Auteur : Yat, eh oui une revenante.

Titre : Effets secondaires.

Disclamer : Sont pas à moi… Et après ce qu'ils m'ont fait baver, moi je vous dit, il vaut mieux pour eux.

Note : Je fais pas de RAR, maintenant parait il que c'est plus autorisé, alors… je ferai reply ou mail pour celles de ce chap.

Note2 : Comme vous pouvez le constater, je suis arrivée au bout de ce chap, et finalement j'ai décidé d'écrire un épilogue pour deux raisons : Déjà, ça permet à ceux qui veulent pas lire le lemon de sauter celui là sans dommage pour l'histoire (oui, je sais cet argument est stupide) mais c'est surtout parce que ça aurait fait bizarre sinon.

En fait je pensais pas écrire 10 pages word de lemon, moa ! (Fière) Si vous saviez comme j'en ai bavé… (en fait, c'est pas une question de peaufinage abusif, c'est surtout que j'ai eu un blocage en plein milieu et j'y ai pas touché pendant des semaines, mais chut)

Note3 : Ce chapitre est dédié à Caramelon, dont le soutien a été plus que bénéfique ! Merci toi ! (et d'ailleurs, merci pour le fièvre de Noël, aussi)

Note4 : Euh… j'ai changé le rating ! Attention slash, lemon, etc…

Note5: J'ai supprimé quelques "encore un", Merci Mytiane

Chapitre 6 : A moins que ce soit moi ?

On ne fait rien.

C'est ça, le plus étonnant.

On se frôle.

Nos lèvres s'effleurent.

Nos langues restent timides.

Se cherchent.

Se fuient.

Non, on ne fait rien…

Mais je veux me perdre dans ce néant.

Je veux continuer à goûter la distance, le vide infime qui nous sépare un instant, disparaît, reviens et nous sépare à nouveau dans une danse désordonnée.

C'est curieusement cet espace qui palpite entre nos lèvres qui commande les soubresauts anarchiques de mon cœur.

C'est cette caresse presque innocente qui me met dans un état où respirer n'est plus qu'une chimère à laquelle je me suis empressée de renoncer.

Seulement, comme ces soupirs, l'innocence est éphémère.

Nos souffles qui se mêlent appellent un contact qui tue peu à peu la douce ivresse des premières approches.

Nos lèvres délaissent l'exploration espiègle et confuse de nos peaux encore humides.

Elles se cherchent.

Elles se trouvent.

Elles s'allient.

Si j'ai hésité, ce n'est plus qu'un sentiment vague qui m'apparaît comme une erreur absurde que je tente fébrilement d'effacer.

Etre lâche, inconscient, irresponsable.

Oui.

Coupable?

Oh, oui, coupable...

Coupable de profiter de la faiblesse de ses barrières, coupable de m'employer à exploiter délicieusement son manque de maîtrise inhabituel de la situation.

De sa fièvre qui ne fait qu'accélérer la perte progressive de ses moyens.

Mais cette culpabilité qui me gênait l'instant d'avant s'est transformée en sensation délectable de franchir un interdit avec l'assentiment implicite de la créature divine dont je profite.

Et qui profite de moi.

Qui sent le fruit.

Le savon.

Je goûte ces saveurs sur ses lèvres auxquelles je me raccroche presque furieusement.

Ce n'est plus une danse.

C'est un combat.

Un combat qui n'a pour but ni la victoire, ni la défaite, qui ne cherche ni le plaisir, ni la douleur.

Un combat qui se cherche, une lutte qui par l'ivresse dans laquelle elle me plonge, ou m'élève, n'a besoin d'autre justification que celle qu'elle se donne elle-même.

Une fin en soi.

Ce désir qui monte, cette frustration voluptueuse qui progresse dans ma chair me pousse à prendre conscience de mon corps tout entier, de son corps, de son propre désir que je sens tout autant pulser sur ses lèvres à travers ses soupirs sporadiques que sur mon ventre, qu'inconsciemment je me suis mis à mouvoir.

Je prends conscience de son corps, oui, mais aussi de son être, de sa chair comme de son âme.

Je ne pense pas avoir jamais vu Heero avant cet instant.

A moins que ce ne soit que divagations d'un esprit embrumé.

J'ai soudain le besoin de croiser son regard.

De me rassurer.

De retrouver un point d'encrage, un élément connu auquel je pourrais me raccrocher dans la folie enivrante qui menace de me submerger.

Je détache mes lèvres.

Recule mon visage.

Rencontre ses yeux.

Ces yeux qui me fascinent par leur froideur sont fiévreux, suppliants, menaçants, presque fous.

Et pourtant, je reconnais mon soldat parfait dans ce regard, même si c'est une autre facette, même si cette proximité, cette intimité me pousserait en temps normal à douter de ma santé mentale.

Oui, il est chaud, malade, fiévreux.

Mais je reconnais cette lueur de détermination si caractéristique derrière le voile de désir de ses yeux cobalts.

Il sait ce qu'il fait.

Je n'aurai aucun remord.

Il me fixe, légèrement haletant, comme attendant que je me décide.

Je sens son cœur palpiter contre ma poitrine.

Je vois une artère pulser dans son cou.

Un battement désordonné.

Il doit sentir mon regard, car il penche presque imperceptiblement la tête sur le coté, me laissant plein accès à la peau de son cou qui semble frémir au rythme de son cœur.

J'hésite, me penche, effleure de mes lèvres la chair offerte.

Puis m'enhardit pour tracer un sillon humide, jusqu'à m'emparer avidement de sa peau si tentante.

Il gémit.

Ses mains dans mon dos se crispent un moment.

Le voir ainsi me met dans un état que je n'aurai jamais imaginé avant.

Je veux le voir s'abandonner.

Quitter cette froideur pourtant si délicieuse pour m'accompagner dans la fièvre et l'ivresse.

Ma bouche continue son exploration désordonnée, découvre son torse, ses tétons durcis, que je tourmente, l'un après l'autre, ne sachant pas sur lequel me fixer.

Je l'entends gémir, je le sens gémir, et mon excitation s'amplifie.

Est-ce un soupir, une plainte, un gémissement ?

Une supplication ?

Je l'entends prononcer mon nom.

Prononcer mon nom comme il le fait d'habitude, la même intonation, la même accentuation qui donne à ces deux syllabes un sceau si particulier.

Il passe sa main dans mes cheveux, réitérant avec encore plus de dextérité son opération de tout à l'heure.

Mes cheveux encore mouillés.

Simplement retenus par un habile montage en l'attente d'être nattés.

Un ajustage qui ne tient pas bien longtemps, et se disloque, laissant mes cheveux couler entre ses doigts.

Je lève la tête et croise son regard presque triomphateur.

Un regard de défi.

Or on ne lance pas de défi à Shinigami.

Je dois sourire, certainement.

Je n'en suis pas sûr, mais je me sens sourire.

Un sourire de dément.

Le sien s'efface.

Mais son regard devient joueur.

Effrayant.

Attirant.

Erreur.

Ne pas baisser sa garde.

Maintenant, je suis sur le dos.

Bien joué.

Il est sur moi. Il est contre moi.

On est là et puis c'est tout.

On s'embrasse, partout.

On se découvre.

Cet Heero, je ne le connais pas.

Cet Heero, c'est comme un rêve.

Pourtant, il m'est familier.

Je reconnais ses yeux.

Je reconnais son odeur.

Je le retrouve même dans ses soupirs.

Episodiques.

Discrets.

Avare de soupirs autant que de paroles.

Pourtant, chacun a un effet semblable aux mots qu'il daigne parfois m'accorder.

A moi seul.

Joie. Satisfaction. Espoir.

Désir.

Mais infiniment plus dévastateur.

On fait quoi là ?

C'est presque risible, on se touche, on s'effleure, on se regarde, on sourit, on gémis, on fait n'importe quoi.

On rit presque.

On ne sait pas quoi faire, je crois.

Ce serait ridicule, certainement, vu du dehors.

Mais là on est dedans.

Et on s'amuse nerveusement de notre propre maladresse.

Je ne sais pas où on va.

Le soldat parfait n'a pas de plan.

Il y va au feeling.

On y va au feeling.

Après tout, c'était lui qui voulait profiter, non ?

Je suis l'innocent, moi.

Il hésite, se rapproche, recule, m'effleure, me frôle, s'échappe.

Et moi je suis l'innocent tentateur.

Immobile, allongé, offert, j'attends qu'il se décide.

Chacun son tour.

-Tu…

Il cherche ses mots, mon Hee-chan.

C'est presque risible.

Lui qui en temps ordinaire ne lâche pas un mot en trop, se prend à essayer de dire quelque chose dans une situation…

Une situation qui n'en n'a pas besoin.

Ou alors ? Si ?

Ne me fais pas douter, Heero.

Je t'en supplie.

Ne me fais pas douter.

Nous deux, nus, mouillés, excités, fiévreux.

Fiévreux.

-Tu sais, je…

Nouvelle hésitation.

Il se penche.

As-tu conscience de l'effet que me font tes lèvres, Hee-chan ?

Sur ma tempe.

Ton souffle dans mon cou.

Comme si on revenait... au jeu.

Au début.

Un chaud murmure qui parvient à mon oreille.

- Tu sais, je n'avais vraiment plus de fièvre, tout à l'heure.

Hein ?

Pardonnez le coté incongru de mon interrogation, mais… Hein ?

-Je ne sais pas ce que… ce qui me rend comme ça, mais ce n'est pas le vaccin.

Pourtant.

Je sens ton souffle.

Je sens ta chaleur.

Je sens ton regard.

Alors ne me dis pas que tu n'as plus de fièvre.

Ecoute, écoute ta respiration… Tu entends le rythme ? Tu entends ce rythme ? Non, il n'y en a pas, il n'y en a aucun, c'est tout.

Ton souffle est perdu, ton regard est perdu.

Alors ne me dis pas que tu n'as pas de fièvre. Ne le dis pas.

Ou alors… je serai obligé de te traiter de menteur.

- Je ne saurai pas rationaliser… Mais je connais mon corps et… Il ne s'agit pas d'une réaction à la substance, je…

Tu parles trop, Hee-chan.

Tu parles trop.

Rationaliser, t'as pas honte de dire des gros mots ?

Tu parles trop, c'est tout.

J'aurais jamais pensé pouvoir dire ça un jour, tu sais ça ?

Mais quand même…

Si t'as pas de fièvre….

Plus de fièvre…

Si tu es… Si tu es mon soldat parfait, simplement…

Alors…

Vraiment, je n'aurai aucun remord.

Ah, tu as enfin cessé de babiller ?

Tu te décides à m'embrasser ? Tu te décide à…

Oh …

On s'embrasse, oui. On se touche.

Mais là…

La je sens son excitation.

Elle est tangible.

Evidente.

Je baisse les yeux.

Je ne peux pas m'en détacher.

Fasciné.

Elle pulse.

Je l'effleure de mes doigts.

Il gémis.

Je l'effleure à nouveau.

Je passe mon index du bas jusqu'en haut, m'arrêtant avant l'extrémité qui pourtant n'attend que ça.

Il gémit à nouveau.

Frustration.

J'ôte mon doigt.

Gémissement.

Je pose mes lèvres sur son gland gonflé.

Soupir.

Je souffle. Je caresse.

Je repousse le moment où ma langue entrera en contact avec la peau brûlante.

Parce que je veux savourer cet instant. Où tout semble suspendu au dessus du vide. L'instant d'avant la dégringolade.

Où tout n'est pratiquement que tendresse.

Où tout est pratiquement innocent.

Pratiquement.

Mais on n'arrête pas le temps indéfiniment.

Un gémissement, et ma fermeté fond.

Un gémissement, et j'exauce ta supplique muette.

Un petit coup de langue, un autre.

J'entoure ton gland de ma langue. Je ne vais pas plus bas.

Je le mets dans ma bouche.

Je le suce.

Je le lèche.

Et commence la dégringolade.

Je goûte son essence, je l'entends haleter.

J'accélère.

J'essaie d'accorder mon rythme à son souffle.

Peine perdue.

Tu murmures mon nom.

Encore.

Et encore.

Je recueille sa semence dans ma bouche.

Oui.

Rapide.

Je souris.

On va apprendre ensemble, toi et moi.

Mes lèvres sur les tiennes.

Ma langue qui te fais goûter ta propre saveur.

Et lui qui murmure.

-C'est toi…

Un souffle, encore.

-C'est toi ma fièvre.

Finalement j'aime bien quand tu parles, Hee-chan…

Parle encore.

Ou non, laisse courir tes mains sur moi, comme tu le fais.

Mon excitation est à la mesure de la tienne, elle se sent, non ?

Je voudrais la cacher.

Je voudrais me cacher.

Mais je ne peux que gémir quand à ton tour tu passes la langue dessus.

Mais tu t'arrêtes.

Tu la quittes.

Tu innoves.

Lui, il descend.

Plus bas.

Et là…

Et là…

Oh.

Sa langue caresse l'entrée de mon intimité.

Gémissement.

Ah, tiens, cette fois c'était moi.

Et cette fois ci aussi.

Elle entre.

Elle sort.

Elle hésite.

Mes mains se crispent dans ses cheveux.

Elle continue sa danse, s'introduisant à chaque fois plus profondément.

Et moi je gémis, toujours plus douloureusement.

Elle s'arrête.

Tu t'arrêtes.

Tu me regardes.

Doute.

- Tu… J'arrête ?

Dénégation convulsive.

Sourire.

Et elle revient.

Et je la sens.

C'est délicieux, c'est douloureux.

Sublimement douloureux.

Je veux plus, moi.

-Heero…

Il se relève. Il me sourit.

Il m'embrasse.

Doucement.

Puis laisse sa bouche filer sur mon visage.

Descendre. Papillonner sur mes omoplates.

Moi je gémis.

J'écarte les jambes presque inconsciemment.

Ou plutôt, si consciemment.

Sa langue sur mon cou.

Ses doigts sur mes épaules.

Sur mes hanches.

Ses doigts qui remontent.

Subrepticement.

Vers ma bouche.

Sur ma langue.

Comment sais tu tout ça, Hee-chan ?

Comment savais tu que c'était ça que je voulais, exactement ça…

Humides, presque visqueux, je sens ses doigts rejoindre à présent mon intimité à vif.

Là où sa langue a fait des merveilles.

Caresse.

Intrusion.

Légère douleur.

Puis étrange sensation.

Plaisir, oui.

Mais plaisir inhabituel.

Un autre.

Je me cambre.

Ils s'agitent.

En moi.

Ils tournent.

Ca tourne.

J'ai mal.

Mais c'est bon.

Continue, Heero.

Ca tourne.

Oui, il faut continuer…

Encore.

Non, ne pas les ôter.

Vide.

Je lui lance un regard perdu.

Pourquoi ?

Il a un air désolé.

Faute.

Gêne.

- Je… Je sais pas vraiment comment faire.

Je souris.

Ce n'est que ça.

C'est mieux.

Je te guide ?

Je ne sais pas mieux que toi, à vrai dire….

Mais à deux, on s'en sortira bien, ne ?

Je pose une main hésitante sur son membre.

Je le guide.

C'est simple, non ?

Dans le principe, c'est simple ?

Alors pourquoi j'hésite ?

Pourquoi on hésite ?

La douleur.

L'angoisse.

Pourtant, on n'est pas n'importe qui, nous.

Heero Yuy, 01, le soldat parfait.

Duo Maxwell, 02, le dieu de la mort.

On va pas avoir peur quand même ?

Alors écarte les jambes, Duo.

Il essaie.

Il s'introduit.

Je grimace, il s'arrête, je souris, il reprend.

L'air inquiet.

Il entre.

Progressivement.

Ca fait mal.

J'ai très mal.

Je ne veux pas que ça s'arrête.

Je veux qu'il entre.

Je vois le plaisir sur son visage.

Je veux qu'il entre.

Ca fait horriblement mal.

Vas-y, Hee-chan.

Vas-y d'un coup.

Ca fait mal, mais je suis moi.

Je connais la douleur.

J'ai toujours vécu dans la douleur.

Je la hais.

Mais là je la veux.

Je te veux.

Vas-y, Heero.

En une fois.

Oui.

J'ai mal.

Ca me déchire.

Ca y est, t'es dedans ?

J'ai mal.

J'ai vraiment très mal.

Mais il y a aussi…

Il y a aussi cette sensation étrange.

Comme tout à l'heure.

En plus intense.

Du plaisir ?

Je ne sais pas.

Pas encore.

Ou plutôt…

Si.

Un petit peu.

Par vagues.

De plus en plus.

De plus en plus fort.

De mieux en mieux.

Tiens, je ne la sens plus.

La douleur.

A moins… à moins qu'elle en fasse partie

Des vagues.

Vas-y.

Accélère.

Encore.

Je ne sens plus rien d'autre.

Je te sens.

Oui.

Ca y est.

Mon cœur qui rate un battement. Ou deux. Plus, même.

Je ne vois plus que le plaisir.

Alors c'est ça ?

C'est ça dont on parle tant ?

On a raison.

C'est…

Je ne vois plus rien, à présent. Si, le plafond. Ou le mur. Je sais pas.

Je m'en fous.

Je ferme les yeux.

Je prends la cadence.

Je ne distingue plus rien.

Lui, moi, la douleur, le plaisir.

Tout est mêlé.

Puis d'un coup tout explose.

Je crie.

A moins que ce soit lui.

Il s'arrête. Il s'affale.

Sur moi. Je me détends d'un coup.

Il gémit faiblement.

Je crois que c'était mon nom.

Je ne peux pas penser.

Je suis bien.

J'ai envie de dire des trucs.

Des trucs stupides.

Des trucs niais.

Mais ça sort pas.

Je suis même pas capable de prononcer une syllabe.

Alors je serre.

Je l'enserre.

Je l'enlace.

Il est contre moi.

Je crois qu'il s'endort ?

A moins que ce soit moi.

(à suivre)

Ah ah, fini, bouh, enfin, mon dieu ça fait du bien.

(ça y est je me suis lâchée)

Dites moi ce que vous en pensez, si pour vous il vaut mieux que je ne touche plus à un lemon de ma vie par exemple.

Snape : Oui, dites lui ça, ça nous fera des vacances…

Yat : Mas kestufous là toi ? Non mais attends Snape dans Gundam on aura tous vu !

Snape : Oui, bon, hein.

(Pars)

Yat : Bon, qu'est-ce qu'il a lui, c'est pas parce que je suis justement en train de me déchaîner à faire des lemon complètement jetés sur HP qu'il doit se la ramener, hein ? Je vais finir par le caser avec Rusard si ça continue !

Snape(revient avec une perruque blonde et un rictus niais) : C'est moi, Quatre, je tiens à te dire sans vouloir t'offenser que mon empathie m'a affirmée catégoriquement que tu devrait éviter les lemon à l'avenir…

Yat : …

Ah.

Si vous êtes pas d'accord, où si vous l'êtes, review ! (si vous signez ou vous mettez votre mail, je réponds !)