Auteure: Vanilly
Titre: Les hommes endormis.
Rating: M
Paring: HP/ DM
Warning: Romance. Cette histoire est un slash, ce qui implique des relations homosexuelles masculines. Si cette idée vous choque ou vous rebute, passez votre chemin, Homophobes, s'abstenir !
Disclaimer: Rien n'est à nous, tout à JKR…
Note de moi : Me revoilà avec la suite tant attendue j'espère ! Comme vous pouvez le voir je suis dans les temps, j'ai même un jour d'avance.
Beaucoup d'entre vous m'ont demandé combien de chapitres il me restait. Et bien après celui-ci il y en aura encore deux. Et oui, on s'approche lentement mais sûrement de la fin.
Bisous à tous.
Bonne lecture
le prix de la victoire
Baguettes brandies, les deux hommes murmurèrent un sort dans une langue inconnue pour les deux Gryffondors et enfin ils saupoudrèrent de sel.
Dès que les particules blanches touchèrent le sol, Draco se raidit et s'écroula sur le brun. Ils tombèrent au sol, étroitement enlacés. Harry sentait que la lame vibrait de la haine de l'esprit enfermé dedans.
Puis ce fut le noir.
….
Des chuchotements, non plus exactement des sanglots…
Harry soupira fortement, il se sentait bien, certes un peu épuisé et vide. Il était complètement courbaturé, même ses doigts refusaient de faire le moindre mouvement. Il sourit intérieurement, si ses doigts ne pouvaient pas se lever que devait il en être de son sexe. C'est Draco qui n'allait pas être content. Ce simple constat lui rappela les derniers événements. Il ouvrit brusquement les yeux
-Draco ! Appela t il d'une voix éraillée.
-Harry s'exclama Hermione
La jeune femme se précipita vers le jeune homme brun.
-Bien sûr, l'infirmerie constat il blasé.
Hermione eut un sourire tendre, elle lissa négligemment les cheveux sombres.
-Où est Draco ? Questionna Harry qui se tendait.
La préféte prit une profonde inspiration, puis elle tourna la tête les lèvres pincées et le regard voilé. Alors Harry suivit son regard et là, il les vit.
Tout d'abord Draco. Le brun dut cligner des yeux pour être sûr de ce qu'il voyait. Le blond était étendu dans un petit lit étroit en fer blanc. Il était recouvert jusqu'à mi torse par un drap à l'aspect rêche tout aussi blanc que les montants de métal. De ce que pouvait voir Harry, son amour était vêtu d'un pyjama blanc en simple coton. Mais ce qui frappa le plus le survivant était le teint translucide de Draco, il n'avait plus ce teint parfait de porcelaine fine. Il ressemblait à un cadavre. Ses cheveux blonds blanc s'accordaient parfaitement au tableau, ils se fondaient dans la literie.
Harry suffoquait, il ne supportait pas cette vision, alors ils avaient donc échoué ! Il voulut détourner son regard de cette triste scène. Mais à la place, ses yeux rencontrèrent un autre lit du même aspect que celui de Draco, à la seule différence que les cheveux de cette personne ne se fondaient pas dans l'oreiller. Bien au contraire, certes un peu terne mais d'un roux encore vif, seule la chevelure permettait d'identifier Ron. Ce jeune homme d'habitude si plein de vie était étendu lui aussi très pâle, tellement pâle que même ses tâches de rousseurs ne rehaussaient pas son teint.
Le brun eut un haut le cœur, c'était plus qu'il ne pouvait en supporter. Il se précipita vers la première porte qu'il trouva, heureusement pour lui c'était le cabinet de toilette. Il arriva sur les genoux face à la cuvette des toilettes.
Quand il se releva son visage était baigné de larmes. Il sentit une main qui traçait des cercles dans son dos de manière rassurante, et une main ridée qui lui tendit une serviette humide pour qu'il se débarbouille. C'était l'infirmière qu'Hermione avait appelée en renfort à son réveil.
Elle l'aida à se relever, et voulut le reconduire vers son lit mais le jeune homme secoua énergiquement la tête et se dégagea de l'emprise de Pompom pour se diriger vers le lit du blond.
Il murmura son nom dans le but de le réveiller et de le rassurer sur son état. Voyant qu'il ne l'avait pas entendu, il entreprit de l'appeler plus fort, mais en vain.
Hermione et l'infirmière le regardaient ne sachant que faire, elles n'osaient pas annoncer au brun l'état dans lequel se trouvait Draco. Elles n'eurent pas à le faire, car à ce moment là, le directeur fit son entrée dans la pièce. Il passa les deux femmes et s'approcha lentement de son protégé.
Harry avait saisi une épaule du blond et le secouait avec douceur ne voulant pas faire face à la réalité. Il ne l'appelait plus, se contenant de sangloter le nom de celui qui fut son amant. Instinctivement il se retourna vers le vieil homme :
-Il est gelé, il est tout froid ! Pourquoi ! Hurla t il au visage de son directeur.
-Harry, je suis désolé mais nous ne pouvons rien faire pour lui
-RIEN ! RIEN !
Le brun s'étouffa presque entre ses cris et ses larmes, il dut se calmer pour reprendre la parole
-Pourquoi ? Répéta t il. Après tout ce qu'il a fait pour nous …. C'est tellement injuste pleurnicha t-il.
Et pour la première fois depuis les sept années qu'il connaissait Dumbledore, Harry se laissa aller et se jeta dans les bras du vieux sorcier. Le vieil homme le serra fort contre lui dans une vaine tentative de lui faire passer un peu de tendresse. Le brun rompit le contact pour se diriger vers le lit de Ron.
Hermione le rejoint, elle s'assit sur le côté du lit.
-Herm qu'a t il. Demanda t il à la petite brune.
-Ses blessures, notamment les brûlures sont tellement profondes que Madame Pomfresh, l'a endormi pour qu'il supporte la douleur le temps que les potions agissent.
-Pardon Herm murmura le jeune homme en posant une main sur l'épaule de la jeune fille.
Elle se retourna vers Harry et lui lança un regard d'avertissement
-Non, Harry je t'en prie reprends toi ! Ce n'est pas de ta faute. C'est Voldemort. Ron a fait ce qu'il pensait être juste comme nous tous ! Alors maintenant on va se battre. Ron doit se réveiller dans quelques heures, au plus quelques jours. Il va bien. Aujourd'hui, nous allons nous concentrer sur Draco. OK !
Harry regarda sa meilleure amie avec des yeux ronds. Dans son fort intérieur il savait qu'elle avait sans doute raison. Mais mince, après tout ce qu'il venait de vivre n'avait il pas le droit d'un peu se lamenter sur son sort.
Cependant il acquiesça en poussant un soupir à fendre l'âme.
-Harry, reprit cette dernière. Ca ne fait que quelques heures que le combat est terminé. Tu as encore besoin de repos.
Ces propos furent approuvés par les deux adultes. Le brun jeta un regard vers le lit, c'est alors qu'il se rappela son bras et son épaule blessés. Lui aussi se trouvait en pyjama de coton blanc. Ses blessures étaient soignées.
-Je vais plutôt prendre une douche chaude pour me délasser et changer de vêtement dit il en lançant une moue boudeuse vers son infirmière espérant l'attendrir. Tu devrais aussi penser à toi Herm….
En laissant sa phrase en suspend, il sortit de l'infirmerie et se dirigea tel un automate vers sa chambre. Les informations qu'il venait d'apprendre se bousculaient dans sa tête. Le temps s'était comme figé pour lui. Il se sentait mou, ses jambes étaient lourdes, en fait tous ses membres étaient lourds, il devait peser au moins des tonnes.
Finalement après s'être traîné comme une limace desséchée, il atteignit la porte, donna le mot de passe et pénétra dans la pièce.
Là tout son monde bascula, à la vitesse de la lumière il revit tout ce qui c'était passé dans cette chambre. Tout jusqu'à la veille. Ce soir là, Draco et lui étaient entrés en courant. Haletant, ils s'étaient déshabillés l'un l'autre. Les vêtements du brun avaient volé dans la pièce, suivis de près par ceux du blond. Mais Draco étant un maniaque du rangement, avait posé tendrement un doigt sur les lèvres de son amant lui demandant deux secondes avant de se précipiter sur ses vêtements pour les plier rapidement et les déposer sur une chaise sous les rires d'Harry. Rires dont Draco l'avait durement puni, très durement puni…
Harry s'avança lentement vers ladite chaise. Les vêtements étaient là, impeccablement pliés. Il se saisit de la chemise bleu perle, le tissu à l'aspect satiné glissa entre ses doigts. L'odeur particulière de Draco se dégageait de la chemise. Le brun la porta à son visage, il ferma les yeux se concentrant sur son amour. D'abord il frotta ses joues contre l'étoffe puis il la porta à son nez pour inspirer à grande goulée le parfum épicé du blond.
Harry se sentait vide, il avait besoin de sentir Draco l'entourer de ses bras blancs et fins, il avait besoin de sentir Draco vivant auprès de lui, il avait besoin d'aimer Draco de toutes ses forces.
D'un coup de tête, il s'empara de la pile de vêtement et s'engouffra dans la salle d'eau. Il les posa précautionneusement sur un meuble. Puis il se débarrassa de cet horrible pyjama pour entrer dans la cabine de douche. Il régla la température de l'eau. Sous l'eau chaude, presque brûlante, il revivait les événements de la vieille. Comment vivre une journée pourrie, demandez à Voldy !
Il ressortit assez vite, d'un coup de baguette il se sécha et enfila les vêtements du blond. Il se regarda dans la glace. Bien sûr, il n'avait pas le dixième de la classe de Draco, la chemise était bien trop grande pour lui et il flottait dans le pantalon. Le besoin d'être au côté du blond était trop fort pour qu'il se pose des questions sur sa tenue vestimentaire. Il réprima un faible sourire, il pouvait entendre la voix de Draco lui dire : de toute façon Potter c'est pas comme si tu t'étais déjà soucié de ce que tu portes !
Alors il traversa sa chambre et courut comme un dératé vers l'infirmerie. Il poussa la porte si fort qu'elle claqua. Peut être qu'inconsciemment il espérait que ce bruit sortirait Draco de son lourd sommeil et qu'il serait accueilli par deux prunelles tempête en colère. Mais non, il était toujours là, immobile aussi blanc que le draps qui le recouvraient.
Harry s'effondra en pleurs sur Draco. Durant le trajet de sa chambre à l'infirmerie, il s'était bien répété qu'il ne fallait pas qu'il pleure, mais de le voir comme ça c'était trop dur il ne pouvait pas le supporter. Il aurait donné n'importe quoi pour que le blond se réveille quitte à retrouver le Draco froid mesquin, et cruel.
Une main douce mais tremblante vint lui frotter le dos avec délicatesse. Il se retourna, c'était Hermione. Il n'avait jamais vu la jeune fille comme cela. Ses cheveux étaient remontés en un chignon désordonné d'où s'échappaient des mèches folles. Elle était pâle et semblait plus frêle que d'habitude.
Harry recula un peu pour la regarder, et lui faire un sourire, le premier depuis son réveil.
-Draco devait avoir raison, nous les Gryffondors sommes totalement pathétiques.
La brunette fronça les sourcils avant de réaliser, alors elle aussi sourit au brun, puis retourna silencieusement veiller le roux. Harry la regarda s'éloigner. Apparemment ils avaient tous deux eu la même idée. La préfète portait sur un pantalon classique, la chemise préférée du rouquin, trois Hermione supplémentaire auraient pu entrer dans le tissu. Sa taille était enserrée par un grand pull violet qui lui tombait à mi jambes sur lequel Harry pouvait distinguer un grand R brodé.
Le brun ne bougea pas pendant un moment contemplant les reflets de la lumière descendante sur la chevelure lunaire de son amant. Il se remettait de ses émotions. Sa main entra en contact avec le bras de Draco, il était gelé, des frissons parcouraient son épiderme, il avait la chair de poule. Harry fit apparaître une chaude couverture angora et en recouvrit le corps du blond, le bordant délicatement. Il déposa un baiser léger sur le front blanc.
Puis il s'allongea à ses côtés et plaça sa tête sur sa poitrine. Il entendait le battement de son cœur régulier apaisant, rassurant. Il se blottit contre lui, en même temps que les bras de Morphée l'emportaient, une larme translucide vint se perdre à la commissure de ses lèvres.
Il fut réveillé quelques heures plus tard par Pompom qui voulait vérifier l'évolution de l'état de santé du préfet. Harry suivait des yeux le mouvement de la baguette de l'infirmière se crispant quand elle fronçait les sourcils, tout son corps se tendait attendant le verdict. Verdict qui ne vint pas puisque Dumbledore arriva à ce moment là et l'amena un peu plus loin.
-Harry, nous avons bien étudié la situation. En principe tout a marché.
-Professeur, je crois que le mot clef est en principe, n'est ce pas ? Lui répondit il légèrement irrité.
-Laisse moi finir dit le vieil homme levant les mains en signe de paix. Le jeune homme acquiesça un peu gêné de la situation. Le directeur reprit la parole. Voilà, nous pensons que le jeune Monsieur Malfoy est épuisé à la fois physiquement puisque c'est son corps qui a subit le combat. Mais aussi mentalement, puisqu'il était en lutte permanente contre l'esprit de Voldemort qui essayait de le rejeter au plus profond de lui. Nous sommes sûr et certain que Voldemort n'est plus en lui. Néanmoins il a laissé un vide en partant. Draco doit reprendre possession de tout son être et pour cela il faut du temps.
-Oui ajouta l'infirmière, tant qu'il n'aura pas repris des forces physiques, sa magie ne permettra pas à son esprit de se réinstaller à la surface. Cliniquement parlant, il n'est pas en danger de mort. Il faut juste être patient Potter.
Sur ce, ils le laissèrent regagner le lit de son aimé, où il s'assit au fond, le dos calé contre les montants de fer, sa main flattant distraitement les pieds figés du blond. Il laissa son esprit vagabonder, comprenant que Draco était blessé dans son corps et dans son âme. Tout ça était encore la faute de ce détraqué de la carafe. Harry soupira. Quand est ce que cela allait prendre fin ? Il se demandait ce qu'était devenue la dague. Est ce que Voldemort y était toujours prisonnier ? Finalement le brun choisit de se concentrer sur Draco, Voldemort était secondaire.
Il veillait Draco jours et nuit, et bientôt les jours devinrent des semaines.
Entre temps au grand soulagement du brun, Ron revint parmi les vivants. Et le rouquin et Hermione n'étaient pas trop de deux pour épauler Harry.
A chaque fois que le brun entrait dans la pièce, il espérait. Mais le blond était toujours allongé sur son lit de fer blanc, reposant sur des draps tout aussi blanc. Draco ne bougeait pas, aucun signe de vie sinon sa respiration régulière mais particulièrement lente.
Parfois Harry avait l'impression que ses amis et les professeurs perdaient espoir que le préfet se réveille un jour. Car malgré que Draco ne soit physiquement pas mort, son corps ne semblait plus habité. Quelle ironie, lui qui avait été habité par deux personnes.
Le Gryffondor se consacrait corps et âme au blond, ses journées étaient réglées à la minute près. D'abord aidé du professeur Snape, ils faisaient la toilette de Draco, le brun prenant un soin tout particulier de la chevelure lunaire dont son aimé était si fier. Puis l'infirmière faisait absorber à son patient diverses potions pour le nourrir. Une fois ces tâches accomplies, il entremêlait ses doigts dorés à ceux pâles de Draco et il passait des heures à chuchoter contre son oreille, où alors il lui faisait la lecture.
Parfois, les deux Gryffondors venaient aussi lui tenir compagnie, Hermione lui faisait le résumé des cours, alors que Ron lui contait avec passion et moult gestes le dernier match de Quiddich.
Mais rien ne bougeait, trois semaines que le blond était endormi. Le soir venu, Harry se penchait sur Draco et effleurait ses lèvres avec les siennes, juste une caresse aérienne pour lui souhaiter bonne nuit. Comme les autres soirs, il n'eut aucune réponse, mais il s'y était attendu. Il ferma les yeux et chuchota tout contre les lèvres de son amant.
-S'il te plait reviens moi. Je t'aime nounours.
Il ouvrit lentement ses yeux, pour regarder une fois encore son amour avant d'aller se coucher à son tour.
C'est là qu'il les vit. Deux amandes bleu gris qui entouraient une pupille bleu marine. Les yeux de Draco étaient ouvert et le regardaient bizarrement.
Harry eut un hoquet de surprise, mais le blond ne lui laissa pas le temps de dire ou faire quoi que ce soit et lui dit :
-Harry, je t'aime moi aussi, mais maintenant si tu pouvais dormir ça m'arrangerait. Et puis je t'ai déjà dis de ne pas m'appeler nounours ! Ajouta t il un peu irrité.
Il captura à son tour les lèvres d'Harry dans un doux baiser. Puis comme si de rien n'était, il se pelotonna dans les couvertures, et se rendormit. Le brun clignait des yeux comme s'il avait une poussière dans l'œil.
-Draco, Draco appela t il sa voix gagnant des octaves à chaque fois.
-Humm murmura un Draco fatigué ouvrant un œil et le refermant dans un soupir.
-MERCI MERLIN MERCI. Se mit à crier le Gryffondor en sautant sur le lit faisant valdinguer le blond dans tous les sens.
-Non, mais ça va pas cria à son tour le blond ne comprenant visiblement pas ce qu'avait son compagnon. Il le regardait comme s'il était atteint d'une grave maladie. Putain Potter je savais que tous ces sorts que tu as pris en pleine gueule t'avaient bel et bien abîmé le cerveau. Ajouta t il plus froidement qu'il ne l'aurait voulu.
A ce moment là, toutes les chandelles de la pièce s'allumèrent instantanément et Madame Pomfresh surgit de la chambre attenante.
-Monsieur Potter mais qu'est ce qui vous pren ….. Oh Monsieur Malfoy !
Draco, lui n'écoutait pas tout ce brouhaha. A l'arrivée de la lumière, il s'était rendu compte qu'il n'était pas dans la chambre d'Harry mais dans l'infirmerie. Il reposa sa tête sur l'oreiller en inspirant à fond.
Soudain un mal de tête fulgurant s'abattit sur lui accompagné de flashs de lui combattant Harry, de lui faisant griller Weasley. Des yeux émeraude écarquillés remplis de tristesse et de colère lorsqu'il s'était saisi du bras du brun pour se poignarder.
Tous les détails lui revenaient à présent en mémoire lui apportant une souffrance intolérable. Son corps fut secoué de spasmes violents.
L'infirmière éjecta Harry loin du lit, elle s'approcha du blond, d'une simple sort elle fixa le corps tremblant au matelas et le soulevant délicatement par la nuque, elle lui fit boire une potion calmante qui apaiserait aussi ses maux de crâne.
-Voilà, buvez Monsieur Malfoy ça va aller. Ajouta t elle lui caressant les cheveux. La vieille femme sourit constatant qu'Harry la fusillait du regard. Une fois qu'elle eut fini les soins, et vérifier que le jeune homme était en parfaite santé, elle se retourna vers le brun :
-Voilà, Monsieur Potter il est à vous, mais ne le brusquait pas, il a besoin de reposer.
-Mais il a déjà dormi plusieurs semaines bouda le brun
Madame Pomfresh poussa un soupir exaspéré.
-Harry appela une voix faible qui détourna l'attention du brun.
-Nounours s'attendrit il
Ledit nounours secoua la tête comprenant que quoi qu'il ferait, c'était trop tard Harry l'appellerait toujours comme ça. Il fit donc comme s'il n'avait rien entendu. Qui sait peut être que le jeune homme se lasserait de ce sobriquet ridicule.
Au grand étonnement d'Harry, à la place de la réprimande qu'il attendait, Draco lui tendit les bras en une invitation muette pour qu'il le rejoigne. Harry s'agenouilla donc sur le lit et se pencha s'emparant de ses lèvres tentatrices.
Renote de l'auteure : Ben j'ai rien de particulier à vous dire. Sauf que comme d'habitude la suite sera dispo dans quinze jours ! enfin j'espère.
Bon ma bêta avait proposé de me tuer car arrêter là le chapitre lui laissait un goût d'inachevé. Moi perso, je vois pas trop pourquoi….
Alors moi pour me venger d'elle je vous annonce solennellement qu'elle n'a toujours pas corrigé le chapitre qui vient après. Alors si il y a du retard il faut s'en prendre à elle. N'hésitez pas à lui laisser une petite menace, je me ferais un plaisir de lui transmettre.
Ah au passage le prochain chapitre s'intitule : Sois le bienvenu.
A bientôt
Gros Bisous
Vanilly
RAR :
Onarluca : Passionnante ? Merci, je ne m'attendais pas à ça quand je l'ai écrite. Voilà la suite qui est un peu plus calme côté action, mais c'est aussi la bataille des émotions. Bisous.
Kalie : Ah ah ! La fin t'as frustré, énervé, …. Mais c'était le but très chère. Avec ce chapitre j'ai été beaucoup plus gentille. Autrement je réponds pas à ta question sinon je te dévoile toute l'histoire. Bisoussssss
Lo hana ni : J'ai jamais reçue de review comme la tienne et j'ai beaucoup aimé y a pas à dire ! Oui je sais la fin était vraiment sadique et même plus …. Tu vas voir celui là est différent … quoi que ! Bisous
Petite plume : Non, mais on va pas revenir sur le dit retard n'est ce pas ! T'es méchante na d'abord ….. (je te tire la langue puisque c'est ça !). Aller en avant pour ton chapitre ! Enorme bisous.
Griselle : Toi d'abord méchante fifille tu n'as aucun droit de demander la suite plus vite car je connais une fille qui s'appelle Vanilly et qui attend désespérément la suite de ta fic ! (tu peux voir son désespoir au nombre de points d'exclamation). Non mais ! Autrement, je suis contente que tu trouves qu'il y a du suspens, car je l'ai écrit dans ce sens mais parfois l'écrit ne donne pas forcément ce que l'on a dans la tête. Tes compliments me vont droit au cœur. Merci. Merci. Merci. Je t'embrasse. Vanilly
Jouzetsuka : Quinze jours car sinon il va falloir plusieurs semaines après pour avoir la fin qui ai en cours d'écriture. Autrement non, il n'y a aucun spoiler du tome 6. Mais maintenant que tu le dis ça aurait pu en effet. Mais alors dans ce cas il m'aurait fallu changer toute la fin et je t'avoue ne pas en avoir la force, cette fic est en cours depuis trop longtemps ! La réponse à ta question est dans le chapitre. Bisous.
Egwene Al' Vere : Bon aller c'était le dernier chapitre dans le style action aventure maintenant on passe aux méli-mélo de sentiments ce qui n'est pas plus facile. Est-ce que ça va s'arranger entre Harry et Draco, la réponse dans ce chapitre ! Autrement pour répondre à ta question il reste deux chapitres avant le mot de la fin ! C'est pour ça que je publie tous les quinze jours car la fin n'est pas tout à fait écrite alors le temps que je la finisse et que petite plume la corrige ….. En tout cas, merci pour ton soutien, il me tient à cœur. Bisous.
Pouetpouet : Je te dis pas si Dray et/ou Harry vont mourir puisque je te l'écris ! Oups là je sens comme un regard noir venant de toi vers moi ! lol ! T'inquiète ton vocabulaire est génial. Merci beaucoup. Oui si quelqu'un n'a pas encore compris que Ron est mon perso préféré et bien je sais trop ce que je dois faire de plus hihi ! Je ne pouvais pas, ne pas lui donner de rôle quand même c'est Ron ! Et dans ce chapitre je parle un peu de ta cerise, mais pas beaucoup ! Et si ça peut te rassurer, l'ambiance va devenir plus légère au fil des chapitres. Il en reste deux, courage. Bisous.
Virginie malfoy : Je suis heureuse de te compter parmis les nouvelles lectrices ! Merci d'avoir prit le temps de laisser un petit message, ça fait toujours très plaisir à l'auteur très stressé que je suis ! lol ! J'espère que la suite sera à la hauteur de tes espérances. Bisous
Amy Undomiel : La voilà la suite, j'espère qu'elle va autant te plaire. Bisous.
Pit'Mione : Je sus donc monstrueuse ! Celle là on me l'avait jamais encore fait. Mais dans ta review, cela sonne tellement bien. Ben, tu sais Draco à trahis Voldy donc forcément il est un peu en colère. Comment ça tu n'aurais jamais imaginé Ron si courageux rrrrrhhh Vanilly montre les dents. Une fin sadique à chaque chapitre ? Je sais pas ma bêta dit que le prochain chapitre qu'elle est en train de corriger est aussi sadique mais différemment alors je t'en laisse seule juge. Bisous
Vif d'or : Oh, c'est si gentil à toi d'avoir laisser une review pour chaque chapitre tu es un amour ! Oh mon dieu je suis désolée, même avec toutes les relectures nous n'avons pas remarqué ça. Franchement pardon. Mais bon d'un autre côté c'est tout moi j'ai tendance à oublier des mots dans certaines phrases surtout les verbes, je suis toujours pressée. Plus tête en l'air que moi, il y a pas ! Je suis pas sadique juste je vous laisse un peu de suspens sinon vous vous ennuierez. Pour les quinze jours c'est une tactique car le dernier chapitre n'est pas tout à fait fini ! Merci pour ton soutien. Je t'embrasse. Vanilly.
Sahada : Merci pour tes compliments. Tu as un problème avec la fin ? Vraiment je ne sais pas pourquoi ! Tu devrais trouver la fin de celui là moins sadique …. Quoi que rien n'est sûr ! Bisous.
