Nouveau départ nouvelles offences
Ginny se leva et se rendit dans la grande salle où elle fut accueillie chaleureusement :
-Ho ! Bonjour Ginny !
-bonjour monsieur répondit-elle en souriant à son tour.
-Que de bonnes nouvelles ce matin !
-ha oui ?
J'ai été dérangé hier dans l'après midi concernant une affaire urgente, vous voyez de quoi je parle ? C'est Alexandro qui m'a prévenue, vous voyez de qui je veux parler ? Il m'a tout raconté et m'a supplié de prendre sa vie pour sauver la votre si c'était le seul moyen de vous sauver, noble geste d'autant qu'il l'a risqué en vous sortant de l'eau, il n'est pas si fautif que ça qu'en pensez vous.
-hum
-bref, vous étiez déjà à Ste mangouste en salle d'opération quand je suis passé vous voir. Ne pouvant rien faire pour l'instant, j'ai du retourner à mes autres obligations vous laissant entre les bonnes mains du professeur Diego. Vous me suivez ?
-oui monsieur
-il m'a rappelé tard plus tard, enfin, je veux dire qu'il m'a envoyé un message pensinitique si vous voyez ce que je veux dire.
Ginny acquiesça de la tête.
-me demandant de traiter avec les êtres de l'eau pour qu'ils vous soignent au plus vite avant votre totale transformation. Je n'ai pas pu quitter ce que j'étais en train de faire, vous comprendrez aisément que je ne puis partager cette occupation avec vous. Plus tard, j'ai reçut un autre message de sa part m'indiquant que vous l'aviez jeté et que vous aviez disparu dans Londres. Je lui ai demander de tout faire pour vous retrouver ; C'est ce qu'il a fait en vous attendant ici, il était sur que vous y reviendriez ; il avait d'autre part comme autre tâche de vous empêcher de faire quoi que ce soit avant mon arrivée. J'avoue que là, il a faillit, mais ne lui jetons pas la pierre pour si peu. Et voila la raison de ma bonne humeur, je revient après avoir menerà bien mon urgence première et le professeur m'annonce que vous êtes guérie, que je n'ai plus rien a faire pour vous ! Que de bonnes nouvelles non ? Tout ceci pour vous dire que jamais il ne vous a laissé tomber. Non, pas même quand cette femme lui a rendu visite. Je pense que vous devriez faire la paix et reprendre vos leçons là où vous les avez laissez, il m'a laissé entendre que vous progressiez vite ?
-j'avais plutôt l'impression du contraire.
-pardonnez lui ses offenses, il peut vous apprendre beaucoup.
-il me hait !
-À votre place je ne penserai pas cela, bien au contraire, je pense que votre petit jeu vous permet de bien progresser.
-vous m'autorisez a continuer la guerre ?
-on peut dire ça comme ça. Mais vous devez parler avant, vous dire ce que vous avez a vous dire pour que tout redevienne comme avant. Je vous laisse sourit-il a la salle. Ginny se retourna et vit le professeur Diego à la porte. Alors que Dumbledor quittait la salle, le professeur la rejoignait. Il s'assit à coté d'elle et la regarda. Il ouvrit la bouche pour lui dire quelque chose. Elle posa ses doits sur ses lèvres pour lui imposer le silence. Puis, troublée elle les retira :
-ne dites rien, je pense, contrairement a Dumbledor que ça ne sert a rien de ressasser le passer. Je n'oublierai pas, mais je ne reviendrai pas dessus. Il semble important à ses yeux que nous continuons les cours, je suis d'accord et vous ?
« Bien sur ! »
-bien sur.
Ginny sourit, comme soulagée.
-autre chose professeur...je suis désolée pour cette femme…
-laissez tomber
Elle espérait tellement qu'il allait lui en dire plus !
-encore une chose.
-ce que vous voulez
-votre âge.
Il rit :
-décidément vous ne changerez jamais ! Vous n'avez qu'à essayer de le découvrir.
Ginny se mit tout de suite à l'œuvre, sans aucun résultat. Cependant, elle vit l'image d'un jeune homme, son prof, celle qu'elle avait vu quelques jours plus tôt. Il était en train de souffler ses 19, 20,21 bougies. Elle sourit : entre 21 et 34, elle avait de la marge !
-alors ?
-rien
-vous avez encore beaucoup de chemina parcourir Lodeway !
-mais je progresse vite n'est-ce pas ?
J'ai dit çaà Dumbledor pour le rassurer, mais le plus gros resteà faire ! Vous les serpentards vous croyez toujours que tout est déjà acquis !
"Ça y est, ça recommençait, il n'avait pas pu rester gentil plus d'un quart d'heure."
-vous avez finit de lire votre livre ?
-mon quoi ? Mais je n'ai pas eu le temps !
-c'est bien ce que je vous reproche, vous auriez mieux fait de lire au lieu de faire de la décoration !
« Ne réagit pas ne réagit pas »
-et vous, c'est quoi vos hobbies ?
Il lui sourit de manière provocatrice ce qui voulait dire : cherche.
Elle allait s'y mettre quand les plats d'entrée apparurent. Elle sauta dessus sous l'air étonné de son prof :
-je meurs de faim s'excusa –telle.
Il l'a regarda : elle avait subit tellement de dures épreuves, mais elle s'était toujours relevée la tête haute, c'était vraiment un drôle de ptit bout de femme ! Il fallait qu'il continue a lui enseigner comme avant, sans faillir une nouvelle fois. Elle ne lui pardonnerait plus ses erreurs.
Ginny profita du moment d'égarement de son prof pour scruter sa pensée. Elle se concentra : allez, j'y suis presque ! elle venait de dépasser le numéro 34 et l'image de l'anniversaire, finalement, elle vit un des souvenirs du prof. Elle reconnu Arlette en pleur, elle se concentra plus fort pour essayer d'entendre ce qu'elle articulait : « jamais-regarder-ça-aime-pas » Ginny essaya de se concentre encore plus fort : « tu-m'a-regarder-comme-tu-aime-moi »
-vous êtes espiègle !
Ginny manque de s'étouffer avec un bout de salade.
« Ça ne veux rien dire ! »
-a moi maintenant, j'aimerai savoir comment vous avez réagit lorsque vous avez été esclave dans votre école.
-vous ne pourrez pas, je ne l'est jamais été mentit-elle effrontément.
-Vraiment ? C'est ce qu'on va voir !
Ginny se concentra fortement sur une image d'elle en maître, si il l'a découvrait en soubrette, il en était fini de sa réputation. Elle se concentra très fort : elle dans un trône, elle dans un trône, elle dans un trône.
-C'est pas mal, cependant, faite attention a donner un leur réaliste, je ne crois pas que les élèves étaient habillés comme au moyen age. Ginny changea l'environnement et se concentra fort dessus. Le prof éclata de rire :
-vous avez vraiment servit à boire dans cette tenue de soubrette ? Il avait du mal à s'empêcher de rire.
Ginny était profondément blessée, elle le détestait. Il l'avait vue assujettie comme elle ne l'avait jamais été dans sa vie, elle en eu honte, la colère contre son prof monta en elle, elle se concentra très fort sur une image de son prof ridiculisé, elle avait une telle envie de vengeance, curieusement, l'image lui vint très rapidement. Elle vit son prof en train de laver le sol avec sa brosse a dent ; le tout en sous vêtements militaire informe. Elle le regarda un éclair dans les yeux :
-je préfère servir des verres en petite tenue que de récurer les chiottes en sous vêtements de grand père avec ma brosse a dent !
Cependant, sa vengeance n'était pas assez forte, il l'avait vraiment rabaissé, et elle s'en sentait toute meurtrie. Elle quitta a table sans un mot. « Dans une demie heure, je sais ».
En arrivant dans la salle commune, elle repris du poil de la bête, il fallait que la salle soit finit avant ce soir ! Elle chercha tout d'abordà masquer une partie de la pierre sombre, elle fit apparaître devant des panneaux de bois ressemblantà du parquais qu'elle fixa. Elle en mis ici et là dans la salle ; Ça lui redonnait un peu de chaleur, celle qu'elle avait connu une fois en entrant dans la salle commune des gryfondors il y a deux ans. Après, elle s'occupa des fausses fenêtres et les habilla de grands rideaux violets, ça donnait un air chic ; sur la cheminée, elle disposa entre les lanternes des petits serpents en argent : pas mal…mais il manquait quelque chose… des coussins ! Elle en fit apparaître des verts sur presque tous les fauteuils. Ça y est, elle se sentait vraiment comme chez elle ! Elle s'assit près du feu et commença quelques pages de son bouquin quand elle entendit frapper à la porte de la salle commune. Elle alla ouvrir :
-Hagrid ! Elle le serra à la taille
-Ginny ! Je suis vraiment heureux que tu te souviennes de moi !
-comment aurai-je pu t'oublier ? Grâce à toi j'ai eu la plus grosse frousse de ma vie ! Comment va Aragorg ?
-bien bien ! C'est toi qui as décoré cette salle ?
-ça te plait ?
-un peu oui, elle n'a jamais été aussi belle ! N'est-ce pas professeur ?
