Chapitre 7 : journée chargée
Disclaimer : Tout est à J.K Rowling à part les quelques personnages que j'ai inventé. Je ne gagne aucun argent en publiant cette fic.
RAR : (je ne suis pas sure que l'on a le droit de répondre aux reviews mais je le fais quand même !)
Laurastau : Merci beaucoup !J'espère que ce chapitre te plaira !
Magic-Pinky : Merco beaucoup !ça me fait vraiment plaisir que tu apprécies ma fic ! Il faut prendre compte des circonstances aussi. Au 10ème siècle on est encore dans le moyen-âge donc chasse aux sorcières, bûcher… et pour les gosses qui ne connaissent pas le sort pour s'en sortir. Aussi parce que je n'aime pas trop inventé des personnages, leur inventé une personnalité pour ça je n'ai pas d'imagination. Merci pour ta fidélité !
Underphoenix : Merci et bonne lecture !(psj'aime beaucoup tes fics)
Pegase : Là voilà !j'espère que tu vas aimer !
Rebecca-Black : Merci du fond du cœur et bonne lecture !
Ptronille : J'ai échappé aux tomates pourries ?sort avec prudence de la forteresse qu'elle s'est construite pour échappé aux tomates pourries de Ptronille et s'en prends comme même une dans la gueule Merci !et bonne lecture !(ps : Ptronille ça me rappelle Pétronille dans un bouquin « le chevalier de Jérusalem »)
Note de l'auteur : comme tous les auteurs qui vont en cours, je me vois obligé de vous dire que le rythme de parutions baissera. J'ai d'ailleurs profité de ses vacances et je suis déjà rendu au chapitre …8 ! (ne me frappez pas !) si vous voulez savoir pourquoi je ne publie pas jusqu'au chapitre 8, c'est parce que, de 1 ma correctrice doit corriger les chapitres, de 2 : j'essaye d'uploder de façon régulière. Fini !
Note de l'auteur à l'avis des canadiens : lire la note de la BL à la fin.
Toujours avec Dumby et Tonks :
Les épaules de Dumbledore s'affaissèrent et on eut l'impression qu'il avait soudainement pris 20 ans. Dans ses yeux, habituellement pétillants de malice, flottaient un air de tristesse et d'impuissance. Puis, lentement, il se leva et se dirigea vers ses instruments bizarroïdes et chercha un quelconque indice. Fumseck déploya ses ailes et s'envola pour se poser sur l'épaule de son maître. Il chanta quelques notes réconfortantes et resta perché sur son épaule. Dumbledore se rassit et poussa un soupir las. Tonks, qui, visiblement, attendait des réponses avec impatience, resta silencieuse et attendit que le grand sorcier prenne la parole, ce qui ne tarda pas.
« Aucune réponse et les boucliers qui entourent sa maison n'ont rien senti, dit-il dans un souffle avec une expression d'incompréhension et de douleur sur le visage »
Tonks baissa la tête avec un hochement de tête grave. La porte du bureau s'ouvrit brusquement sur Remus Lupin et Severus Rogue qui entrèrent en trombe avant de s'arrêter net devant les têtes d'enterrement de leurs collègues qui n'avaient pas relevé la tête, enfermés dans leur mutismes. Plusieurs secondes passèrent dans le silence le plus total. Remus brisa finalement ce silence pesant.
« Qu'est ce qu'y se passe ? fit-il sur un ton alarmé.
- …
- Y'a quelqu'un ? demanda t'il en passant une main devant les yeux de Tonks. »
Elle sortit de sa torpeur et parut fortement étonnée de les voir. Rogue réveilla à son tour le vieux sorcier qui n'avait jamais parut aussi fatigué.
« Que s'est-il passé ? demanda Rogue.
- Harry a disparu, expliqua Dumbledore toujours autant désespéré.
- Quoi ! venait de hurler Lupin. Comment ça se fait !
- Potter a disparu ! s'exclama Rogue, étonné mais ne le montrant pas.
- Oui… dit Dumbledore dans un murmure à peine audible. »
Le maraudeur s'effondra sur une chaise et retint avec peine ses larmes. C'était la goutte d'eau qui faisait débordé le vase. D'abord son meilleur ami et sa femme qui mourraient de la main de Voldemort, puis la mort de Peter (là ils sont encore amis vu qu'il pense que c'est Sirius qui les a trahit donc Peter n'est pas vu comme un rat fourbe) et pour finir l'emprisonnement de son autre meilleur ami, Sirius, à Azkaban. Jusque là, il avait réussi à tenir se raccrochant comme il pouvait à la pensée qu'il aurait pu profiter du fils de Cornedrue et à des souvenirs heureux de l'époque de Poudlard mais maintenant que son principal pilier s'était effondré en mille morceaux, il était dépassé. Dans un ultime espoir il demanda quelque chose.
« On ne sait pas où il est ?
- Non, dit Tonks, brisant le dernier espoir de Remus.
- Je pars tout de suite à sa recherche ! s'exclama Remus d'une voix décidée mais un peu tremblotante.
- Non Remus ! ordonna Dumbledore. Nous partons tous à sa recherche ! Tonks, rassemblez tous ceux que vous pouvez et dites leur de transplaner au 4 Privet Drive. Severus, allez voir les ex-mangemorts et essayez de savoir si ils y sont pour quelque chose. Remus, vous venez avec moi ! Nous transplanons tout de suite !
- Mais le sort de localisation n'a rien donné ! coupa Tonks.
- Le sort de localisation ne marche que sur cinq kilomètre. Harry a put aller beaucoup plus loin.
- Bien, admit Tonks, finissant la conversation.
Ils sortirent le plus vite possible et transplanèrent dès la sortie de Poulard atteinte.
Retour vers Harry avec les fondateurs en 987 après J-C :
« Voilà comment vont se passer tes journées cette année !dit Serdaigle d'un ton beaucoup plus joyeux que celui de Salazar.
- Tous les jours, réveil à 6 h du matin, petit –déjeuner à 6h30. Les repas se dérouleront dans une salle raccordée à ta chambre mais, lors de certaines soirées, tu pourras manger avec les autres élèves. Les cours commenceront à 7h du matin. Durant les deux premiers mois, un professeur te prendra à ta chambre et t'amènera à ton cours, généralement ce sera le professeur de ton premier cours, expliqua lentement Poufsouffle lui laissant le temps d'absorber les informations. Puis, une fois, que tu te seras repéré dans ce château, tu te rendras seul à tes cours. Chaque cours durera une heure et demi. Tu auras trois cours le matin et cinq cours l'après-midi. Tu dîneras dans ta chambre à 19h30 puis tu feras tes devoirs. Et tu auras un dernier cours théorique dans ta chambre à 22h30 par des professeurs différents chaque jours. Pour finir, le couvre-feu est à minuit.
- Mais je ne dormirai que six heures ! s'étonna Harry .
- En fait, tu dormiras douzes heures. Je prépare une potion pour tous les élèves qui double le sommeil et qui te fait tomber dans le sommeil, dès que tu la bois, et te réveille à 6h juste, expliqua Salazar d'un ton froid où une once de fierté apparaissait.
- Voici ton emploi du temps, lui tendit Griffondor. »
(je l'ai fait n'importe comment, sans aucune logique je l'avoue)
Lundi Mardi Mercredi Jeudi Vendredi Samedi dimanche
12h-6h repos repos repos repos repos repos repos
6h réveil réveil réveil réveil réveil réveil réveil
6h30-7h repas repas repas repas repas repas repas
7h-8h30 pot bot MET sort sport SaCM DCFM
8h30-10h MET DCFM sort SaCM duel pot duel
10h-11h30 sport pot SaCM DCFM sort MSB MET
11h30-12h repas repas repas repas repas repas repas
12h-1h30 MSB MSB pot MET runes sport MSB
1h30-3h DCFM duel QUID duel pot MET runes
3h-4h30 runes MET MSB MSB DCFM duel potions
4h30-5h goûter goûter goûter goûter goûter goûter goûter
5h-6h30 sort sport duel pot MET DCFM bot
6h30-8h duel sort DCFM bot MSB sort sort
8h-8h30 repas repas repas repas repas repas repas
8h30-10h30 dev dev dev dev dev dev dev
10h30-12h OC HM Ast divi OC ast divi
MSB:magie sans baguette
DCFM :défense contre les forces du mal
MET :métamorphose
Bot :botanique
Pot :potions
Sort :sortilèges
QUID :quidditch
Dev :devoirs
SaCM soins aux créatures magiques
OC :occlumencie
HM :histoire de la magie
Ast :astronomie
Divi :divination
(sur celui de Harry il n'y a pas d'abréviations)(nda:désolé si ce n'est pas clair, c'est que le site n'accepte pas mon tableau)
« Il est par contre provisoire, il changera l'année prochaine au profit d'autres matières.
- M'sieur Griffondor ! c'est quoi la métamorphose ? et ….
- Tes professeurs te l'expliqueront, répondit l'homme en rouge.
- Qu'est ce qu'une baguette ?
- Et bien c'est un canalisateur, il te permet d'utiliser ta magie plus facilement. Voilà à quoi ressemble une baguette magique, expliqua Rowena en lui montrant la sienne, tandis que Serpentard reniflait dédaigneusement devant le manque de savoir de son descendant.
- Et c'est quoi le bâton que vous tenez, monsieur Merlin ?
- C'est un bâton de pouvoir. Il est plus puissant qu'une baguette. Ce bâton me sert de baguette magique, répondit Merlin.
- AAAHHH ! s'exclama Harry.
- Aujourd'hui, tu n'as pas de cours. Tu iras avec Salazar acheter tes fournitures scolaires, interrompit Helga Poufsouffle »
Serpentard hocha la tête en signe d'accord. Harry se dit que cet homme en vert qui ne parlait pas beaucoup était très étrange.
« Bien, nous partons immédiatement, ordonna Salazar d'un ton qui n'attendait aucune réplique ou protestations. »
Godric et Rowena sortirent de la pièce main dans la main et Merlin et Helga sortirent eux aussi. Il ne restait plus que Harry et Salazar Serpentard dans la pièce. La salle autrefois si chaleureuse devint froide. Un silence s'installa dans la pièce. Harry était gêné tandis que l'homme attendait. Puis il sortit brusquement rapidement suivi par Harry qui devait trottiner aussi vite que ses jambes lui permettaient. À croire que l'homme avait été militaire tellement il marchait vite ! Ils se dirigèrent rapidement vers la sortie de Poudlard et sortirent de l'école. à ce moment, Harry se demanda où il allait car devant eux ne s'étendait qu'un terrain vierge s'arrêtant aux collines. L'homme lui prit la main sans douceur et dans le silence le plus complet, ils disparurent. Ils atterrirent dans une petite ruelle sombre et sortirent de ladite ruelle. Ils marchèrent un peu puis Harry s'arrêta. Il détailla tous les magasins et les grava dans sa mémoire tellement ils étaient beaux et accueillants. Ils se dirigèrent, ou plutôt Salazar se dirigea tandis que Harry courrait pour rattraper son retard. Ils arrivèrent devant un petit magasin appelé « Ollivander » et écrit plus bas « marchant de baguettes magiques depuis –83. ils entrèrent sous le son d'une petite clochette qui signala à son propriétaire que des clients venaient d'entrer. Un étrange homme apparut devant leurs yeux. Harry le dévisagea : petit avec de grosses lunettes devant les yeux, un visage ridé et des petites mains agiles qui bougeaient tout le temps. Le marchand leur dit :
« Bonjour et bienvenue chez Ollivander ! Je m'appelle Mr Ollivander, marchants de baguettes magiques de père en fils. Vous venez pour ?
- Nous venons pour l'enfant à côté de moi. La semaine dernière, je suis venu avec les ingrédients de sa baguette. Je suppose que vous l'avez terminée
- Effectivement, je vais la chercher immédiatement. »
Il s'en alla puis revint une minute plus tard avec une boîte contenant la baguette de Harry.
« Voilà votre baguette Mr. 27.8 centimètre, bois de baobab à l'intérieur, bois de chêne sacré en deuxième couverture et bois de cerise en troisième couverture. Crin de lion, plume d'aigle royal, écailles et croc de basilic, poil de blaireau magique, plume et crin de pégase (vous savez le cheval volant). Pour donner plus de puissance à votre baguette, j'ai ajouté sur la baguette un diamant, une émeraude, un saphir, un rubis et une opale. (Ces pierres sont sur les 2 bouts de la baguettes en rond). Et pour plus de compatibilité, je vous conseille de verser quelques gouttes de votre sang dans le trou prévu à cet effet. Le sort pour geler votre sang se dit « sanginus frozen » Je dois ajouter que cette baguette fut une des plus difficiles à réaliser de toute ma carrière et qu'elle est l'une de mes plus belles œuvres d'après moi. Elle coûte…trente-cinq gallions. »(1)
Salazar vida sa bourse dans sa main . Il tendit le tout à Mr Ollivander qui prit l'argent et le mit dans un coffre. Pendant ce temps, Harry contemplait sa baguette que Mr Ollivander lui avait donné juste après l'achat. Elle était magnifique. Légère, fine, des contours délicats. Etonnement, malgré le nombre d'ingrédients et de couches de bois, elle n'était pas alourdie ni grossie. En un mot parfaite. Les pierres brillaient à la lumière et faisaient des reflets irréels. Quand il toucha les pierres, les mêmes étincelles qu'auparavant apparurent et dansèrent devant lui. (danser dans le sens virevolter pas dans le sens qu'elles ont fait des sauts et tout) Il s'extasia devant la beauté et la puissance de sa baguette. Il revint sur Terre quand Serpentard perça un trou dans son nuage tout rose avec sa voix froide mais qui lui parut glacée.
« Il faut aller rechercher de l'argent. »
Harry ne répondit pas et le suivit tranquillement en continuant de contempler sa baguette. Quand il releva la tête, il vit que Salazar était loin devant lui. Alors il rangea sa baguette et courut pour le rattraper. Quand il fut à la même hauteur, son aïeul s'était arrêté devant un bâtiment blanc et l'attendait visiblement. Ils entrèrent, sans laisser le temps à Harry d'admirer l'édifice, et se présentèrent à un gobelin qui les emmena dans les sous-sol. Harry interpella le gobelin.
« Monsieur, où est ce qu'on va ?
- Nous allons aux 10 premiers coffres qui appartiennent à Mr Merlin, Griffondor, Serpentard et à Mme Serdaigle, Poufsouffle et les 5 autres appartiennent à des grandes seigneuries tels les Potter, les Malefoy, les Black ou les Lucky ou bien les Costes.
- WWOOUUHHOOOUU ! dit Harry, faisant résonné son cri dans les étroits couloirs. »
Ils arrivèrent devant les 9 coffres appartenant en parti à Harry (enfin pas encore vu qu'il n'est pas né techniquement). Ils prirent de l'argent dans le coffre n°4, coffre de Serpentard. Sortis de la banque, Harry lui demanda quelque chose :
« M'sieur Serpentard ! C'est quoi ces pièces ? »
L'homme soupira puis lui répondit d'un ton las:
« Les pièces en or sont les gallions, celles en argent des mornilles et celles en bronze des noises. Il y a 17 mornilles dans un gallion et 29 noises dans une mornille.
- D'accord ! dit Harry répétant les informations pour les apprendre.
(nda : c'est quoi cette idée, elle pouvait pas mettre 20 mornilles pour un gallions et 30 noises pour une mornille ? BL: bah, c'est comme les pouces et les pieds, pourquoi avoir douze pouces dans un pied si on peut en avoir que dix ou quinze ? eh ? eh ? Ah, les "british" !nda:entièrement d'accord avec toi mais t'oublie les U.S.A iens)
Ils allèrent ensuite dans la librairie où Serpentard prit les livres qu'il fallait à Harry et quelques livres de potions avancés pour lui. Il paya et, suivi de Harry, il rentra vite fait à l'école comme si le soleil le brûlait et que, s'il restait trop longtemps à la surface, il mourait. Quand il rentra dans l'école, il se tourna vers Harry et lui dit d'un ton glacial :
« J'ai reçut des ordres, je dois les exécuter. Suis-moi, je vais te montrer ta chambre. »
Sans lui laisser le temps de répondre, il repartit au galop. Harry le suivit tant bien que mal et ils arrivèrent devant un tableau qui représentait un phénix blanc et noir sur le bout des ailes ainsi que les yeux. Le phénix était en vol. Il planait au-dessus d'une plaine et était comme le protecteur de l'endroit. Dans la plaine, des multiples animaux y vivaient. Des oiseaux aux plumes multicolores, des bêtes sauvages qui couraient librement, des lapins qui sortaient de leurs terriers en mordant des carottes, des poissons aux écailles luisantes, des arbres haut et touffus, des petits arbustes protégés par des félins de toutes sortes, des buissons bien verts, de l'herbe d'un vert étincelant, un petit lac où des sirènes et tritons se promenaient. Dans le coin en haut à gauche, on voyait la banquise avec des pingouins qui faisaient la course, des ours polaires qui se tenaient fièrement à côté de leur progéniture, des orques menaçants. Dans le coin opposé se tenait la savane, des girafe aux cous interminables, des éléphants nourrissants leur petits, des panthères sur des branches d'arbres, sautant avec une agilité déconcertante. Dans le coin en bas à gauche se trouvait le lac. Dans le coin à droite en bas, il y avait la jungle tropicale, des quetzals sur une branche d'arbres, des perroquets, des cacatoès (BL: surtout, ne pas me demander ce que c'est :S...)(nda : c'est des oiseaux pour ceux qui savent pas et ça n'a aucun rapport avec ce qui sort de votre cul), et des prédateurs cachés dans la végétations dense. Le tableau était impressionnant. Il faisait six mètres de hauteur, quatre de large. Le cadre était fait d'or pur et ajoutait à la magnificence du tableau. Qui que soit le peintre, il avait fait une œuvre de génie. Harry était époustouflé devant la taille du tableau. On voyait avec précision chaque animal. Le peintre avait rassemblé tout l'écosystème de la terre en un seul et unique tableau. Le temps changeait aussi. En ce moment, le soleil brillait de mille feux et diffusait une forte lumière sur tout le tableau ( nda : il doit être midi à peu près). Serpentard prononça le mot de passe :
« Najashima » (2)
Le phénix s'arrêta et vola vers le centre du tableau, juste devant Harry et Salazar. Harry était étonné que les tableaux bougent mais fut encore plus étonné lorsque qu'il s'aperçut que le phénix si petit de loin, quand il était dans le fond du tableau, était devenu beaucoup plus grand. Il faisait maintenant deux mètres et demi de haut et un mètre et demi de large. Il disparût et laissa un trou ayant la même forme (les ailes serrés contre lui) et les même dimensions que son corps permettant ainsi à deux personnes de passer en même temps. Ils entrèrent.
Harry fut une nouvelle fois émerveillé devant tant de luxe et de confort. La maison des Dursley paraissait extrêmement dérisoire à côté de sa nouvelle chambre. Elle était grande, excessivement grande pour une chambre conçue pour une personne. Les quatre murs étaient colorés des couleurs des fondateurs. Ainsi il y avait un mur rouge et or, un autre vert et argent, un autre bleu et bronze et un autre jaune et noir. Un feu ronflait dans l'âtre de la cheminée du côté du mur rouge . Des sièges de toutes les couleurs étaient disposés à une distance raisonnable du feu sans pour autant perdre la chaleur provenant du foyer. Des tapisseries ornaient les murs. Sur le mur de l'entrée, le mur vert, se trouvait une immense bibliothèque, à moitié vide. Les sols étaient faits de bois de cerisier. Sur le mur de gauche , le mur jaune, se trouvait trois portes. Sur le mur de droite, le bleu, il y avait deux portes. Et à côté de la bibliothèque, il y avait une porte menant aux sous-sols. Harry se précipita vers la première porte à gauche. Il entra dans la chambre.
En deux mots, magnifique, magique. Le placard occupait tout le mur de gauche. Il l'ouvrit et il fut agréablement surpris de voir des vêtements à sa taille. Il se promit de les essayer mais après s'être lavé. Sur le mur de droite, il y avait deux portes et sur le mur du fond un grand lit à balaquin s'étendait. Un lit assez grand pour cinq personnes, au minimum. Des draps noirs et des oreillers blancs. Il y avait également une table de travail, mais plus petite. Il déposa ses livres et les maigres affaires qu'il avait gardé tout au long de la matinée et qui se résumaient en une plume qu'il avait trouvé sur la plage et son pull. Il se dirigea vers la première porte et atterrit devant une salle de bain au sol fait de marbre blanc.
Les murs étaient, en fait, des miroirs. La baignoire ou plutôt la piscine faisait deux mètres de profondeur. Elle avait beaucoup de robinets qui déversaient des choses des plus étonnantes. Il y avait aussi une douche en verre qui faisait trois mètre sur un mètre et demi (nda :je vous assure c'est grandiose BL: à quoi ça sert autant d'espace ? la douche est deux fois plus grande que ma chambre !nda : à qui tu veux faire croire que tu dors dans un placard ?). Des robinets se succédaient et, pour finir, une grande baie vitrée qui donnait sur le parc. (nda : en fait c'est une fenêtre où quand on est à l'intérieur on peut voir l'extérieur mais pas le contraire)
Il y avait également trois portes, celle par où il venait d'entrer, une autre qui menait au salon et la dernière s'ouvrait la cuisine et la salle à manger. Harry s'empressa d'y aller. Il regarda la cuisine. Impeccable, éclatante de propreté, des ustensiles accrochés aux murs. Il regarda l'autre côté de la pièce. Une grande table séjournait au milieu. Un lustre pendait au plafond. Des couverts étaient déjà mis. Il passa par la dernière porte qui le ramena au salon. Il courut vers le mur opposé, pressé de découvrir d'autres merveilles. Il entra dans une des deux pièces.
La pièce dans laquelle il se trouvait était vide, attendant probablement que son propriétaire fasse d'elle ce qu'il souhaite. Il remarqua une porte sur le mur de droite et y entra. Il se trouvait dans une pièce avec une grande estrade et des tapis étaient disposés sur le sol. C'était une salle de sports et de duel. Des armes étaient alignés sur le mur. Il trouva de tout. Des dagues, des poignards, des épées, des bâtons, un arc, une lance, des épées japonaises et bien d'autres. Il sortit par la porte prévue à cet effet. Il se retrouva à nouveau dans le salon. Harry se dirigea vers la dernière porte, celle près de la bibliothèque. Il descendit les marche à toute allure mais son enthousiasme fut refroidit par ce qu'il avait devant les yeux. C'était un cachot froid, presque vide. Seul une armoire s'y trouvait. Harry quitta rapidement cette pièce si peu accueillante. Salazar l'attendait toujours dans le salon, occupé à lire un des livres qu'il venait d'acheter. Le bruit de la porte et de l'halètement de son descendant le sortit de sa lecture. Il partit sans un mot tandis que Harry s'asseyait sur un des fauteuil et qu'il récupérait son souffle. Il n'avait pas remarqué le départ de son aïeul. Entendant son ventre gargouillait, il se dirigea vers la salle à manger. Il ne trouva personne. Une vitre qu'il n'avait pas vu avant l'empêchait d'accéder à la nourriture. Puis il vit un bouton et appuya dessus (BL: tiens, se dit-il, c'est quoi ce mot "alert, alert" qui clignote ?. La voix off: vous avez enclenché l'autodestruction. Explosions dans 10... Harry: Oups ? Morale: Ne jamais appuyer sur un bouton sans savoir ce qu'il fait)(nda : ouais bon j'y avais pas pensé et puis quand on a 6 ans on a pas l'esprit assez tordu pour penser à ça et puis y'avais rien de marqué au-dessus, le seul moyen de savoir à quoi il sert c'est d'appuyer dessus). Pendant quelques secondes, rien ne se passa et, alors qu'il se retournait, un petit être apparut devant lui et le fit crier de terreur :
« AAAHHHHH !
-Est-ce que monsieur va bien ? Monsieur veut quelque chose ? Par tous les dieux, Rodolphe est navré. Monsieur veut à manger, à boire ?
- Oui, je voudrai bien manger, répondit Harry étonné devant tant de ferveur de satisfaire une personne. »
L'elfe de maison Rodolphe passa la vitre sans aucun soucis et lui prépara en un temps record, et toujours sous l'œil étonné de Harry, des mets digne d'un roi. Harry fut d'abord quelque peu dégoûté devant le jus de citrouille mais, une fois bu, il se rendit compte que c'était meilleur qu'il ne le pensait.
Quand sa faim fut calmée, il alla dans la salle de bain et prit un long bain mousseux à souhait. Les mousses étaient aux fruits rouges et les bulles avaient la taille d'une balle de tennis. Il prit une serviette qu'il noua à sa taille. Il se regarda dans le miroir (rappel : tous les murs ont des miroirs dans cette salle donc notre petit ryry n'est pas narcissique) en face de lui. On voyait parfaitement les bleus qu'il récoltait quand son oncle ou sa tante le balançaient avec tant de « délicatesse » (nda : c'est ironique pour ceux qui n'avait pas remarqué)dans le placard ou quand il ne faisait pas assez bien son travail toujours d'après son oncle ou sa tante. Heureusement, ils n'étaient pas allé plus loin que ça.
Il marcha et se retrouva devant l'immense placard. Des robes de toutes sortes s'y trouvaient. Au début, porter des robes lui sembla étrange mais il s'y adapta. Il enfila un jean et un t-shirt noir. Il mit un pull couleur émeraude faisant ressortir ses magnifique yeux. Il mit par dessus une robe confortable et très évasé vers le bas ce qui lui permettait de courir si la situation l'imposait. Ne sachant pas quoi faire, il prit un des livres dans la bibliothèque et commença à lire. Il était intitulé « La magie pour les débutants » qu'il dévora en peu de temps. Il appris ce qu'était la métamorphose, les sortilèges, les potions, mais aussi les coutumes des sorciers et leurs langages. Quand il reposa le livre, il vit Helga Poufsouffle qui l'observait. Il se releva et la salua :
« Bonjour ! dit-il de sa petite voix enfantine.
- Bonjour Harry, répondit-elle mais avec un peu plus de retenue. C'est moi qui t'amène à la cérémonie.
- Quelle cérémonie ?
- Une cérémonie, dit-elle simplement. »
Durant la marche, Harry n'obtint pas plus d'informations, à son plus grand ennui et au plus grand amusement de Poufsouffle qui s'amusait de le voir tourner en rond. Ils arrivèrent enfin à la salle qu'ils avaient quitté dans la matinée. Merlin, Godric, Salazar, Rowena, une femme qu'il ne connaissait pas et un homme avec qui il avait une ressemblance étrange étaient rassemblés dans la salle. Au milieu de la pièce se tenait une table avec trois parchemins, un encrier, une plume et plusieurs écrins. Ils parlaient entre eux quand Helga et Harry entrèrent mais se turent au son de la porte. Alors l'homme ressemblant à Harry clama !
« Bien ! Que la cérémonie commence ! »
Harry chuchota à Helga :
« Quelle cérémonie ?
- La cérémonie pour que tu reçoives ton héritage…
- Quel héritage… ?»
A ce moment Merlin lui parla :
« Harry, tu peux accepter ou refuser cet héritage en sachant que plus tu recevras de puissance, plus longtemps tu resteras dans le coma. Pour l'accepter il suffit de dire après que nous ayons dit notre demande "Moi, Harry James Potter accepte votre offre et vous remercie de votre présent. Que vienne à moi mon héritage !". Pour refuser dit " Moi, Harry James Potter refuse votre offre et demande à son héritage de s'endormir jusqu'au jour du réveil !". »
Harry sentait et comprenait l'importance de cette cérémonie. Ainsi il accepta les offres de Merlin, Griffondor, Serdaigle et de Poufsouffle. A chaque fois, il sentait une vague de puissance le submerger et des connaissances affluaient dans son esprit. Les deux inconnus restèrent silencieux attendant leur tour tandis que Serpentard sembla face à un dilemme. Finalement il dit :
« Moi, Salazar Serpentard, te juge toi, Harry James Potter, digne de mon héritage. L'acceptes-tu ? »
Harry resta silencieux quelques secondes ne sachant pas quoi dire. Un coup de coude de Helga le fit se décidé et il répondit :
« Moi , Harry James Potter, vous remercie de votre confiance et accepte votre héritage. Que vienne à moi mon héritage ! »
Une nouvelle fois des connaissances le submergèrent mais cette fois-ci des connaissances différentes. Il eut des connaissances en potions et autres arts sombres. Il mit du temps à se remettre de cet héritage. Puis l'homme qui lui ressemblait prononça :
« Moi, Georges Harry Potter, t'offre mon héritage et te nomme chef des Potter à la mort de ton père ! »
Harry fut confus d'apprendre que deuxième prénom de son ancêtre était le sien. Il répondit rapidement :
« Moi, Harry James Potter accepte votre offre et cette nouvelle responsabilité. Que vienne à moi mon héritage ! »
La même chose se passa et Harry ressentit à nouveau la magie et le pouvoir coulait dans ses veines. L'inconnue s'avança à son tour et prononça quelque chose de différent des autres :
« Moi, Joce Lys Eden, te juge pas assez mature pour recevoir mon héritage. Que cet héritage se repose jusqu'au jour où je te jugerai digne de lui ! »
Les fondateurs, Merlin et Georges Potter étaient éberlués. Harry répondit simplement :
« Qu'il en soit ainsi ! Mon futur héritage attendra le temps que vous jugerez nécessaire »
Harry ne savait pas pourquoi il disait ça mais il le faisait. Alors qu'il allait sombrer au doux salut de l'inconscience, la voix de Serpentard le réveilla et lui dit :
« Reste éveillé jusqu'à la fin de la cérémonie !
- Elle finit quand ? demanda-t-il d'une voix ensommeillée.
- Dès que tu l'auras fini.
- Harry, tu vas recevoir l'héritage de ta grand-mère qui a tenu à te le donner. Mais n'étant pas présente, nous avons du trouver un autre moyen. Elle a écrit dans son sang les phrases de la cérémonie. A toi d'écrire tes réponses avec Ton sang… dit Merlin. »
Trop fatigué pour protester, il s'assit devant la table où se trouvait les feuilles. Quand il regarda dans l'encrier, il vit qu'il était vide. Là l'information monta peu à peu dans son cerveau. Il allait devoir écrire dans son sang ! Quelqu'un lui prit son doigt et… prononça une formule pour le faire saigner sans douleur. Il écrivit lentement les réponses sur les feuilles qui disparurent quand il finit d'écrire. Une nouvelle vague de pouvoir l'envahit et le fit tomber dans l'inconscience. Il resta quinze jours dans le coma….(3)
À l'extérieur c'est du bois de cerise, et à l'intérieur c'est du bois de chêne sacré en premier puis du bois de baobab. Je sais c'est un peu cher mais quand vous l'imaginez, vous vous dites que ça vaut la peine.
« najashima » ça veut absolument rien dire. C'est un mélange entre « naja »(serpent en je sais pas quelle langue), hiroshima et nagazaki les 2 villes détruites à cause des bombes atomiques. C'est un petit hommage. Paix à vos âmes.
Je sais que c'est répétitif à la fin mais bon désolé
Note de la BL à l'adresse des lecteurs: notez que l'auteur est européenne et que parfois ça peut porter à confusion pour nous, Canadiens (d'ailleurs, j'ai faillit le corrigé ') Le petit déjeûner équivaut au déjeûner chez nous, le déjeûner est le dîner, le goûter la collation et le dîner le souper.
Note de l'auteure : ouais je suis française ! Vive la France ! Je suis désolé pour ça mais je n'y connais absolument rien donc Polly, t'as qu'à le mettre entre parenthèse, tu t'y connais mieux que moi.
Je dois ajouter que ce chapitre a été long à écrire et que mon défi pour ce chapitre a été atteint ! OOUUUAaaiiissss ! 9 pages ! au lieu de 5 ! je suis trop heureuse !Reviews !
