Bref, enjoy with zis dernier chapitre ;p
Disclaimer: Shaman king et ses persos ne sont ni à moi, ni au royaume de Saturne. Ils sont à Hiroyuki Takei. Mais patience...
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Le soleil se levait sur notre cher petit couple d'éphèbes, qui avaient pris l'initiative, juste après leur baiser, d'aller juste un peu plus loin. Ils s'étaient
donc, après s'être amusés un peu (nyéhé), endormis dans le même lit.
Ren se réveilla en premier. Après s'être fait la remarque qu'il avait mal à la tête et que Horo ronflait, et après avoir failli l'étouffer avec un oreiller, il
remarqua autre chose.
-Horo! Horo! dit-il en secouant l'ainu pour le réveiller.
-Mgzfgn.
-Horo! Horokeu! Lève-toi!
-Gnnmm zzzzzzzzz...rrrrr...
-Bon...j'ai compris...
Il approcha ses lèvres de celles de l'ainu. 'Aaah, il a comprit ce que j'attendais...' se dit Horo, avant que Ren ne lui enfonça ses ongles dans le bide.
-AAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAIEEUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUU!
-Cocorico, dit Ren en souriant.
-T'ES COMPLETEMENT TARE! CA FAIT SUPER MAL!
-T'aimes pas la douleur?
-Nan!
-Dommage.
-Quoi?
-Rien, rien.
Puis Ren regarda fixement Horo se lever, toujours complètement endormi.
-Je voulais juste te signaler, dit Ren une fois qu'il eût giflé l'ainu pour le réveiller ("C'est plus économique que le café"), qu'aujourd'hui ça faisait une semaine. Je suis guéri.
-Aaaah! Ca c'est cool, mais je me disais bien encore cette nuit que t'avais l'air d'aller mieux.
Après l'avoir méchament frappé avec un livre assez gros, Ren décida d'aller s'entraîner avec Horo. Horo décida qu'il n'étais pas du même avis. Ren décida que les trucs pointus parlaient beaucoup mieux aux fesses, et donc aux opinions de Horo, qui décida que finalement il étais du même avis que Ren.
Horo s'habilla vite fait (c'est-à-dire super mal, on voyait même le t-shirt dépasser du pantalon, oh làlàààààààà), Ren aussi (sauf que lui il a la classe avec n'importe quelle tenue, même avec un costume d'infirmière. Quoi "comment je le sais"?), et ils descendirent tous deux à vive allure pour aller prendre un petit déjeûner bien mérité (Yoh à Horo: "Vous vous êtes réconciliés?" Horo: "Euuuuuh ouais..." Manta: "Vous avez fait du sport ou quoi?" Ren:"Oui, beaucoup ")
Puis ils allèrent tous deux voir Chocolove, presque guéri de sa fracture ("en une semaine!" "Fermez-la, c'est moi qui raconte l'histoire, je fais qu'est-ce que je veux") et Horo se pencha vers Ren avec un air du genre "alors, qu'est-ce qu'on dit au monsieur?"
-Pardon...dit Ren à Chocolove.
Choco ouvrit des yeux ronds(enfin, ovales, plutôt, mais on s'en fout) dans la direction de Ren, qui répéta:
-Pardon, je suis désolé de t'avoir cassé un bras. J'ai été un peu brutal en contre-attaquant. C'est de ma faute.
Choco se tourna vers Horo en lui disant:
-Qu'est-ce qu'il a mangé?
et Horo de répondre tout bas:
-Mais rien, c'est parce que je lui ai demandé de s'excuser!
-Tu lui as demandé...ah, je vois, c'est ta dernière volonté, c'est ça?
-Maaaais non, tu piges pas; voilà, lui et moi, on est comme qui dirait...
-Vous avez fini vos messes-basses? demanda Ren. On peut peut-être commencer l'entraînement?
-Oh noooooon, pas aujourd'huiiiiiiiii...mon bras me fait encore maaaaaal...se plaignit Chocolove.
-Il va te faire encore plus mal, si tu continues...chuchota Horo.
Ren s'avança vers Chocolove.
-Alors d'accord, dit doucement Ren. Si tu ne veux pas t'entraîner à cause de ton bras, repose-toi. Je n'ai pas le droit de te forcer.
Horo et Choco se tournèrent l'un vers l'autre d'un air incrédule.
-Bon, ben d'accord, alors, répondit Choco, moi je traîne pas, faut que mon bras guérisse!
Et il déguerpit. Vite, vite, des fois que Ren aurait changé d'avis.
-Bon, ben...on va où pour s'entraîner? demanda Horo avec le ton d'une personne connaissant l'imminence de sa mort.
-On va beaucoup bouger. Je te conseille de retirer ton manteau.
-D'accord...
Et Horo s'exécuta.
-Retire aussi ton pull.
Et Horo s'exécuta encore.
-On va dans le bois, dit Ren. On sera tranquilles là-bas pour...hem...s'entraîner...
Une fois qu'ils eurent atteint le bois, Ren dit à Horo de retirer un peu plus de vêtements, car ils allaient le gêner. Horo les retira.
-Mais je me demande quand même ce qu'on va faire, pour retirer autant de fringues! Et toi, tu ne les retire pas, les tiennes?
-Tout juste, dit Ren.
Il retira alors tous ses vêtements. Oui, vous avez bien lu, tous. Horo resta bouche-bée.
-Tu...euuuuuuh, qu'est-ce que tu fais? J'aime pas trop ton regard...
-Tais-toi, répondit Ren. Tu es vraiment naïf. Tu pensais vraiment qu'on allait s'entraîner quand je t'ai demandé de retirer ton pantalon?
-Euuuh, j'avoue que ça m'a prut suspect, mais...hé, attends! T'as pas froid, comme ça!
-Toi aussi, tu vas avoir froid, dit Ren. Moi, je suis immunisé contre les rhumes, avec celui que je viens d'avoir...
Et là-dessus, notre ami Ren s'approcha de Horo.
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-Mais qu'est-ce que vous avez bien pu faire pour qu'il chope un rhume pareil! demanda Choco à Ren.
-Huhu...on s'est "entraînés" dans le froid...dit Ren en souraiant béatement, le rouges lui montant aux joues.
-Ca va aller, mais il en a pour quelques jours, dit Faust en sortant de la chambre "the Ren". Il doit être alité pendant trois bons jours. Prenez bien soin de lui.
-Je vais m'occuper de lui, tu ne pourras rien faire avec ton bras...dit Ren à Chocolove.
-Ah..euh, d'accord...
Et Choco descendit immédiatement devant le regard de Ren, le même qu'il avait eu lorsqu'il lui avait cassé le bras.
Ren entra dans la chambre. L'ainu était dans son lit, grelottant, une serviette mouillée sur la tête.
-Et voilà...dit Horo avec colère. C'est malin! J'espère que t'es fier de toi! T'avais tout calculé, avoue!
-Oui, répondit Ren, toujours souriant.
-Eeet je suppose que tu t'es gentiment proposé pour me soigner, hein?
-Oui.
-Et que tu as menacé Choco de mort?
-Pas la peine, il a compris tout seul. Mais je voulais te dire...
Ren approcha ses lèvres de celles de l'ainu et l'embrassa passionnément.
-Je t'aime. Je ne veux te laisser à personne d'autre...je veux prendre soin de toi, comme tu as pris soin de moi.
Horo regarda Ren, surpris au début, puis prit Ren dans ses bras, en disant:
-Je t'aime aussi...je veux que ce soit toi qui t'occupes de moi...qui me prépare ma soupe au miso...
Il relâcha son étreinte, et lorsque Ren fut libre, il se crut bon d'ajouter:
-A propos de rien, la tienne, de soupe au miso...elle est dégueulasse.
-Je sais, j'avais essayé de t'empoisonner avec.
-Dans ce cas, il faut que je me débarasse du poison...dit Ren, le sourire aux lèvres.
Il l'embrassa de nouveau.
Manque de pot, à cet instant précis, Bason, qui rentrait de ses vacances à Tahiti après se l'être fait conseiller par Manta une semaine auparavant, passa à
travers le mur, vit les deux garçons, repassa à travers le mur, et hurla dans toute la maisonnée:
-QUE PERSONNE N'ENTRE DANS LA CHAMBRE DE MAITRE REN! LUI ET MAITRE HORO HORO SONT OCCUPES!
Quasiment tout le monde comprit le sous-entendu, surtout Ren et Horo, qui étaient juste derrière les murs fins de la chambre.
Ren défonça la porte et recommanda à Bason de se retirer à Okinawa pendant...disons...trois jours?
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Voilàààààààààààà finiiiiiiiiiiiiii!
Ahhh làlà, chuis pas trop mécontente de cet épilogue...Ouais...au tour de Horo de morfler un peu. Je sais pas si vous avez remarqué, mais il est en meilleure
forme que Ren pendant son rhume.
Flashback powaaa
Ren:Aaaaarg.
Horo:Ne meurs pas!
Bref, il y a deux raisons: d'abord Horo est bien plus robuste que Ren, et ensuite, lui, il vient de Hokkaido, il est donc habitué aux rhumes. Voilà.
Allez, monsieur lance-flammes, promis, j'écrirai un lemon Hororen, et des oneshot! Mais pas dans c't'histoire! (en fait j'ai fait un pari avec un copain: je te
jure que je suis cap de faire une fic shonen ai sans scène de fesses! Loupé. C'est + du yaoi ke du shounen ai. Enfin, chuis sûre ke c ce ke vous attendiez, hein?
Bande de petits fripounets)
Allez, bon anniversaire Renounet!
Bye à tous ceux qui m'ont lue!
Je referai une apparition, bientôt, très bientôt...avant monsieur le lance-flamme...LOL