Chapitre 1 : Rencontre
Il était environ quatre heures du matin et Trowa ne dormait toujours pas. Son esprit était préocupé par tant de questions sans réponses. Il repensait à ce qu'il s'était passé depuis leur rencontre. Il se remémorait ce visage angélique et cette voix qui lui donnait des frissons à chaque fois qu'il l'entendait. Il avait déjà aimé auparavant mais il n'avait encore jamais ressentis ça pour personne. Depuis le jour où il était entré dans sa vie, il savait que ça ne serait pas comme avec les autres. Il l'aimait plus que tout et chaque instant passé en sa présence était un vrai bonheur.
Il aimait Heero mais ne savait si c'était réciproque, d'ailleur il en doutait dortement car Heero était fou amoureux de Relena. Chaque jour ils se promenaient main dans la main et Trowa assistait à cette scène qui le torturait au plus profond de son être sans rien pouvoir y faire. Lui, le jeune homme calme et réservé, amoureux de l'homme parfait. Au début, il s'était efforcé à le nier mais ses sentiments l'avaient emporté sur sa raison.
Trowa se retourna dans son lit, il observa le plafond de sa chambre en quête de pensées plus agréables, il finit enfin par s'endormir.
Trowa se réveilla après avoir dormi seulement deux ou trois heures, pour se rendre à son travail. Il se doucha et s'habilla en quatrième vitesse car il était déjà très en retard. Puis il prit une tasse de café et enfourra un croissant au beurre et sortit en trombe de son appartement.
Il arriva juste à l'heure pour la réunion des cadres de l'entreprise Chang. Il chercha une place à coté de ses collègues, il y en avait une a coté de Heero car Relena était assise sur les genoux ses genoux et il y en avait une au bout de la table. Il opta pour la deuxieme solution et s'assit.
La réunion débuta avec l'arrivée du patron de l'entreprise : Wufei Chang. Il félicita ses employés pour leur efficacité. Puis il se leva et prit Heero et Relena à part :
Mr Yui et Mlle Piececraft, vous avez été les meilleurs d'entre tous vos collègues présents, je tiens à vous récompenser comme il le faut : tout d'abord je vous offre trois semaines de vacances à Hawaï, ensuite une augmentation de…euh…combien gagniez vous jusqu'à présent ?
Euh…50 000 $ monsieur le directeur, répondit Heero.
Eh bien maintenant vous en gagnerez le double.
Nous ne savons comment vous remercier Mr Chang.
Voyons Relena ! Il n'y a vraiment pas de quoi, c'est grâce à vous que mon nom est connu dans le monde entier.
Le directeur fit savoir à l'ensemble des personnes présentes dans la salle que la réunion était terminée.
Attendez Monsieur, nous devions recevoir la visite d'un nouveau cadre pour notre entreprise, lui rappela son assitant.
Ah oui c'est vrai, mais là je n'ai vraiment pas le temps…demandez à Barton de le recevoir.
Bien monsieur.
Trowa se leva et se dirigea vers la sortie de la salle de réunion. A cet instant, il remarqua que Heero et Relena se trouvaient devant lui et discutaient avec le patron.
Oui Mr Chang, Relena et moi allons nous marrier.
Oh ! Mais c'est merveilleux !
Nous aimerions inviter toute l'entreprise à cette occasion.
Quelle bonne idée ! Quand cela aura-t-il lieu ?
Dans deux semaines.
Eh bien je serais ravi de venir.
Merci monsieur. A demain.
A demain.
Trowa se sentit défaillir. SON Heero allait se marrier avec cette…
Il rejoignit son bureau en titubant. Il ne pouvait se résoudre à croire ce qu'il venaitd'entendre. Quelqu'un frappa à la porte.
Entrez.
C'était Heero et Relena. Ils avançaient vers lui en se tenant par la main.
Trowa, tu sais quoi ? Nous allons nous marrier !
Ah…bon…euh…eh bien…félicitation…
Merci ! Nous avons quelque chose d'autre à t'annoncer.
Quoi ! Encore ! Ils ne lui avaient pas encore fait assez de mal ou quoi ?
Trowa, je suis enceinte !
Le choc fut si rude que des larmes commencèrent à couler sur ses joues, des larmes d'intense trsitesse mais aussi de colère car il avait une envie folle de se jeter sur Relena, qui allait mettre au monde l'enfant de SON Heero !
Trowa ?
Que se passe-t-il ? s'inquieta Heero.
Rien…je suis seulement si heureux pour vous…essaya-t-il d'articuler.
Je savais que tu étais un vrai ami, lui dit Relena en l'embrassant doucement sur la joue.
Trowa se retint ne sans peine, de lui saisir la gorge de la lui tordre. Il respira profondément et essaya de se calmer.
Trowa, nous aimerions que tu sois le témoin à notre mariage et que tu sois également le parain de notre enfant. Est-ce que tu acceptes ? demanda Heero, anxieu de la réponse.
Là c'était trop, Trowa fondit en larmes.
Regarde ce que tu as fais Heero ! Il a déjà eu assez d'émotion pour aujourd'hui. Regarde comme il est comblé de bonheur, commenta Relena.
Oh Trowa…
Il s'approcha lentement du jeune homme et l'entourra de ses bras. Trowa se sentit rougir, il sentit le torse de Heero se presser contre le sien. Il était si heureux, il avait rêvé de ce moment depuis si longtemps. Il ferma les yeux, il se sentait si bien dans ces bras forts et protecteurs…
Trowa ?
Il redescendit de son nuage en entendant la voix mielleuse et aigue de Relena.
Alors tu acceptes ? demanda Heero en se décollant de son collègue.
Oui…
C'est merveilleux ! s'écria Relena. Je te remercie du fond du cœur.
Pas besoin de tes remerciements, c'est seulement pour Heero que je fais ça, pensa Trowa.
Merci Trowa, lui dit Heero en passant sa main sur ses joues pour essuyer délicatement les larmes de son ami. Puis il se leva, le remerçia encore et quitta le bureau en prenant une Relena toute émue par la taille.
Lorsque la porte se referma Trowa se remémora la douceur de la voix de Heero, la chaleur de son corps contre le sien, la délicatesse de sa main sur ses joues…soudain le téléphone sonna.
Allo ? Trowa Barton à l'appareil.
Mr Barton, Mr le directeur vous demande si vous auriez l'extreme obligeance de recevoir un candidat pour une de nos places de cadre assistant ?
Eh bien, c'est-à-dire que …
Je savais que l'on pouvait compter sur vous, même si vous n'êtes qu'un cadre de troisième classe.
Mais je…
Il se présentera à l'accueil à 14h45 alors ne soyez pas en retard comme ce matin.
Mais je suis arrivé à l'heure !
Non ! Vous êtes arrivé largement après Mr Yui et sa future épouse !
Quoi !
Bonnne journée Barton !
Mais…
…
Trowa n'en croyait pas ses oreilles. Maintenant toute l'entreprise ne jurait que par le nouveau couple. De plus il n'avait vraiment pas envie de discuter pendant des heures avec ce futur employé. Il alluma son ordinateur et commença à écrire une lettre de démission juste au cas où, car il commençait à ne plus supporter ce boulot et les gens qui l'entouraient. Puis lorsqu'il eu terminé sa lettre, ce qui lui avait prit environ cinq minutes, il regarda sa montre. Il équarquilla les yeux en voyant qu'il était déjà 14h50. Ce stupide assistant du directeur avait fait exprès de l'appeler à la dernière minute, il en était certain. Il se dépêcha d'enfiler sa veste en jean et de prendre les clés de sa voiture. Il descendit les trentes étages à pied (l'ascenseur s'étant brusquement mis en panne pendant la pose de midi, comme par hasard…), lorsqu'il arriva enfin à l'accueil il était 15h10. Ne voyant personne il demanda à la jeune fille qui s'occupait de faire patienter les clients, si quelqu'un était venu pour un emploi dans l'entreprise.
Mr Trowa, vous êtes très en retard ! Vous savez que sans moi il serait parti depuis longtemps, minauda-t-elle.
Merci Marguerite de l'avoir retenu.
La jeune fille tendit sa joue gauche vers Trowa, celui-ci qui était occupé à chercher le postulent dans le hall d'entrée, ne la remarqua pas.
Mais où est-il ? Lui demanda Trowa. Je ne le vois guère.
Oh je l'ai conduit dans le bar du second étage, malgré sa réticence.
Bien, je vous remercie.
Il la quitta sans même lui accorder un regard. Marguerite se mit à bouder et envoya balader les clients qui se présentèrent en quête de renseignements.
Trowa monta au deuxième et entra dans le bar. Rien de particulier à signaler. Il ne vit aucun visage étranger et, alors qu'il allait repartir sermoner Marguerite, il remarqua qu'un jeune homme blond s'asseyait à la place du pianiste habituel et commençait à jouer un air mélodieux et agréable. Trowa se dirigea vers une des tables du fond et s'y installa pour écouter le jeune homme. Sa musique était douce. Trowa observa celui qui jouait au piano. Il était platine aux yeux bleus, sa peau était couleur perle, ses pommettes très légèrement rosées et ses lèvres ressemblaient à deux pétales de roses. Trowa ferma les yeux. Il s'imagina avec ce pianiste dansant sur un air créé par ce dernier. Il était entre ses bras, il s'y sentait aussi bien que dans ceux de Heero, mais c'était avec Heero qu'il dansait à présent, en effet le visage du pianiste s'était dissipé pour faire place à celui de son homme parfait. La musique s'arrêta lentement. Trowa rouvrit les yeux, rougissant légèrement. Il se leva et applaudit le pianiste. Celui-ci salua le public enthousiaste. Trowa se dirigea vers le jeune homme et lui demanda de le suivre. Ils sortirent tous deux du bar et se retrouvèrent dans le couloir.
- Je me présente : Trowa Barton.
- Enchanté, je suis Quatre Raberba Winner.
- Vous êtes là pour la place de cadre assistant, n'est-ce pas ?
- Effectivement.
- Veuillez me suivre.
Trowa l'enmena dans le hall d'entrée, qu'ils quittèrent sous le regard boudeur de Marguerite.
Où allons nous ? demanda Quatre
Au restaurant, je n'ai pas eu ma pause de midi alors je meurs de faim.
Quatre suivit le jeune homme sans prononcer un mot de plus. Ils arrivèrent à la voiture de Trowa, une alfa roméo 159 gris métallisé, et y montèrent. Trowa démarra et prit la route pour le « signe d'argent », son restaurant préféré.
Pendant le trajet, Quatre qui était assis aux côtés de Trowa tenta de faire le point sur la personnalité du jeune cadre. En fait il n'y avait pour l'instant que peut de choses à dire à ce sujet, la seule chose que Quatre avait remarqué c'était que le jeune homme semblait très professionnel. Les autres aspects, il devrait les découvrir un peu plus tard. Il le reagarda conduire.
Trowa était concentré sur la route. Il avait faim ce qui était étrange car d'habitude ce n'était jamais le cas. Soudain la scène de Heero et Relena entrant dans son bureau et lui annonçant qu'ils voulaient qu'il assiste à leur mariage et pire encore qu'il soit leur témoin et en plus le parrain de leur enfant. Ses yeux s'embuèrent, il retint un sanglot et respira profondément. Quatre qui l'observait depuis quelques minutes remarqua un léger changement dans l'expression de son visage, il s'était adoucit. Trowa vit que le pianiste le regardait.
Tu veux ma photo !
Pardon ?
Arrête de me fixer comme ça !
Je suis désolé, je…
C'est bon.
Trowa se défoulait ainsi sur le pauvre postulent pour essayer de dégager ses pensées du mariage et de l'enfant de Heero et de sa future épouse.
Quatre se tourna vers la vitre de son côté, décidemment ça n'était vraiment pas sa journée, sa fiancée était partie avec son meilleur ami et son père avait eu un accident de moto. Mais il essayait de ne pas y penser et avait espéré qu'il se ferait de nouveaux amis à qui se confier. Il était déjà mal parti avec ce jeune cadre mais en plus s'ils étaient tous comme ça dans l'entreprise où il espérait être embauché. Il commença à penser qu'il ne pourrait jamais payer les frais d'hopital ni le loyer de sa famille ni le sien. Des larmes commencèrent à couler sur ses joues, il s'empressa de se tourner encore plus sur le côté et fit mine de regarder le paysage. Lorsqu'ils arrivèrent, Quatre sècha rapidement ses larmes et recommença à sourir. Trowa qui était loin d'être aveugle remarqua que le jeune homme avait les yeux gonflés et le nez légèrement rougis, mais il se tût.
Ils entrèrent dans le restaurant et s'installèrent à une table libre.
Que désirez vous messieurs ? les questionna le garçon.
Que désirez vous M.Winner ? demanda Trowa.
Comment ?
Je vous invite, choisissez ce dont vous avez envie, peu importe le prix.
Bien, alors je vais prendre un gigot d'agneau aux légumes, une salade de fruit de mer et une dame blanche (glace chantilly, vanille le tout nimbé d'une couche de chocolat noir) et un verre d'eau.
Un verre d'eau ? apportez nous plutot un bordeaux. Pour ma part je prendrais un gigot d'agneau aux légumes comme monsieur, une salade de crudités et une glace à la noix de coco.
Le garçon s'éloigna avec la commande laissant les deux jeunes hommes en tête à tête.
Ils s'observèrent pendant un moment, puis gênés, ils détournèrent leurs regards vers les personnes qui les entouraient. Finalement, Trowa engagea la conversation sur le futur emploi de son jeune compagnon.
Bon, peut être faudrait-il commencer votre entretien d'embauche car c'est pour cela que nous sommes ici.
Bien.
Avez-vous votre CV ?
Oui, tenez, répondit Quatre en lui tendant un épais dossier.
Eh bien…vous en avez fait des choses !
Oui, répondit Quatre en regardant la table, gêné.
Voyons ce que nous avons là. Trowa parcourut les premières pages du curriculum vitea. Impressionnant ! Alors vous avez une grande expérience dans l'enseignement, dans la restauration, dans l'immobilier, dans le tourisme, dans la musique, dans la danse, dans le commerce, dans la sociologie, dans la médecine, dans la mécanique, dans l'informatique…eh bien je crois que votre admission dans cette entreprise est incontestable. D'ailleurs vous auriez pu directement accéder au poste de directeur. Le nôtre étant largement moins qualifié que vous. Pourquoi ne pas vous y présenter, vous auriez toutes vos chances.
Je suis désolé mais les postes qui ont pour but d'avoir uen centaine de personnes à mes ordres ne m'interressent pas.
Bien, comme vous voudrez.
Le serveur apporta les déjeuners qu'ils avaient commandés.
Bon appétit, Mr Winner.
Merci, à vous Mr Barton.
Ils mangèrent leur entrée en silence. Puis Quatre lui demanda :
Quel est votre poste dans l'entreprise Chang ?
Je suis cadre de troisième classe.
Votre métier vous plait ?
A vrai dire, au début j'étais enthousiaste de travailler dans une entreprise si réputée, mais ensuite j'ai perdu le goût de m'y rendre.
Pour quelle raison ?
C'est en partie à cause de mon patron et de mes collègues.
Vous avez eu des problèmes avec eux ? demanda Quatre.
En quelque sorte, répondit Trowa.
Que s'est-il passé ? le questionna Quatre de plus en plus curieux.
Eh bien il y a cette fille…oh et puis cela ne vous reagarde pas !
Je vois, se dit Quatre, il est amoureux d'une de ses collègues mais elle en aime un autre. Comme c'est beau ! Monsieur fait son timide.
On peut parler d'autre chose ?
Pourquoi ? vous pouvez tout me dire.
Et puis quoi encore ! s'énerva Trowa.
Je suis désolé, je pensais que je pourrai vous aidez, s'excusa Quatre.
Vous ne pouvez rien faire pour moi je suis un cas désespéré.
Je suis sûr que l'on peut quand même faire quelque chose pour que ça aille mieux.
Vous croyez ? demanda Trowa.
Absolument. Mais il faudrait que je connaisse la situation exacte dans laquelle vous vous trouvez.
C'est ça le problème, je n'ai pas envie d'en parler.
Pourquoi ? l'interrogea Quatre.
Parce que c'est trop personnel.
Vous êtes sûr que vous ne voulez pas en parler ?
Sûr.
Sûr ?
Arrête tu commences à m'énerver !
Je suis désolé, je voulais simplement vous aidez…
Eh bien si tu veux vraiment m'aider, arrêtes de me poser des questions débiles et tais toi.
Je…je…, je ne dirais plus rien…
En voila une bonne chose !
…, Quatre avait les larmes aux yeux. Je…je reviens, dit-il retenant des sanglots.
Il se leva et se dirigea vers les toilettes du restaurant enn marchant de plus en plus vite.
Enfin seul ! pensa Trowa. Qu'est ce qu'il m'embetait avec ses questions. Mais je me demande pourquoi il est parti si vite, j'ai bien remarqué qu'il avait les yeux brillants… Une grosse goûte de sueur perle sur sa tempe Mince ! Il n'est pas allé pleurer quand même…qu'est ce que j'ai fais ! …c'est pas vrai…
Trowa se leva et se dirigea à son tour vers les toilettes.
Pourquoi est-il aussi méchant ? Se demanda Quatre. Je voulais juste…
Il éclata en sanglots tombant à genoux.La porte de la pièce s'ouvrit mais le jeune homme ne le remarqua pas. Trowa vit Quatre sanglotant par terre, il semblait complètement démolit. Trowa s'approcha de lui et s'agenouilla à ses côtés. Il lui releva le menton avec ses doigts et le regarda dans les yeux. Quatre plongea ses yeux bleus dans le lagon vert. Trowa approcha sa main du visage du jeune homme et, en lui caressant doucement les joues, essuya les larmes qui coulaient sur celles-ci. Quatre était hypnotisé par l'homme qui se trouvait en face de lui, il voulait que cet instant dur toujours. Trowa commença à rapprocher son visage de celui du blondinet…
A cet instant un des serveurs du restaurant entra, Trowa se mit debout en un centième de seconde et aida Quatre à se relever en lui disant de faire plus attention en marchant car il aurait pû se faire très mal en glissant sur ce savon. Il fit remarquer au serveur qu'il pourrait faire un procès au restaurant mais qu'il n'avait pas le temps pour des efantillages. Le serveur confus, lui demanda de lui pardonner cette erreur et leur offrit le repas.
Quatre et Trowa sortirent des toilettes et rejoignirent leur table pour finir leur plat. Puis arrivèrent les desserts. Le reste du repas se déroula en silence.
« Je me sens tout bizarre…est-ce que ça aurait un rapport avec ce qu'il s'est passé dans les toilettes ? Et Trowa qui était si près…j'ai senti mon cœur faire un bond dans ma poitrine puis il s'est mis à battre si vite…qu'est-ce que Trowa avait en tête à ce moment-là ? Si seulement le serveur n'était pas entré à cet instant…pensa Quatre ».
