Auteur : Yat, qui s'y remet, toujours en train de se casser la tête sur l'éventualité d'un lemon

Titre : Effets secondaires

Disclamer Seul Bubule était à moi, mais il n'a pas survécu à la canicule, paix à son âme.

RAR :

Sailor Sayuri : Ah, ben moi, je t'assure que je délire bien quand j'ai de la fièvre… ! C'est pas ce genre de délire, remarque, c'est plutôt me casser la tête sur une équation conne du genre 2x+13 pendant des heures en la tournant et retournant dans ma tête enfiévrée pour trouver où est la relation entre x et la mort de Staline sachant que la le butane possède 4 atomes de carbone… (Ce délire là, c'est du vécu. J'ai beaucoup souffert de mon bachottage)… Donc Heero, en fait, il est relativement pas touché, là ! Pour ce qui est de la constitution du vaccin, ben… je vois ça comme un petit cocktail, quoi, pour tout faire en une seule fois, même s'il est taré, J est malin… Pasque Heero, il a peur des piqûres tu vois… et le vacciner est une opération dangereuse qu'il vaut mieux éviter de réitérer trop souvent !

Syt the Evil Angel : Bon, ben, je pense qu'en fait les deux options sont envisageables, à toi de lire maintenant ! Un indice… J'aime les hommes nus ! (mais je suis aussi une sadique, lequel de mes vices triomphera ?)

Youkai : Hé oui, je suis immorteeeeelle mwahahahahaha ! (Prendre une intonation à la Jafar) Jamais personne ne pourra me tuer ! Heero : En es tu si sûre ? Yat : Avant de me tuer, lis ce chap et dis moi si t'apprécierait que je finisse la fic ici, Hee-chan. Heero(lit en vitesse et regarde la fin) :… Continue. (Oui, le coup de l'épouse ça m'est venu tout seule lol… c'est vrai que c'est plutôt OOc !)

Hanako32 : Appétissant, hein Je savais bien que c'était utile la bande annonce ! Bonne lecture, maintenant !

Naïa Non, mais vous êtes toutes des perverses ! Bon, ben… que dire, sinon lis !

Iria-chan Merci bocoup ! Je continue, ze continue ! Pour le pire plus que pour le meilleur mais bon…

Magical girl Kiki : Oui, c'est commun, j'avoue, et la scène suivante l'est encore plus lol… Mais bon, je voulais l'écrire, alors… je me suis fais un ptit plaisir ! Et tant mieux si ça vous plait aussi ! (Mais si, mais si, Heero est capable de sortir le quelle épouse attentionné, on a qu'à dire que, euh, ben, déjà il est malade et pis il est japonais, et dans la tradition japonaise selon Ai yori Aoshi l'épouse parfaite fait couler un bain à la température idéale pour son époux alors que celui-ci mange le merveilleux repas qu'elle lui a préparé… c'est révoltant, je sais… --)

Clotho Mais non, mais non, suis pas méchante ! Juste un peu sadique, mais n'est-ce pas le lot de toute fanfiqueuse au fond d'elle-même ? Moi, je l'assume, niark ! (alert, alert, nouveau chapitre !)

Florinoir Bon, je t'explique simplement… j'aime bien faire souffrir les gens ! Mwahahahahaha ! Mais bon, vu que je veux garder mes lecteurs, je me fais pardonner avec ce chap…

Stella : Un crime ? Tu veux dire que je suis comme Jack l'éventreur ? … Ca me plait !

Lihiel Tu sais, je viens d'apprendre que j'étais Jack l'éventreur, alors… Je me permets tout le sadisme du monde niark !

echizen D luffy : Es tu attiré, lecteur, lol (lectrice ?) Pour l'histoire du vaccin, euh, c'est encore assez flou dans ma tête alors pour les précisions, euh…

Val : Non. Je suis pas méchante. Je suis Jack l'éventreur, c'est tout. Telle est ma nature profonde. Et, euh, pour les « beaucoup de chapitres », euh… normalement celui là c'est l'avant dernier ! (Selon l'éventualité d'un lemon… pardonnée ?)

Onizuka Ouh, que d'assiduité lol ! Vla la suite !

Jialo Oui, Dudule fait une bonne nounou. Quoique les nounous qui fantasment sur leurs protégés, c'est puni par la loi, non ? Disons une infirmière alors !

Chapitre 4 : C'est l'histoire d'un poisson rouge…

Non, en fait, je tiens à ma vie.

Je n'entre pas. C'est pas prudent.

Vous allez me dire, c'est pas vraiment dans mes habitudes non plus d'être prudent.

Et c'est pas la peine d'évoquer la dernière mission où j'ai malencontreusement oublié de désactiver les alarmes.

Après tout, personne n'est parfait, non ?

Et puis, c'est vrai que même si j'ai un goût du risque assez prononcé, je suis pas fou non plus.

Et même si je tiens énormément à mon Hee-chan, je tiens encore plus à ma propre survie.

Si, si.

Bon, au moins, je suis pas aussi suicidaire que lui.

Il a pas entendu, c'est tout ;

Il doit être transcendé par les bienfaits de l'eau chaude sur son corps, de la détente que procure un bon bain parfumé, se délecter de la vapeur qui se dépose sur ses omoplates, puis se condense en gouttes qui coulent lentement sur son torse parfaitement dessiné…

C'est décidé, j'y vais.

Et puis, il a pas son Gun.

Vu qu'il est posé sur la table.

Je m'en saisit et vais le mettre dans la chambre.

Autant qu'il soit éloigné, un peu plus ça ne fait pas de mal.

Prudence est mère de sûreté.

Avec le soldat parfait, il faut s'attendre à tout, même à l'invraisemblable.

Ma parole, on dirait que je fais de la pub pour une série débile.

Non, je risque rien.

Se le répéter, encore, allez, j'y crois presque.

Je ne risque rien, vraiment.

Il n'a aucune arme, et physiquement je me défends.

En plus il est malade.

Il peut même pas sortir une lame de je ne sais où, vu qu'il doit être nu comme un ver.

Nu comme un ver.

Oui, je crois qu'il vaut mieux que j'y aille, vraiment, au cas où… il est malade après tout.

Courage Duo.

Je sors une épingle de ma natte et trifouille la serrure.

C'est presque trop facile.

Aucune serrure ne me résiste, niark.

La porte s'ouvre au bout de quelques secondes.

Et je suis assailli par un nuage de vapeur presque opaque.

Tain qu'est-ce qu'il fait chaud ! C'est le sauna, ici !

Je desserre mon col de prêtre, et arrête brusquement mon geste devant une image qui n'est pas propre à inspirer les pensées les plus saintes.

Je vous laisse imaginer : Heero, nu, dans un nuage de vapeur, les bras nonchalamment posés sur les rebords de la baignoire, la tête inclinée vers l'arrière, des gouttes descendant le long de son cou offert.

Et les yeux fermés.

Oui, décidemment, il fait trop chaud.

J'enlève carrément mon col.

Au moins, j'ai l'explication à son silence : Il s'est encore endormi !

Une vraie marmotte.

Dans ce cas, vous feriez quoi, vous ?

Vous sortiriez en silence, sachant pertinemment qu'il découvrirait votre intrusion devant l'état de la serrure, entraînant votre mort dans l'heure suivante ?

Parce que là, ya pas à dire, je me suis inquiété pour rien. Il est parfaitement opérationnel.

Il pionce, quoi.

Alors moi, je choisis la deuxième solution.

Quitte à me faire descendre, autant mater.

Dommage qu'il y ait autant de mousse… J'aurais pas du autant abuser sur le bain moussant, moi.

Mais je pouvais pas savoir !

Mon dieu, qu'il est beau.

Ses cheveux humides.

Sa peau parfaite… douce, si douce, j'en suis sûr avant même de la toucher…

Son torse harmonieux.

Ses clavicules à embrasser, son cou à explorer.

Avec les yeux, avec les doigts, avec les lèvres.

Ses yeux d'un bleu profond, ni glacial, ni durs, mais embrumés par la chaleur et l'humidité.

Ses…

Minute.

Ses yeux, j'ai dit.

Réfléchissons.

Il est censé dormir.

Quand on dort, on ferme les yeux, non ?

Or il a les yeux ouverts, sinon vous êtes bien d'accord que je ne pourrais pas discerner leur couleur.

Donc, il ne dort pas.

Conclusion, ma dernière heure a sonné.

Allez, j'attends ma sentence.

Je ferme les yeux.

Etranglement ? Cassage de nuque ? Il fait ça si bien.

Remarquez, pour ça, il faudrait qu'il se lève, et au moins j'aurais une image des plus agréables avant de mourir.

J'ouvre les yeux.

Tiens, il n'a pas bougé.

Il me regarde d'un air hébété.

La situation aurait été tout autre, j'en aurais ri.

Seulement, je suis debout, mal à l'aise, à détourner ostensiblement les yeux de lui pour ne pas qu'il s'imagine que je le mate –ce qui serait la vérité, bien sûr, mais ça il n'est pas obligé de le savoir-

Et lui, il est nu dans la baignoire, à me regarder comme si j'étais un extraterrestre.

Bon, je dois avouer, j'ai une tête dans ce genre aussi, au réveil.

Soudain, il semble prendre conscience de quelque chose et se lève brusquement.

Mais pas assez.

Disons que son ventre est à la hauteur de mes espérances.

Mais je diverge.

Il prend la parole.

- Il est quelle heure ? Tu veux prendre ta douche, c'est ça ? Je suis désolé, je me suis endormi…

Concevez vous un poisson rouge ?

C'est stupide, un poisson rouge, c'est assez ridicule, aussi.

On peut même dire que ça fait pitié.

Pourquoi cette divagation fort peu à propos sur le poisson rouge ?

Parce que je crois que c'est l'image la plus proche de ce à quoi je dois ressembler à présent.

Non seulement il parle vite.

Mais en plus il s'excuse encore.

Et pour finir, pas d'attentat sur ma personne.

Vraiment, je suis en plein rêve.

On dirait que c'est lui qu'est pris en faute !

Incroyable !

Je suis en train de pratiquement fantasmer de manière fort imaginative sur lui après m'être introduit dans la salle de bain par effraction, et il s'excuse ?

Est-il possible d'être aussi naïf ?

C'est même plus de l'innocence, là !

Attendez, il m'a posé une question là, non ?

- Euh, ma douche, ben, euh….

Oui, vous m'avez connu plus loquace, mais je me passerais de vos commentaires.

Il me fixe d'un air interrogateur.

-Pas vraiment, en fait… Je t'ai appelé, et comme, ben, tu répondais pas, je me suis inquiété, tu vois, et je suis rentré.

Après tout, c'est ça, non ?

Pourquoi serait-il nécessaire d'évoquer d'autres raisons qui ont pu me pousser à entrer ?

C'est tout à fait anecdotique !

- Ah, ok. Je sors. Tu pourras prendre ta douche, comme ça.

Je le regarde. Il a pas l'air de vouloir s'exécuter.

Niark, c'est qu'il est agréable, le bain que je lui ai fait couler, moi.

Et apparemment, la chaleur et l'humidité, ça délie les langues.

- Laisse tomber, reste dans l'eau, de toutes façons ya plus d'eau chaude alors pour ma douche c'est râpé, donc t'en fait pas. Je la prendrai plus tard.

Je me détourne, et fait mine de partir.

Je vais peut-être survivre à cette journée, finalement.

Peut-être.

Bon, je mentirais si je disais que je n'ai aucun regret.

Vraiment, j'aurais dû profiter de lui pendant qu'il dormait.

Mais bon.

C'est trop tard à présent.

- Mais c'est sale.

Je dois avoir mal entendu.

Certainement.

Il vient de me reprocher d'être sale.

Bien.

C'est assez surréaliste, ça.

Ce n'est pas comme si j'avais pas pris ma douche depuis une semaine, je me suis lavé hier !

On est déjà resté en planque sans se laver, tous les deux, pendant, euh, je le dirais pas.

Alors qu'est-ce qu'il lui prend de me reprocher ça, maintenant ?

Alors qu'en plus, c'est pas de ma faute !

C'est moi qui me sacrifie, là !

Non mais !

Je me retourne lentement vers lui et lui lance un regard interrogateur.

Enfin, je tente un regard interrogateur ; Ce que je veux, c'est éviter qu'il puisse à nouveau penser à la comparaison avec le poisson rouge.

Il a l'air désolé.

- C'est à cause de moi, je savais que le bain était une perte de temps inutile.

Alors là, je l'aurais parié.

Je lui prépare un bain.

Je suis gentil.

Attentionné.

Je m'inquiète pour lui.

Je fantasme sur lui.

Non, ça, c'est un détail.

Et il trouve un moyen de redire à ça ?

Non mais il va m'entendre !

Je l'engueule.

- Ecoute moi bien mon coco ! Je t'ai fait couler ce bain, alors t'as intérêt à en profiter comme il se doit ! Pas question que tu sortes, sinon je t'attache au robinet jusqu'à ce que l'eau soit gelée et que tes doigts ressemblent plus à des raisins secs roses qu'à des mains de tueur professionnel !

C'est vrai que Heero attaché au robinet est une image très plaisante, je crois même qu'au montant de son lit ça devrait faire l'affaire.

Enfin, ça a pas l'air de le brancher.

Dommage.

L'appellation « coco » a du l'effrayer.

Bah, c'est sorti tout seul.

Il a l'air pensif.

- Il faut quand même que tu te laves.

Non mais attendez, il insinue que je pue, là ?

Je vais finir par le prendre mal !

- Viens avec moi, alors.

Ca y est, la vapeur me monte à la tête.

Je crois qu'il faut que je sorte de cette salle de bain, je vais finir par lui sauter dessus pour de bon.

Il me regarde, attendant une réponse.

Finalement, j'en ai sûrement besoin, d'un bain, non ?

Pour me laver, oui, pour me laver, je suis un jeune homme propre.

Non mais vraiment, est-ce possible, concevable, d'être naïf à ce point !

Je sais que j'ai déjà posé la question, mais avouez que ça mérite réflexion !

Imagine-t-il même un dixième des pensées perverses qui me viennent à l'esprit à l'instant présent ?

Alors ne parlons pas de celles qui pourraient me traverser si j'étais proche de lui, nu, moi-même étant nu.

Je rougis furieusement.

La chaleur, très certainement.

Mais il va finir par se poser des questions, si je n'accepte pas.

Après tout, ça se fait bien, entre amis.

Pas plus tard que la semaine dernière, j'en ai pris un avec Quatre.

Et Heero est parfaitement au courant, étant donné qu'il a du en subir les conséquences.

Quelles conséquences ? Eh bien… Il s'est cassé la gueule en glissant sur l'eau qu'on avait omis d'éponger.

J'ai bien ressenti, ce jour là, la signification profonde de la phrase « je vais te tuer ».

Alors là , si je refuse, il va se douter que je refuse pour pas qu'il sache que je veux pas refuser .

Complexe.

Je suis obligé d'accepter, non ?

Galère.

Il pose un coude sur le rebord, et appuie son menton sur sa main.

Il me regarde, attendant certainement que je fasse un geste.

En l'occurrence, que je me déshabille.

Troublant, vraiment.

Comment pourrais-je bouger alors qu'il me fixe comme ça.

Il secoue la tête.

- Pas la peine d'être gêné.

Comment ça ?

Bien sûr que c'est la peine !

Ah, je me doutais bien que c'était un pervers !

- Je sais ce que tu t'es fait la semaine dernière, pas la peine de le cacher.

La semaine dernière...

Qu'est-ce que je me suis fait la semaine dernière ?

Oh !

Il veut parler de la légère estafilade qu'un soldat d'Oz fort téméraire a osée me faire ?

(Il n'est pas resté téméraire longtemps, je vous assure)

Et d'abord, comment il le sait ?

C'est en dessous de mon Tee-shirt, ça se voit pas !

Et je ne pense pas qu'il me mate lorsque je me change, ça cadrerait pas avec le personnage.

Mystère, à résoudre plus tard.

En tous cas, il m'offre une porte de sortie.

Excellent.

- Bon, ok.

Au moins, ça aura expliqué mon coté légèrement statufié des premières secondes.

J'ai plus le choix, non ?

Au moins, j'ai déjà enlevé mon col.

C'est ça de fait.

Je me tourne instinctivement, et déboutonne ma veste.

Et constate que la blessure à l'abdomen s'est refermée, au moins.

Si en plus j'avais eu à faire semblant de ne pas souffrir le martyr, j'aurais laissé tomber.

Je dois déjà faire semblent de ne pas être frustré à mort !

J'ai toujours été un bon acteur, mais n'abusons pas non plus.

J'enlève mon pantalon aussi, et je remercie le ciel d'être de dos, car le poisson rouge est de retour… mais pas pour les mêmes raisons.

Bon.

Il le faut, non ?

Je dois l'enlever, ce boxer.

On ne se baigne pas en boxer.

C'est pas logique.

Et puis lui aussi est nu, il faut qu'on soit à égalité, non ?

Finalement, ne pas penser à ça.

Vas-t'en, image mentale !

Allez, hop.

Bon, paraître naturel.

Je me saisis de mon shampooing, après tout, autant que ce soit utile, et me glisse dans l'eau.

Tout, mais pas le regarder.

Tout, mais pas faire attention à sa cuisse que j'effleure avec mon mollet.

Tout, mais oublier que la baignoire est très étroite.

Tiens, occupe toi de tes cheveux, Duo !

Défais ta natte calmement.

Concentre toi sur elle.

Un doigt qui démêle une mèche, un autre doigt qui s'occupe de l'autre.

C'est très bien.

Heero n'est pas là, nu, à coté, collé à toi dans l'eau.

Si.

Il est là.

Mon dieu, faites moi mourir !

Finalement, je bénis toute cette mousse.

Bon, tant qu'il n'ouvre pas là bouche, je peux essayer de maintenir l'illusion qu'il n'existe pas.

Que je ne sens PAS ses orteils contre ma cuisse.

- Besoin d'aide ?

Rhaa, mais t'as pourri mon groove, là !

J'avais dit shut ! Ça veut dire shut !

- Pour tes cheveux.

Non, mais noooooooon.

On ne tente pas le diable, Hee-chan !

Comment veux-tu que je résiste à l'idée de tes doigts me massant délicatement le cuir chevelu, surtout avec mon nouveau shampooing ultra doux pèche vanille papaye sucre fruité !

Est-il possible pour un homme de refuser le paradis de son plein gré ?

J'acquiesce en silence.

Ne pas le regarder dans les yeux.

Fixe la mousse, Duo.

Ne pas rougir plus.

C'est la chaleur, c'est tout.

- Retourne toi.

Ah, non.

Ca va pas être possible.

Pas cette position.

Ce serait trop… suggestif.

Je peux pas.

Je vais réagir au quart de tour, là !

Je veux pas !

Mais si, je veeeeeeeux !

C'est ça le pire !

Je m'exécute.

Au moins, il pourra plus contempler ma face de bubule (où bubule désigne le poisson rouge dont il est question)

Je le sens.

Contre mon dos.

Je sens son torse.

Ses mains qui se posent sur mes épaules pour m'attirer à lui.

Plus près.

Il pousse un juron.

-J'y arrive pas !

- Nyah ?

J'ai déjà sorti réplique plus argumentée, je vous l'accorde.

- J'arrive pas à te caler. Attends.

Ses mains.

Chaudes.

Encore plus que l'eau, je crois.

A moins que la chaleur vienne de moi.

Sur mes hanches.

Une légère pression.

Il m'attire à lui, me cale, oui. Me maintient contre lui.

Ses doigts presque sur mon ventre. Qui effleurent ce qui reste de ma blessure.

Très érotique.

Finalement, je bénis l'ozzie téméraire.

Il saisit le shampooing.

Je sens ses doigts sur ma nuque à présent, ils me la gratouillent presque tendrement.

Shinigami, me voilà au paradis.

(A suivre)

Alors, allons nous laisser le petit Duo dans son euphorie érotique alors que Heero ne se doute de rien et tente simplement de mener à bien sa nouvelle mission, à savoir shampooiner Dudule ?

Vous le saurez dans le provhain chapitre !

En attendant…

Revieeeeeeeeeews ! w

Au fait, si vous voulez voir du fanart ! Mon blog ! (du genre le « poisson » dans l'eau) Pour y aller, deux solutions : Vous allez dans mon profil et cliquez sur homepage, ou alors vous recopiez cette adresse en remplaçant les espaces par ses points !

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