Suite!

La Dette
Chapitre 14 : Terrier

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Harry resta là, à observer les mangemorts. Il était victime d'un blanc totale. Il n'était incapable de penser, de trouver une solution. N'importe laquelle... Il entendit Mrs Malfoy faire un petit cri et rester muette. Randy leva ses yeux verts vers les hommes en cagoules. Il allait garder son air défiant, comme l'aurait fait son père.

« - Tiens tiens tiens... fit alors une voix. Les mangemorts se poussèrent pour laisser passer Voldemort. Ce dernier se planta devant Randy, a quelques mètres, et l'observa avec un gros sourire.

- Tu ne sais pas à quel point je suis heureux de te revoir. On n'a même pas eu le temps de faire connaissance... dit-il. Je suis Lord Voldemort, aussi appelé Le seigneur des Ténèbres, rigola-t-il. Et toi?

- Oh, enchanté, Voldemort. Moi, je suis Randy Lenon, et si ça ne vous dérange pas, je vais vous appeler Tommy. Puis il tendis sa main pour serrer celle de Voldy. Voldemort serra sa main, non sans essayer de lui écrases les phalanges. Randy garda le sourire.

- Que me vaux l'honneur de votre visite? Demanda Randy.

- Oh rien de spécial, dit Voldemort. On va juste noyer un chat désobéissant. D'ailleurs, où est-il passé? Harry se retourna pour s'apercevoir que Lucius avait disparut. Soulagé, il se retourna vers Tommy.

- Vous l'avez raté, on dirait, sourit-il. Et bien... la prochaine fois peut-être. Ne vous excuser pas pour la perturbation que vous nous avez peut-être causé, c'est correct. Mais la prochaine fois, appelez-nous avant, juste pour nous avertir. On n'a même pas eu le temps de vous préparer du soda et des biscuits... Voldemort fronça les sourcils.

- Non mais pour qui tu me prend, le débutant? se fâcha-t-il. Il sortit sa baguette. Et bien, tan pis, n'es-ce pas? On va noyer un autre chat. Randy sourit.

- Tu t'attaques à un tigre là... puis il sortit également sa baguette. Les mangemorts s'avancèrent alors. Randy se trompait légèrement, ils n'étaient pas une centaine, mais bien deux. Le jeune homme fléchit les jambes, jetant des regards ici et là, pour s'assurer de ne pas être attaqué par derrière. « Bravo, se dit-il, et maintenant? »

- ACCROCHES TOI! S'écria alors une voix. Harry se retourna aussitôt et vit Lucius, sur son éclair de feu, les valises suspendus derrière l'engin. Les yeux de Randy brillèrent. Ils étaient sauvés. Rapidement, son ami descendit jusqu'à deux mètres du sol. Randy sauta aussitôt et attrapa un bout du ballet. Lucius fit demi tour et retourna dans la demeure. Harry força les bras et, avec un effort colossal, parvint enfin à monter sur le ballet. Son premier réflexe fut de regarder derrière lui. Les mangemorts couraient, mais étaient loin derrière. Qui pourrait se mesurer, à pied, à l'éclair de feu? Randy sourit. »

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Au terrier, Draco tournait toujours en cercle dans la chambre. Hermione se rongeait les ongles, et Ron restait muet. Tous étaient paniqués à leurs manières.

« - S'il avait échoué, dit soudainement Draco, j'aurais disparu, non?

- Mais peut-être qu'il se bat encore, dit Hermione. Draco semblait extrêmement tendu.

- On fais quoi, on attends? Demanda Ronald.

- Je ne vois pas d'autre solution, dit Hermione, jetant un regard craintif vers Draco. Il soupira.

- C'est vrai. Je suis en danger de mort, mais je ne peu qu'attendre. Et espérer. Puis il se laissa tomber sur le lit de Ron. Hermione se força à s'asseoir sur la chaise à côté. Ron, lui, resta debout. Il n'aurait jamais cru s'inquiéter tan pour Draco. »

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Randy s'accrocha à Lucius, sentant le vent lui pénétrer le corps. Son ballet venait de les sauver!

« - Bravo pour l'idée, dit Randy.

- C'est pas moi, répondit son ami, c'est ma mère. Puis il tourna le ballet et ils sortirent par le fenêtre du salon. Il monta alors l'engin dans les airs, le plus haut possible, afin que les coups de feu des mangemorts de les atteignent pas.

- Rappel moi de la remercier. Lucius sourit.

- Ton ballet est anormalement rapide. On dirait une fusée, dit-il. Il n'est pas brisé?

- Oh, no no, répondit Randy. Il peu aller plus vite aussi, si tu forces...

- Ça va aller, merci, dit aussitôt Lucius. Mais c'est quand même la rapidité de ton truc qui nous a sauvé. Tu l'a acheté où?

- Un magasin grec, dit aussitôt Randy. On me l'a fait sur demande. A ce moment, Harry se rendit compte que dans ce temps, les comètes étaient quasiment des fusées... son éclair de feu devait donc être exquis. Ils ne les rattraperons pas, se dit Harry. Il n'y avait aucun engin dans ce temps qui puisse arriver à la cheville de son ballet, et il est impossible de transplaner jusqu'à Hogward...

- Je devrais m'en faire construire un aussi, rigola Lucius.

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La nuit était tombée. Dans le dortoir des Griffondors, Peter se tortillait, hurlait. James ne pouvait dormir dans ce vacarme. Éveillé, il observait son ami hurler de douleur. Il tenait son bras droit comme s'il lui faisait mal. Puis, soudainement, il se tu. Il se rendormit. Les yeux en bués, James observa vaguement Peter et se rendormit à son tour.

Il marchait dans un sentier. Tout était calme. Les feuilles bougeaient légèrement en raison de la douce brise qui soufflait. James sifflotait dans sa route. Il était très joyeux. Puis, au loin, il aperçut une silhouette assise sur un rocher. Lentement, il s'approcha de la silhouette féminine. La jeune fille leva ses yeux verts. C'était Lily. James lui sourit et lui offrit sa main. Elle le suivit à travers le sentier. Ils riaient ensembles, puis elle l'embrassa. « Il faut profiter de nos moments ensembles, dit-elle. » James lui sourit et s'approcha d'elle quand elle se mit a hurler. Le jeune griffondor se retourna et vit, sortir du sol, un énorme homme au visage inconnu. Il hurla fortement, s'empara de Lily, et disparu. James resta là, à hurler le nom de Lily, mais elle avait disparu. Puis il tomba.

« - James? Fit doucement quelqu'un. James sentit de petites tapes sur les joues. James... répéta l'homme. Puis les tapes se firent plus forts.

- Aïe... aïe... dit-il.

- Bon! Dit Sirius. Ça va? Tu avais l'air traumatisé... as-tu rêvé de la mort de Lily, ou quoi? James ouvrit les yeux et observa Sirius avec crainte. Dans son sommeil, il était tombé hors de son lit.

- Quelqu'un est venu, et il me la prit des mains, dit doucement James. On venait tout juste de s'aimer, d'être ensembles pour la première fois depuis si longtemps, et déjà, on me la volé, dit-il d'une voix tremblante. Lupin hocha la tête.

- C'est mauvais, dit-il. Ça veux dire que votre avenir ensemble sera court. Puis quelque chose ou quelqu'un va vous séparer. Contre votre grès. James était toujours tremblant. Sirius se leva et poussa Lupin.

- Arrête tes conneries, ce n'est qu'un rêve. Puis il tira James jusqu'à le mettre debout. T'as besoin d'un bon déjeuné, dit-il. James cligna des yeux.

- Juste un rêve... oui, tu as raison... son regard se tourna alors vers Peter. Il l'avait vu... crier... sa main... le bras... était-ce aussi un rêve? Un frisson parcourut le corps de James. Il devait reprendre des forces. Il se laissa traîner par son ami. »

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Randy et Lucius volaient toujours. Lucius avait proposé de prendre une pause pour la nuit, mais Randy avait refusé. Il prétendait être incapable de dormir la nuit sachant qu'ils n'étaient pas en sécurité entre les quatre murs du château, ce qui n'était pas faux. Cependant, ils avaient échangés les rôles et Randy était le maintenant le conducteur. Connaissant mieux que Lucius les fonctions de son ballet, il le fit aller à la vitesse extrême afin qu'ils arrivent au château le plus vite possible. Tout deux étaient très fatigués. Mais l'émotion et la crainte chassait tout sommeil.

Le ciel était d'un noir d'encre. Harry alluma la lampe de poche intégré afin de voir où il allait. Il poussa alors un long bâillement. Ils entendaient les hululement des hiboux et les petits cri des criquets. Il s'agissait d'une nuit calme. Puis, enfin, Harry reconnu le paysage entourant Hogward. Ils étaient entré dans l'enceinte, ils étaient définitivement en sécurité. Le coeur léger, Randy ralentit son ballet. Dès qu'ils allaient mettre les pieds dans le collège, Harry se promit de s'enfermer dans une toilette et de tout raconter à Draco.

« - On a réussi, dit une voix ensommeillée. Randy se retourna vers Lucius, souriant.

- Ouais, dit-il. Lucius souriait aussi. Le vent d'hivers faisait voler les cheveux des deux amis dans la nuit glaciale. Tout deux avaient le coeur léger.

- Randy? Dit alors Lucky.

- Oui?

- Comment tu as deviné?

- ...

- Je veux dire, comment a tu su que mon père s'en venait.

- Un... ami, m'a avertis, répondit Randy. Il ne pu retenir un petit rire en pensant à la vraie réponse. " Ton fils futuriste m'as avertis grâce aux informations que tu va un jour lui donner " »

Puis, doucement, le ballet atterrit et les deux amis entrèrent au château. « Back Home » pensa Harry. Décidément, dans n'importe quelle époque, ce château allait toujours rester son endroit préféré.

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La nuit était tombée. Dans son lit, Draco ne cessait de se débattre, les yeux grands ouverts, le coeur battant. À chaque deux minutes, il jetait un coup d'oeil à ses mains, pour s'assurer qu'il était bien vivant. Hermione ne dormait pas plus. Elle passait très fréquemment dans la chambre de Ron pour, supposément, dire à Draco de dormir. Mais ce dernier avait comprit qu'elle ne venait que pour s'assurer qu'il était bien vivant.

Ron, de son côté, était immobile. Il voyait Draco regarder ses mains à chaque minutes, il voyait aussi Hermione se promener dans le couloir, prétendant dormir et venir vérifier que Draco en faisait autant. Tout deux devaient penser que lui, dormait. Les yeux grands ouverts, il fixait un point au plafond. Il ne ressentait aucune envie de dormir. Au fait, il voulait allait faire un tour de ballet, pour se calmer. Lentement, il se retourna et observa Draco. Ce dernier fixait lui aussi un point au plafond. Tout deux étaient mort d'inquiétude, mais ils ne pouvaient qu'attendre.

« - HARRY APPELLE! Hurla alors Hermione, entrant en trombe dans la chambre. Les deux garçons se redressèrent aussitôt.

- Vite, répond, dit alors Draco. Il sauta hors du lit et s'approcha du miroir. Ron les observait, incapable de bouger ou parler. »

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Après avoir porté leurs affaires dans le dortoir des Serpentards, Harry se coucha sur son lit, tout comme Lucius. Il attendit que son ami s'endorme, chose qui ne prit pas plus de cinq minutes, en raison de l'heure assez tardive et des forces qu'ils durent dépenser pour arriver jusque là. Puis, luttant contre la volonté de lui aussi s'endormir, Harry se leva et sortit de la salle commune. Il devait aller dans une salle de bain, il devait avertir ses amis.

Lentement, il marchait dans les couloirs silencieux du collège. Enfin, il arriva en face d'une salle de bain. Il y entra, veillant à bien fermer la porte sans faire de bruit, puis il sortit son miroir.

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« - Harry, dit aussitôt Draco. Harry... que se passe-t-il? Où êtes-vous? Où est-il?

- Ça va, Dray, t'inquiète pas. On a réussi. On les a échappé. Présentement, nous sommes de retour à Hogward, la seule place sécuritaire. Ton père dors. Moi aussi, je suis très fatigué, mais j'ai voulu tout d'abord vous avertir que tout est réglé. À l'entente de ces mots, Dray sentit un énorme poids quitter son estomac.

- Comment as tu fais pour échapper? Voldemort n'est pas arrivé?

- Si. J'ai fais diversion et ton père a préparé notre fuite. On s'est sauvé sur mon éclair de feu. Disons que, si dans votre temps, le ballet est rapide, imaginez un peu dans le temps des comètes. Draco ne pu s'empêcher de rire. Il avait les yeux tout rouges.

- Bon, allez dormir. Vous avez l'air très paniqués. Ne me dites pas que vous pensiez que j'allais laisser Lucius mourir! Hermione sourit.

- Tu n'avais pas l'air très confiant non plus, quand tu as appris ce que tu devais faire, le taquina-t-elle.

- Je ne suis qu'un gamin de seize ans, rougit Harry. J'ai le droit d'avoir peur, comme vous tous.

- En effet, confirma Dray.

- Je n'ai jamais demandé tout ça, continua Harry. Comme j'aurai aimé être avec vous présentement...

- Je pense exactement à la même chose, répondit Draco.

- Tout est réglé? Dit alors Ron pour la première fois cette nuit. Hermione sursauta, pensant qu'il dormait, puis hocha la tête.

- On devrait dormir, dit-il alors. Draco approuva.

- Bonne Nuit, dit Harry.

- Harry? Dit alors Dray, avant fermer le miroir. Ce dernier leva les yeux vers lui.

- Merci. Énormément. Harry sourit.

- On a fais équipe, dit-il. Sans toi, je n'aurai pas été avertis. »

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Le lendemain, Randy et Lucius se levèrent très tardivement. Lorsque Lucius jeta un coup d'oeil à sa montre, il se rendit compte qu'il était deux heures de l'après midi. C'était quelque peu explicable, puisqu'ils étaient arrivés au collège tôt le matin. Le dortoir était donc entièrement vide, tout comme la salle commune. Randy avait cru bon d'avertir le personnel qu'ils étaient revenus passer les vacances au collège. Ils décidèrent donc de passer voir Dumbledore.

« - Je me demande qui est resté au collège a part nous, dit Lucius entre deux bâillements.

- Qui a l'habitude de rester, à chaque année? Demanda Harry.

- Franchement, aucune idée. Je ne suis jamais resté pour le savoir, dit-il. »

Ils arrivèrent en face de la gargouille qui s'ouvrit par elle-même. Sans trop se poser de questions, les deux amis montèrent les marches et arrivèrent en face du bureau. « Entrez, dit une voix. » Les deux serpentards entrèrent dans le bureau et s'assirent en face du directeur.

« - Lucius, Randy? Dit Dumby avec étonnement. J'ai cru que vous n'étiez pas au château... il sortit alors la liste des élèves qui avaient signés comme restant au château.

- Inutile, professeur, dit alors Randy. Nous n'étions pas au château. Nous sommes arrivés ce matin. Dumby leva les yeux vers Harry, attendant des explications. Ce dernier les donna. Il raconta tout.

- Si je comprend bien, récapitula Dumby à la fin du récit, Catleya Black t'a aidé à t'enfuir?

- Oui, répondit tout simplement Draco. Catleya était sa mère.

- Et vous l'avez laissé au manoir avec ton père? S'offusqua Dumby. Mais elle est en grave danger! Sortez, sortez vite, je dois la sauver. Presque aussitôt, il poussa les deux garçons hors du bureau. Avant de fermer la porte derrière lui, Harry vit Dumby se retourner vers Fumseck. Il allait avertir l'ordre... »

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Dans la grande salle, les maraudeurs dînaient tranquillement avec les deux autres filles. James avait un regard plutôt absent. Son cauchemar l'avait violemment secoué. Quand à l'analyse de Lupin... Sirius posa sa main sur l'épaule de son ami. James se tourna vers lui.

« - Ne me dis pas que tu penses encore à ton rêve.

- Un peu... avoua James, le regard tourné vers Lily.

- Allez, arrêtes ça, dit alors Sirius. Dit toi que, au moins, si ton rêves est vrai, tu passera des moments avec elle, ensembles. Il y a deux ans, tu aurais sauté de joie si t'aurai su ça. James se força a sourire.

- Peut-être. Son regard croisa les yeux vers de Lily. Elle lui sourit. »

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Il était plus de seize heures quand Draco se leva enfin. Les yeux vitreux, il bâilla longuement et observa les alentours. Où était-il? Son regard se posa sur un autre lit, à côté du sien. La personne qui a dormit à l'intérieur n'était plus présente. Qui était-ce? Les Canons de Chudley? Draco poussa un rire. Il ne connaissait qu'un seul perdant qui puisse aimer une équipe aussi médiocre...

« - Enfin debout? Fit une voix. Draco sursauta et se retourna. C'était Hermione. Tout revint alors en tête de Draco. L'invitation, la maison de Ron, Harry au passé, son père dans le miroir, sa grand-mère au manoir, Harry qui sauve sa vie... Draco sentit son ventre lui faire mal, tout comme en cours, au début de l'année. Une douleur atroce l'envahit. Retenant ses cris de douleurs, il se sentit tomber au sol, les mains crispés au ventre.

- Aggrrrr, marmona-t-il, couché par terre. Il sentit un corps se laisser tomber près de lui.

- Draco, dit précipitament Hermione, laisse moi voir ce qui te fais si mal.»

Il la laissa faire. Doucement, elle le vit coucher sur le dos. Draco n'opposa aucune résistance. Puis elle glissa ses mains le long de son chandail et le souleva. Les mains crispés au sol, Draco retenait a grande peine les hurlements qui menaçaient de sortir. Des larmes lui brûlaient les yeux, mais il refusait de les laisser tomber. La douleur s'intensifiait a chaque instant. Hermione jeta un regard plein de larmes vers son ami. Elle détestait voir ceux qu'elle aimait souffrir. Pourtant, elle ne voyait que ça, tout sa vie. Lentement, la jeune fille passa sa main sur le ventre de son ami, à la recherche d'une écorchure, cicatrice, ou quelconque trace. Elle le sentait trembler. Hermione passa une jambe et s'assit sur son ami, puis commença a lui masser les épaules, le corps proche du sien. Elle le sentit se calmer. Les bras crispés de Draco se relâchèrent. Ses tremblements cessèrent également. Il leva les yeux et se força à sourire.

« - Tu as des mains magiques? Demanda-t-il.

- Ce n'était qu'un massage, répondit-elle, les joues brûlantes. Draco s'appuya sur ses bras pour se mettre en position assise, Hermione toujours sur elle.

- Merci, dit-il, à quelques centimètres de son amie.

- Pour une fois que je réussi a apaiser une douleur, fit Hermione. Des larmes avaient séchés sur sa joue. Draco le remarqua.

- Mais tu as des larmes, dit-il. Il leva la main et ses sécha du bout de son pouce.

- Tu m'as tellement fait peur, avoua-t-elle, passant ses mains dans les cheveux de Draco.

- Shss, c'est fini, dit-il doucement. Puis Hermione ne vit plus le reste. Les yeux clos, elle se laissa emporter dans les bras de Draco. Elles sentit les douces lèvres de ce dernier prendre contact avec les siennes. Elle se laissa d'abord embrasser, puis se reprit et le décolla.

- Ron, dit-elle dans un souffle.

- On n'y peu rien.

- Tu as raison, s'avoua Hermione. Puis ils s'embrasèrent à nouveau. »

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Alors qu'ils sortaient de table, James s'approcha de Lily. S'il devait se séparer d'elle, il ne voulait pas manquer quelque chose.

« - Lily? Dit-il. Cette dernière leva les yeux.

- Oui? Demanda-t-elle.

- Euh, je... les yeux émeraudes se tournèrent alors, prenant un air surpris. James s'interrompu et tourna le regard, essayant de comprendre qui elle observait. Non d'un... RANDY?

- Qu'es-ce qu'il fait là? Demanda James.

- Aucune idée, répondit Lily sur un ton enjouée. James serra les poings. Randy était l'homme dans son rêve. Le court instant venait de se terminer, voilà. Il aurait du l'embrasser hier.

- Allons le voir! Proposa Lily, prenant la main de Kristie. Cette dernière le suivit aussitôt, le sourire aux lèvres.»

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Inquiet, Randy jetait des regards autour de lui. Comment avait-ils pu laisser Catleya seule? Non mais quels cons ils étaient! Lucius semblait aussi perturbé que lui. Tout deux n'avaient pas pas réalisés sur le coup mais... l'ordre, se dit alors Harry. Dumbledore à avertit l'ordre! Alors, c'était correct. Il l'aurait sentit s'il y avait eu un meurtre. « Non, fit une voix, Randy ne le sent pas. »

« - Randy! »Fit une voix joyeuse et enjouée. Ce dernier se retourna et croisa le regard de sa mère. Quel crétin. Il se préocupait de la vie d'une femme qu'il connaissait depuis quelques heures alors qu'il allait passer noël avec sa mère pour la première fois de sa vie. Il n'avait absolument rien de quoi se préoccuper. Il devait profiter.

- Hey Hey! Dit-il. Puis Lily se jeta dans ses bras. Il la retenue avant qu'elle ne tombe.

- Tu m'a manqué, avoua-t-il. Lily sera ses bras plus forts. »

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Il ne restait plus que deux jours avant noël. Assis près du foyer, dans le salon, Ron, Hermione et Draco terminaient leurs devoirs. Ils avaient décidés de tout les faire tout de suite afin d'avoir la paix pendant noël, une idée d'Hermione. Foirée dans un sofa, un bouquin sur les cuisses, Hermione finalisait son devoir d'arithmancie. Étant son cours favoris, elle avait gardée ce devoir en dernier. Satisfaite, la jeune brune posa sa plume.

« - Parrrfait, dit-elle d'un ton réjouit.

- Tu as fini? Demanda Draco, levant les yeux de son devoir de Potions.

- Tiens, tu pourrais m'aider, proposa aussitôt Ron. J'ai de la difficulté a trouver plus de deux conséquences à la mal utilisation de la potion de combustion manuelle...

- Draco pourra t'aider, sourit Hermione. Ce dernier toussota.

- Euh bien sure, dit-il. Hermione se leva d'un bon.

- Bon ben je vais aller voir ce que fabrique Ginny. Amusez-vous.

- Comment veux-tu qu'on s'amuse à faire un devoir de potions! S'écria Ron derrière Hermione. Elle leva la main à la manière " Talk to the hand because the face dont want to" et continua sa route. Ron soupira. Draco roula les yeux.

- Bon, qu'es-ce que ton petit cervelet ne comprend pas?

- Ce que cette merde fais chez moi, répondit Ron tout en dévisageant Draco.

- Bon, si c'est comme ça... Draco ramassa ses affaires.

- Donne moi au moins les réponses!

- Tu me donnes quoi en échange? Ron ne dit rien. Draco fit un faux rire très haïssable.

- Mais comme je suis bête, dit-il, tu n'as rien digne d'intérêt.

- Ha Ha Ha, oui c'est ça, dit Ron en exagérant le faux rire de Draco.

- Tu les veux vraiment les réponses, s'étonna Draco. J'étais sur de me retrouver dans le foyer après celle-la. Il fit un petit sourire. Ron se leva et arracha le bouquin des mains du Serpentard.

- Tais toi tu veux? Draco se laissa tomber sur le sofa. Le silence prit place. On ne pouvait entendre que le grattement de plume sur le parchemin. Puis les soupirs ennuyés de Draco.

- T'as pas bientôt fini la? Ça serait bien de retrouver Hermione. Ce n'est pas que rester seul avec toi me dérange, c'est juste que ce couteau est horriblement proche de moi et des mauvaises pensés m'envahissent peu à peu.

- Humm, fit Ron. Ton écriture est médiocre.

- C'est tes yeux qui sont déréglés. Peut-être que le couteau... un petit sourire apparut sur les lèvres de Draco.

- C'est pas un couteau, sombre crétin, c'est un autre des gadgets de Fred et Georges.

- L'important c'est que ça coupe.

- Tu va pas couper grand chose quand il se transformera en pieuvre de peluche.

- Peut-être pas, mais je me demande en combien de temps je pourrais te le rentrer...

- Vous n'avez pas encore fini? S'exclama Hermione avec exaspération.

- Hermioneee! S'exclama Draco avec beaucoup d'exagération. Puis il se jeta dans ses bras.

- Hermione! Répéta-il. Oh, sauve moi! Il va me rendre fou.

- CET IDIOT M'EMPÊCHE DE TRAVAILLER! Explosa Ron. Ginny jeta un coup d'oeil par-dessus son épaule.

- Tu n'a écris que deux mots.

- QUOI? Fit Draco. Depuis tantôt... qu'es-ce que...

- Oh il remplit son parchemin de H G, répondit Ginny. Et il entoure les lettres de coe...

- Merci, Ginny, fit Ron d'un ton menaçant, les dents crispés.

- Bon, couina-t-elle, je pense que je vais te laisser travailler tranquillement...

- Oui, fit Hermione. Désolé de vous avoir dérangé. Travaillez bien.

- Oh, dit alors Draco avec un petit rire nerveux, vue l'expression effrayant au visage de Ronald. Je pense que Ron travaillera beaucoup mieux sans moi.

- Mais tu es certain qu'il n'aura pas besoin de toi? À cet instant précis, le couteau vola dans les airs et une pieuvre en peluche atterrit en plein dans la face de Draco.

- Je, dit Draco avec le ton le plus neutre possible, vais sombrer dans la naïveté et te croire sur parole quand tu va me dire que la seule et unique raison pour laquelle tu m'a lancé ce couteau, c'est par ce que tu savais qu'elle deviendrait une pieuvre.

- C'est ça mon enfant, sombre dans la naïveté, répondit Ron, le nez dans ses bouquins.

- Bon... on devrais peut-être y aller...

- Je garde cette pieuvre. »

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Fin Du chapitre.

Hihi suite semaine prochaine

J'espère que vous êtres re-entre dans l'histoire avec ces 4 chapters de suite:P

- ylonen.