Coucou, c'est lundi, je publie !

C'est le chapitre où tout s'arrange… donc vous pouvez ranger les malédictions, les bazoukas, et les couteaux à beurre ! lol !

Ce coup-ci, je laisse mon côté sadique de côté… enfin… autant que je peux ! lol !

Je rappelle que ceci est un slash, et qu'il y a un lemon dans ce chapitre (qui a hurlé YEAH ?), donc homophobes barrez-vous, et si vous ne voyez pas comment Dray et Hary peuvent aimer être amants, passez votre chemin aussi…

Pour tous les autres : Bonne lecture !


Chapitre 9 : La revanche.

POV Harry

Ouf, j'ai réussi à atteindre ma chambre sans pleurer !

Ce qu'il m'a dit, sa voix, quand il m'a frôlé… Merlin je vais en mourir si je ne peux plus être avec lui, contre lui, tout contre lui…

Que fait-il maintenant ? Je sais que c'est mal, mais je veux le voir. Or, si je le vois en face, je vais fondre en larmes, alors…

- « Imago Dragonis »

Et devant lui s'éléva une image holographique de Drago. Il était toujours là où Harry l'avait laissé et il ne bougeait pas, comme s'il était victime d'un sort de pétrification.

- « C'est bizarre, maintenant c'est son regard qui semble éteint », murmura Harry en se penchant plus près. « Mais, il pleure ! »

Non, impossible. Je me fais des idées. Drago Malefoy ne pleure jamais, et certainement pas en public.

Ne te fais pas d'illusion, Potter, il est et restera un Malefoy. Et le pire c'est que c'est comme ça que je l'aime. Ce n'est qu'un petit crétin arrogant mais c'est mon petit crétin arrogant !

Mais où va-t-il ? Dans sa chambre. Bon. Et au moment où il disait « Destructio imaginis », pour faire diparaître l'hologramme, il entendit le cri du serpentard.

- « Qu'est-ce qu'il a dit ? il m'aime ! »

Non, non, j'ai dû mal comprendre.

Et pourtant… Est-ce qu'il est possible que… ?

- « Je dois en avoir le cœur net. »

Et avant de prendre le temps de réfléchir, Harry saisit sa cape d'invisibilité et courut vers la Tour Serpentard, en se disant qu'il déciderait quoi faire en voyant Malefoy en face.

Arrivé devant la porte, il se rappela qu'il ne savait pas le mot de passe. Il trépignait d'impatience et s'apprêtait à faire une bêtise quand Goyle arriva, les bras chargés de victuailles. "Un vrai ventre à pattes celui-là", pensa Harry, "mais pour une fois je bénis ton appétit mon cher Goyle." Et il se glissa dans la salle commune des serpentards, vide en cette période de vacances, tout comme la salle des gryffondors.

Priant pour que Drago soit toujours dans sa chambre et seul, Harry chercha sa porte. Il ne chercha pas longtemps car l'orgueilleux préfét serpentard avait gravé son nom sur la porte ! "Quel incorrigible vantard", ricana Harry.

Comment entrer ? En frappant bien sûr. Quand il entendit Drago lancer « Apertum » pour faire s'ouvrir magiquement la porte, Harry se faufila rapidement à l'intérieur. Drago grogna :

- « J'espère que c'est important ! »

Mais, ne recevant pas de réponse, il se mit sur son séant, esquissa un geste pour se lever puis… se laissa retomber sur son lit en murmurant :

- « Closum »

Voir le serpentard simplement refermer sa porte en renonçant à se venger de ce qui ne pouvait lui apparaître que comme une mauvaise blague fit plus d'effet à Harry que tout autre chose. Drago n'était vraiment plus lui-même, et ce ne pouvait être une mise en scène destinée à Harry puisque Drago se croyait seul. "A moins que… ? Non impossible."

Mais quand il vit Drago se lever et marcher droit sur lui, il recula précipitamment, sans plus savoir quoi penser, car Malefoy disait :

- « Harry, je suis désolé ! »

Ce ne fut que lorsqu'il entendit Drago se morigéner à haute voix, qu'il recommença à respirer, ne se rendant compte qu'à ce moment-là qu'il retenait son souffle. Il laissa même échapper un soupir tremblant que Drago heureusement n'entendit pas, trop occupé à tourner en rond comme un lion en cage. Harry tendit l'oreille et écouta attentivement ce que maugréait le serpentard.

Drago se traitait de tous les noms :

- « "Je suis désolé !" Ah bravo, Malefoy, quelle originalité ! Non mais franchement, plus cliché tu meurs ! T'es pitoyable. En plus, t'oublies que Harry ne veut pas te parler, ni t'écouter, que tu viens de le croiser et qu'il s'est sauvé en courant. C'est pas un "désolé" qui l'arrêtera. Réfléchis bon sang réfléchis, il doit y avoir un moyen… Une lettre… non, il va la jeter sans la lire et je ne serai pas plus avancé. Voyons… voyons. Ça y est, j'ai une idée », s'écria-t-il en saisissant sa baguette et en faisant apparaître, au grand effarement de Harry, un badge ; et un badge en forme de cœur, qui clignotait car le cœur était dessiné avec des diodes rouges lumineuses et clignotantes, et à l'intérieur était gravé "Je t'aime Harry".

Quand il vit Drago l'épingler sur sa robe de sorcier et regarder avec attention l'effet produit dans un miroir invoqué pour l'occasion, Harry laissa échapper un gloussement. Mais le bruit fut étouffé par l'explosion du miroir. Drago l'avait pulvérisé et jetait loin de lui le badge, en hurlant :

- « Je suis ridicule, il va se moquer de moi ! Je ne le supporterai pas.»

Après cet éclat de colère, Drago s'écroula sur son lit en gémissant :

- « Mais qu'est-ce qui va pas chez moi ? Être un crétin pareil, c'est pas possible ! »

Voir Drago dans cet état pertubait tant Harry qu'il esquissa un geste pour enlever sa cape d'invsibilité, mais soudain, il se figea. Son cœur s'arrêta de battre. Il ne pouvait croire ce qu'il voyait. Drago pleurait ! Et pas qu'un peu. Il s'était recroquevillé sur lui-même et ses sanglots le secouaient tout entier. Il murmurait quelque chose. Harry tendit l'oreille et s'aperçut que Drago répétait son prénom, encore et encore, comme une litanie, la voix rauque et brisée.

Harry ne put le supporter plus longtemps. Il aimait le Drago fier et sûr de lui qu'il avait toujours connu et le voir défait à ce point, les yeux rougis de larmes, les vêtements froissés… lui ! toujours si soucieux de son apparence et si avide de plaire !

Harry ne pensa plus qu'à soulager son amant, oubliant ses propres tourments. Voir Drago malheureux aurait dû lui faire plaisir, il avait tellement rêvé durant ces quelques jours de voir soufrir à son tour celui qui l'avait fait tant souffrir ! Mais non, il ne supportait pas de le voir ainsi, il voulait que Drago cesse de pleurer.

"Cette fois je ne peux plus me mentir sur mes sentiments", pensa-t-il, "puisque son bonheur m'importe plus que ma vengeance, contrairement à ce que je m'étais imaginé."

Et Harry enleva sa cape tandis que Drago, qui lui tournait le dos, ne s'apercevait de rien. Il en profita pour murmurer « Insonorus totalus » pour insonoriser magiquement la pièce puis il s'approcha, s'assit près de son amour et passa délicatement sa main dans les cheveux blonds. Drago sursauta et se retourna si brutalement qu' Harry serait tombé s'il ne s'était pas levé du lit.

- « Harry ? », coassa Drago.

- « Chut, mon amour ! Ne dis rien. Nous avons mieux à faire », murmura Harry en l'embrassant. « Tes lèvres m'ont tellement manqué ! »

Drago, sous le choc de son apparition, ne réagit pas à ses baisers. Harry, pour lui prouver qu'il était bien là, chuchota « Nudus » pour les déshabiller tous deux d'un coup de baguette, puis colla son corps nu tout contre celui de Drago, et tout en caressant fiévreusement le corps du serpentard, lui murmura :

- « Eh Malefoy, t'attends quoi ? Le déluge ? »

Drago eut un frisson et agrippa convulsivement le gryffondor comme s'il doutait de sa présence. Harry le serra encore plus contre lui en l'embrassant passionément et, passant une jambe entre celles de son amant, il se frotta lascivement contre lui pour éveiller son désir. Drago gémit de plus en plus fort, au rythme où Harry se frottait à lui. Ils jouirent de concert et Drago étouffa, enfin essaya d'étouffer, son cri sur les lèvres de Harry.

Puis, reprenant son souffle avec difficulté, le serpentard sourit et dit :

- « Alors tu es vraiment là. »

- « Tu en as douté jusqu'à maintenant ? Dis donc, tu as une imagination fertile ! Heureusement que je ne suis pas une hallucination et que j'avais réellement insonorisé ta chambre, ou tout Poudlard t'aurait entendu ! »

- « Ah mon amour, c'est que jamais encore je n'avais ressenti ça ! »

- « Redis-le moi »

- « Quoi ? »

- « Ce que tu avais gravé sur ton affreux badge clignotant. »

- « Ah Merlin, tu as vu ça aussi ! »

Devant l'air déconfit du serpentard, Harry ne put s'empêcher d'éclater de rire.

- « Arrête. ARRÊTE ! Je t'interdis de te moquer de moi ! », hurla Drago, en écrasant Harry contre le matelas pour l'empêcher de rire. Il finit par l'embrasser sauvagement, le mordant et envahissant sa bouche.

- « Désolé, mon chéri, », dit Harry quand Drago le laissa enfin respirer, « je ne me moquais pas. Non je te promets », ajouta-t-il en voyant l'air perplexe de son amant, « mais tu avais l'air si gêné ! C'est ça qui m'a fait rire. En revanche, j'ai adoré te voir en amoureux transi, je te le jure », conclut Harry, en se remettant à rire lorsqu'il ajouta « même si ton goût laisse un peu à désirer je l'avoue. »

Rassuré, Drago se joignit à lui, avant de sceller de nouveau ses lèvres aux siennes.

- « Et puis », continua Harry après ce baiser, « j'ai maintenant une arme contre toi pour quand tu seras par trop arrogant, serpentard de mon cœur. »

Et Harry, pour arrêter la discussion, empêcha Drago de répliquer en l'embrassant fougueusement, à pleine bouche, tout en inversant leurs positions pour se retrouver au-dessus. Jamais Harry ne s'était senti si entreprenant. Mais être sûr que son amour était partagé, que Drago l'aimait, lui donnait toutes les audaces. Alors il avait décidé de continuer à prendre les choses en main. Il avait trop souffert pour attendre encore, il voulait trop goûter, toucher, sentir à nouveau ce corps qu'il avait cru avoir perdu à jamais. Il se mit donc à califourchon sur les hanches de son amant. Drago voulut se débattre mais Harry le bloqua fermement sous lui et, attrapant sa baguette magique, lui attacha les mains aux montants du lit.

- « Maintenant, tu vas être sage j'espère. Sinon, je peux aussi t'attacher les jambes. »

- « Mais Harry… », protesta Drago

- « Tu veux que je te baillonne aussi ? »

- « Qu'est-ce qui te prend ? », murmura Drago, étonné par le ton impérieux de son amant, qui avait été si passif la dernière fois.

Drago ne savait plus quoi penser, mais comme l'attitude nouvelle du gryffondor l'excitait beaucoup, à son grand étonnement d'ailleurs, il décida de le laisser faire et se tint coi. Harry se remit à l'embrasser tout en laissant ses mains et ses lèvres faire ce dont il avait tant rêvé depuis cette nuit-là. Drago se laissait faire, en gémissant.

- « Je te demande une seconde », dit Harry en reprenant sa baguette pour lancer un nouveau « Insonorus totalus ».

- « Juste au cas où », murmura-t-il à Drago en souriant, avant de se remettre à l'embrasser.

- « Je vais te faire tout ce que je rêve de te faire depuis… que j'ai compris que je pourrais le faire… Tu n'as qu'à te laisser faire. Laisse-moi mener la danse cette fois. »

- « Fais de moi ce que tu veux, je suis à toi. Mais parle-moi encore. », réussit à murmurer Drago, entre deux gémissements de plaisir, tout contre les lèvres d'Harry.

- « Ça t'excite ? »

Le corps de Drago répondit pour lui en frissonnant des pieds à la tête. Harry était stupéfait du pouvoir qu'il avait sur son amant. Sans même qu'il en ait conscience, sa voix se fit plus profonde, plus chaude, plus sensuelle, et cela excitait Drago encore plus.

Harry, en même temps qu'il agissait, continua donc à parler à l'oreille de son amant, dans un murmure qui amplifiait l'effet qu'avait ses caresses sur Drago :

- « Je vais te raconter ce dont je rêvais la nuit quand mon désir de toi se faisait irrésistible. Je rêvais de t'avoir à ma merci, comme maintenant, pour pouvoir déguster ta peau, me repaître de sa douceur, de sa chaleur… Je rêvais aussi de te caresser.. . comme ça, jusqu'à ce que tes tétons se dressent, pour que je puisse les mordiller… comme ça. Tu aimes ce que je te fais, n'est-ce pas ? Oui, tu en frissonnes de plaisir. Mais, ça ne fait que commencer. Je veux te goûter, te sentir, je veux… hum. Je te veux. »

Et Drago gémissait, s'abandonnant totalement au plaisir que lui procurait Harry. Il n'avait jamais ressenti ça, jamais était sensible à ce point, comme si sa peau était aussi fine que de la soie. Chaque contact entre leurs peaux lui faisait l'effet d'une décharge électrique. Et quand il sentit Harry prendre enfin son sexe entre ses lèvres, le désir de lui se fit si intense qu'il ne put que balbutier le prénom de son amant, d'une voix suppliante. Mais celui-ci fit comme s'il ne comprenait pas. Harry prenait un malin plaisir à faire languir Drago. Il fit courir sa langue le long du sexe dressé du serpentard, le titilla avant de le reprendre en bouche. Mais il le suça sur un rythme lent, qui exacerbait le désir de Drago et dit :

- « C'est moi qui commande maintenant. Tu es à moi Drago et tu vas me le dire. Dis mon prénom, mon amour. Et dis-moi encore que tu m'aimes. Je veux que tu me le dises, encore et encore ; je veux que tu cries mon nom ; je veux que tu saches bien à qui tu dois ton plaisir. Je veux que tu te rendes à moi. Tu m'appartiens, tu le sais, et je veux que tu me le dises. Je veux que tu me supplies de te laisser prendre ton plaisir. Et tu vas le faire. Si, si tu le feras », répéta-t-il en voyant Drago faire non de la tête, « sinon, je continue ce que je fais maintenant, et je t'affolerai jusqu'à ce que tu te rendes. »

- « Arrête… Arrête, Harry, tu me tues !»

- « D'accord, j'arrête »

- « Harry, non… »

- « Tu veux que je continues ? »

- « Je ne sais pas, je ne sais plus… »

- « Tu veux que je m'occupe de toi ? Que je te prenne dans ma bouche ? »

- « Oui, oui… »

- « Alors, tu sais ce que tu dois faire ! »

Et comme Drago ne s'exécutait pas encore, Harry enroula sa main et caressa Drago très, très lentement, juste pour maintenir son excitation au maximum.

- « Harry, Harry… »

- « Oui ? »

- « Oh Merlin, Harry… Je me rends. Je t'en supplie, je t'en supplie, je t'en supplie, aies pitié de moi ! »

Harry, un grand sourire aux lèvres, prit enfin le sexe de son amant entre ses lèvres et en quelques va-et-vient rapides, il amena Drago à crier son plaisir sans retenue, et juste avant de se répandre dans la bouche du gryffondor, le serpentard hurla :

- « Harry, Harry, Harry, je… je… je t'aime! »

Harry but les mots et le plaisir de son amant avec délectation et, remontant, il s'étendit de nouveau tout le long de Drago et l'embrassa avec tendresse, en lui caressant les cheveux.

- « Ça t'a plu mon cœur ? Je vois que oui. Mais je n'en ai pas encore fini avec toi. », murmura le gryffondor et sa voix rauque eut l'effet escompté. Drago se remit à frissoner.

Harry trouvait grisant ce pouvoir qu'il avait sur son amant, mais il voulait plus et tandis que Drago gémissait sourdement de sentir ses mains et se lèvres sur son corps, il le lui fit savoir :

- « Je te veux mon amour, je te veux tout entier, je te veux comme tu m'as voulu la première fois »

- « Non, Harry, jamais je n'ai… non… s'il te plaît »

Mais quand Harry recommença ses caresses, Drago sentit ses reins se cambrer malgré lui, s'offrant à Harry .

Drago était conscient que Harry avait les clés de son corps, mais quand il sentit Harry s'approcher de son intimité, il se raidit encore une fois.

- « Ne te crispe pas, chéri. »

Harry voulait Drago plus que tout mais il voulait aussi que Drago reconnaisse qu'il le désirait autant que lui, qu'il voulait que Harry le possède. Il recommença donc à faire coulisser le sexe de Drago dans sa main, sur un rythme lent, pour exacerber son désir sans le satisfaire. Et tout en prenant également possession de sa bouche, il continua à l'affoler de ses mots :

- « Laisse-toi faire. Tu vas aimer, je te le promets », dit Harry et sa voix était si rauque de désir qu'elle donna la chair de poule au serpentard.

Harry, conscient du désarroi de son amant, détacha les mains de Drago. Il se les passa autour de la taille et, enlaçant lui aussi son amant, il l'installa confortablement. Ils se retrouvèrent donc assis, emboités l'un dans l'autre et Harry se colla encore plus étroitement à Drago tout en lui écartant les jambes. Drago s'accrocha désespérement à lui, et scella ses lèvres au cou de son amant. Et quand Harry s'approcha de nouveau de l'intimité du serpentard, quand il approcha ses doigts, quand il en entra un premier en lui, Drago, obnubilé par le désir qui montait en lui, par le contact et le goût enivrant de la peau d'Harry et par ses baisers langoureux, n'opposa plus de résistance. Et quand Harry fit aller et venir deux puis trois doigts en lui, Drago sentit ses jambes s'écarter encore plus, et ses reins se camber, et il s'offrit :

- « Viens », murmura-t-il à son amant, « oh viens vite. Je te veux en moi, maintenant. »

Harry entra alors délicatement en lui, se retenant pour ne pas lui faire mal, mais Drago se cambra encore plus pour mieux sentir Harry tout au fond de lui.

- « Doucement, chéri, je ne veux pas te faire mal. »

- « Non, ne te retiens pas, je t'en supplie Harry, prends-moi… fort, vite. Je veux être tien. »

- « Tu es mien », dit Harry en commençant à aller et venir, de plus en plus vite, de plus en plus fort.

Quand il sentit son plaisir monter, il saisit le sexe de Drago pour que leur plaisir monte au même rythme et se sentant près du pinacle, d'une voix fiévreuse, il ordonna à Drago :

- « Dis-le. Maintenant. Dis-le moi »

- « Je t'aime », murmura le serpentard juste avant que Harry ne se répande en lui, juste avant que lui-même ne se répande dans la main du gryffondor.

- « Oh, mon amour, je t'aime tellement », murmura à son tour Harry en embrassant tendrement l'élu de son cœur.

Et comblés, repus, tous deux s'endormirent, dans les bras l'un de l'autre.

Mais quand Harry se réveilla, il était seul.


Alors ?

Elle va pas nous refaire le coup, c'est ce que vous vous dites… Et bien elle va se gêner, tiens !

Non, on ne tue pas l'auteure… qui est sadique en fait, je sais, je sais…

Mais si on est un gentil lecteur, qu'on reviewe et qu'on lui laisse la vie sauve, on a le chapitre 10 et le chapitre 11 qui est aussi le dernier le 26, lundi prochain, pour Noël quoi…

Vous voyez que je suis pas si méchante que ça...

Bon, alors je vous dis à lundi, et bonnes fêtes ! Et bonnes vacances aussi pour ceux qui en prennent !

NB : Miss Felton/Malfoy, merci pour ta review ! Je suis ravie que ma fic te plaise !