Devoirs
Le second jeta un sort qui déchira son pull et son tee-shirt d'un coup, tombant sur le sol. Ginny se cacha les seins. Le premier approcha d'elle et voulu lui caresser la poitrine, mais elle le frappa d'un coup de point qui le fit reculer :
-alors les gars ! Ca vous fait pas bander ? demanda le brun.
Le deuxième stupéfixa Ginny et vint à son tour la caresser :
-putain ! Je sais pas ce qu'il m'arrive, mais j'arrive pas à bander !
-moi non plus, elle est ensorcelée je te dis !
-moi j'ai la goal, si vous permettez, moi je vais prendre mon pied ! Déstupéfixe, la, quand elle s'énerve, ça m'excite !
Ginny se remis debout aussitôt qu'elle fut déstupéfixée. Un des gars lui fit glisser son pantalon sur les jambes et le troisième l'approcha. Il l'a cala contre le mur l'empêchant de bouger, Ginny repensa à Malfoy, et ferma les yeux pour essayer d'oublier ce qu'elle était en train de subir ; tout à coup le garçon recula et dis :
-je comprends pas, je bande plus, j'y arrive plus, en s'éloignant de Ginny, ça réapparut, il retenta sa chance en posant ses lèvres sur ses seins, mais le même phénomène se répéta ; Ginny aurait voulu rire :
-salle petite garce ! Tu t'es bien gardée de nous le dire !
Toujours stupéfixée, elle ne pu leur répondre mais n'en pensa pas moins: "ça vous servira de leçon ! Dorénavant vous saurez a qui vous vous en prenez ! Vous me faites pitié !"
Le brun avança vers elle et lui foutu une raclée de rage.Elle en tomba a terre, l'autre la déstupéfixa alors qu'il allait partir.Ginny en profita pour récupérer sa baguette :
-maintenant, vous allez souffrir !
La porte du vestiaire s'ouvrit d'un coup :
-ne fais pas ça Ginny , ce coup-ci ça ne marchera pas ! cria Draco
-il a raison, endoloris n'est pas digne de toi ! Tu les a assez punis en les rendant impuissants ! hurla Hemione comme si Ginny était sourde a ce qu'on lui disait.
-Je ne suis pas sûre qu'ils aient compris la leçon !
Un des septièmes années, celui qui allait partiractiva sa baguette et rhabilla Ginny :
-je suis désolé, je suis allé trop loin. Je te demande pardon, il serait injuste qu'en plus tu sois puni à notre place. Je ne dis pas cela seulement parce que j'ai peur. J'ai honte, j'irai me dénoncer à Dumbledor.
-moi aussi ajouta le deuxième ; Je veux bien être puni, mais pas viré, c'est l'année des Aspics pour nous, je ne veux pas être un clochard toute ma vie.
-bande de chochottes annonça le troisième, on sera mangemort pas clochard, Aspic ou pas ! Elle nous mène en bateau, elle n'osera jamais ! Si tu t'en sors maintenant, tu t'en sortiras pas la prochaine fois ! Je n'ai aucun remords !
-Ginny garde ton sang froid ! intima une nouvelle personne
Elle se retourna et vit son professeur de défense contre les forces du mal qui fut bientôt rejoint par Dumbledor. Elle baissa sa baguette.
-Je croyais pourtant vous avoir prévenus messieurs, dit Dumbledor, mais vous n'avez pas pris mes menaces en compte, c'est bien dommage pour vous !
Ginny, rentrez avec vos amis et votre professeur, j'ai à m'entretenir avec ces jeunes gens.
« Merci Hermione »
« Je suis désolé dit Draco, j'aurai tellement aimé que tu n'ai jamais à revivre ce qui est arrivé avec mon père ! »
« N'y pense plus tu veux ? Je vais bien, je vais même mieux dormir maintenant »
-Monsieur, que va-t-il leur arrivé ? demanda Hermione
-je ne sais pas, je suppose qu'ils vont être renvoyés,
Il ne faut pas les renvoyé affirma Ginny.
Tout le monde fut surpris et la regarda :
-Si ils sont renvoyés, ils rallieront les forces du mal.
- ils le feront tout de même après ! s'exclama Draco, comme nous !
- tu te trompe Draco, ça fait un moment que je voulais te le dire. Je n'ai jamais été dans ce camp, toi non plus, tu hais tout ce qu'il représente. C'est dur de se l'avouer, on perd tous ses repères mais c'est comme ça !
Draco réagit a peine :
-je m'en doutais pour toi, pour ma part, ça fait déjà un moment et je ne voulais pas que tu le découvres. Ton père, il est …
-aussi du bon coté, il est agent double
-mon père s'en doute
-je sais…
-On a encore une année pour les faire changer d'avis, ne les renvoyés pas professeur !
Et elle s'enfuit à toutes jambes. En pensant « rouge rouge rouge ». Elle se rendit dans la cabane de Hagrid :
-ou la la ! Tu en as prit un sale coup ! Viens que je te donne de la glace. Tu vas avoir un sacré bleu ! Qui t'a fait ça ?
-T'inquiet pas, on s'en occupe déjà.
-Alexandro est vraiment un gentil professeur de te protéger comme ça ! Je crois qu'il t'aime bien.
-C'est Dumbledor qui s'en occupe Hagrid, le professeur Diego ne s'occupe plus de moi depuis la rentrée.
-fini les leçons de pensimie ?
-Je crois oui, je n'ai pas eu de nouvelles.
-c'est bien dommage, il m'a dit que tu étais douée. Il n'a certainement pas le temps, c'est la rentrée, ça ira mieux après.
-hum. Hagrid ? Je peux resté ici cette nuit ?
-ben.. ;
-s'il te plait ! En pour je continue la décoration de la cabane. Je dormirai sur le canapé !
-quel canapé ?
D'un coup de baguette Ginny fit apparaître un canapé marron à l'air confortable.
-tu as gagné ;
Ils passèrent la soirée à discuter chiffon et décoration. Quand ils s'endormirent, la cabane ressemblait à une suite luxueuse d'un hôtel chic.
C'est la faim qui réveilla Ginny :
-ton estomac fait un sacré bruit !allons déjeuner.
-je peux pas, je dois faire un devoir, c'est pour ce matin.
Elle s'était souvenue du devoir de défense contre les forces du mal durant la nuit.
-je te rapporte un croissant alors !
-merci.
Ginny essaya de réfléchir au sujet de son devoir : une créature à l'air innocente qui ne l'est pas… quel sujet nul ! Quel prof nul ! Il n'avait pas su quoi lui dire la veille, et ce matin, il réagirait comme si rien ne s'était passé la faisant passer aux yeux des autres pour une idiote profonde ! Elle était en rage. Elle eu une idée pour son devoir :
Le gentil professeur
Le gentil professeur est une créature à l'aspect inoffensif, on le trouve dans les écoles. Généralement, il fait craquer les filles, elles sont en admiration devant lui le trouvant si mignon ! Il est aussi aimé par les garçons, il les impressionne par sa stature et son savoir. Ils rêvent tous de devenir comme lui. Enfin, il est aussi grandement apprécié des autres professeurs pour son savoir, sa puissance et le petit goût de jeunesse qu'il leur apporte.
Cependant, il peut s'avéré très dangereux pour les élèves qui se méfient de lui, (bien qu'il leur apprenne justement en cours qu'il faut se méfier de tout le monde) il les traitent plus bas que terre, les ridiculise devant les autres élèves et se débrouille pour en faire des têtes de turc afin que les idées de ces élèves ne puissent être entendues par les autres. Mais le pire, c'est que malgré tout, il réussit à faire en sorte que cet élève dépende de lui, et au moment ou celui-ci s'avoue vaincu et lui demande de l'aide, il le laisse tomber, le laisse se débrouiller seul.
Je conclurai en disant que cet être est encore plus dangereux quand il est maître en pensimie car l'élève ne peut pas lui échappé par la fuite, il le rattrape par la pensée le torturant encore plus. La seule solution pour s'en débarrasser est de faire subir une lobotomie à l'élève.
Hagrid revint dans la cabane :
-Ca y est ?tu as finit ? Je peux lire ?
Ginny lui prit le croissant des mains, lui fit une bise pour le remercier comme il s'était assis :
-Je peux pas, je suis déjà en retard !
Et elle partie.
Elle eu juste le temps de s'asseoir a coté de Néville avant que le prof arrive :
« En plein dans le mille » se dit Ginny, il ne lui avait même pas jeté un regard, il procédait comme si rien ne s'était passé. :
-je suppose que vous avez fait votre devoir ! Il bougea sa baguette et tous les devoirs arrivèrent à lui. Vingt points pour chaque personne qui vient parler de la créature qu'il a étudier !
Ginny regarda Hermione qui ne leva même pas le petit doigt, elle souriait béatement assise à coté de Draco qui lui aussi souriait. Néville, encouragé par la dernière fois leva la main. Ginny baissa la tête pour éviter le regard de son prof :
-venez Néville, on vous écoute
Il se leva, rejoint l'estrade et commença à parler :
-Le diablotin ressemble assez au lutin et à la fée. Il est de couleur brun foncé ou noir et mesure de quinze à vingt centimètres. Les diablotins vivent dans les terrains humides et les marécages et ont un sens de l'humour assez rudimentaire : ils s'amusent à pousser les promeneurs abusés par leur apparence de petit ange noir pour les faire tomber dans l'eau. Ils mangent de petits insectes…
Pendant que Néville parlait, le professeur parcourait les copies des élèves :
-bien, et que propose tu pour s'en débarrasser ? demanda-t-il d'un air de colère qu'il essayait de maîtriser.
A ce moment, Ginny su qu'il était tombé sur sa copie, elle allait avoir un zéro pointé, mais qu'est-ce que ça pouvait bien lui faire ? Même en faisant correctement le devoir, elle aurait eu un mauvais résultat.
-ben, de pas se promener dans les marécages.
-Néville, il y a des créatures maléfiques partout, on resterait cloîtré chez soi si on suivait vos conseils, donnez moi une autre idée :
-écouter ce que le prof de défense contre les forces du mal dit pour les reconnaître et les éviter.
Toute la classe se mit à rire :
-c'est une excellente idée Néville ! Vingt points pour Gryfondor. A qui le tour ?
Tout le monde leva la main sauf Ginny évidement. Si Néville y était arrivé, tout le monde le pouvait. Après avoir écouté toutes les descriptions des créatures, le prof leur donna un nouveau devoir plutôt spécial :
-voila, j'ai parlé avec votre professeur de métamorphose à propos de ce devoir, elle devrait vous donner un coup de main à son prochain cours. Il s'agit pour vous de fabriquer quelque chose à l'air inoffensif et d'y inclure un compteur dedans : prenez par exemple une tasse. Votre objectif est de la rendre l'a plus attrayante possible pour qu'un maximum de personnes boivent dedans. Votre chose ne doit pas lancer de sort, ni porter atteinte à son utilisateur. Cette expérience nous permettra de voir si les gens sont assez prudents et de constater quel type d'objet est le plus maléfique.
La fin du cours s'annonça et tout le monde rangea ses affaires dans une incroyable cohue, le devoir intéressait beaucoup les élèves.
« restez, j'ai vous parler ».
Ginny fit semblant de ne rien avoir entendu. Le remarquant, le prof la stupéfixa.
