Chapitre 8 :

- Il s'est endormi tout juste avant votre arrivée. Expliqua Dumbledore à Sirius et Lily.

Sur le lit d'hôpital ; un homme y reposait : cheveux noir de jais en bataille, visage triangulaire et sur la table de nuit y reposait une paire de lunettes rondes. Cela ne faisant aucun doute sur l'identité du personnage il s'agissait bien de James Potter, célèbre auror tué par les mains de Voldemort lui-même, pour protégé sa famille.

-James… Lily murmurait son nom, comment est-ce possible professeur?

-Je n'en ai aucune idée. J'attendais votre arrivée, je préférais pour lui qu'il n'ait pas à se répéter.

- C'est- sûr, répondit Sirius.

- Pompom ?

- Oui, Albus.

- Pouvez-vous le réveiller svp ?

- Oui, sans problème.

- Merci.

Celle-ci lui donna une potion, pour qu'il ait à se réveiller sans avoir à souffrir de l'effet des autres potions données auparavant. Environ trente secondes plus tard, il ouvrit un premier œil et le second suivit.

- Lil's ? Est-ce bien toi ?

- Oui, c'est moi. Oh Merlin ! Comment cela se peut-il ? Et elle pleura sur l'épaule de l'être tant aimé.

- Non, fleur de Lys, je suis là, vivant devant tes yeux, ne pleure pas et il sécha ses larmes d'un geste de la main.

Sirius se décida de sortir de l'ombre, d'où il assistait à ce chaleureux spectacle.

- Patmol ? Mon vieil ami, toi aussi t'es là ! Comme vous m'avez manqué tous les deux.

James souriait, un vrai sourire qu'il n'avait adressé à personne depuis 10 ans. Par contre, aux côtés de Lily Sirius se tenait droit et sérieux.

- Lily, tasse-toi! Ordonna lui ordonna-t-il sèchement.

- Quoi, mais pourquoi ?

- QU'est-ce qui nous prouve que c'est réellement lui, qu'il n'est pas sous l'effet de l'imperium ou du polynectar.

- Pou l'imperium, j'ai déjà vérifié et il n'est pas sous le contrôle de Voldemort. Répondit le vieil homme.

- C'était dont sa ? Je sais pas si vous saviez mais sa fait pas de bien ce sortilège, très douloureux.

Dumbledore pouffa devant la mine d'incrédulité du patient.

- Mais Sirius, ne me reconnais-tu pas ? Après toutes ses années passées ensemble à jouer de mauvais tours. Après toute ses années de pure plaisir et …. Et il y a eu notre entraînement d'auror.

- Bien sûre que je te reconnais James, jamais je n'aurais oublié ces moments, mais prouve-moi d'abord que tu es bel et bien le vieil ami que j'avais.

- Pose-moi des questions, on verra bien. Lui répondit Potter le moins stressé du monde.

Sirius prit quelques secondes pour y réfléchir et finit par lui demander :

- Quel est ton deuxième prénom ?

- William, c'est bien trop facile tout le monde le connaît, c'est le prénom de mon père.

- Où sommes-nous rencontrés pour la première fois ?

- Ollivander, Sirius tu étais bien meilleur à Poudlard.

- Celle-là maintenant ! De qui est-ce que j'étais accompagné chez Ollivander ?

James pouffa en se remémorant la scène et répondit entre deux rires : de ton horrible vieille mère.

- Ça y est je te reconnais vieux, c'est bien toi lui répondit Sirius avec un sourire vaincu et joyeux. Mais malgré tout je suis obligé de te faire subir un autre test.

- Comment sa un autre test ? Tu l'as reconnu. Lui fit remarqué Lily.

- Lily, ma chérie laisse le faire, il est têtu comme une mule tu n'arriverais pas à le faire changer d'avis. Il n'a pas changé d'un cheveu.

- Merci James. Lui répondit son ami. Professeur ?

- Oui.

- Pourriez-vous aller demander au professeur Rogue de nous préparer sa plus forte dose de véritasérum svp ?

- J'y courre.

- Merci.

Le vieil homme traversa la pièce et poussa les lourdes portes de chênes qui gardaient l'entrée de l'infirmerie.

- Rogue ? Demanda James.

- Et oui, Snivellus Rogue. Il est maître des potions. C'est d'ailleurs le professeur de Harry.

- Pauvre lui, comme il doit souffrir.

- Et oui, juste à cause de vous deux. Leur dit Lily.

- Mais dis-moi Sirius, tu ne me fais pas confiance, après toutes ses années, notre amitié n,a dont servit en rien ?

- Je préserve cette amitié, jamais je n'oserais mettre en danger le monde autour de moi que j'aime. J'ai changé James, après ton enterrement, il n'ut pas le temps de finir qu'il fut coupé par Lily.

- D'ailleurs parlant d'enterrement, il y avait ton corps et tout, ta baguette, en disant cette phrase elle se recula davantage pour se coller contre Sirius.

- Cette question, tu me la poseras avec le véritasérum.

- Je continue, je disais donc que j'ai changé, sans toi ça n'a été facile pour personne. Il y avait la guerre contre Voldemort, Harry, ton fils, était en danger continuel.

- Harry ? En danger continuel qu'est-ce que cette histoire ?

- Après t'avoir capturé, nous on te croyait mort bien sûr, lui il n'a pas arrêté et son but était de tué le dernier des Potter. Plus de Potter. Répondit Lily avec quelques larmes qui commencèrent à coulée sur ses joues rousselées.

- Je te promets que j'ai tout fait pour les protéger du mieux que j'ai pue. Après l'incident où Voldemort l'a marqué comme son égal et l'a plongé dans le néant. Apparemment pas pour longtemps, malheureusement. J'ai été nommé chef de la division des aurors.

James poussa un sifflement d'admiration.

- Je ne prends aucune décision sans me poser une tonne de question. Je suis toujours aussi têtu et quand j'ai une idée en tête c'est avant de me convaincre de m'en débarrassé.

- Tu n'es plus le grand blagueur que j'ai connu, tu es devenu serious.

- Je n'ai jamais arrêté d'être serious Jamsie.

- Tu ne t'arrêteras jamais de faire cette blague n'est-ce pas? Au moins c'est bon signe tu n'as pas perdu ton sens de l'humour.

Et tous les trois se mirent à ricaner jusqu'à ce que Dumbledore rentre et les regarde avec un gros sourire en s'apercevant que tout était revenue à la normale, ou presque.

- Hum, hum.

Tout le monde se tourna vers Dumbledore qui leur montra les deux fioles qu'il tenait dans sa main. L'une d'une couleur verdâtre et l'autre argenté. La verte était le véritasérum et l'argente, la solution.

- Hum oui, revenons-en aux choses sérieuses. Fit Sirius. James, si ça ne te dérange pas tu es contraint d'avaler ce produit.

- Pas le choix on dirait ben. Il avala la potion verte dégoûtante et fit une mine de dégoût.

- Je propose que l'on pose chacun une question chacun notre tour.

- O.k. répondirent ensemble Lily et Sirius.

- Je commence, annonça Patmol. Où étais-tu passé pendant ces dix années ?

- Voldemort m'a gardé cacher dans son manoir.

- Il t'a gardé caché ? Lui demanda Lily. Dans ce cas, pourquoi tu ne t'es pas enfuit auparavant?

- Il fallait que j'espionne Voldemort, les heures de réunion où je serais sûre de pouvoir m'enfuis sans me faire remarqué. En plus de tout ça, j'avais volé un masque à un des serviteurs. Donc, j'étais méconnaissable.

- Tu ne m'étonneras jamais assez, répondit Lily fière.

- Tu as eu dix ans pour faire ça, ce n'est pas nouveau les réunions hebdomadaires du Lord. Qu'est-ce qui t'a motivé de t'enfuir ? Demanda Dumbledore.

James tourna instinctivement sa tête vers Lily.

- C'est sur le chemin de traverse, lorsque je t'ai vu. Lui dit-il sans quitter ses beaux yeux émeraudes.

Tout le monde se retourna vers Lily et Sirius lui souffla dans l'oreille :

- Tu ne m'avais pas dit que tu l'avais vu! Pourquoi ?

Je ne voulais pas y croire, je croyais que tu n'étais qu'un effet de mon imagination. Répondit-elle en fixant à son tour son amour. Mais James ? Qui est dont cette Léa dont tu m'as parlé ?

- Euh… et bien, c'était ma fille, mais pas ma fille, la fille d'émeraude.

-Émeraude ? La fille avec qui je suis sorti en septième ? Demanda Sirius curieux et ses joues commençaient à rougir en se remémorant de bons souvenirs.

- Celle-là, répondit James avec un sourire amusé.

- Mais dis-moi ? Tu n'es pas sorti avec j'espère ? Demanda jalousement Sirius.

- Non, elle avait une autre fréquentation plus ténébreuse. C'est avec cette personne qu'elle a eue Léa.

- Qui était-ce ? Demanda Lily peureuse de ce qu'on époux allait bientôt sortir.

- Lord Voldemort en personne.

Tous ils écarquillèrent les yeux, surpris d'apprendre une telle nouvelle d'apprendre cela d'une fille qu'ils croyaient tous bien connaître, mais l'après Poudlard à changé beaucoup de personne.

- Venons-en au fait. Leur dit Dumbledore. James, es-tu un Mangemort ? As-tu déjà servi Voldemort pour un quelconque service ?

- Je n'ai jamais été un Mangemort, comme vous pouvez le constater. Il leva sa manche gauche et rien n'y était gravé. Oui, je l'ai déjà servi, j'ai servi de père à sa fille.

- Je comprends tout. Répondit Lily accompagné du hochement de tête de Patmol et Dumby.

- Es-tu vraiment James Potter ? Demanda Sirius avec un sourire en coin.

- Bien sûre que si, idiot!

Ils pouffèrent pendant de longues secondes et furent interrompus par Dumbledore qui lui demandait s'il avait d'autre choses à confessées. Et fut répondu par le négatif.

- Dans ce cas, intervint Pomfresh qui restait proche du rideau lors de la conversation terminée. Laissez mon patient dormir et foutez moi le camp d'ici, merci !

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- Wingardium Leviosa ! Chuchota un élève pour ne pas réveiller ses camarades qui dormaient.

Harry se réveilla en sursaut, réveillé par des ricanements provenant du lit de Ron. Il chercha sur la table de nuit sa paire de lunettes et la mit sur son nez. Il poussa les rideaux de son lit à baldaquin. La cause de ses ricanements était due au fait que Neville se pratiquait pour ses sortilèges et sa plume s'était glissée entre les orteils de Ron sans qu'il s'en aperçoive.

- Oh non ! Où elle est ma plume maintenant ? Se demanda furieusement Neville.

- C'est ça que tu cherches ? Lui demanda Ron, en sortant sa tête, complètement dépeignée, des rideaux.

- Heu… oui désolé. Fit Neville mal à l'aise.

Pour se venger, le rouquin lui lança un oreiller en plein milieu du visage. Harry en regardant Ron furieux rentré dans son lit et Neville abasourdi par ce qui venait de se produire, eu une idée digne d'un Potter. Harry prit l'oreiller laissé sur le plancher et sauta sur le lit de Ron en criant. « Bataille d'oreillers ! » En comprenant ces mots, les autres se réveillèrent et suivirent le mouvement tout en essayant d'en esquiver.

- Ahhh non ! Vous avez tous réduits mon oreiller en cendres. Rugit Ron.

Cette remarque ne put qu'empirer la situation et bientôt ce fut tous les oreillers qui furent déformées et toutes les plumes volèrent dans tous les coins du dortoir. Leur bataille fut accompagnée de pleins de « Prends ça », de rires et aussi de « fait attention où tu vises ».

Le tout fut arrêté lorsqu'on cogna à la porte.

- Entrer c'est ouvert, mais en désordre. Répondit Seamus.

- Wow ! Toute une bataille ! S'exclama un des arrivants qui n'était autre que Fred et Georges Weasley.

- Sans nous, en plus. Fit une mine boudeuse Fred.

- Qu'est-ce qui se passe ? Pourquoi vous êtes là chers frères ? Demanda Ron en sortant des décombres de son lit.

- On vous attendait, pour descendre en bas. Répondit Fred.

- Mais vous n'alliez pas l'air d'arrivé bien tôt, donc on s'est dit qu'on allait venir vous réveiller, il est rendu 9h30, c'est peut-être la fin de semaine et deux semaines de cours sont passées, mais on avait un plan. Compléta Georges.

- Wow ! T'arrives à dire tout cela sans respirer ! Et bien, félicitation ! S'exclama Ron.

- Merci tit frère.

- On s'en vient dans 3 min. répondit Neville.

- D'accord, répondit Georges, en fermant la porte derrière lui.

Ils se dépêchèrent de s'habiller et Harry ne prit même pas le temps pour soigner son apparence : cause désespérée. Ils descendirent en trombe les escaliers et se rejoignirent tous à la Grande Salle. Harry s'assit à sa table et regarda comme à son habitude vers les professeurs. Il fut pétrifié lorsqu'il reconnu deux des personnes qui étaient à la table, mais n'avaient absolument pas d'affaires là, à Poudlard. Sa mère, et son parrain, Sirius Black.

- Harry ça va ? Lui demanda Ron inquiet.

- Ouais.

- Qu'est-ce qui se passe ?

- Regarde à la table des professeurs.

Il regarda et se retourna vers Harry.

- Quoi, qu'est-ce qu'il y a ?

- Une grande rousse et un grand brun.

- Et alors ? Qui c'est ?

- Ma mère, Lily Evans et mon parrain, Sirius Black.

- Ce sont eux ?

- Ouais, répondit Harry, la mine peu réjoui à la vue des adultes dans son petit monde.

- J'ai entendu Sirius Black, ça aurait un rapport avec notre tour ? Demanda Georges.

- Non, désolé, ou bien peut-être mais bon, regarde à la table des enseignants, ma mère et lui sont là.

- Tu veux dire la rousse là-bas et le brun, c'est lui Sirius Black ?

- Ben ouais.

- Pourquoi qu'ils sont là ? Demanda son jumeau.

- C'est sa le problème, j'en ai aucune idée mais c'est étrange. Répondit le survivant.

- Harry, penses-tu que ça aurait un rapport avec le mangemort qu'on a trouvé l'autre jour. Lui chuchota Ron.

- C'est ça! S'exclama-t-il. Il faut absolument trouver un moyen d'en être au courant.

- Ouais et en plus c'est le weekend. Lui répondit le roux.

Harry fixait sa mère et ils se rendirent en fin compte de la présence d'Harry. Ils lui envoyèrent un signe de la main et reçurent en retour un signe d'incompréhension.

Sirius vint voir Harry.

- Salut Harry. Lui dit son parrain.

- Salut Sirius, comment ça va ? Qu'est-ce que vous venez faire à Poudlard ? Elle est suffisamment protégé pas besoin d'aurors, non ?

- oui, ne t'en fais pas pour la protection, il n'ut pas le temps de finir sa phrase qu'il fut coupé par les jumeaux Weasley.

- Wow ! Vous êtes Sirius Black ? Demanda Fred pour s'en assurer qu'il ne rêvait pas.

- Heu… oui. À ce que je sache. À présent tous les regards de la table étaient sur eux.

- Patmol ? Wow! Un maraudeur devant moi.

- Comment ça que vous connaissez mon surnom et surtout les maraudeurs ? Harry ? n'y serais-tu pas pour quelque chose ?

- Il nous l'a dit parce qu'il voulait voir la carte. Répondit Georges.

- La carte ? Vous la connaissez ? Je croyais que Rusard s'était assuré de bien la cacher.

- Ne vous inquiétez pas elle est entre de bonnes mains, lui sourie Fred.

- Tu peux nous faire confiance, Si.

- Nous ? Tu veux dire que toi aussi tu l'as ?

- Ben oui voyons, en tant que fils de maraudeur. Et il y aussi Ron, Seamus qu'il pointa du doigt, Neville et Dean Thomas.

- Toi, Neville, es-tu le fils de Alice et Franck Londubat ?

- Euh… oui, pourquoi ? Vous les connaissiez ?

- Bien sûre, je travaillais avec eux, je suis vraiment navré de ce qui leur est arrivé.

Neville baissa la tête.

- Mais bon, Harry, je suis là pour t'annoncer quelque chose. Aujourd'hui, tu vas passer la journée avec ta mère et moi, nous avons un truc important à t'expliquer.

- Ah ok. Bon ben salut tout le monde je vous rejoins dès que possible. Et il suivit son parrain pendant que sa mère restait à l'écart à parler avec Dumbledore.

Ils circulèrent dans les couloirs et furent témoins d'une dizaine d'élèves qui les regardaient surpris de voir Black à Poudlard. Surtout d'y voir accompagné le survivant.

- Où va-t-on ? Demanda Harry.

- À l'infirmerie.

- Pourquoi ? Qui est malade ?

- Personne, Harry. C'est une bonne personne que tu vas retrouvé. Mais tu risque d'être choqué.

- Choqué ? qui se trouve à l'infirmerie, Sirius ?

EN disant cette phrase, Harry avait arrêté de marché et regardait Sirius.

- Un vieil ami à moi.

- Dans ce cas, ça ne me regarde pas, pourquoi il faut que je vienne ?

- Tu connaissais cette personne.

- Attends… tu veux dire que… il ne finit pas sa phrase et partit en courant direction infirmerie.

- Harry, attends-moi ! S'exclama son parrain.

Harry courait comme un fou dans les somptueux couloirs et se faisait faire des remarques des cadres du genre « Aucun respect, ces morpions. » ou encore « Et ça se permet de courir ». Mais Harry s'en foutait. Tout d'un coup il s'arrêta net et se retourna pour faire face à Sirius.

- Qui c'est ?

- Ton père, Harry.

- Mais… il est mort.

- Je sais, mais il n'est pas réellement mort, mais je crois qu'il va mieux pourvoir t'expliquer que moi. Allons le voir.

- D'accord, fit Harry avec une nuance de peur dans la voix.

Ils partirent d'un même pas tous les deux à la même hauteur sans s'échanger un seul mot jusqu'à temps qu'ils franchirent les portes.

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- QU'ON LE RECHERCHE ! S'exclama la tête de serpent.

Lorsque Voldemort ordonne quelque chose, c'est préférable que ce soit fait accompli.

60 min. S'écoulèrent et un mangemort réapparut dans l'embrasure de la porte.

- J'espère que c'est pour me dire que l'avez retrouvés, siffla-t-il.

Rudolphus Lestrange se rendit sous soumission au pied de son maitre et embrassa le pied de sa robe.

- Non, maître, les détraqueurs assurent qu'ils n'ont vus personne n'étant pas un de vos fidèles partir. Ce qui veut dire qu'il a prit l'apparence de l'un de nous et ils n'ont pas pu le reconnaître.

En entendant ses parole, le maître, lui donna un coup de pied. Surpris sur le coup, Recula et tomba par en arrière.

- Doloris. Siffla la voix de serpent. Ça t'apprendra à me désobéir. Il se réjouissait à voir son serviteur se tordre de douleur à ses pieds.

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Fin ! Reviews svp. Vraiment désolé de pas laissé de RaR mais c'est que ces temps ci je suis vraiment pressée c'Est les examens donc… pardonnez-moi svp ! Mais svp REVIEWS. Je suis tellement stupide avant j'acceptais pas les anonymes mais là j'ai enfin trouvé comment désactivé … donc vous pouvez me laissez un reviews maintenant.