-il ? »
- « Elle a décidé de se séparer de son mari, ils avaient beaucoup de problèmes. Ne t'inquiète pas, elle ne restera que quelques jours, le temps de régler certains détails. »
- « Oh je comprends... mais je pourrai passer chez toi ? Ça ne me dérange pas qu'elle soit là, du moment que je te vois. » supplia Hermione. Elle ne pouvait plus tolérer d'être séparée de Severus, plus rien ne devrait les séparer à présent. Jamais plus. (2)
- « Passe demain dès que tu veux. » Severus l'amena de nouveau vers lui et l'embrassa tendrement. Ils s'enlacèrent. Severus caressa doucement le dos et la nuque d'Hermione et alors qu'elle répondait pareillement, il vint déposer des baisers dans son cou et lui murmura à l'oreille « Enfin je te retrouve... nous n'aurons plus à faire semblant. » Hermione frissonna en sentant ses lèvres effleurer son oreille et le serra plus fort dans ses bras.
Ils partagèrent encore quelques instants de tendresse, puis desserrèrent leur étreinte à contre coeur.
- « A demain alors, enfin tout à l'heure. »
- « Oui, à tout à l'heure. » Ils s'embrassèrent encore, puis Severus s'en alla veiller sur sa cousine.
(Ndla : oui je sais, vous allez me dire : « pourquoi elle est là cette fichue cousine ?! » Eh bien, vous verrez ça très vite, ce n'est pas là par hasard.)
Hermione se leva de bonne heure. Elle se doucha et se prépara un petit-déjeuner. Elle s'était réhabituée à manger le matin au cours des mois passés à Poudlard. Elle jeta un coup d'oeil à l'horloge. Il faisait peut-être trop tôt pour aller frapper chez Severus; elle pourrait réveiller Katatonia ou son enfant. Quel âge avait-il d'ailleurs ? Hermione s'installa devant la table basse et travailla quelques cours pour passer le temps.
Hermione soupira et ferma son classeur. Elle regarda de nouveau l'horloge. Déjà dix heures ? Elle pouvait y aller. Elle se recoiffa avec soin, mit ses chaussures et sa cape et sortit dans le froid mordant de l'hiver océanique. Elle se fraya un chemin dans l'épaisse couche de neige et frappa chez Severus. 'Si c'est encore elle qui ouvre...' mais ce fut Severus qui ouvrit. Il lui sourit, de ce sourire qu'il lui réservait, de ce sourire qui lui donnait le sentiment d'être unique au monde, et ils s'embrassèrent. Severus la fit entrer et la débarrassa de sa cape.
- « Katatonia est dans le salon pour le moment, mais elle va bientôt aller faire un tour sur la plage. On sera tranquille. » ajouta-t-il en chuchotant.
Hermione hocha la tête en souriant et ils entrèrent dans le salon. Katatonia se leva.
- « Bonjour Hermione ! » lui lança-t-elle joyeusement.
Hermione fut un peu prise au dépourvu.
- « Euh bonjour... Katatonia. »
- « Je suis contente de vous revoir. Severus s'est décidé à me parler de vous, et je suis très heureuse pour vous deux. »
- « Merci... »
Tous s'assirent, et Hermione et Katatonia purent commencer à faire connaissance. Puis cette dernière décida d'aller se promener.
- « Je te confie Amaryllis, Severus. »
Katatonia monta à l'étage et revint avec un landau dans les bras. Elle le posa doucement sur le sol, mais le bébé commença à s'agiter. Katatonia prit délicatement le poupon, une jolie petite fille aux yeux gris et aux boucles noires, et la donna à Severus. Après un baiser maternel à son bébé, Katatonia sortit enfin. Hermione, elle, avait gardé le silence et regardait Severus tenir le bébé dans ses bras. Il la tenait avec douceur, ses mains pourtant si fortes semblaient à peine toucher le bébé, comme s'il avait peur de la briser, et malgré cela on sentait que l'enfant était tenu, en sécurité, que rien de mal ne lui arriverait. Amaryllis sembla le sentir, car très vite elle s'endormit de nouveau. Hermione souriait, elle s'était souvent demandé quel père Severus ferait, lui qui semblait détester les enfants ; il détestait simplement ses élèves en fait. Il ferait un bon père, oui, elle le voyait, elle le sentait. Sévère et exigeant, mais bon. Il ne voulait pas reproduire les erreurs de son propre père. Severus, quant à lui, s'était parfois imaginé Hermione portant son enfant. Dans ses rêves éveillés il s'était vu avec elle élever leur enfant... mais elle, le voudrait-elle ? Il sentait que pour lui le temps pressait, dans moins d'un mois il aurait déjà 42 ans, mais elle ? Elle était encore si jeune, elle était intelligente et tellement ambitieuse, elle rêvait d'une carrière épanouie, peut-être ne voudrait-elle pas fonder de famille avant longtemps, et après il serait peut-être trop tard pour lui. Il aurait pu être son père, il n'avait pas envie d'être le grand-père de ses enfants... mais alors leurs regards se croisèrent et il sut. Il sut que Hermione aussi voulait une famille, qu'elle saurait très bien concilier les deux.
Lorsque Severus recoucha Amaryllis dans son landau, Hermione vint s'asseoir à côté de lui sur le canapé. D'un geste doux, Severus l'invita à s'allonger en posant sa jolie tête brune sur ses genoux. Hermione se blottit contre lui, ferma les yeux et sourit alors que Severus caressait doucement ses cheveux. Enfin ils étaient libres, ils n'avaient plus à se cacher. Aucune parole ne fut échangée, ils voulaient tous deux profiter de ce moment de calme et de douceur, profiter du contact de l'autre, de ses caresses, de son parfum.
Katatonia rentra à l'heure du déjeuner et ils mangèrent tous les trois.
- « Severus m'a dit que tu étudies les potions. Tu voudrais faire quoi après tes études ? »
Hermione préféra éviter de parler de son ambition de devenir Maîtresse de Potions et répondit :
- « Je voudrais être dans la recherche. J'ai déjà crée quelques potions et ça me passionne. »
- « Hermione s'y est intéressée très tôt. Elle a lu mes travaux au collège. »
- « Au collège déjà ? Tout s'explique alors, c'est une vraie passion, comme pour toi Severus. Mélusine n'aimait pas trop les potions elle. »
Hermione mordit rageusement sa côtelette. Elle ne laisserait pas les gens la comparer à Mélusine Snape, non elle ne serait pas celle qui remplaçait la défunte épouse de Severus. Hermione ouvrit la bouche pour répliquer, mais fut prise de court par Severus :
- « Mélusine et moi étions le jour et la nuit, Hermione et moi nous ressemblons beaucoup plus. Tu ne peux pas les comparer Katatonia. »
- « Oh je ne... désolée. » s'excusa Katatonia. Elle changea de sujet : « J'irai chez Irmina pour Noël, elle m'a invitée cette année. Vous avez des projets ? »
- « Je pense que nous ferons comme l'an dernier : une soirée tranquille et un bon repas. Nous ne fêtons pas réellement Noël. »
- « Pas de décorations cette année non plus alors ? »
- « Non. » répondit simplement Hermione. N'avaient-ils pas le droit de passer les fêtes comme ils l'entendaient ?
Heureusement la conversation s'orienta vers des sujets moins controversés, et Hermione et Katatonia réussirent à s'entendre.
L'après-midi Hermione et Severus allèrent se promener dans la campagne et se donnèrent rendez-vous pour se retrouver le soir chez Hermione.
En milieu de soirée, Severus frappa donc chez Hermione et entra. Hermione descendit de sa chambre en courant. La seconde d'après ils s'embrassaient fiévreusement et se dirigeaient vers le salon sans se séparer l'un de l'autre. Severus appuya doucement Hermione contre le mur et approfondit le baiser. Elle passa une main dans ses doux et longs cheveux noirs, alors qu'elle posait l'autre sur son torse. Elle se sentait perdre tous ses moyens, elle devenait folle, folle d'amour, folle d'envie.
- « Severus, montons. » supplia-t-elle en un souffle. Severus lui sourit, et ils montèrent à la chambre de Hermione main dans la main.
Le rideau tombe...
(3)
Hermione se réveilla alors que le soleil commençait à peine à se lever. Elle soupira de plaisir et s'étira. Severus ouvrit les yeux et lui sourit. Il caressa la courbe de ses hanches et de ses reins et l'embrassa. Hermione lui rendit un baiser langoureux, puis vint se blottir encore plus près de son amant. Ils restèrent ainsi blottis dans les bras l'un de l'autre quelque temps, puis Hermione proposa :
- « Et si on allait sur la plage regarder le lever de soleil ? »
Severus parut hésiter. Hermione lui dit alors :
- « Laisse tes peurs s'en aller, Severus... L'eau n'est pas un ennemi, certains humains ont été tes ennemis, mais si tu as su te fier à d'autres, pourquoi ne pas refaire confiance en l'eau aussi ? » C'était néanmoins plus que cela et Hermione le savait. L'eau était un symbole, le symbole de tout ce qui avait été, de l'abysse dont il revenait peu à peu. C'était la mer la nuit qu'il revoyait, une étendue noire et sans fond, un élément ennemi, invincible et infini... Severus resta silencieux un instant puis caressa la joue d'Hermione en murmurant :
- « Tu as raison. C'est le passé et aujourd'hui j'ai de nouveau un avenir. »
Ils se sourirent, se levèrent et s'habillèrent. Ils descendirent sur la plage et allèrent marcher un instant au bord de l'eau. Severus regarda l'eau claire venir lui lécher les pieds par vaguelettes. Il n'avait pas cru que la mer puisse être aussi claire, aussi transparente... Ils s'assirent l'un contre l'autre sur le sable, face au soleil levant qui inondait déjà la mer de ses pâles rayons. Hermione posa sa tête sur l'épaule de Severus alors qu'il l'enlaçait de ses bras. Ils soupirèrent de bonheur. Maintenant ils pouvaient être heureux, ils pouvaient vivre, contempler la beauté du monde qui s'offrait à eux, la savourer, maintenant ils pouvaient vivre l'un pour l'autre, l'un avec l'autre. Un nouveau jour se levait pour eux. L'avenir se traçait à l'horizon, à la sortie d'un tournant inattendu de leur route.
¤ Une fin ¤
Once I had a secret
love
That lived within the heart of me
All too soon
my
secret love
Became impatient
to be free
So I told a
friendly star
The way that dreamers
often do
Just how
wonderful
you are
And why I'm so
in love with you
Now I shout it
from the highest hill
Even told
the golden daffodils
At
last my heart's
an open door
And my secret love's
no
secret anymore
Now I shout it
from the highest hill
I even told
the golden daffodils
And lost my heart's
an open door
And my secret love's
no
secret
My secret love's
no secret
My secret love's
no
secret anymore
(Sinéad O'Connor – Secret love)
(1) Bon là j'avoue je me suis amusée et c'est trèèès tiré par les cheveux. Pourquoi un hippogriffe ? Il me fallait une créature relativement imposante, et quand j'ai vu que l'hippogriffe était symbole d'amour j'ai trouvé ça assez amusant. On peut se sentir frappé par un hippogriffe, comme frappé d'un coup de foudre. Enfin bref, je cours me cacher... Je ne vous avais pas dit que j'étais Mangoustienne à plein temps ? :-D
(2) Le « jamais plus » endeuillé de Poe devient « jamais plus » de l'amour que nul être ne pourra briser.
(3) Eh oui, pas de détails croustillants, désolée. J'en connais certaines qui vont venir me harceler, mais tanpis.
