hey!

Me revoilà avec un autre chapitre! Cette fois je me sentais en forme pour écrire et c'est la raison pour laquelle ce chapitre est plus long que les précédents. ( ainsi que pour compenser le fait qu'il a prit beaucoup de temps a paraître ) J'espère qu'il vous plaira!.
Je suis désolée, mais on ne parles pas beaucoup de Harry - Ou Randy - dans ce chapitre. C'est plutôt tout le reste. Enfin c'est plus concentré sur le futur. Mais je prévois que le prochain chapitre sera concentré sur le passé.

Juste avant, répondons aux reviews!

behindblueeyes1117 : Je sais bien que tu m'as écris deux fois, mais si tu prends la peine de poster deux reviews, alors je vais prendre la peine de te répondre deux fois! Après tout, tu le mérite bien, tes reviews me font le plus grand bien! Au sujet de Drago, oui... tu chauffes... ;) Mais bon je ne confirme rien ( je dois avouer que la fin de la fanfiction n'est pas encore décidée alors tout peut chambouler nimporte quand) Pour tes fanfics de Buffy, je veux bien les lire! Jten donnerais des nouvelles::p

scubadoobiedoo1111: Hey c'est le fun de savoir que ma fic t'intrigue à se point! Lol. Bah le fait que Hermione ait tout a coup du charme... elle en a toujours eu! Tout simplement, avant, Drago ne l'interessait pas,.. lolz enfin je crois... Touka la! Au sujet du " balafr" je trouve juste ça beau comme mot lol. Et ah pour James et sa menace... et bien... je dis rien:D Lis donc la suite, elle de quoi d'intrigant! ( et oh tu me melanges parfois avec tes kestions lol ) - Mais sa veux pas dire d'arrêter d'en poser!

onarluca : Bah merci! Voilà la suite ;:P

La dette
Chapitre 8 : Confusion - Part II

La tension montait dans le petit local. Les préfets, installées autour d'une longue table circulaire, se dévisageaient du regard, voulant tous imposer férocement leur propre idée. Seul deux personnes étaient calmes, en dehors bien sure des responsables de chaque maison qui eux trouvaient très rigolo voir 24 élèves se chicaner pour quelque chose d'aussi ridicule qu'un bal! Mrs Chouave, n'en pouvant plus, intervint:

«- Hé voyons, voyons! Cette idée de bal de rentrée, on c'est dit que se serait sûrement une bonne manière de motiver les élèves en début d'année et, avec bien sure la permission du directeur, Krach, Mc. Gonagall, Augusta et moi-même avons décidé de mettre enfin ce projet en action! Pour cela, on a bien besoin de 24 petits élèves modèles! Mettez donc un peu du votre! Lâcha finalement Chouave avant de s'asseoir. Les élèves, silencieux pendant les répliques d'une directrice de maison, se retournèrent alors dans le but de continuer leur conversation, mais Mc. Gonagall se leva alors à son tour et personne n'osa plus bouger.

- Il est pour moi impossible de nier le fait que votre insolence me déçoit du plus haut point, dit-elle en détachant bien chacun de ses mots. Elle se tu quelques secondes, afin de menacer quelques élèves du regard, et continua. Normalement, après avoir vu à quel point nous avons ici des élèves ridiculement enfantins, j'aurais immédiatement annulé ce bal! Cette dernière réplique attira spontanément l'attention des rares élèves qui n'écoutaient pas. Le professeur continua sur son ton neutre mais menaçant :

- Cependant, soupira-t-elle, après avoir si longuement travailler sur les décorations et les préparatifs en l'honneur du bal, il serait très injuste de tout arrêter à cause de quelques élèves indiciplinés. Ainsi donc, le prochain qui osera produire le moindre SON quand la parole ne lui appartiendra pas sera imédiatement expulsé du projet. Me suis-je bien faite comprendre?»

Tout les élèves s'ajustèrent immédiatement afin de donner l'illusion de l'enfant sage toujours à l'écoute. Certains avancèrent leur chaise pour avoir l'air plus intéressé, d'autres s'assirent bien droit pour montrer de la discipline. En revanche, deux seuls élèves restèrent dans la même position : un ton neutre, sure d'eux. Le genre de visage qui veux exprimer : " nous on n'est pas concernés ". Ces deux élèves étaient bien sure le préfet et la préfète en chef. Enfin, quand le professeur Mc.Gonagall jugea que les élèves étaient assez calmes, elle se rassit élégamment et tourna son visage vers Krach, comme pour lui dire que la parole était à lui. Ce dernier comprit et se leva.
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«- D'une manière humaine, je vous pris, celui ou celle qui à une idée peut maintenant parler».
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Lily sourit et leva doucement la main.

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Deux jours avaient passées et Ronald et Hermione s'étaient mit muettement d'accord sur le fait d'ignorer le petit bec.

.Les journées se déroulaient normalement et Ronald avait commencé ses retenus pendant lesquelles il tenait si courageusement tête à Rogue. Ce dernier semblait si incroyablement fâché ces temps-derniers que Ron se demandait intérieurement si dans le passé Harry n'était pas en train de l'achever! D'une certaine manière, Ron le souhaitait, tout en effectuant les corvées les plus dégoûtantes. « Achève le moi avant qu'il m'achève, Harry... dépêches-toi...» Pensait-il avec forces tout les jours.
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C'était le lendemain d'une longue et pénible nuit de récurage que Ron se fit arrêté dans les couloirs par Mc. Gonagall. Elle lui fit signe de la suivre avant le déjeuner. Il la suivit aussitôt, n'ayant pas le courage de s'opposer à un tel professeur, même si son estomac protestait fortement. Elle le mena jusqu'à son bureau. Il s'y assit en même temps qu'elle et l'observa, essayant de détecté son expression. Elle semblait accablée. Pourquoi? Minerva observa le jeune Wesley tristement et commença..
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«- Écoutez, Ronald, dit-elle gravement. J'ai une petite proposition à vous faire... mais sachez que je comprendrais parfaitement si vous refusez... je ne vous oblige à rien...

- Et euh... de quoi s'agit-il, professeur? Demanda poliment Ron.

- Je suis bien évidement au courant à quel point vous et Potter étiez proches... en conséquence, il vous à sans doute annoncé... avant... sa... enfin bon... sa mort, il vous a sûrement confié son nouveau poste de capitaine de quidditch, ai-je raison?

-Je... je suis en effet au courant du fait que mon ami devait cette année être mon capitaine.

- Oui et il n'est malheureusement plus là. De plus, suite à votre formidable performance de l'année dernière, je pense que vous êtes probablement le plus qualifié pour ce poste en dehors de votre ami décédé. Ronald ne bougea pas.

- Professeur, dit-il doucement, êtes-vous en train de m'annoncer que je serais le nouveau capitaine de l'équipe?

- Enfin, Ron, je ne vous annonce rien du tout. Je vous PROPOSE. Je comprendrais en effet si vous trouvez trop abominable de prendre le poste de votre meilleur ami dans de telles circonstances... enfin, je ne sais pas trop ce qui se passe présentement dans votre tête... Je suis personnellement abominablement bouleversée pour votre ami et je trouve pitoyable de vous demander de prendre sa place ainsi mais enfin. Ronald, vous êtes celui qui pourrait le mieux assurer ce poste. Le choix est le votre, mais pensez bien. »

Le professeur se tut et observa Ron, le visage triste. Elle avait des larmes aux yeux et semblait terriblement peinée. Ron, en revanche, avait un visage neutre. Oui, bien évidement, il désirait ce poste. Mais comment faire pour l'accepter sans avoir l'air d'un sans coeur? Lui savait que son ami n'était pas mort et que là où il était, Harry serait très content pour lui, Ron. Mais personne ne savait cela. Pour les autres, s'il acceptait, ce serait comme accepter le poste d'un réel défunt en étant parfaitement conscience de ses actes. Harry était le meilleur ami qu'il n'avait jamais eu, et même s'il le savait vivant, Ron ne voulait pas que les autres pensent qu'il lui manque du respect... Mais ce poste! Il le voulait tellement! Comment l'accepter sans avoir l'air d'un sans coeur? Une idée frappa alors Ron..
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«- Professeur, dit-il, je comprends votre tristesse en mon égard et je vous assures que ça me touche. Mais voir quelqu'un d'autre prendre le poste de mon meilleur ami, je ne le supporterais pas et je suis certain que là où il est, Harry désirerait me voir à sa place bien plus que n'importe qui d'autre. Il est de mon devoir d'accepter ce poste, ne serait-ce que par respect pour mon ami!».
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Le professeur redressa sa tête et sourit fièrement à Ron. « Je vous comprends » Dit-elle. Elle se leva alors et fit signe à Ron d'en faire autant. Elle lui sera ensuite officiellement la main et le félicita pour son poste. Elle fini finalement par lui annoncer qu'il ne lui restait plus que 10 minutes pour manger, ce qui le fit précipitament dégueurpir..
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À sa sortie, le professeur Mc. Gonagall sourit, une larme aux yeux. Il se tenait droit, comme son ami. Wesley aussi endurait le pire. Comme tous. Tous étaient accablées par cette nouvelle....
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Une année sans Potter... elle allait l'aider à devenir aurore... c'était fini maintenant. Tout à cause de ce Fudge! S'attaquer ainsi à un jeune adolescent simplement parce qu'il avait vu des choses qu'on voulait pas qu'il voit! Pauvre Potter! Il avait enduré ça pendant toute une année... Passé trop d'épreuves pour son si jeune âge... Au moins, même mort jeune, on pouvais dire qu'il en avait accomplit, des choses..
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Mais une chose la traquassait : Comment n'avait-elle jamais sentit un signe suicidaire en lui? Il avait l'air si décidé à s'affirmer! Et une fois que c'est fait, il disparait.. On avouait enfin le retour de Voldemort et il s'en va... Avait-il en tête le suicide depuis longtemps? Attendait-il simplement d'entendre qu'il avait raison pour disparaître? Peut-être trouvait-il qu'il partait en laissant le monde en sécurité, mainteant que Fudge avouait... ou peut-être... non.. sans doûte... la mort de Sirius... NON... la mort de James et Lily. Voilà tout! Le simple fait d'avoir été orphelin lui a gâché la vie. Pauvre enfant. Vraiment.. pauvre de lui, pensait Mc Gonagall, triste...
Il voulait être aurore... Elle était prête à l'aider jusqu'à son dernier souffle..

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Satisfaite, Lily quitta les lieux la première, suivit de proche par Rémus. C'était fait! Le Bal aura lieu le 24 septembre! Elle avait en effet repoussée l'idée de faire un bal d'halloween, trouvant cela trop sombre, et elle fut appuyée sur le propos. Ce sera donc plus proche! Et ce sera en effet les filles qui choisirons! Rémus suppliait toujours Lily à ce propos.

« - Allez... arrêtes... qu'esce que tu veux? Je te donnes TOUT! Mais je t'en pris... enlèves cette idée.. c'est affeux! Comment tu veux qu'on restes là à attendre que quelqu'un nous invites? Et si personne ne vient.. on a l'air de quoi nous? Lily perdit son sourire et se retourna brutalement vers Rémus.

- HEY WOW! S'écria-t-elle. Je te ferais remarquer, LUPIN, que depuis trop longtemps, ce sont nous, les femmes, qui attendons comme des gourdes des invitations! J'en ai assez! Essayez donc l'expérience pour une fois! Cette fois, ON a le pouvoir! Et puis, c'est trop tard pour changer! Conclu-t-elle. ».
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Elle accelera alors le pas afin de s'éloigner le plus possible de Rémus qui lui ne bougea pas. Sans doute l'avait-il blessé dans sa manière de dire les choses? Habituellement, lui et Lily s'entendaient à merveille. Se sentant ridicule en plein milieu des couloirs, Rémus se mit à avancer doucement, essayant de trouver ce qu'il avait dit de si cruel....----------------------------------------------------------------------------------

.Harry en avait marre. Les journées passaient et il n'attendait plus que le moment où il pourrait enfin parler à Ron et Hermione. Ce moment, en revange, semblait prendre plaisir à ne pas arriver! Cela faisait si longtemps qu'il attendait... SIIIIIIIIIIIIIII longtemps! Il s'en pouvait tout simplement plus! Il en avait marre! Et ce vieux ballet graisseux vivant ( Rogue :P ) ne l'aidait surtout pas à supporter l'enfer qu'il vivait présentement. Haaaaaaa soupir..
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Randy Lenon... pensait rageusement Harry. Ce nom le dégoûtait de plus en plus... Il en avait marre... Jamais avant Harry ne c'était rendu compte à quel point il était quelqu'un de bien... jusqu'à ce qu'on l'oblige à être quelqu'un d'autre. Oui... Hélas... il donnerait n'importe quoi pour redevenir ce qu'il est et retourner dans son monde. Oui, n'importe quoi!.Fais ci, fais ça... c'est pour le monde, Harry... sauve le monde... tu es courageux... allez... vas-y... Harry... Et après on le félicitais pas, ne lui parlais pas et on l'envois dans le passé! C'est quoi la? Il était venu au monde pour accomplir tout les corvés de tout le monde en même temps? Il en avait marre! Celle-ci, c'était la pire des corvés qu'on aurait pu lui infligé! Loin de ses amis, dans une autre peau, entourné d'énemi et opposé à son propre père! Vous cherchez pire? Aller à un bal avec sa mère! BON! """ trouvez pire""!..

Convaincu que rien de pire ne pouvait plus lui arriver, Harry s'assit furieusement et se remplit un gros bol de soupe. Une pression soudaine à l'arrière de son crane lui enfonça le visage dans la soupe. Se débattant comme un petit chat sans défense, Harry poussa toutes les assiettes autour de lui qui tombèrent et se fracassèrent une à une. Il sentit alors la pression disparaître et il leva aussitôt la tête..
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La soupe dégoulinait tout le long de son corps et le froid soudain le fit trembler. Son premier questionnement fut de savoir qui lui avait fait cela, redoutant quelque peu la réponse. Les yeux vert ouvert tout gros, le visage plus blanc que neige, ferme, décidé, Randy avala lentement sa salive et tourna doucement la tête..
C'était en effet James, l'air fière, souriant, entouré de ses amis. Sirius souriait d'un air vengeur et Peter était tout simplement crampé. Le seul qui semblait trouver cette blague dépassé était Rémus. Harry sentit monter en lui une bouffée de gratitude envers son professeur préféré. Son regards s'attarda alors sur celui qui riait comme un hystérique : Peter. Plié en deux, le rat avait des larmes aux yeux. Randy fronça les soucils. Ce type le répugnait. Ouais rit... rit... ta vie sera bientôt gâché, je te le jures... Et.. d'ailleurs... pourquoi tu ris tant que ça?.

Harry se rendit alors compte à quel point il devait avoir l'air ridicule, la tête ainsi trempé dans la soupe. Balayant la salle du regard, il devina que la pluspart des élèves s'attendaient à voir une réaction de sa part, d'autant plus qu'il avait le physique menaçant..

Étant Harry, il aurait détourné le regard et au diable ce que penserons les autres. Mais il n'était PAS Harry. Il était Randy Lenon. Randy Lenon, lui, attachait beaucoup d'importances à ce que pensaient les autres puisque son but était de les intimider. Ainsi donc, Harry se leva doucement, dans le but d'agir en tant que Randy Lenon et non en tant qu'Harry.
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Il retourna dans la grande-salle. Une partie de lui était très content d'être capitaine, mais une autre partie, plus grosse, était énormément alerté. Si ce n'était que pour ne pas attirer l'attention, Ronald aurait couru le crier à Hermione. Le seul problème, c'était son estomac qui brûlait. 10 minutes... il n'aura jamais le temps de tout raconter à Hermione!.

Il s'assit précipitamment et se mit à manger rapidement. Il raconterait tout à Hermione plus tard, il ne pouvait pas maintenant. Pourtant, son coeur battait fort, ses méninges fonctionnaient plus qu'ils ne l'avaient jamais faits... il avait peur. Très peur. Quelque chose n'allait pas et c'était devenu évident. Et Hermione n'était même pas là!.
Avalant avec difficulté sa dernière bouché, Ronald se leva et quitta la Grande-salle au pas de course au son de la cloche. Le sac en bandoulière, le jeune rouquin montait quatre à quatre les marches afin d'arriver à temps à son cours de sortilège. Son coeur battait fort et son estomac commençait à lui faire mal : il n'avait pas prit le temps de bien digérer..
Essoufflé, le visage rouge, Ronald arriva enfin en face de la porte. À la seconde où il mit les pieds dans la salle de classe, la cloche sonna. Le jeune homme poussa un long soupir et se plia en deux afin de reprendre sa respiration. Il sentait que ses jambes étaient cloués au sol et n'avait pus aucune envie de bouger de sa place..

À contrecoeur, Ronald se releva et, la respiration saccadé, alla à sa place habituelle, à côté d'Hermionne. Cette dernière le questionna du regards mais il lui fit signe de ne pas s'inquiéter. Ils n'eurent guère le temps de parler car le professeur Flitwick venait de se lever et commença son cours théorique : il y en avait toujours 4 dans l'année et il fallait que ça tombe aujourd'hui!.

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Le silence était à son comble. Même le rat s'était tu. Tous avaient le visage tourné vers Randy. Certains semblaient craintifs pour lui, connaissant James, d'autres étaient justement curieux de voir ce que le nouveau aura à supporter et finalement, plus rares ceux là, avaient une lueur d'espoir en voyant quelqu'un se lever ainsi devant les maraudeurs et qui sait, leur tenir tête pour une fois..Sentant bien l'attention de tout le monde sur lui, Randy se tourna, repoussa doucement sa chaise et, le visage le plus neutre possible, se retourna vers son père. Il baissa sa tête quelques secondes, observa sa robe tâchée de soupe et la souleva, découvrant son torse musclé. Il jeta la robe sale sur le visage de James et sortit sa baguette, prêt à se battre..« - Tu trouves ça drôle attaquer de derrière? Murmura doucement Randy, d'une voix tendre, presque gentille. Il cligna mignonnement ses yeux verts en observant James qui jeta la robe par terre et le fixa. Randy était dégoûté.

-LÂCHE! Hurla-t-il alors. La pluspart des élèves sursautèrent à cette réplique si peu attendu. Randy avait subitement changé d'angle d'attaque. Il avait maintenant le visage fermé et faisait horriblement peur.

- On ne répond pas, c'est ça? Continua Randy avec la même voix douce. Peut-être n'avons-nous rien à dire? Parce qu'il semblerait que pour certains, c'est drôle pousser la tête de l'autre dans une soupe... Tu veux que je te le dise moi, ce qui est drôle? Randy parlait à nouveau tendrement et tout le monde avait peur qu'il ne se remette à crier. James le défia du regard mais ne répondit rien. Randy continua.

- Ce qui est drôle, dit-il doucement, un sourire sadique se formant sur ses lèvres, c'est de s'attaquer à quelqu'un sans même le connaître. Erreur, mon homme! Tu viens de te faire officiellement l'ennemi de Randy Lenon!

- Hé oh du calmes, répliqua doucement James. Harry sourit Il allait profiter de Randy pour transformer son idiot de père en quelqu'un de bien. Il allait faire de lui un homme en le mettant face à des situations très difficiles...

- Écoute-moi bien, Potter, fit alors Randy avec un ton beaucoup plus sérieux et beaucoup plus menaçant, tes blagues ridicules la, personne ne les aimes et je dois t'avouer franchement que tu me les casses déjà en moins d'une semaine alors t'arrêtes ça tout de suite! Rends-toi à l'évidence : Il y a plus fort que toi maintenant!»

Randy s'avança alors jusqu'à être à deux pouces de James. Il était plus long et son père du lever la tête pour le regarder dans les yeux. Randy fit un petit sourire satisfait et le poussa. James recula et se prit les pieds dans la robe de Randy avant de perdre l'équilibre et de tomber. Rouge de honte, James se débattit pendant quelques secondes et se releva enfin avec l'aide de Sirius qui observait Randy avec crainte. Ce dernier lança un regard glacial à Black et disparut. Doucement jusqu'à la porte, mais une fois hors de vue, se mit à courir.

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Faible, très faible, Drago se leva ce matin. Son dos lui faisait affreusement mal et il avait très froid. Cette maudite habitude de dormir sans chandail! Par terre, sur un sol glacé, ça causait des problèmes... Et puis sa gorge lui faisait mal, sans doute un début de grippe. Ahhhhh!.Même fatigué, Drago avait du charme. Ses cheveux à présent longs jusqu'aux épaules étaient d'une blondeur presque jaune et magnifiquement lisses. Ses yeux, bleu quand à eux, donnait l'illusion d'un océan infini, impénétrable, vaste... Son visage autrefois rouge et joufflue était cependant d'une pâleur inquiétante en ce jour. Sans son sourire arrogant, il avait atteint un maigre degrés de mysticité, ce qui lui donnait encore plus de charme..Par contre, s'il y avait une chose que Drago ignorait, en dehors du fait qu'il était si craquant, c'était à quel point sa cote de popularité avait baissée depuis la " mort " de Harry. Aucun Serpentard ne prenait plus en effet la peine de le saluer dans les couloirs et deux de septième eurent même le culot de le plaquer " par accident " au mur avec leurs épaules. Petit, Drago ne pouvait pas se défendre, mais une chance que Crabble et Goyle étaient... attends une minute... ils n'étaient pas là!.
.

Drago tourna la tête, ses yeux rouges vitreux observant le monde autour. Il ne voyait que de monde en train de s'esclaffer en le voyant démunit. Personne ne venait en avant, bombant le torse... Que se passait-il? Perdu, le jeune blond ramassa ses affaires et se releva. Il sentait son corps s'affaiblir et, n'ayant aucune envie de s'évanouir au plein milieu d'une gang de malades, il s'enfuit le plus vite possible sous les rires des Serpentards...
Enfin Seul! Il prit une longue inspiration et se dirigea vers la salle de bain la plus proche. Vide. Fiou! Déposant ses bouquins sur le comptoir, Drago ouvrit le robinet d'eau froide seulement et enfonça sa tête dans l'abreuvoir afin de se la mouiller complètement. Il sentait le froid le réveiller. L'énergie remontait en lui. Il se sentait bien! Relevant rapidement sa tête, ses cheveux longs mouillés éclaboussèrent tout ses vêtements. Il les " sécha" rapidement en les remuant un peu avec sa main. Au fait, ils étaient toujours aussi mouillés mais il s'en moquait..Reprenant ses livres, Drago sortit de la salle de bain, changé.

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Le cours venait enfin de se terminer! Soulagé, Ronald se leva et prit Hermione par le bras : « jdois te parler... » Fut les seuls mots qu'il prononça..Hermione, étonnée, le suivit sans rien dire. Elle avait en effet confiance en Ron et sentait qu'il était tendu. D'ailleurs, elle se doutait qu'il y avait un problème dans le comportement de son ami, et ce depuis qu'il avait fait éruption dans la classe en sueur..Ron la mena à travers une foule d'élèves jusqu'à un coin tranquille. Il la tira dans les toilettes de Mimi Geingendre et ferma vigoureusement la porte. Hermione l'observa et s'apprêtait à lui demander ce qui n'allait pas à ce point mais il lui mit aussitôt la main sur la bouche afin d'empêcher Hermione de parler. Cette dernière se tu et observa Ron pendant qu'il s'assurait qu'il n'y avait personne dans les cabines. Puis il se retourna vers Hermione..« - Écoute, c'est très important, dit-il doucement.

- Bon! Fit Hermione sans pouvoir s'en retenir, je vais ENFIN savoir ce qui ne vas pas!

- Shut... fit Ron. Je pouvais pas t'en parler n'importe où... Je... Mc Gonagall n'est pas au courant pour Harry, lachâ-t-il. Hermione ouvrit gros et plaqua sa main sur sa bouche. Puis, elle répondit:

- Tu en es sure?

- Certain! Je ne l'ai jamais vu aussi triste... elle allait s'effondrer en me parlant au déjeuner...

- Et pourquoi elle voulait te parler au déjeuner? Demanda Hermione avec un air menaçant.

- Pour mon nouveau poste de capitaine...

- CAPITAINE? Toi? Hurla Hermione. Mais c'est génial!

- Merci, balbutia Ron, mais moins fort s'il-te-plaix. Mais bon le but est de dire que si Mc. Gonagall sait pas, je ne vois pas pourquoi Dumbledore le dirait plus à Rogue qu'à elle... Hermione observa Ron.

- Mais on est certain que Rogue est bel et bien au courant... Et si c'est pas Dumbledore qui le lui à dit, qui est-ce? »

..

Les deux amis s'observèrent, tout les deux accablés et apeurés..

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Drago observait le tableau. Les lettres lui étaient floues. Il entendait vaguement Mrs Chouave donner son cours. Sentant tout énergie le quitter, Drago s'assouplit doucement....Il faisait noir. Drago marchait doucement chez lui. Il se retourva face à un miroir. C'était lui... à huit ans. Il était plus court, maigre, les cheveux plus blonds que jamais, et les yeux bleu flamboyants. Il s'observa quelques secondes et entendit alors un craquement. Il avait un mauvais présentiment, il sentait un froid étrange. Alarmé, le garçon se mit à descendre les étages à toute vitesse..Son coeur battait si vite... Il rata une marche, perdit l'équilibre. Il essaya de se ratraper en tenant la manche, mais ses mains étaient trop mointes. Elles glissèrent et il tomba. Il mit ses mains en avant afin d'éviter une chute sur le crane. Son genoux écrasa sa main droite. Il roula sur lui même jusqu'en bas des marches, le corps endoloris. Sa tête lui faisait mal. Il se releva tan bien que mal, sentant que c'était une question de vie ou de mort. Il se mit à courir à travers les vastes corridors, l'équilibre médiocre, se dirigeant vers le salon du Manoir Malfoy. Il approchait... plus proche encore....Sa jambe lui faisait très mal, il retomba par terre, face au salon. Un inconnu venait d'entrer chez eux. Il avançait vers son père. Son père lui cria quelque chose. L'homme se mit à rire cruellement et se retourna vers sa mère : Narcissa. Drago ouvrit grand les yeux, le coeur battant. Lucius s'élança vers l'homme en noir. Ce dernier le repoussa d'un coup de baguette. Drago vit son père atterir près de lui, un filet de sang coulant à l'arrière de son crâne. Drago sentit son coeur s'arrêter. Puis il entendit sa mère crier. Il se retourna vers elle.. Un éclair vert passa devant ses yeux. Sa mère tomba par terre. Les yeux brillant, Drago se releva, malgrès tout, et marcha vers sa mère. Il n'avait pas d'énergie. Il retomba. Ses yeux bleus fixaient sa mère qui devenait floue..Drago se mit à ramper de toute ses forces. Il rampait, vite... plus vite... Il approchait de sa mère, lui prit la main. Ils se regardèrent dans les yeux. Drago se baissa et la serra dans ses bras. Il sentait le grand coeur de sa mère battre contre le sien. Il sentant encore la chaleur maternelle. Puis la tiédeur... Puis ses bras se refermèrent sur du vide. Elle avait disparut..Le petit garçon sentit une larme couler sur sa joue, sa gorge lui faisait mal. Puis, il eut un frisson dans le dos. Quelqu'un était derrière lui. Drago se retourna rapidement et fixa l'homme en question avec une rage infinie dans les yeux. L'homme l'observa un bon moment et leva sa baguette. « Avada... ».« EXPELIARMUS! Hurla Lucius. » Drago fit une baguette revoler. Il vit l'homme en noir se retourner rapidement vers son propre père et s'élancer sur lui. Drago se tourna vers la baguette de l'homme qui avait tué sa mère. Elle était proche de la télévision. Il couru vers elle, boitant d'un pied. Il tomba, la baguette dans la main. Il observa son papa et le tueur. Ils se battaient. Une chance que son père lui avait apprit le sortillège du Portoloin. « Tu pourrais te trouver en situation de vie ou de mort beaucoup plus tôt que tu ne le crois, Dray» Lui avait-il dit..
. Drago tourna sur lui-même, cherchant un objet. Il devait faire vite. L'homme était très fort et son père était déjà gravement blessé. Ses yeux se posèrent alors sur le foulard que sa mère lui avait tricoté pour l'école. Il la prit avec ses mains moites et prononça le sortilège du Portoloin, pensant à 10 secondes et... le lieu... il ne savait pas où.. Un flash lui vient alors en tête. Un château. Un gros château avec des tourelles. « Hogward » était écrit sur le château. Ok... pensa Drago. Allons-y pour le château... Il se releva sur sa jambe qui lui faisait mal. Prit le bout du foulard et se tourna vers son père. Plus que 5 secondes... PAPAAAAAAA cria-t-il, lui lançant le bout du foulard. Son père le vit et s'élança à son tour... 2... 1....« NOOOOOOOOOOOOOOO » Cria un homme. Drago sentit une secousse. Il ouvrit ses yeux malgrès toute la fatigue. Son père était là. Le petit coeur du jeune Malfoy se calma un peu. Il observa son père ensanglanté et revit le visage remplit d'amour de sa mère, au moment où il l'avait serré dans ses bras.....
.

« DRAGO! DRAGO! ».
Quelqu'un le secouait. Il ouvrit les yeux. Il était par terre. Étourdis. On l'aida à se relever. Drago s'appuya au corps de la personne qui l'aidait. Une fois debout, il se força à garder ses yeux ouverts et vit que la personne qui venait de l'aider était Hermione. Il l'observa avec étonnement et cette dernière fronça les sourcils et se contenta de dire « Me refais plus jamais ça! » Puis la cloche sonna. Drago observa Hermione avec un air ébahis mais elle s'était retourné et disparaissait.
.Drago prit ses livres et s'apprêta à quitter la serre à son tour mais quelqu'un le bouscula. Dans un état si fragile, il ne put se tenir debout et tomba, échappant tout ses livres. C'est alors que Pansy, Crabble et Goyle passèrent devant lui, hilares. Drago se releva, faible, tremblant. Il se passait quelque chose de pas normal, cette fois, il en était certain. Et la première chose qu'il voulait maintenant vérifier, c'était si sa mère était toujours vivante. Le petit blond eut un pincement au coeur rien qu'à cette pensée...
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Harry marchait rapidement dans les couloirs, vide. Il venait de terriblement menacer son propre père! Le pire, c'était qu'il pensait sérieusement chaque mot qu'il avait prononcé! Le nouveau serpentard était vraiment confus. Les menaces qu'il avait fait lui semblaient si naturel... alors, détester son père, c'était naturel? Depuis qu'il l'avait vu, en cinquième, Harry avait déjà commencé a douter de son père, il avait déjà commencé à avoir honte de son père... C'EST À LA MODE OU QUOI, DÉTESTER SON PÈRE? Sirius déteste le sien, Voldemort aussi, Barty Crupton aussi... et Harry aussi....Mais no... Harry détestait-il son père autant que Sirius, Crupton ou Voldemort? Franchement, il ne le savait pas. Tout ce qu'il savait, c'était que ce James Potter adolescent, Harry le détestait! Mais Rémus et Sirius n'avaient-ils pas dit qu'il avait fini par évoluer? Et peut-être que cette évolution, c'était lui qui alait la causer?.Pourquoi on ne lui avait jamais raconté sa présence ( Randy Lenon) dans le passé? Rémus et Sirius devaient le savoir, non? Peut-être qu'ils n'avaient pas eu le temps? La seule fois que Harry avait parlé de James avec Rémus et Sirius, c'était avant la mort de ce dernier... Le jeune garçon sentit sa gorge se nouer à la pensée de la mort de son parrain. Il devait oublier ça, c'était du passé, terminé!.Une seule chose tracassait encore Harry: la maudite boule d'Hermione qui ne lui brûla pas lorsqu'il fit des grosses menaces à son père.

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..
Le coeur battant, les yeux mi-fermés par la fatigue, Drago achevait d'écrire sa lettre. Sa main gauche, tenant la lampe, tremblait, et le vaisseau lumineux qui en dégageait n'était pas fixe. De son autre main, Drago écrivait doucement, pensant à chaque mot qu'il introduisait dans sa lettre qu'il allait envoyer à son père. Il n'en pouvait plus, il devait tout savoir... Posant sa plume, Drago rapprocha la lettre à la lampe et se mit à relire ce qu'il avait écrit :

" - Très cher père,
Il y a longtemps que je n'ai pas reçu de tes nouvelles, quoi de neuf au travail? Tes bonbons étaient aussi délicieux que d'habitude, mais rien ne battra jamais le bon goût des pâtés de maman. J'aurais bien aimé pouvoir en manger présentement... À l'école, tout se passe bien, mais j'ai du mal à m'adapter aux limites restreintes du bâtiment. C'est pas comme au manoir... Peu importe, j'attends de tes nouvelles.
Embrasse fort maman pour moi,
Draco. ".Un coup de vent fit redresser les cheveux de Drago qui sourit. Le vent nocturne lui faisait le plus grand bien. Il se retourna vers sa lettre. Oui, c'était bien. Dans sa lettre, il ne laissait pas vraiment paraître s'il considérait sa mère vivante ou pas. C'était parfait. Et puis, si son père pourra répondre, sa va signifier qu'il n'est plus en tôle! Oui, cette lettre, c'était la meilleure idée qu'il aurait pu avoir..Le jeune blond se retourna vers son grand duc et attacha sa lettre à sa patte. Une chose soulageait Drago, son cher Lintu n'avait pas encore disparu dans cet univers étrange. Il lui caressa tendrement la tête et laissa l'oiseau s'envoler. Il ne lui restait plus qu'à espérer que son père lui donnera les réponses à ses questions dans sa lettre futuriste et puis, et ce, Drago le désirait plus que tout au monde, il espérait que son père lui affirmerait définitivement que sa mère était toujours vivante..
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FIN DU CHAPITRE HUIT!

Désolé pour le retard mais j'était sincèrement débordée. Je fais de mon possible et je n'abandonnerais pas l'histoire, promis! Patience pour la suite, c'est tout!

C'est assez concentré sur le futur, non? Ou peut-être je n'ai pas rapport... En tout cas, le bal s'en vient... et l'action va commencer!

Ok, alors c'est tout la, ciaoooo XxxxX ( merci de lire)

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Joline