10
Fin
-Bon, on va vous laisser.
Harry et Ginny partent, ils m'abandonnent au griffes des cette sorcière !
-Tu vas bien ?
-Oui, je crois !
-Je voulais…
-… Je sais, je dois te servir jusqu'à la fin de l'année. Qu'est-ce que je dois faire ?
-Euh…
Elle hésite, elle cherche un truc bien sadique !
-… Viens, suis-moi !
Je me lève, de toute manière je n'ai pas le choix, Mc Gonagall nous l'a bien précisé… Où elle me conduit ?
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On est dans la salle commune, il n'y a personne, une chance. Mais elle va maintenant ?
-Je ne peux pas monter dans le dortoir des filles !
-Si, si tu es avec une fille !
-Ha ?
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Elles ont exactement les mêmes chambres que nous, je m'attendais à quelque chose de mieux !
-Pourquoi on vient ici ?
-Je veux que tu ranges la chambre et après on discutera.
Je sors ma baguette, si ce n'est que ça !
-Sans magie !
-Quoi ?
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Ça y est, j'ai tout rangé, je pensais pas que les filles étaient aussi bordéliques !
-Voilà, ça sera tout ?
-Non, on doit parler !
-Vas-y je t'écoute !
-Tout d'abord, j'ai prévenu la directrice, j'ai renoncé à l'enjeu !
Ho, c'est bien ça, mais attend…
-ça… ça veut dire que je n'était pas obligé de ranger ta chambre… ?
-En effet, tu as fait ça sans obligation !
Elle m'a bien eu, en même temps, elle a refusé de me garder comme esclave, je lui devais bien ça, mais quand même…
-Et, je pensais que… que l'on pourrait mettre fin à cette guerre stupide ?
Hum… Je pense que c'est pas une mauvaise idée, mais je veux qu'elle me supplie !
-Je sais pas, avec tout ce que tu m'as fait !
-Mais enfin… C'est inutile, personne ne gagnera jamais…
-Tu dis ça parce que c'est toi qui m'as le plus humilié…
-Ron… S'il te plait, tu te souviens pas comme c'était bien quand on était amis ?
-Fff…
J'arrête pas d'y penser mais… j'ai bien envie de la faire poireauter encore un peu !
-Je t'en prie…
Voilà exactement ce que j'attendais, allez encore une fois…
-Ron, pitié…
-Bon… d'accord… c'est bon… on est à nouveau amis ?
-A défaut de mieux !
Qu'est-ce qu'elle a dit ? Elle me tend sa main, je la serre. Bon, je crois qu'il faut que je sorte de sa chambre, sinon…
-Je… j'y vais…
-Oui, si tu veux.
J'ouvre la porte, je sors et au moment de refermer j'entends :
-Ron…
-Oui ?
-Reste…
Enfin…
Vous me permettrez de vous laissez imaginer les instants magiques et d'une infinie douceur qui suivirent…Que de temps perdu…
………………………………………………FIN………………………………………………
