1er chapitre perte de contrôle

Harry resta là pendant cinq minutes et mangea tranquillement une autre pomme. Il fut rassasié. En partant, il jeta les deux trognons de pomme puis il lança un dernier regard à la fenêtre et s'aperçut qu'il avait oublié de refermer la fenêtre. Il retourna sur ses pas et ferma la fenêtre. Soudain quelque chose d'incroyable se produisit ! Des étincelles rouges, vertes, jaunes, bleues et grises passèrent à travers la fenêtre fermée et se dirigèrent vers Harry avant de l'entourer le temps d'une seconde ! Il crut qu'il devenait fou ! Il se dirigea rapidement vers l'étroit placard qui lui servait de chambre et s'y allongea, espérant retrouver le sommeil mais l'épisode dans la cuisine restait dans ses pensées. Il regarda autour de lui, essayant de trouver quelque chose pour le distraire. Il ne trouva rien. Puis le placard lui même lui rappela des mauvais souvenirs. Chaque nuit, ce placard lui rappelait l'horrible injustice de ce qu'il subissait.

Il en venait même à se demander comment il avait fait pour apprendre à marcher, parler et autres choses essentielles alors que les Dursley n'avaient rien fait pour lui apprendre. Il pensait aussi qu'ils avaient essayé de l'empêcher d'apprendre tout ça. Il se sentait presque comme un esclave avec toutes les corvées qu'ils lui donnaient. Il n'avait jamais eu de vrais cadeaux à part des vieilleries alors que Dudley était comblé, chouchouté, pourri-gaté. Il connaissait ce mot depuis peu. L'école. Un autre de ses mauvais souvenirs. Quand il essayait de se lier d'amitié avec les autres, la bande à Dudley effrayait toutes les personnes avec qui il avait une chance d'amitié. Les petites fille trouvaient ses yeux, verts comme la plus belle des émeraudes, et ses cheveux noir de jais absolument choux. Mais ses vieux habits trois fois trois grand, ses lunettes mille fois réparées et sa mauvaise réputation ne jouaient pas en sa faveur. Quand il lisait un livre, Dudley le prenait et le jetait dans la boue si bien que le pauvre Harry se retrouvait à repayer le livre à la bibliothécaire qui ne comprenait rien. Puis il sentit la fatigue venir. Ses paupières avec des longs cils commençaient à se fermer. Il s'endormit.

Bang !Bang !Bang!

Tante Pétunia frappa à la porte du placard sous l'escalier pour réveiller « son bon à rien de neveux » et lui ordonna de préparer le petit-déjeuner de son Dudleynouchet chéri. Harry se leva et alla à la cuisine pour préparer le petit-déjeuner des Dursley. Il savait que de toute façon Dudley aurait la plus grosse part et lui la plus petite. Il prépara les œufs au bacon désiré par Dudley ce matin. Tout en préparent le petit déjeuner, il repensa à la nuit dernière.

Ces fichues étincelles ne voulaient pas sortir de sa tête. Maintenant, en y repensant, il se sentit bizarre comme dans un brouillard, mais un brouillard apaisant, vidé de toutes pensées à part ces maudites étincelles qui persistaient.

Harry perdit tout contrôle sur son corps. Il laissa tomber la poêle et son contenu, alla vers le placard sous l'escalier et y rassembla ses maigres affaires. L'oncle Vernon l'empoigna par le pull mais Harry saisit sa main et le propulsa à l'autre bout de la pièce avec une force inconnue. Ensuite il se dirigea vers la porte de la cuisine et la ferma d'un simple geste de la main. Puis il attendit, immobile. Il n'attendit pas longtemps. Trente secondes plus tard, plusieurs personnes apparurent dans un tourbillon d'étincelles rouges, vertes, jaunes, bleues et grises. Son cerveau ne savait pas qui étaient ces personnes mais son cœur si.

Ils se tenaient par la main et Harry attrapa celle qu'on lui tendit. Et immédiatement il sentit une chaleur réconfortante. Ils disparurent à nouveau dans un tourbillon de paillettes…

(nda : je sais ça fait un peu trop répétitif mais bon j'avais pas le choix) (Ndbl: Paillettes, c'est vraiment le mot que tu voulais employé ? j'aurais pensé qu'étincelles auraient mieux convenu)(nda : c'est ok j'ai changé)

Ils atterrirent devant un château immense aux innombrables tours et tourelles. Il y avait une grande étendue d'herbe encore mouillée par la rosée du matin et un grand lac reflétant les couleurs du soleil. Harry était toujours dans cet espèce de brouillard. Ils s'avancèrent vers une grande porte ornée de somptueux dessins gravés à même la porte et recouvert d'une mince couche d'or, certainement l'entrée du château. Ils entrèrent et se dirigèrent vers une salle. Elle faisait deux fois le jardin des Dursley. Elle était spacieuse, propre comme un sou neuf. Les murs étaient décorés d'un savant mélange de diverses couleurs. Chaque couleur avait eu sa place. Un feu ronflait dans la cheminée et donnait ainsi à la salle une ambiance accueillante et chaleureuse. Tout le contraire du placard sous l'escalier.

Puis Harry revint à lui. Il fut heureux mais triste en même temps de sortir de ce brouillard. Il s'assit sur un fauteuil moelleux où il s'enfonça. Il observa tour à tour les cinq personnes devant lui. Il y avait un très vieil homme qui ressemblait au père Noël, le gros ventre et les habits rouges en moins. Il avait une longue barbe, il était assez grand, son dos était légèrement courbé et ses yeux étaient bleus comme le plus beau des océans. Il s'appelait Merlin.

Il y avait aussi un deux autres hommes. Le premier était grand, très grand. Sa robe était rouge sang. Des traits carrés, des yeux marrons parsemés d'or et des cheveux roux cendrés. Il se nommait Godric Griffondor. L'autre venait d'une famille aristocratique d'après ses longues mains blanches et sans défauts. Ses traits fins, son regard froid et supérieur le prouvaient aussi. Il avait un nez petit par rapport à l'autre homme. Il était de taille moyenne et sa robe de velours était des plus belles. Il avait des yeux gris métallique et des cheveux noirs. Son nom était Salazar Serpentard.

Il y avait également deux femmes. L'une avait les yeux noirs comme les ténèbres. Mais la douceur et la tendresse qui se lisaient dans son regard dissuadaient quiconque de son appartenance aux ténèbres et ses cheveux étaient blond cuivré. Elle était assez grande pour une femme. Elle avait des traits doux et n'importe quel homme pourrait tomber sous son charme. Elle s'appelait Helga Poufsouffle. Enfin la dernière femme était tout aussi belle que l'autre. Elle avait un air intelligent. Elle n'avait pas de lunettes pour gâcher ses magnifiques yeux bleu océan où il y avait un grand plaisir à y plonger. Ses longs cheveux vénitiens ( roux et blonds) encadraient son visage de femme-enfant. Elle était exceptionnellement grande pour une femme. Son nom était Rowena Serdaigle. Chez chaque personnage, on sentait une grande puissance. Ils étaient tous terriblement beaux ( à part Merlin mais il est vieux donc).(si quelqu'un me dit que je n'ai pas fait d'effort d'imagination je l'étripe ! ndbl: tu aurais pu les vêtir de tutus roses, quand même !)(nda : c'est pas des danseurs classiques à ce que je sache et en plus y'a pas que des tutus roses) L'enchanteur Merlin prit la parole :

« Bonjour Harry, Dit-il calmement.

- Qui êtes vous ? Comment connaissez vous mon nom ?demanda Harry, paniqué.

- Je m'appelle Merlin, répondit ledit Merlin.

- Vous êtes Merlin ! Le célèbre Merlin l'enchanteur ! demanda l'enfant complètement éberlué

- Effectivement, c'est moi. Je vois que tu connais mon histoire, j'en suis flatté, dit le célèbre magicien (Merlin) avec une lueur étrange dans le regard.

- Qu'est qui le prouve ? questionna l'enfant aux yeux verts, étant devenu méfiant.

- Et bien tu le sais au plus profond de toi même qui je suis. Ton sang le sait, ton cœur le sait mais ton cerveau l'ignore. Suis ton cœur . Tu peux me croire. C'est le meilleur guide possible. »

Il avait raison. Harry le sentait. Quelque chose en lui lui disait qu'il avait raison. L'homme devant lui était bien Merlin l'enchanteur, son cœur le lui avait dit.

« Qui sont les personnes autour de vous, m'sieur (bl: on garde le m'sieur ! siteuplé ! c'est trop choouu !nda :dac) Merlin ?

- Je te présente Godric Griffondor, fit Merlin en lui montrant un homme aux cheveux roux cendrés avec des yeux marrons avec quelques nuances d'or par-ci par-là et habillé en rouge.

- Bonjour Harry, répondit Griffondor d'un air enjoué.

- Bonjour monsieur ( à lire à l'ancienne) Griffondor, dit-il timidement.

- Voici sa femme, Rowena Serdaigle, qui a préféré garder son nom de jeune fille, le vieux mage montra une femme aux cheveux vénitiens avec des yeux bleu océan.

- Salutations jeune Potter, dit-elle d'un ton calme et posé.

- Salutations madame Serdaigle, répondit le petit d'une voix à peine audible en répétant les formules utilisées auparavant.

- L'homme que tu vois ici s'appelle Salazar Serpentard, présenta le vieil homme.

Il désigna un homme habillé de vert émeraude. Cet homme a des yeux gris métal et des cheveux noir. Serpentard le salua d'un hochement de tête. Harry fit de même.

- Voici la dernière mais non la moindre, Helga Poufsouffle.

Harry la regarda. Elle avait un regard doux, maternel. Ses yeux étaient d'un noir irréel, sa robe avait la couleur du soleil dans ses beaux jours et ses cheveux étaient blond cuivré, contrastant avec ses yeux. Elle le salue, lui aussi.

- Mais pourquoi m'avez vous emmené ici? Demanda Harry»

L'enfant aux cheveux noir de jais ne comprenait pas pourquoi ils l'avaient emmené ici. Ils se regardèrent l'un après l'autre puis leur regard se tourna à nouveau vers l'enfant.

« Tu ne sais pas pourquoi ?lui demanda Griffondor . »

même si Merlin est censé être mort depuis 3 ou 4 siècle on va dire que c'est une forme évoluée du fantôme qui peut prendre les objets et tout et tout mais qui est déjà mort et qui vit à Poudlard

RAR : Le Saut de l'Ange : Merci beaucoup ! ça me fait vraiment très plaisir de savoir que ce que j'écris est choupinet (non c'est pas ironique). Merci pour ta future fidélité ! bisous !

Rebecca-Black : merci ! Tu la trouves cute mon histoire? Snif !snif !

Magic-Pinky : Oui son vœu s'est réalisé c'est bien non ?merci pour tes encouragements ! ça fait très plaisir !On s'en rend pas compte !

Je suis super contente que vous trouviez mon premier chapitre mimi ! c'était pas le but premier mais c'est pas grave. J'espère que le 2ème vous plait autant ! bisous tout le monde ! vous laissez une review si vous voulez mais c'est pas obligatoire mais c'est bon pour mon moral d'en laisser !)