Désoler pour le retard et j'espère que vous allez aimer ce nouveau chapitre des aventures de notre cher lieutenant Louaut.
Je voulais vous dire aussi que j'ai changé le temps des verbes je suis passé du passé au présent pour qu'il y est plus de suspense…
Je remercie sincèrement tout ceux qui mon laissé des reviews, je leur fait des gros bisous !
Assez parlé
Bonne lecture
CHAPITRE 2
À mon réveil, Je me retrouve dans une forêt endormie, d'immenses arbres m'entourent. Je suis couché sur une herbe moelleuse. La douce lumière de la lune se diffuse harmonieusement à travers les feuilles, tout ceci est complètement contraste avec mon état physique et moral. Je ne comprends plus rien, cette fille, ce cri, tout se mélange dans ma tête me causant un horrible mal de crâne. Mais il n'empêche que je suis perdu en pleine en pleine forêt, au milieu de la nuit. Une angoisse monte en moi, où étais-je ?
Je fais un bond d'un mètre en poussant un cri de terreur, je cherche du regard le métal froid qui m'avait effleuré la joue. Je vois apparaître un homme assez grand, son visage me rappelle quelqu'un, mais qui ? je cherche dans ma mémoire malgré la douleur de mes tempes ; des yeux bleu gris, des cheveux blonds, des oreilles pointues. Tout me revient en mémoire, il est comme l'homme qui s'étais noyé, mais est lui ? est ce que tout ceci est réel mon instinct de commissaire me pousse à lui demander, mais il prend la parole avant moi, d'abord dans la même mystérieuse langue du noyé, puis voyant mon expression hébété me parle normalement :
- Étranger, que faite-vous dans les bois de la Lorien ?
Malgré sa grande beauté, sa voie est froide et autoritaire. J'essais de réfléchir sur le pays qu'il m'a cité. Lorien……….Lorien….. mais dans région du monde j'ai atterri ? Canada, Nouvelle-zélande ? je n'en sais rien de toute façon la Géographie n'a jamais était mon fort. Mais maintenant, le plus urgent ait de me défendre contre ces créatures qui entreprennent de me ligoter. Je mets donc ma main instinctivement à ma ceinture pour chercher mon arme, mais elle n'y est pas. Mon cœur fait bond dans ma poitrine. C'est vrai ! je ne le prends jamais pour aller au marché, je me maudis moi-même et me je me jure que dorénavant je la porterai tout le temps.
Pendant ce blanc, ce jeune homme préparait les cordes pour m'attacher, et attendait visiblement une réponse, je ne peux dire que ceci en bégayant :
- Je…..je ne………je.. ne ..sais ..pas…
Je suis complètement perdu, mon cœur bat la chamade, et cette me regarde encore plus profondément et sa voie se fait plus dure.
- Vous ne savez pas ?… Venez avec moi, la Dame nous attend.
- La Dame ? Qui est la Dame ?
Il me scrute offusqué que l'on ne sache pas qui est « LA Dame » . il réagit comme si je l'ai insulté, et je comprends qu'il ne me répondrait pas. En fin de compte peut-être que tout ceci est comme l'épisode de la noyade et que je vais me réveiller à l'hôpital. Je me rends compte que je préfère largement la thèse de la « boisson » que d'être perdu dans un monde que je ne connais pas. Mais à ce moment précis mes réflexions s'interromptent par un « Dépêchez-vous ! allez, levez-vous ! »
N'ayant pas le choix je le suis donc avec un bout de ficelle noué autour de mes mains. Mais j'ai un peu de mal à tenir debout car la peur descend dans mes jambes et commence à les faire trembler. Mais une atmosphère rassurante règne dans cette forêt, heureusement car sinon j'aurai déjà fais une crise de nerfs. Après quelques minutes de marche l'homme qui me parlait et qui est apparemment leur chef, prend la parole avec cette langue inconnue mais très agréable à écouter :
- La Dame me demande avec du renfort. Gorfindel restez avec cet homme, nous revenons tout à l'heure.
Après avoir parlé, il s'enfonce avec presque tous ces hommes dans la forêt, je reste seul, quelqu'un me tien fermement me laissant aucun moyen de fuite. De toute façon dans l'état où je suis je n'aurai pas été bien loin. J'avais de plus en plus du mal à me dire que tout ceci n'est qu'un songe. Pourtant dans quelques instants, je ne pourrai plus me mentir en me disant que ce n'est qu'un rêve, mais en ce moment je ne doute pas du choc.
Un silence désagréable s'installe, et voyant ma difficulté à rester debout, me lâche et affûte ces flèches devant moi. Cependant ceux tableau se brise dans un cri strident, l'homme se lève d'un cou, tourne la tête dans tous les sens à la recherche de l'origine du son. Moi, une vague d'adrénaline se diffuse en moi, Qu'est qui se passe encore ? l'homme est de plus en plus agité et me dit avec un fort accent : « Je vais voir ». Je veux répondre « non, me laissé pas seul », mais il partit avant.
Le silence se fait plus lourd et un malaise commence à se dépendre dans la forêt. L'air devient lourd et j'ai du mal à respirer, mes mains se mettent à trembler. C'est alors qu'un craquement retentit juste à côté de moi, je bondis avec cri rauque, j'essaie de me rattraper sur une branche, mais je manque ma cible et ma main s'appuie sur une pierre pointue. Une écorchure rouge se dessine sur ma main et je réalise… C'est un choc ; si je saigne, je suis dans la réalité……... Réalité… ……….Ce mot résonne dans mon crâne. Je ne peux le croire, comment se sortir de ce cauchemar ? je serre mon poignet fortement. Mon regard n'arrive pas à se détacher des gouttes de sang qui coulent librement sur ma main. Ma tête tourne. Je tombe dans l'inconscience.
Mon réveil est agréable, je suis allongé dans un lit moelleux avec un léger drap et un oreiller confortable. Je garde les yeux fermés, une bouffé d'espoir m'envahit :
Et si tout cela n'étais qu'un rêve ?
Je les ouvre alors et ils se portent automatiquement sur ma main. Déçu, je remarque qu'elle était encore rougie par l'égratignure. Le jour est levé mais douce lumière jaune règne sur les lieux. Tout de même, mon regard arrive à se détacher de la blessure et commence à voguer à travers la pièce. Elle est assez vaste, j'ai l'impression qu'être perché dans les arbres car je distingue à travers les fenêtres des grandes branches, des feuilles bouger aux grés du vent. Cet endroit est tout simplement superbe, jamais, je n'avais vu d'architecture semblable à celle-ci malgré le faite que je n'eusse pas beaucoup voyagé.
C'est alors qu'une voie me tire de mon émerveillement, elle est douce et pure, s'en pouvoir le comprendre un bonheur s'empara de moi, elle me dit :
- Vous voilà réveillé mon cher Monsieur.
Je la regarde, elle est grande et élégante, ses longs cheveux blonds sont nattés soigneusement, ses yeux d'un bleu pénétrant me fixent. Quant à ses oreilles, la même question me revient, pourquoi sont-il pointues ?
- Je me nomme Galabriel, je suis la reine de c'est lieu, la Lothorien, je vous ai recueilli pour vous poser quelques questions à propos des évènements tragique que nous rencontrons depuis quelques mois. Je peux parfaitement savoir les réponses par moi-même, mais vous le feriez pour toute notre communauté. Vous êtes prié de passer dans la pièce d'à côté dès que vous vous êtes levé et habillé.
Quantité de questions se battent dans ma tête cependant, je n'eut que le temps de répondre « oui » car elle partait. Je tire, donc, sur un mince rideau et me retrouve sur une sorte de terrasse incrustée dans les arbres, au fond, Galabriel tient la main à un homme, aussi beau et élégant qu'elle. Je n'arrive pas à dire leur âge, ils sont ni vieux, ni jeune. L'auréole qui émane d'eux donne une superbe touche fantastique à ce tableau.
- Bien, je vous attendais, veuillez nous suivre, dit-elle
Je suis alors ce couple royal dans une salle aussi belle que les autres. Trois chaises nous attendent au milieu de la pièce. Après avoir pris place, l'homme dit :
- Bonjour, je suis Celeborn, roi des Galahirm, comme la mentionné mon épouse, nous confronté à de graves problèmes. Voilà, quand on vous a aperçu dans les bois, on a retrouvé en même temps le corps de l'un des notre.
Je fais tout de suite le lien avec le cri et mon instinct de détective prend le dessus :
- Comment a-t-il était tué ?
- Nous avons des doutes, à vrai dire elle avait une blessure… Jamais, de toute mon existence, j'en avais vu de semblable.
Une envie soudaine de la voir m'envahit et avant d'avoir réfléchi à mon caprice, je le dis. Il est étonné de ma demande et interroge son épouse du regard, un sourire répond à sa requête.
- Suivez ma femme.
En me levant, j'entends un murmure de Celeborn qui se veut inaudible pourtant il rentre dans mon cerveau et me glace le sang : « Le coupable revient toujours voir sa victime ».
Je continue à déambuler dans les arbres en compagnie de Galabriel, toujours pensif à cette remarque. On s'arrête devant une salle baignée dans le soleil, elle me dit alors d'un ton doux :
- Dépêchez-vous nous allons l'enterrerer dans quelque instant.
- Soit, dit anxieu
Je m'engage donc et là... mon cœur explose…. Le corps c'est….. C'est……
A suivre
Mais qui il a reconnu ? si vous avez une idée n'hésitez pas ! REVIEWER !
Je vais essayer de me dépêcher pour la suite.
biz
