Titre : Grâce à une étoile

Auteure : panthere

Béta : Polly-P. Merci encore !

Disclaimer : Bon vu qu'on est obligé de le mettre… rien à nous, tout est à J.K Rowling. Nous ne sommes que ses humbles serviteurs !

Nda : je réponds aux reviews par email !mais je remercie chtit-drago, underphoenix, Ptronille, Lisia, mixou, émilie et Rebecca-black. Donc quand vous recevez la réponse à votre review, ça veut dire que j'ai uplodé !

Bonne lecture à tous!

Chapitre 6 :achat et animagus

Il atterrit dans une ruelle sombre comme prévu. Il ouvrit sa malle et mit la panthère et le cadeau de Merlin dans la pièce prévu pour ça. Cette pièce était en fait une prairie qui faisait plusieurs hectares. Harry reprit la malle qui avait été enchanté pour ne pas peser plus de 1kg ( 2 pounds il me semble). Il se concentra et progressivement son visage changea. Ses yeux émeraudes devinrent bleu électrique. Ses cheveux s'allongèrent et atteignirent ses épaules. Ils devinrent d'un blond paille. Les traits de son visage changèrent aussi. Son menton devint plus fin. Son nez devint plus pointu. Ses lèvres devinrent plus fines. Sa cicatrice disparut presque complètement. Seul une fine marque resta. Les transformations faites, il ressemblait à un Malefoy. Il se dirigea vers le chemin de Traverse. Presque aucun magasin n'avait changé de place. Ainsi il retrouva bien vite sa route. Il acheta un journal avec l'argent qu'il avait amené. Il avait pris plus de 2000 gallions. Il apprit que l'on était le 31 août et que la rentrée avait lieu le lendemain. Il mit le journal dans sa poche et pénétra dans Fleury&Bott. Heureusement, le propriétaire avait eu la bonne idée de faire des rayons pour les élèves de Poudlard. Harry prit tous les livres possibles et aussi une cinquantaine de livre du niveau maître. Quand il paya, le caissier haussa les sourcils.

« C'est pour mon père, mentit Harry d'un air penaud. »

Le vendeur ne rajouta rien et Harry repartit avec les livres rangés dans sa malle. Il se dirigea vers le marchand de potions où le même manège se reproduisit. Il alla aussi au magasin de vêtements. L'employé fit son travail et Harry repartit avec des robes noires à sa taille qu'il rangea aussi dans sa malle. Il alla ensuite dans un magasin de vêtement moins fréquenté. Quand il entra, le propriétaire, Mr Kleidung (1) se précipita sur lui.

« Que voulez-vous Mr ?

Je voudrais plusieurs robes de bataille en différentes teintes, un costume de bal et plusieurs robes.

N'êtes vous pas un peu jeune pour porter des robes de bataille ? demanda Mr Kleidung

C'est pour mon frère qui est auror. Il était trop occupé et comme nous faisons la même taille, il m'a demandé de lui apporté des robes de bataille, mentit Harry avec un air ennuyé.

Dans ce cas-là, c'est d'accord. »

Il finit de prendre les mesures et lui montra les différentes teintes des robes de batailles. Harry choisit le noir, le blanc, le gris et le bleu foncé. Il en commanda plusieurs exemplaires. Le vendeur lui montra plusieurs costumes de bal. Harry choisit la plus sobre. Quand le vendeur lui montra les robes, Harry hésita entre la rouge et or ou alors la verte et argent. Il prit les 2. il acheta aussi une jeune et noire, une bleu et bronze, une blanche et une noire ténèbres. Mr Kleidung fut surpris de son choix mais ne dit rien. Il n'avait jamais reçu une aussi importante commande avant longtemps et il ne voulait surtout pas décevoir son généreux client ou le faire attendre.

« Vous recevrez vos habits demain après-midi. »

Harry ne fit aucun commentaire et sortit de la boutique. Il se dirigea vers le magasin d'animaux. Même s'il en avait déjà deux, il ne pouvait pas s'empêcher d'en acheter d'autres. Il adorait les animaux. Il acheta une chouette blanche comme neige. Il la nomma Hedwige. Il l'installa dans la malle en compagnie de la panthère qui lui fit un charmant accueil. Dernière étape de son tour au Chemin de Traverse, Ollivander. Il lui fallait une deuxième baguette pour qu'il ne se fasse pas trop repérer et parce que c'était utile d'avoir deux baguettes. Il entra. Le marchand était toujours un Ollivander. À croire qu'il avait ça dans le sang. Mr Ollivander le remarqua et s'approcha.

« Bonjour Mr ! j'ai besoin d'une nouvelle baguette, la mienne s'est cassée hier, dit Harry.

Bien nous allons commencer tout de suite. »

Il prit des mesures et alla chercher une baguette dans une des étagères. Elle ne fonctionna pas. Tout comme les dizaines autres qui suivirent. Puis Mr Ollivander revint avec une lueur étrange dans les yeux. Il dit :

« 27.5 cm, bois de houx et comme cœur une unique plume de phénix, une combinaison originale… (2)»

Harry la prit dans les mains et aussitôt il sentit une chaleur réconfortante. Des étincelles jaillirent de la baguette.

« Etrange…très étrange…

Qu'est ce qui est étrange ?demanda Harry.

Voyez-vous, cette plume vient d'un phénix qui en a fournit une autre. Cette autre plume est le cœur de la baguette de Vous-savez-qui

Donc ma baguette est la sœur de celle de Voldemort ? »

Mr Ollivander grimaça. Mais répondit tout de même:

« Oui. Ça fera 10 gallions. »

Harry paya et sortit de la boutique sans savoir que Mr Ollivander écrivait à Dumbledore pour le prévenir que la sœur de la baguette de Voldemort avait été acheté par un jeune homme blond aux yeux bleus. Harry lui alla à l'allée des Embrumes. Il entra dans un magasin d'armes.

« Bonjour Mr. Vous désirez ?

Je vais regarder d'abord. »

Harry se dirigea directement vers les étuis. Il en prit deux qu'il fixerait sur ses mollets, une ceinture avec des multiples sangles, et deux étuis à baguette qu'il fixera sur ses avant-bras. Il prit aussi deux dagues, deux poignards, deux épées enchantée pour grandir ou raccourcir, un bâton de bois enchanté de la même manière, et une faux elle aussi enchantée. Le caissier ne dit rien ayant sûrement l'habitude des clients étranges. Il mit le tout dans sa malle. Il alla ensuite dans un magasins de bottes où il commanda plusieurs paires silencieuses et dans un magasins de capes où il en acheta des assortis à ses habits. Il interpella quelqu'un.

« Mr ! Où se trouve l'hôtel le plus proche ? »

Le dit monsieur était un homme dans la trentaine, aux cheveux gras, avec des habits noirs et armé d'un regard de glace (nda : c'est Rogue, of course).

« Il se trouve au bout de l'allée et se nomme le Chaudron Baveur. »

Et il partit en un coup de vent. Harry alla dans la direction indiquée et se retrouva dans un bar miteux. Il réserva une chambre et repartit vers l'allée des embrumes. Il acheta des livres parlant de la magie « noire ». Harry ne croyait plus depuis longtemps cette vision. Godric avait d'ailleurs été fâché mais ils lui avaient fait comprendre que c'était son choix. Il flâna au chemin de Traverse et son regard fut attiré par quelque chose. Dans la vitrine du magasin de quidditch, se tenait un magnifique balai. Il était superbe. Bien dessiné, le bois était résistant, l'arrière du balai était fait de brins choisi. Bref, c'était un super balai. Il y avait une annonce en dessous.

« Tonnerre de feu

prix sur commande »

Harry entra dans la boutique et se rapprocha du propriétaire.

« Excusez moi ! Combien coûte un Tonnerre de feu ?

C'est sûrement au-dessus de vos moyens ! dit l'homme d'un ton dédaigneux.

Vous en êtes sûr ? répliqua Harry d'une voix glaciale, tout en lui donnant un aperçu de sa bourse.

Ce balai coûte 1400 gallions, dit le proprio, les gallions dans les yeux (3).

Bien. »

Harry lui tendit l'argent et le vendeur se précipita pour aller chercher un des modèles. Il acheta aussi du matériel d'entretien. Puis il repartit sous les regards envieux des clients de la boutique. Le soir commençait à arriver. Harry rentra à sa chambre et rentra dans sa malle. Il enclencha l'alarme qui le préviendrait si quelqu'un d'autre que lui prenait la malle. Il entra dans la première pièce qui était une bibliothèque. Il rangea tous ces nouveaux livres, laissa le balai et sortit de la malle pour aller dîner.

Quand il revint, la malle était toujours au même endroit. Il alla dans la deuxième pièce qui était tout une garde robe. Il rangea les bottines et les capes. Il alla dans la troisième pièce qui était la prairie où il avait laissé ses animaux. Il s'occupa d'eux et baptisa ceux qu'ils avaient reçu. Il baptisa la panthère Scylla et le cobra Salazar. Quand au mystérieux cadeau de Merlin, Harry le déplaça et l'entreposa dans une autre salle. Il enleva les couvertures et il découvrit que le cadeau en question était une sorte de pierre faisant vingt-cinq centimètres de hauteur et dix de large. Elle était de couleur ocre. Harry se promit de regarder de quoi il s'agissait et il sortit de la malle non sans avoir remit les couvertures sur la pierre. Il s'allongea sur le lit confortable du chaudron baveur puis il s'endormit.

Quand il se réveilla, il était onze heures du matin. Il n'avait pas pris de potion sommeil revitalisant qu'il fabriquait lui-même à présent. Il s'habilla et alla cette fois à la banque des sorciers. Il changea 100 gallions en dollars. Il eut donc 500 $. Il acheta deux revolvers (4) et des balles. Il acheta des petites boules en verre faites pour se briser que si on la lançait intentionnellement où il mit des potions. Il acheta des lentilles pour corriger sa vue qui était abominable et une montre qu'il enchanta pour qu'elle puisse marcher. Il lui restait 150$ qu'il dépensa en habits. Il rentra au chaudron baveur et alla directement à sa chambre. Il rangea ses nouveaux achats puis il décida de partir dès la nuit tombée à Poudlard. Il s'endormit en prévision de l'effort qu'il allait faire. Il se réveilla 1h avant la tombée de la nuit. Un hibou entra par la fenêtre et livra les habits que Harry rangea rapidement dans sa malle. Il mit des bottes en peau de dragon, un pantalon noir, une chemise noire et la cape tout aussi noire. Il prit les étuis à baguettes et les fixa à ses avants bras. Il mit les baguettes à l'intérieur. Il lui suffisait de prendre la baguette sur l'avant-bras opposé. Il dégainait ses baguettes en deux secondes. Il accrocha à ses chevilles les étuis et mit dedans les dagues et les poignards. Il mit la ceinture et y accrocha les épées, la faux (7), le bâton et les boules de verres qu'il avait au préalable remplit de potions diverses. La nuit commençait à tomber. Harry prit sa malle et la rétrécit. Dès que ce fut la nuit noire, il se transforma et devint un hibou. Il prit la malle dans ses serres et s'envola. Il suivit les montagnes qui l'avait avant amené au chemin de Traverse. Durant son vol vers Poudlard, il se remémora.

Flash-back

Le cours de métamorphose approchait. Harry âgé de onze ans était excité comme une puce. Aujourd'hui, il allait savoir son animagus. Il entra rapidement dans la salle de cours sous le regard amusé de Rowena.

« Aujourd'hui Harry, tu vas savoir ce que sera ton animagus. »

Harry s'impatientait. Elle faisait exprès de le faire attendre.

« Tu vas entrer en méditation et je vais te demander te baisser les barrières que tu as érigé pour laisser la magie couler librement dans tes veines. »

Harry les abaissa une à une et il sentit à nouveau la magie se diriger vers le reste de son corps. Il se sentit libre. Il se mit en méditation et il entendit les conseils de Rowena.

« Maintenant pense à tes qualités et à tes défauts. Tu verras ensuite les animaux défilaient devant tes yeux. Ils seront tous flou à l'exception de ton animagus. Cette méditation peut prendre plusieurs heures alors concentre toi bien. »

Les animaux défilèrent tous devant ses yeux mais aucun n'étaient flou. Tous les animaux passèrent. Du plus insignifiant rongeur au prédateurs féroces. Quand il se réveilla, il ne vit que le blanc autour de lui.

« Génial l'infirmerie, dit-il d'une voix ennuyé.

Je suis ravie de savoir que vous aimez mon infirmerie Mr Potter, répondit une voix amusée.

Depuis combien de temps suis-je ici Mme Drug ?

Depuis deux jours, répondit une autre voix.

Bonsoir Salazar ! s'écria Harry.

Bravo Harry, tu m'as reconnu! Rigola Salazar.

Que s'est-il passé?demanda Harry.

Ta transe a duré plus longtemps que la normale et dès que tu t'es réveillé, tu t'es évanoui. Nous t'avons amené à l'infirmerie. Maintenant j'aimerai savoir pourquoi tu es resté en transe aussi longtemps.

Je ne sais pas, tout ce dont je me rappelle c'est tous ces animaux qui me saluaient.

Comment ça tous ces animaux ? Est-ce que ils étaient flou ou bien visibles ?

Bien visibles pourquoi ?

Combien d'animaux t'ont salué ?

Je sais pas mais à vue d'œil je dirai tous. »

Salazar se releva brusquement et sortit de l'infirmerie en courant. Il revint quelques minutes plus tard en compagnie des autres fondateurs et de Merlin. Ils avaient tous des mines éberlués sur le visage. Ils arrêtèrent leur folle course et reprirent leur souffle. Ils s'assirent puis Merlin lui demanda :

« Tu as vraiment vu tous les animaux bien visibles et non flou ?

Oui pourquoi ?

C'est impossible, murmura Rowena.

Il va vraiment pouvoir se transformer en tous ces animaux Merlin ? demanda Godric.

Je crois que oui. C'est incroyable. Tout bonnement incroyable, répondit Merlin.

Es tu sûr de n'avoir vu aucun animal être flou ?questionna Helga.

Certain !s'exclama Harry. »

Ils chuchotèrent entre eux et Harry intercepta quelques « c'est impossible ! » ou des « comment a t-il fait ? ». Merlin lui resta silencieux. Puis il dit :

« Harry tu va devenir encore plus puissant ! Je veux que tu me dises chaque rêve que tu feras. Nous allons te laisser dormir. Bonne nuit et à demain en cours ! »

Ils partirent. Harry s'endormit grâce à une potion. Cette nuit là, un serpent vint le voir, plus précisément un basilic. Ils eurent une longue discussion et Harry se réveilla à six heures du matin comme à son habitude. Quand il alla au cours de Métamorphose, Merlin avait remplacé Rowena. Ils parlèrent et Harry entama sa transformation. Au plus grand étonnement de tous, il maîtrisa le basilic dès le premier jour. Ainsi tous les jours, il se transformait en un nouvel animal.

Fin flash back (dsl il était un peu trop long)

Il vola longtemps puis il vit finalement la forêt entourant Poudlard. Il atterrit à la lisière de la forêt interdite. Il prit de la potion revitalisante, mit sa malle dans sa poche et se drapa d'une capuche noire. Il reprit son apparence de Potter. Il marcha jusqu 'à la porte principale. Arrivé devant, il dit avec un sourire :

« Poudlard, me revoilà ! »

Et il poussa les portes !

Il prit la direction de la grande salle où il entra au moment même où Dumbledore faisait son discours.

« Je vous présente votre nouveau professeur de DCFM, Mr Nett qui est un auror. Aussi je suis navré de vous dire que les sorties à Pré-au-Lard sont annulés à cause du retour de Voldemort et de ses mangemorts… »

Dumbledore s'arrêta de parler au son de la porte et quand il vit Harry dans ses vêtements noirs, il crut voir un mangemort. Tous les professeurs pointèrent leur baguette sur lui sauf Rogue qui hésitait. Harry prit l'attache de sa capuche et l'enleva. Son visage fut révélé mais les professeurs gardèrent leur baguette pointé sur l'inconnu. Harry secoua la tête et sa cicatrice fut mise à jour. Dumbledore baissa sa baguette et il murmura sous le choc :

« Harry… »

Harry sourit. Autour de lui, des chuchotements commençaient à se faire entendre. Dumbledore et les professeurs membres de l'Ordre du Phénix se précipitèrent vers lui. Ils se retinrent de le serrer dans leurs bras.

« Je pense que nous serons mieux dans votre bureau, Mr, dit Harry d'un ton sarcastique. »

Ils se dirigèrent vers son bureau tandis que les professeurs restèrent dans la grande salle sur la demande de leur directeur et dès qu'ils furent à l'intérieur, Dumbledore le serra dans ses bras. Fumseck lui chantonna et vint se poser sur l'épaule de Harry. Le vieux sorcier stoppa à l'instant qu'il vit son phénix volait vers l'épaule du jeune Potter. Harry le caressa et Fumseck ferma les yeux. Ils s'assirent et l'interrogatoire commença. ( °…° pensées de Harry)

« Où étais-tu Harry ?

Quelque part, dit il évasivement. (°la question est plutôt quand que où°)

Nous t'avons cherché partout Harry ! Remus est même partit dans le monde à ta recherche !s'exclama Dumbledore

Remus ?demanda Harry en haussant un sourcil.(5)

Il était un des meilleurs amis de tes parents. Mais où étais-tu par Merlin ?

Je ne peux pas le dire. Tout ce que je peux vous dire c'est que je suis revenu pour accomplir la prophétie.(° t'étais pas si loin que ça°)

Tu connais l'existence de la prophétie ?

Oui, répondit Harry tout simplement.

Et qu'en penses-tu ? demanda Dumbledore .

Ai-je le choix ? de toute façon c'est lui ou moi. Je ferai tout ce que je pourrai pour que ce soit lui, dit férocement Harry.

Est-ce la seule raison de ton retour ?

Non, je voudrais m'inscrire en 6ème année, répondit Harry en allant au but.

As tu le niveau requis ? questionna Dumbledore.

Oui bien sûr mais il est évident que je vais devoir passer des tests, dit Harry.

Effectivement, tu les passeras demain matin. Et demain après-midi, un professeur t'accompagnera pour aller chercher tes affaires. Sais-tu quelles options tu vas prendre ?

Oui, bien sûr.

Quel sont-elles ?

Divination, soins aux créatures magiques, astronomie et runes.

Bien, dit Dumbledore. Il les inscrivit sur un papier. Maintenant nous allons procéder à ta répartition !

Merci, Mr ?dit Harry.

Dumbledore.

Et bien merci Monsieur Dumbledore. »

Harry ne dit pas qu'il avait déjà ses affaires car il voulait faire quelque chose de particulier le lendemain. Dumbledore prit le choixpeau et ils descendirent dans la grande salle où les élèves et les professeurs parlaient de Harry. Leur entrée fit taire les murmures mais quelque uns restèrent. Dumbledore prit la parole :

« Nous allons procéder à une répartition un peu exceptionnelle, Mr Potter ici présent a formulé le souhait de nous rejoindre. Il ira en 6ème année. Réservez lui un bon accueil ! »

Harry mit le choixpeau et il entendit :

« Ah ! c'est le jeune Potter qui a disparut il y a 10 ans de cela. Où étais-tu ?Oh ! Tu étais en compagnie de tes ancêtres. Comme c'est intéressant. (°Ne dis rien si tu tiens à toi°) Voyons, voyons, je vois beaucoup de courage et de ruse. Des qualités intellectuelles également et beaucoup de loyauté. Tu es très difficile à placer. Où pourrais-je te mettre ?c'est vraiment très dur. Poufsouffle ? non. Serdaigle ? tu as certes beaucoup d'intelligence mais ce n'est pas ta raison de vivre. Griffondor ? tu es bien trop calculateur pour ça. J'ai décidé. SERPENTARD ! »

Il eut un silence complet. Les griffondors étaient dégoûtés, les Serdaigles et les Poufsouffles étaient choqués et les Serpentard avaient un sourire sadique sur la figure. Personne n'applaudit. Puis Dumbledore clapa des mains, bientôt les professeurs suivirent et quelques 1ères années de Serpentard. Harry s'assit à la table le plus éloigné possible des autres. Le repas se termina au soulagement de Harry qui en avait marre des regards que les élèves lui lançaient. Le préfet de Serpentard, Malefoy, conduisit les Serpentards à la salle commune et prononça le mot de passe :

« Sang-pur et fier de l'être. »

Le tableau s'ouvrit et Harry s'installa directement sur un fauteuil. Malefoy vint vers lui et lui dit :

« Potter, dégage de mon fauteuil !

Non, répondit Harry froidement.

Tu sais à qui tu t'adresses ?répliqua Drago.

Non, dit Harry simplement (°bien sûr que je le sais mon cher cousin°).

Tu défis un Malefoy…commença Malefoy.

Et alors ?demanda Harry.

Et alors tu ferais mieux de partir si tu ne tiens pas qu'ils te tombent dessus, menaça le blond en montrant les deux armoires à glaces qui lui servaient de gardes du corps.

Oh par Merlin ! J'ai peur ! dit il ironiquement. Et toi tu ferais mieux de me laisser tranquille si tu tiens à la vie, renchérit-il en redevenant sérieux.

Tu crois que tu m'impressionne sale petit…cria le blond.

Oui, coupa Harry.

C'est ce que l'on va voir. Crabbe, Goyle, attaquez le. »

Harry resta assis tranquillement et au dernier moment il sortit sa baguette (en houx, plume de phénix) et murmura :

« Expulso »

Crabbe se fit expulsé et renversa Goyle. D'un seul sort, Harry avait terrassé ses deux ennemis. Il se lança un sort de protection d'un mouvement de main puis il dit :

« Si cela ne vous dérange pas, je vais me coucher. »

À peine avait-il tourné le dos que Malefoy lui lançait un « stupéfix ». Le bouclier absorba son sort et Harry se retourna.

« Très loyal mon cher petit Malefoy. Ne t'avises pas de recommencer où bien je mettrai ma menace à exécution, dit–il avec la froideur d'un iceberg. »

Il alla dans leur dortoir et Harry lança des sorts de protection sur chacune de ses affaires. Il lança aussi plusieurs sorts sur son lit et ses rideaux. Il s'allongea sur son lit et agrandit sa malle. Il rentra à l'intérieur et bichonna ses animaux. Il chercha ce qu'était la pierre de couleur ocre mais rien. Quand ses camarades de chambre revinrent et s'assoupirent, Harry se transforma en souris et se faufila hors du dortoir. Il sortit de la salle commune et prit l'apparence d'un chat. Il parcourut les couloirs et alla à l'emplacement de son ancienne chambre. Il ne vit qu'un mur à sa grande déception. Il retourna dans son dortoir. Il métamorphosa une babiole en réveil magique. Puis il s'endormit. Il était deux heures du matin. Quand il se réveilla, il était six heures du matin. Depuis 10 années, il se levait à six heures du matin et ce n'était pas aujourd'hui que ça allait changer. Il prit une longue douche et s'habilla. Il mit un jean bleu, un tee-shirt blanc et un pull émeraude. Il avait une bonne excuse pour ne pas porter l'uniforme. Il sortit des cachots et se rendit à la grande salle. Il était le seul élève car il était sept heure du matin. Puis il se remit à la recherche de sa chambre mais sous apparence humaine cette fois. Le château n'avait pas beaucoup changé mais sa chambre semblait avoir été caché. Il se lança un charme qui pouvait l'aider. Il montrait les odeurs. Harry rechercha la sienne. Sous un mur, son odeur était présente.

« Alors ils ont bien muré. Je me demande pourquoi. »

Il chercha une brique avec une inscription dessus. Quand il la vit, il s'aperçut que c'était une rune ancienne. Il mit sa main dessus et murmura :

« Moi, Harry James Potter, demande l'accès à cette pièce »

Le mur bougea et une ouverture apparut. Le phénix du tableau était toujours le gardien de sa chambre. Il prononça son mot de passe qui n'avait pas changé depuis le premier jour.

« najashima »

Il entra dans la pièce et les souvenirs l'assaillirent. Tous plus joyeux les uns que les autres. Il découvrit une note jaunie sur un mur.

« Harry, nous sommes heureux de savoir que tu as retrouvé ta chambre. Nous avons effectivement muré ta chambre pour la protéger. Tu nous comprends sans doute. Nous sommes là où nous l'avons convenu ensemble.

Merlin, Godric, Salazar, Helga, Rowena, Georges, Joce

Tu nous as manqué! »

Harry embrassa le papier et le rangea soigneusement dans sa poche. Il allait se précipiter vers l'endroit en question mais un coup d'œil à sa montre l'en dissuada. Il devait aux fameux tests. Avec un regard triste, il quitta la salle. Il alla dans la grande salle où Dumbledore l'attendait. Il le conduisit dans une pièce où un examinateur l'attendait.

« Bonjour Mr Potter, nous allons commencez immédiatement par les tests écrits, puis vous passerez la pratique tout à l'heure, dit une vieille dame.

Harry compléta les feuilles et passa les épreuves pratiques avec brio. Il passa par la cuisine où il mangea à sa faim. Il retourna à la grande salle où un professeur devait l'amener acheter ses affaires. Dumbledore et l'homme qu'il avait interpellé l'autre jour était là.

« Harry, le professeur Rogue va t'accompagner. Il est ton directeur de maison, cela me semble naturel qu'il le fasse. »

Rogue lança un regard meurtrier au directeur.

« Monsieur Potter, suivez-moi, dit Rogue d'un ton sans réplique. »

Ils sortirent de Poudlard et prirent un portoloin. Beaucoup de personnes le regardait ou plutôt regardait son front. Harry leur lança un regard noir. Il suivait Rogue qui marchait au pas de course. Rogue prit les livres mais Harry d'un geste de main, lui modifia ses souvenirs. Rogue croirait qu'ils avaient acheté ses affaires. Harry acheta le journal et il fut ennuyé de voir à la une :

« Le Survivant est revenu !

Hier soir, Harry Potter, que l'on croyait mort depuis dix ans, est allé à poudlard et il a surprit grand nombre de personne … »

Harry soupira puis il jeta le journal. Severus lui ne savait rien de ce qui se passait, ses souvenirs étaient modifiés par Harry. Il était certes un bon occlumens mais Harry était un bien meilleur legimens. Ils rentrèrent au château par un autre portoloin.

Pendant ce temps au nord de Londres :

Un chien noir se promenait seul. Mais ce chien n'était pas un vrai chien, il était Sirius Black, devenu animagus par amitié. Il tenait un journal dans sa gueule. Un passant aurait cru à un chien rapportant le journal à son maître mais c'était faux. Sirius Black n'avait aucun maître. Il errait depuis deux ans à peu près. Et le journal dans sa gueule était le journal du 2 septembre. Sirius Black venait d'apprendre que son filleul était en vie et à Poudlard. Et il cherchait un coin obscur pour se retransformer et transplaner. Quand il le trouva, il reprit forme humaine et transplana. Il atterrit devant la barrière de Poudlard. Il se retransforma en chien et passa par la forêt interdite car s'il passait par la barrière, Dumbledore serait immédiatement averti de sa venue. Il se cacha dans la forêt en attendant le moment propice.

Pendant ce temps en France :

Remus Lupin venait de recevoir la gazette des sorciers et lisait avec étonnement et bonheur la une. Il était revenu ! Peu importe où il était, l'important était qu'il était revenu. Il se précipita sur ses valises et il les fit en un temps record. Il transplana rapidement et il atterrit devant la grille du château après Patmol.( nous sommes revenu en Angleterre) Il les passa et il entra en trombe dans le bureau du directeur.

« Albus ! Où est-il ? Où est Harry ?

Il est allé chercher ses affaires scolaires avec Severus, mais assis toi je t'en pris. Il ne va pas tarder à revenir. »

Remus s'assit. Dumbledore lui demanda poliment comment c'était passé ses dix années.

« Elle étaient horribles. Je cherchais partout mais je ne trouvais rien, j'est vraiment été désespéré mais à chaque fois j'ai rencontré des personnes formidables qui m'ont remonté le moral. Comment est-il ?demanda Remus impatient.

Il a l'apparence de James Potter mais les yeux de Lily Evans-Potter. Son caractère est dur à cerner. Tu risques d'être déçu Remus, il est très différent de ses parents. As-tu lu tout l'article.

Non dès que j'ai juste lu les premières lignes et après j'ai fait mes valises. Pourquoi ?

Quand je te disais qu'il était différent, je parlais aussi de sa maison, il n'est pas à Griffondor.

Alors à Serdaigle, Lily était tellement studieuse.

Il n'est ni à Griffondor, ni à Serdaigle, ni à Poufsouffle…

Vous voulez dire qu'il est à Serpentard, demanda Remus avec crainte. »

Dumbledore hocha la tête en signe affirmatif. Remus s'enfonça encore un peu plus dans le fauteuil.

« Je sais que tu n'as pas ses préjugés comme quoi tous les Serpentard sont des mangemorts, mais je comprends que cela te choque. Hier soir quand le choixpeau a annoncé sa maison, il n'y pas eut un seul bruit. J'ai bien peur que Harry sera exclu des Serpentard car c'est un Potter et il sera exclu des autres maisons car il est un serpentard.

Comment ça se fait ?

Je ne sais pas moi même de plus le choixpeau semble décidé à ne rien dire. »

Remus tourna son regard vers le choixpeau puis il baissa les yeux. Soudain, Severus ouvrit la porte et la referma.

« Rogue, où est Harry ?demanda le loup-garou.

Lupin, dit rogue surpris, N'étais tu pas dans le monde à le rechercher ?

Je viens de rentrer mais maintenant où est Harry ?s'impatienta Lupin.

Quand nous sommes rentrés par les grilles, il s'est arrêté puis il m'a dit de partir, j'allais dire quelque chose que soudain mes jambes m'amènent ici.

Il a lancé l'impérium ?demanda Remus.

Non, je ne crois pas, je ne sais pas quel est ce sort… dit Dumbledore. Remus essayez de le retrouver, grâce à vos sens de loup-garou. Severus, vous pouvez retourner à vos cours. Et moi, je vais chercher quel était ce sort. »

Remus et Severus partirent et Dumbledore plongea dans ses bouquins.

Quelques minutes avant :

Quand Harry et Severus passèrent la grille, Harry sentit que quelqu'un le surveillait. Il s'arrêta. Rogue allait lui crier dessus mais Harry fut plus rapide et il lui lança un sort de contrôle d'esprit de son invention. Il ordonna à son esprit d'aller jusqu'au bureau de Dumbledore. Aussitôt ses jambes coururent jusqu'à la porte du château et elles ralentirent sensiblement ce qui fait que Severus mit deux fois plus de temps pour aller au bureau du directeur. Harry lui se dirigeait vers la forêt interdite. Il se transforma en panthère pour plus de sécurité et il chercha la personne. Il ne mit pas bien longtemps à repérer le chien et il lui sauta dessus depuis les arbres. Harry sentit que cette personne était aussi un animagus alors il se retransforma en humain. Le chien ne tenta plus de s'enfuir et se retransforma aussi. Harry sortit sa baguette (6)(du 20ème siècle) et la pointa entre les deux yeux.

« Qui êtes-vous ?demanda Harry froidement. »

(1) vêtement en allemand, c'est très pratique les traducteurs en fin de compte

(2)ça vous rappelle rien ?

(3) lol (Pol : wow ! quelle aubaine ! si on compte que 1 galion équivaut aprox a 5 $… ca nous donnerait 700 $ pour un balai de luxe…)(nda :c'est cher ?oui ?je vais augmenter )

(4) désolé si ce n'est pas précis mais je n'y connais rien du tout aux armes.

(5) Vous y arrivez vous ? moi non. (Polly : lol, facile, tu fronce un sourcil et on dirait que l'autre est levé Polly en son fort intérieur : wow, ce que t'as l'air brillante, la… .')(nad :et t'arrives à froncer un seul sourcil ?)

(6) Il a décidé de ne pas montrer la baguette offerte par ses ancêtres donc quand je dirai « sa baguette … » je parlerai de la baguette qu'il a acheté au 20ème siècle. Pour parler de l'autre baguette, je dirai la baguette OPSA.(offerts par ses ancêtres. ).

(7) Polly : j'espère qu'il n'essaiera pas d'être discret avec ça… les poignards, ça va, les épées, ça va (limite), mais la faux… (on parle la d'une faux, un truc énorme d'au moins 1m 70 avec une gigantesque lame recourbée, et non pas d'une faucille…)(nda : je sais !mais elle est réduite la faux !tu crois que je vais le laisser se trimbaler avec un truc qui fait sa taille ?je suis folle ok mais pas à ce point là !)